LE 9/10/2025 : FILM Sacré Coeur SORTIE 1/10/2025 ! L'ALLIANCE DE SANG DU Sacré Coeur AVEC MARGUERITE MARIE ALACOQUE, SON EPOUSE, LA VICTIME D'EXPIATION, ET AVEC TOUS CEUX QUI LA SUIVRAIENT !
"Sacré Coeur " EST UN FILM QUI EXPLORE LES APPARITIONS DE JESUS CHRISTOS à SAINTE MARGUERITE-MARIE ALACOQUE, SORTI EN SALLES LE 1er OCTOBRE 2025.
Le film "Sacre Coeur", réalisé PAR SABRINA ET STEVEN J. GUNNELL, RETRACE LES événements SURVENUS IL Y A 350 ANS à PARAY-LE-MONIAL, où JESUS CHRISTOS, LE DIEU FAIT HOMME DE LA Sainte Trinité DU Sacré Coeur, a révélé SON COEUR BRÛLANT D'AMOUR à SAINTE MARGUERITE MARIE ALACOQUE, SON EPOUSE, LA VICTIME EXPIATOIRE !
Le Sacré-Cœur de Jésus à Paray-le-Monial - histoire de Sainte Marguerite-Marie
C'EST AUSSI LE siècle du célèbre ROI LOUIS XIV.
ELLE RENONCE à CHERCHER UN époux TERRESTRE POUR TROUVER UN EPOUX Céleste : LE CHRISTOS.
AINSI ELLE CONTINUE D'HONORER LA VIERGE MARIE QUI L'a guérie PENDANT SON ENFANCE.
MARGUERITE-MARIE CHERCHE TOUJOURS à PROGRESSER POUR MIEUX CONSOLER LE COEUR DE JESUS CHRISTOS !
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D'où vient le culte au Sacré-Cœur ?
D'où vient le culte au Sacré-Cœur ?D'où vient le culte au Sacré-Cœur ?
https://www.youtube.com/watch?v=PmJQn9M2thE&t=1s
DATE DE PUBLICATION DE CETTE VIDEO LE 24 OCTOBRE 2024 :
LE PERSONNAGE D'ALACOQUE LUI-MÊME POSE DIVERSES QUESTIONS, QUAND ON SE PLONGE DANS SES écrits.
CETTE LETTRE QU'ELLE DUT écrire DE SON SANG COMPRENAIT NOTAMMENT, à PROPOS DE JESUS CHRISTOS :
UNE DE SES BIOGRAPHIES DIT PAR EXEMPLE :
SON JOURNAL EST DISPONIBLE EN LIGNE, ELLE Y COUCHE SES Pensées ET Expériences !
COMMENT PEUT-ON LIRE CES CHOSES, ET PENSER QU'ON Y TROUVE LE CHRIST DES ECRITURES SAINTES ???
IL NOUS GUIDE ET NOUS MONTRE COMMENT LE GLORIFIER !
LE Problème, C'EST QUE CETTE SAINTE fut canonisée EN 1920, COMME JE LE DISAIS.
OR, COMME LE DIT L'Encyclopédie CATHOLIQUE à LA RUBRIQUE CANONISATION :
LE CRI DE RALLIEMENT DE LA Réforme était "AD FONTES" / "RETOUR AUX SOURCES".
NUL BESOIN DES RÊVERIES MORBIDES D'UNE PSEUDO-SAINTE DU XVIIème siècle !
VOUS VOULEZ ENTENDRE JESUS-CHRISTOS VOUS PARLER ? LISEZ LE NOUVEAU TESTAMENT à HAUTE VOIX !
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Ce fut vers cette époque que la Sainte reçut un gage nouveau de l'amour de son doux Maître, Un jour qu'elle était dans une grande souffrance,
il lui dit : « Ma fille, ne t'afflige pas, car je te veux donner un gardien fidèle qui t'accompagnera partout et t'assistera dans toutes tes nécessités intérieures et qui empêchera que ton ennemi ne se prévaudra point de toutes les fautes où il croira de te faire tomber par ses suggestions, qui retourneront à sa confusion, grâce qui me donne une telle force qu'il me semble n'avoir plus rien à craindre, car ce fidèle gardien de mon âme m'assiste avec tant d'amour qu'il m'affranchit de toutes ces peines. Mais je ne le voyais que lorsque mon Seigneur me cachait Sa Présence sensible, pour me plonger dans les douleurs très rigoureuses de Sa Sainteté de Justice.
C'était alors qu'il me consolait par ses familiers entretiens, me disant une fois :
— Je vous veux dire qui je suis, Ma chère Soeur, afin que vous connaissiez l'Amour que votre Époux vous porte.
Je suis un des sept Esprits qui sont les plus proches du Trône de Dieu, et qui participent le plus aux ardeurs du Sacré Cœur de Jésus-Christ....
Une autre fois, il me dit : — Prenez bien garde qu'aucune grâce et caresse familière que vous recevez de notre Dieu ne vous fasse oublier de ce qu'il est et de ce que vous êtes ; car autrement je tâcherais moi-même de vous anéantir (1). »
Cette âme héroïque devait clôturer l'année 1678 par un Acte solennel.
Notre Seigneur, comme Souverain Sacrificateur, lui commanda de faire en Sa Faveur un Testament ou Donation entière, sans réserve et par écrit,
de tout ce qu'elle pourrait faire et souffrir, de toutes les prières et biens spirituels que l'on ferait pour elle, pendant sa vie et, après sa mort.
Le Divin Maître entendait que la Chose fût faite en règle.
Il fit demander par Soeur Marguerite-Marie à la Mère Greyfié si elle voulait bien servir de notaire en cette Affaire — qu'il se chargeait de la payer solidement.
Si la supérieure refusait, la Soeur devait s'adresser au Père de la Colombière. Mais la Mère Greyfié, après avoir pris le temps de réfléchir, s'y prêta très volontiers. Elle écrivit donc elle-même la pièce suivante :
« Vive Jésus dans le coeur de Son épouse, ma Soeur Marguerite-Marie, pour laquelle, et en vertu du pouvoir que Dieu m'a donné sur elle,
j'offre et dédie et consacre purement et irrévocablement au Sacré Coeur de l'adorable Jésus tout le bien qu'elle pourra faire pendant sa vie, et celui qui sera fait après sa mort, pour elle, afin que la Volonté de ce Coeur Divin en dispose à Son gré et selon Son bon Plaisir et en faveur de quiconque il lui plaira, soit vivant ou trépassé-; ma Soeur Marguerite-Marie protestant qu'elle s'en dépouille volontiers généralement de tout, excepté la volonté d'être à jamais unie au Divin Coeur de son Jésus, et l'aimer purement pour l'amour de lui-même.
En foi de quoi, elle et moi signons cet écrit, le dernier jour de décembre 1678. Soeur Péronne-Rosalie Greyfié; à présent Supérieure, et de laquelle ma Soeur Marguerite-Marie demandera tous les jours la Conversion à ce Coeur Divin. et adorable, avec la grâce de la Pénitence finale.
La Soeur ayant présenté cet écrit à Notre Seigneur, il lui en témoigna un grand agrément et lui dit que, puisque Son Amour l'avait dépouillée de tout, il ne voulait pas qu'elle eût d'autres richesses que celles de Son Sacré Coeur et il lui en fit une donation à l'heure même, me la faisant écrire de mon sang, selon qu'il la dictait, et puis je la signai sur mon coeur avec un canif, duquel j'y écrivis son Sacré Nom de Jésus, » ajoute l'Autobiographie (1).
Consultons le Mémoire des Contemporaines. Nous y lirons ce qui suit :
« Après cette Donation faite, je la signai», dit-elle, « sur mon coeur, comme mon Divin Maître le voulait, et je la signe encore ici :
Soeur Marguerite-Marie, disciple du Divin Coeur de L'adorable Jésus, lequel s'étant donné à moi par la sainte communion, il me fit lire dans ce Coeur adorable ce qui était écrit pour moi.
— Ce qui suit est écrit de son sang :
— Je te constitue héritière de Mon Coeur et de tous Ses Trésors pour le temps et l'éternité, te permettant d'en user selon ton désir, et te promets que tu ne manqueras de secours que lorsque Mon Coeur manquera de puissance. Tu en seras pour toujours la disciple bien-aimée, le jouet de Son bon plaisir et l'holocauste de Ses désirs, et Lui seul sera le plaisir de tous tes désirs, qui réparera et suppléera à tes défauts, et t'acquittera de tes obligations (2). »
Il a besoin d'être étudié pour être bien compris. En voici'l'enchaînement logique. Soeur Marguerite-Marie présente à Notre-Seigneur le Testament en question et, dans un transport d'amour, grave le saint Nom de Jésus sur son coeur.
Puis, elle signe en ces termes la pièce écrite par la Mère Greyfié : « Soeur Marguerite-Marie, disciple du Divin Cœur de l'adorable Jésus. »
Enfin, Notre Seigneur, lui fait lire ce qu'il y a d'inscrit pour elle dans Son Sacré Coeur et lui fait écrire de son sang la Donation ci-dessus :
« Je te constitue héritière,... » etc. L'Autobiographie continue :
« Après quoi, il me dit qu'il prendrait soin de récompenser au centuple tous les biens que l'on me ferait, comme faits pour lui-même, puisque je n'avais plus rien à y prétendre ; et que, pour récompense à celle qui avait dressé ce Testament en Sa Faveur,
il lui voulait donner la même récompense qu'à sainte Claire de Montefalco ; et que pour cela, il ajouterait à ses actions les mérites infinis des siennes,
et par l'amour de Son Sacré Coeur, il lui ferait mériter la même couronne. Ce qui me donna une grande consolation, parce que je l'aimais beaucoup, à cause qu'elle nourrissait mon âme abondamment du pain délicieux de la mortification et humiliation, qui était si agréable au goût de mon Souverain Maître (1). »
Ce Testament était daté du 31 décembre 1678.
Presque à la même date, le Révérend Père de la Colombière, qui venait de se voir frustré de la gloire du martyre, mais avait, du moins, conquis la palme de confesseur de la foi, injustement accusé et banni d'Angleterre, reprenait le chemin de la France. Cette disgrâce entrait dans les Desseins de Dieu, pour reconduire momentanément le saint jésuite dans la petite ville charolaise, à une époque où sa présence était singulièrement opportune.
La Mère Greyfié avait alors des craintes au sujet de la Soeur Alacoque.
Elle les soumit au Père et voici comment il l'éclaira et la rassura : « Il me fit connaître qu'il n'hésitait pas de croire que ce qui se passait en cette chère Soeur ne fût vraies Grâces de Dieu. — Mais qu'importe, me dit-il, quand ce seraient des illusions diaboliques, pourvu que cela produise en elle les mêmes effets que font les Grâces du Seigneur ?
Il n'y a nulle apparence à cela, me dit-il encore, parce qu'il se trouverait que le diable, en la voulant tromper, se tromperait lui-même, l'humilité, la simplicité, l'exacte obéissance et la mortification n'étant point les fruits de l'Esprit de Ténèbres (1). »
Si ce retour passager de l'éminent religieux à Paray fut une consolation pour notre Sainte, il lui devint aussi l'occasion de manifester une fois de plus sa vertu consommée. Le Révérend Père souhaitant parler à Soeur Marguerite-Marie au confessionnal, pour être en particulier, la Mère Greyfié le permit très volontiers. Mais elle apprit bientôt qu'on s'en était fait de la peine » —
Et le Père de la Colombière, que, pensa-t-il de Soeur Marguerite-Marie ?
Le 23 mars 1679, il écrivait à la Mère de Saumaise : « Passant à Paray, je n'ai pu voir qu'une fois la Soeur Alacoque, mais j'ai bien eu de la consolation en cette visite. je la trouvai toujours extrêmement humble et soumise, dans un grand amour de la croix et du mépris.
Voilà des marques de la Bonté de l'Esprit qui la conduit, et qui n'a jamais trompé personne (2). »
L'Ange de Ténèbres avait une haine marquée pour la disciple du Coeur de Jésus.
« Maudite que tu es, » lui dit-il un jour, je t'attraperai et si je te peux une fois tenir à ma puissance, je te ferai bien sentir ce que je sais faire ; je te nuirai partout (1). »
Désespéré qu'il était de n'avoir pu abuser cette âme, ni l'enlacer dans les filets de l'orgueil, il s'en était, depuis longtemps, pris à son corps, se donnant pour tâche de lui tendre des pièges en tout lieu.
D'abord, il la rendait à tout propos d'une maladresse extrême, lui faisant tomber des mains et casser les objets qu'elle tenait.
Plusieurs fois, il fut plus méchant encore. Un jour, il la poussa du haut d'un escalier, « tandis qu'elle portait; du feu dans un vaisseau de terre, qui ne se rompit point (2). » La confusion fut pour son ennemi et non pour elle, qui se trouva au bas de l'escalier, sans avoir même rien renversé, ni sans s'être fait aucun mal. Naturellement parlant, elle aurait dû se casser les jambes. Mais son saint Ange était là qui veillait.
Elle dit tout simplement : « Je sentis mon fidèle gardien qui me soutint (3). »
Le Malin ne la laissait presque jamais tranquille et la poursuivait aux récréations comme ailleurs.
A différentes reprises, étant ensemble au chauffoir commun, plusieurs des religieuses virent tout d'un coup retirer l'escabeau sur lequel la Servante de Dieu était assise, sans qu'on aperçut l'être qui se jouait ainsi d'elle. L'humble Soeur tombait alors à terre et reprenait paisiblement son siège ; mais le fait se réitérant un seul jour sur-le-champ jusqu'à trois fois, il fut impossible de ne pas reconnaître l'auteur de cette vexation. La Soeur de Lyonne s'avisa de dire : « Il faut que le Démon s'en mêle ! » A quoi la Soeur Alacoque ne répondit que « par un sourire (1). »
Notre Seigneur l'avait prévenue que Satan avait demandé de l'éprouver comme l'or dans la fournaise, et qu'il lui avait tout permis, à la réserve de l'impureté ; mais que, pour toutes les autres tentations, il lui fallait être sur ses gardes, et qu'elle aurait surtout à subir celles dont le Diable avait osé l'attaquer Lui-même. Elle en fit la terrible expérience.
Il y a une haute leçon, cachée pour nous sous les humbles aveux d'une si grande âme.
« Je souffris pendant ce temps-là de rudes combats de la part du Démon, qui m'attaquait particulièrement sur le désespoir, me faisant voir qu'une aussi méchante créature que moi ne devait point prétendre de part dans le Paradis, puisque je n'en avais déjà point dans l'amour de mon Dieu, duquel je serais privée pour une éternité. Cela me faisait verser des torrents de larmes.
D'autres fois, il m'attaquait de vaine gloire, et puis de cette abominable tentation de gourmandise, me faisant sentir des faims effroyables ; et puis, il me représentait tout ce qui est le plus capable de contenter le goût, et cela dans le temps de mes exercices, ce qui m'était un tourment étrange. Et cette faim me durait jusqu'à ce que j'entrais au réfectoire pour prendre ma réfection, dont je me sentais d'abord dans un dégoût si grand, qu'il me fallait faire une grande violence, pour prendre quelque peu de nourriture. Et d'abord que j'étais sortie de table, « ma faim recommençait plus violente qu'auparavant. »
Ce que voyant, la Mère Greyfié ordonna à cette parfaite obéissante de venir lui demander à manger, lorsqu'elle se sentirait plus pressée de la faim, « ce que je faisais avec des violences extrêmes, pour la grande confusion que je sentais, » rapporte la Sainte. « Et au lieu de m'envoyer manger, elle me mortifiait et humiliait fortement là-dessus, en me disant que je garderais ma faim pour la contenter lorsque les autres iraient au réfectoire. Après, je demeurais en paix dans ma souffrance (1). »
Non seulement Notre Seigneur ne voulait pas diminuer la sensibilité ni les répugnances de Marguerite-Marie (2), mais il avait divinement pris Ses Mesures pour les aviver encore. « Il voulait que je fusse dans un continuel Acte de Sacrifice, et que, pour cela, il augmenterait mes sensibilités et mes répugnances, en telle sorte que je ne ferais rien qu'avec peine et violence, pour me donner matière de victoire, même dans les choses les plus minces et indifférentes. Ce que je puis assurer avoir toujours éprouvé depuis. De plus, que je ne goûterais plus aucune douceur que dans les amertumes du Calvaire, et qu'il me ferait trouver un martyre de souffrance dans tout ce qui pouvait composer la joie, le plaisir et la félicité temporelle des autres. Ce qu'il m'a fait éprouver d'une manière très sensible, puisque tout ce qui se peut nommer plaisir, me devint un supplice (1). »
Une fois, Notre Seigneur lui fit entendre qu'il la voulait retirer dans la solitude, non celle d'un désert, mais celle de Son Sacré Coeur, et il lui demanda de jeûner cinquante jours au pain et à l'eau, pour honorer son jeûne dans le désert. Elle n'en put obtenir la permission, cette singularité ne cadrant pas avec les usages ordinaires.
Alors, son Époux Divin l'assura qu'il aurait comme très agréable qu'elle passât cinquante jours sans boire, pour rendre hommage à la soif que Son Cœur Sacré a du Salut des Pécheurs.
La courageuse Sœur Alacoque commença donc cette pénitence, mais on ne la lui laissa pas achever pour cette première fois. Plus tard, elle eut congé de la recommencer et d'aller jusqu'au bout des cinquante jours. Elle passait de même les vendredis sans boire, depuis le jeudi soir jusqu'au samedi matin, ce qui était d'autant plus extraordinaire qu'elle était plus habituellement travaillée d'une soif dévorante. Elle continua longtemps cette pratique, jusqu'à ce que la Mère Greyfié, jugeant de son devoir de la lui défendre, lui donna l'obéissance de boire trois ou quatre fois entre les repas, tous les jours. Mais, pour obéir et souffrir tout ensemble, Sœur Marguerite-Marie s'avisa de boire de l'eau où on lavait vaisselle, et même la lessive.
Une soeur, l'ayant prise sur le fait, en prévint la Supérieure, qui sut bien encore, en cette rencontre, gratifier l'innocente coupable d'une énergique réprimande.
La parfaite loyauté de la Mère Péronne-Rosalie à dépeindre la sévérité de sa conduite envers la Servante de Dieu donne à ses récits un charme plein d'une mâle saveur. Nous allons encore en goûter quelque chose.
Il est question de la mystérieuse douleur de côté que la Sainte portait continuellement, et que Notre Seigneur lui avait prédit ne pouvoir être soulagée que par la saignée. « Je l'ai vue pressée de sa douleur, se tenir en paix, sans demander la saignée, à laquelle nos Soeurs et moi aussi avions de la répugnance, parce qu'il la lui fallait faire trop souvent.
On s'en prenait à elle; comme si ç'avait été un remède attaché à sa fantaisie, plutôt que propre à son mal. Elle a eu de bonnes occasions à ce sujet de souffrir et de patienter en silence, comme elle faisait entre Dieu et elle. Moi-même, une fois, je m'obstinai à ne vouloir pas qu'elle fût saignée.
On lui fit plusieurs autres remèdes, qui ne servirent qu'à aigrir sa douleur. Elle en vint à un vomissement de toutes sortes d'aliments qu'on pût lui donner, même la confection d'hyacinthe. Elle ne refusait rien de tout ce qu'on lui donnait pendant deux ou trois. jours, ni ne se plaignit jamais d'être dans ce pauvre état, faute de lui vouloir faire une saignée.
Quand je lui en parlai : — « Ma Mère, » me dit-elle, « je sais bien qu'il n'y a que ce remède qui me soulage : mais je ne le désire pas, si Votre Charité ne le veut (138) pas, parce que mon Jésus vous fait vouloir tout ce qu'il veut pour moi. Je suis bien aise de souffrir tant qu'il lui plaira. »
— A la fin, le mal l'ayant réduite dans l'état de ne pouvoir presque plus respirer ni parler, et ses vomissements dans une grande faiblesse, je la conduisis à l'infirmerie, où on ne lui eut pas plus tôt tiré une palette de sang qu'elle reprit la liberté de la respiration et de la parole, et se trouva si vigoureuse, qu'aussitôt que son bras fut bandé, elle aurait voulu que je lui eusse permis d'aller à la suite de la Communauté......
« Je voulus lui épargner les petites mortifications ordinaires que ce remède lui attirait, et pour cela j'envoyais ma Soeur Catherine-Augustine [Marest] quelquefois la saigner dans sa cellule. Mais Notre Seigneur, qui ne voulait pas qu'elle eût cet adoucissement, permit qu'un jour, que j'avais usé de cette précaution, elle tombât à coeur failli pendant la sainte messe ; et aussitôt on en devina la cause.
« Je ne m'étonne point, ni ne m'étonnai point pour lors de voir tant de petits désagréments à son sujet ; car encore qu'il fût vrai que sa vie était toute de vertus et d'exemple, elle-même avait obtenu, par ses instances auprès de Notre-Seigneur, qu'il ne laisserait rien paraître en elle que ce qui serait capable de l'anéantir et humilier. De là venait que tout lui tournait en humiliation et contradiction; et aux occasions qui lui étaient plus sensibles, Notre-Seigneur lui remettait sa demande en mémoire.
Elle avouait que la (139) fille d'Adam souffrait beaucoup en elle, mais celle de Dieu se réjouissait de tout ce qui lui faisait peine, soit au corps ou à l'esprit, de la part de Dieu ou des créatures (1). »
Il faudrait pouvoir citer tous les Avis que la Mère Greyfié donnait à sa chère fille, pour mieux faire admirer la largeur de vues, le sens pratique et la tendresse de coeur que cette grande religieuse possédait, bien que souvent, à l'égard de Soeur Marguerite-Marie, cette tendresse ne fût pas apparente. Dans tous ces petits écrits maternels, tracés en hâte au courant de la plume, il y a, mélangés les uns aux autres, des mots d'une force surnaturelle incontestable, des décisions d'une netteté sans réplique. Donnons quelques exemples
« Je prie Jésus-Christ, Seigneur et Sauveur Tout-Puissant, de commander à la tempête qu'elle cesse chez vous ; et je vous dis en Son Nom demeurez en paix ! Votre âme est la part du Seigneur et le Seigneur est la part de votre âme..... Vous mangerez ce que vous aimez et désirez de manger, lorsque la Communauté en sera servie aux repas ordinaires ; passé cela, vous prendrez patience avec la faim. Humiliez-vous devant Dieu de vos tentations...
« Fiez-vous en Sa bonté et en la Charité du Coeur Sacré de Jésus-Christ, et ne vous. mettez en peine de rien qui puisse vous arriver. C'est la gloire d'un soldat fidèle, et c'est le signe de sa fidélité d'être singulièrement haï de l'Ennemi mortel de son Prince Souverain.
Mais les rois et les princes n'ont pas toujours le pouvoir de garantir leurs soldats de la malice de leurs adversaires.
Il n'en est pas de même de notre Dieu, qui ne peut être surpris ni trompé, et qui terrasse, quand il lui plaît, notre Ennemi, et nous en rend victorieuse, malgré sa rage et notre faiblesse, que Sa Divine Grâce rend forte, à proportion de notre confiance...
« Je vous mortifierai et humilierai volontiers et de bon coeur dans les rencontres, parce que vous avez besoin de ce secours, que c'est charité de vous le donner, et que je désire le bien de votre âme. Que cela ne vous ôte pas, pourtant, la confiance de venir à moi ou de m'écrire, selon que vous en aurez le désir et le besoin ; je serai toujours de bonne volonté à vous servir. Votre âme est chère à la mienne, malgré tout ce qui peut vous rendre désagréable, surchargeante et importune. Il faut imiter le Père céleste, qui vous fait des faveurs sans aucun mérite de votre part... »
L'humble Soeur avait sans doute confié, une fois encore à sa supérieure, l'irrésistible et tout surnaturel attrait qui la poussait à désirer la correction. Elle en reçoit cette prudente et charmante réponse : « Quant à ce qui est de vous mortifier, je vous donnerais volontiers des bonnes portions de ce pain de l'âme religieuse, si Dieu vous donnait plus de santé; mais vos infirmités m'abattent le courage, lorsque je voudrais l'élever en faveur de votre faim spirituelle. Dites donc à Notre-Seigneur qu'il me donne moins de tendresse sur (141) vos maux, ou à vous plus de santé, ou bien qu'il me dispense de vous traiter comme vos démérites, dans les occasions où vous donnez lieu de vous corriger et humilier...
« Si on vous interroge, il faut répondre alors avec simplicité, selon votre pensée, mais courtement ; et puis ne pas réfléchir sur ce que vous aurez répondu, pour connaître si il a été bien ou mal reçu, parce que ces sortes de réflexions se peuvent appeler le gland dont l'amour-propre s'engraisse. Le malheur est que l'on ne le tue pas à la Saint-Martin, comme les porcs et qu'il vivra autant que nous. Il n'y a singerie que ce maudit amour de nous-mêmes ne fasse, pour faire perdre la sainte simplicité aux âmes qui doivent aimer Dieu, en se renonçant sans cesse elles-mêmes...
« Puisque vous êtes à Dieu, s'il vous veut imprimer comme une cire molle, ou se jouer de vous comme d'une paume, que vous importe ? Abandon pour l'amour, abandon par amour et abandon en l'amour de Jésus-Christ. Je crois que c'est ce que Dieu veut de vous, parce qu'il aime à nous gouverner, et nous-mêmes n'entendons rien à nous conduire...
« J'ai perdu le commencement de matines pour lire votre écrit et pour y faire ces mots de réponse et vous dire, mon cher enfant, que vous demeuriez en paix au milieu de la guerre qui est chez vous. Celui qui vous la fait vous veut sauver et c'est pour ce sujet qu'il vous poursuit. Laissez-vous prendre par lui-même...
« Non, ma mie, je ne veux pas que Notre Union (142) cesse et quand vous seriez cent fois pire que vous n'êtes, je la veux toujours continuer (1). »
Pendant l'automne de 1679, Soeur Marguerite-Marie, brûlant toujours plus de l'amour de son Dieu, et sentant que la blessure qu'elle s'était faite, en gravant le Saint Nom de Jésus sur son coeur, commençait à s'effacer, s'imagina de la raviver à la flamme d'une bougie.
Le succès dépassa ses intentions; des plaies se formèrent. La pauvre Soeur, à la veille d'entrer en retraite, se vit obligée d'avertir sa supérieure. La Mère Greyfié répondit qu'elle voulait y faire mettre quelque remède, pour prévenir tout mal dangereux.
Désolation intime pour cette amie de la souffrance cachée!
« O mon unique Amour ! souffrirez-vous que d'autres voient le mal que je me suis fait pour l'amour de vous ? N'êtes-vous pas assez puissant pour me « guérir, vous qui êtes le Souverain Remède à tous « mes maux ? (2) » C'en fut assez. Notre Seigneur se laissa vaincre et promit à Sa servante que, le lendemain, elle serait guérie. L'effet suivit la Promesse.
Cependant, la Soeur Alacoque n'ayant pu encore. rencontrer sa supérieure — pour l'en instruire, reçut d'elle un billet, lui enjoignant de montrer son mal à la Soeur qui lui remettrait l'écrit. Comme notre Sainte était guérie, elle se crut dispensée de cette obéissance, au moins jusqu'à ce qu'elle eût raconté le fait à la supérieure, allant la trouver sans retard et lui disant pourquoi elle n'avait pas accompli ce que portait le billet. Si la Mère Greyfié fut sévère et sans miséricorde pour ce délai dans l'obéissance, Notre Seigneur le fut bien plus encore. Pendant cinq jours, il relégua la coupable sous Ses Pieds sacrés, lui apprenant à pleurer et à expier cette désobéissance, mais cela, à la manière d'un Dieu offensé. De plus, il lui dit, qu'en punition de sa faute, ce Nom Sacré, dont la gravure lui avait coûté si cher, ne paraîtrait plus.
« Je peux dire que je fis une solitude de douleur,» écrit-elle (1). Et, en fin de compte, la Mère Greyfié exigea qu'elle montrât son mal à la soeur, bien que tout remède fût devenu inutile, la guérison étant parfaite (2).
Mgr Languet rapporte que la Soeur des Escures « vit ces blessures auparavant profondes et invétérées, couvertes de grandes croûtes desséchées, qui ne laissaient plus paraître que la forme très bien marquée du Nom de Jésus, écrit en grands caractères, tels que sont ceux qu'on peint avec des moules dans de grands livres. « Vie de la Vénérable Mère Marguerite-Marie. Édition princeps 1729, p. 170.
Après la mort de la Servante de Dieu, la Soeur des Escures eut la sainte curiosité de se rendre compte s'il paraissait encore quelque chose de cette gravure sanglante, et elle informa la Mère Greyfié qu'aucune trace n'en demeurait; à quoi la bonne Mère lui répondit, le 16 décembre 1690 : « Ce que vous m'assurez n'y avoir rien pu connaître m'est une confirmation de la Vérité de Ses Grâces... Je tiens pour une petite merveille qu'elle ait été guérie sans qu'il en soit resté aucune marque. » Lettre autographe. Archives de la Visitation de Paray. I, pp. 345, 346.
Avant d'expérimenter une fois encore la vigueur de la conduite de la Mère Greyfié, Soeur Marguerite-Marie avait réellement bien besoin d'être réconfortée par son Bon Maître.
Lui-même ne le savait-il pas mieux que personne ?
Aussi, un jour de l'Ascension, tandis qu'elle était devant le Saint Sacrement avec la Communauté, pour honorer le moment où Notre-Seigneur monta au Ciel, il lui apparut au sein d'une ardente lumière, et s'approchant d'elle, il lui dit :
« Ma fille, j'ai choisi ton âme pour m'être un Ciel de Repos sur la Terre et ton coeur me sera un Trône de délices à Mon Divin Amour (1). » Parole capable de noyer dans un océan de douceurs divines toutes les amertumes de la terre!
Néanmoins, la souffrance conduisit de nouveau notre Sainte à l'infirmerie, et le 19 juin 1680, veille de la fête du Saint-Sacrement, elle n'avait pu encore quitter le lit, lorsque la Mère Greyfié vint la visiter. La pauvre souffrante lui demande congé de se lever pour aller à la sainte messe. La Mère hésite; la Soeur reprend, de bonne grâce : « Ma bonne Mère, si vous le voulez bien, Notre-Seigneur le voudra bien aussi et m'en donnera la force. » Alors, la supérieure donne ordre à l'infirmière de faire prendre quelque nourriture le matin à la malade et de la faire lever environ l'office, pour la mener à la messe. Le soir, Soeur Alacoque dit qu'elle souhaiterait bien rester à jeun, afin de pouvoir communier, espérant que Notre Seigneur lui donnerait assez de forces pour cela. L'infirmière y acquiesça, pensant que la Mère Greyfié n'y ferait pas de difficulté et promit d'ailleurs de demander la permission.
Mais voici qui est encore plus remarquable et prouve jusqu'à l'évidence que, sans balancer, cette supérieure si expérimentée, se conduisait, dans les choses les plus graves, d'après les lumières de la Sœur Alacoque. Il s'agissait de la vocation de Mlle de Lyonne, cette fière beauté, qui ne croyait personne digne d'elle sur la terre...
Jésus-Christ l'avait vaincue, elle avait accepté de devenir Son épouse, mais elle le faisait attendre et n'entrait toujours pas au Monastère.
Un matin, Soeur Marguerite-Marie s'en vint « toute extasiée » dire à la Mère Greyfié : « Ma Mère, Notre-Seigneur veut absolument cette âme ; il m'a dit: je la veux, je la veux, à quel prix que ce soit ! »
A l'instant même, la Mère Greyfié envoya quérir Mlle de Lyonne, comme ayant un message à lui faire. Celle-ci se rend à la messe dans l'église du couvent. Un étrange combat se livre en son âme. Cependant elle passe au parloir, où la Mère Greyfié et la Soeur Alacoque lui disent qu'il faut entrer à ce même moment, sans en avertir Madame sa mère et que c'est la Volonté de Dieu. Mlle de Lyonne immole toutes ses réflexions ; mais elle déclare à une de ses amies, qui l'accompagnait, que, si elle voyait le Purgatoire ouvert devant elle, « elle s'y jetterait aussitôt que céans, tant elle se faisait de violence. »
Au lieu du Purgatoire, ce fut le Thabor qu'elle trouva dans la vie religieuse, y goûtant d'ineffables douceurs jusqu'à l'âge de quatre-vingt-un ans. Elle n'oublia jamais qu'elle devait son bonheur, en grande partie, à la Sœur Alacoque, dont elle fut toujours l'intime amie. En une rencontre où la Sœur de Lyonne avait sacrifié un sermon, pour rester auprès de Sœur Marguerite-Marie, malade à l'infirmerie, la Servante de Dieu « lui promit qu'elle n'y perdrait rien et que Notre Seigneur l'en récompenserait. Il le fit sur-le-champ, car Soeur Alacoque lui dit des choses si merveilleuses de l'Amour du Coeur de Jésus pour (148) Ses créatures et de celui qu'elles doivent lui rendre, qu'elle en resta toute pénétrée d'onction, et plus que si elle eût ouï dix sermons. (1) »
Marguerite-Marie, cette fille de miracle, devait, plus d'une fois encore, être favorisée de guérisons soudaines et absolument en dehors du cours de la nature. Dans les derniers mois de 1681, la Mère Greyfié eut derechef le mouvement de la faire brusquement sortir de l'infirmerie, où elle était malade d'une grosse fièvre. C'était pour la mettre en retraite selon son rang. Elle lui dit donc
« Allez, je vous remets au soin de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Qu'il vous dirige, gouverne et guérisse selon Sa Volonté! » La Sainte avoue que cet ordre la surprit un peu, d'autant qu'elle tremblait . alors du frisson de la fièvre. Mais toute joyeuse, elle exécute immédiatement cette dure obéissance, disant : « Tout m'est bon; pourvu qu'Il se contente et que je l'aime, cela me suffit! » Elle ne fut pas plus tôt renfermée dans sa petite cellule, avec LUI SEUL, qu'il se présenta à elle. La trouvant couchée à terre, toute transie de douleur et de froid, il la fit relever avec mille caresses et lui dit : « Enfin, te voilà toute à Moi et toute à Mon soin ; « c'est pourquoi je te veux rendre en santé à ceux qui t'ont remise malade entre Mes mains. — Et il me redonna une santé si parfaite qu'il ne semblait point que j'eusse été malade. De quoi l'on fut fort étonné, et ma supérieure particulièrement, laquelle savait ce qui s'était passé (1.) » Cette retraite s'écoula parmi tant de joies et de délices que l'heureuse solitaire se croyait en un paradis, se voyant comblée des continuelles Faveurs, caresses et familiarités de son Seigneur Jésus-Christ, de la sainte Vierge, de son saint Ange et de son bienheureux Père saint François de Sales.
Son cher Maître lui réservait une grâce très particulière.
« Pour me consoler de la douleur qu'il m'avait fait sentir de l'effaçure de Son Sacré et adorable Nom sur mon coeur, après l'y avoir gravé avec tant de douleur, il voulut lui-même l'imprimer au dedans et l'écrire au dehors avec le Cachet et le burin tout enflammé de Son pur Amour, mais d'une manière qui me donna mille fois plus de joie et de consolation que l'autre ne m'avait causé de douleur et d'affliction (2). »
Lorsque cette âme avait un doute quelconque, elle allait droit à Celui qui est Lumière et Vérité, pour en être éclairée. Elle le rapporte elle-même bien des fois. Citons ce passage : « Un jour que le désir de recevoir Notre Seigneur me tourmentait, je lui dis : — Apprenez-moi ce que vous voulez que je vous dise.
— Rien, sinon ces paroles: Mon Dieu, mon Unique et mon Tout, vous êtes Tout pour moi, et je suis toute pour Vous. Elles te garderont de toutes sortes de tentations, et suppléeront à tous les actes que tu voudrais faire, et te serviront de préparation en tes actions (3). »
Dans la vie d'une créature élue, vouée par Dieu lui-même à la souffrance et à l'Expiation,
l'enchaînement surnaturel des maladies ou des accidents douloureux devenait une chose presque naturelle. De fait, Notre-Seigneur ne laissa exempte de la Croix aucune partie du corps de sa servante. Portant déjà une douleur au côté, pour honorer le Côté percé du Sauveur, elle eut encore le privilège d'honorer Son Couronnement d'épines par de spéciales douleurs à la tête.
Un jour, allant communier, la sainte hostie lui parut resplendissante comme un soleil. Notre-Seigneur était au milieu, tenant une couronne d'épines qu'il lui posa sur la tête, en disant : « Reçois, ma fille, cette couronne, en signe de celle qui te sera bientôt donnée par conformité avec Moi (1). »
Et il se chargea sans retard de lui donner l'Explication de ce Présent céleste.
Elle était alors maîtresse des Soeurs du petit habit. Comme elle puisait de l'eau, à l'intérieur du cloître, au puits du préau, le seau lui échappa étant plein, et retombant de tout son poids dans le puits, le bras de fer qui sert à faire marcher la roue, allant de grande raideur, la frappa sur la mâchoire. La violence du coup emporta plusieurs dents, tandis qu'un morceau de la joue, gros et long comme la moitié du doigt, pendait à l'intérieur de la bouche. Cette douleur et cette commotion, qui durent être excessives, ne firent que lui arracher ce cri : « Mon Dieu ! »
Et, sans faire d'autre cérémonie, elle pria une des « petites Soeurs » de lui couper ce morceau de chair. Ces enfants, effrayées, refusèrent.
Alors, prenant elle-même ses ciseaux, elle coupa tranquillement la pièce. La plaie qui se forma dans la bouche lui donna bonne matière à souffrir, autant de fois qu'il lui fallait prendre quelque nourriture.
De plus, le coup lui causa, dans la tempe, une douleur qui, après les repas, devenait presque insupportable, pouvant se comparer à une rage de dents. « Tout l'adoucissement qu'elle y apportait, » écrit la Mère Greyfié, « était de sortir des récréations avec congé, pour aller faire quelques tours d'allées, jusque à ce que cette douleur fût diminuée, qu'elle revenait avec les autres. » Lorsqu'il s'agissait de se procurer des souffrances, Soeur Marguerite-Marie savait bien les demander; mais pour se procurer des soulagements ou du repos, la Mère Greyfié dit qu' « il fallait qu'on y pensât pour elle. (1) ».
Cet accident ne fut pas le seul qui consacra, par l'Onction de la Souffrance, la tête de notre Sainte. Elle y reçut encore trois terribles coups, « l'un, en portant deux cruches d'eau, qu'elle tomba sur les degrés qu'elle montait, donnant de la tête contre la pierre de taille. Le second fut une grosse perche qui lui tomba sur la même partie; et le troisième d'un furieux coup, qu'elle prit contre un travon (2). » Mais jamais il n'y avait trop d'épines à sa couronne. « Je confesse que je me sens plus redevable à mon Souverain de cette couronne précieuse que s'il m'avait fait présent de tous les diadèmes des plus grands monarques de la terre ; et d'autant . plus que personne ne me la peut ôter, et qu'elle me met souvent dans l'heureuse nécessité de veiller et m'entretenir avec cet unique objet de mon amour, ne pouvant appuyer ma tête sur le chevet, à l'imitation de mon Bon Maître, qui ne pouvait appuyer la sienne adorable sur le lit de la Croix. Cela me faisait sentir des joies et des consolations inconcevables, quand je me voyais quelque conformité avec Lui (1). »
Et Notre Seigneur lui apprit alors à unir ses douleurs de tête à celles du divin couronnement d'épines, demandant au Père Céleste, par ce mérite infini, la Conversion des Pécheurs, et l'humilité pour tant de têtes orgueilleuses, dont l'élévation a quelque chose de si injurieux à la Souveraine Majesté.
Dieu avait décrété que les deux apôtres de Son Coeur rendraient leur dernier soupir à Paray-leMonial.
Au mois d'août 1681, le Père de la Colombière y était revenu, sans autres fonctions à remplir que celles de se laisser soigner, car, hélas ! il était malade à mort. Quelques mois seulement le séparaient de son éternité. La souffrance et l'épuisement lui permettaient à peine de parler. Il put cependant, avant l'hiver, se rendre quelquefois au monastère de la Visitation et revoir ses filles spirituelles, notamment la Soeur Alacoque. Mais de ces derniers entretiens « du frère et de la soeur dans le Coeur de Jésus, » nous savons bien trop peu pour essayer de les analyser. Ils durent être empreints de ce quelque chose qui sent déjà la consommation des saints en Dieu.
Bientôt, il n'y eût plus d'espoir dans l'état du vénéré malade, et il devint évident que le climat de Paray, qu'on avait cru lui devoir être favorable, lui était au contraire nuisible. On parle alors de conduire le Père à Lyon, ou même à Vienne en (154) Dauphiné ; là il respirerait l'air natal. On prend toutes les mesures voulues ; le voyage est décidé. Un des frères du Père de la Colombière arrive, pour l'emmener le lendemain, 29 janvier 1682. Mais tout devait se faire en secret. Mlle Catherine Mayneaud de Bisefrand, une de ses pénitentes, apprend cette nouvelle et, tout ensemble, la défense de la communiquer. Elle sollicite la permission d'avertir pourtant la Soeur Alacoque, ce qu'ayant obtenu, elle se hâte de faire. A cette annonce, Soeur Marguerite-Marie demande à son amie de dire au Père de la Colombière de ne point partir, si cela se pouvait sans contrevenir en rien à l'ordre de ses supérieurs. Le message est transmis avec le même empressement. Mais, le Père désire être plus précisément informé des motifs qui font ainsi parler la vénérable Soeur et, en quelques mots de sa main, il la prie de s'expliquer elle-même davantage par écrit. Ce qu'elle fait aussitôt. Sa réponse, immédiatement remise au malade, l'arrêta tout court dans ses projets. Le billet en question portait ces mots, que voici sans y rien changer, au témoignage des Contemporaines : « Il m'a dit qu'il veut le sacrifice de votre vie ici (1). »
Le Père de la Colombière resta donc à Paray, pour obéir à l'Ordre Céleste, que lui transmettait la Sainte et il y mourut le dimanche 15 février 1682, à sept heures du soir.
Mais comme je pris garde qu'elle ne me demandait point de faire pour lui, comme pour d'autres, des prières et pénitences extraordinaires, je lui en demandai la cause. Elle me répondit d'un air doux et content : « Ma chère Mère, il n'en a pas besoin; il est en état de prier Dieu pour nous, étant bien placé dans le Ciel, par la Bonté et Miséricorde du Sacré Coeur de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Seulement, pour satisfaire à quelque négligence qui lui était restée en l'exercice du divin amour, son âme a été privée de voir Dieu, dès sa sortie de son corps jusqu'au moment qu'il fut déposé dans le tombeau. »
La Mère Greyfié poursuit : « Je ne lui ai jamais ouï regretter, mais oui bien se réjouir de son bonheur éternel, auquel elle prenait part, en rendant grâce au Sacré Coeur de Jésus-Christ de toutes celles qu'il avait faites à ce digne religieux en sa vie et en sa mort (1). »
Néanmoins, elle me vint demander, par grande miséricorde, de veiller le Saint Sacrement.
Je ne vis nulle apparence qu'elle le pût faire; mais pour lui donner quelque consolation, je lui permis de se tenir au choeur depuis huit heures jusque après la procession de la ville (2). Elle accepta ce premier offre, et avec beaucoup d'humilité et de douceur, me pria de lui prolonger ce temps, disant qu'elle y serait une partie de la nuit pour moi et l'autre pour nos bonnes amies, — c'était ainsi, qu'entre elle et moi, elle nommait les âmes du Purgatoire, — pour l'intérêt desquelles, et pour le mien encore, j'abandonnai la nuit à cette généreuse convalescente, qui ne manqua pas, à huit heures et demie, de prendre sa place au choeur, droit au-dessus du pupitre, et y demeura dès lors à genoux, les mains jointes, sans aucun appui, ni se remuer non plus qu'une statue, jusqu'au lendemain à l'heure de prime (3), qu'elle se mit en choeur avec les autres. Vous trouverez chez vous plusieurs témoins de cette vérité. Lorsqu'elle me rendit compte de sa disposition pendant tout ce temps, elle me dit que Notre Seigneur lui avait fait la grâce d'entrer en participation de son agonie dans le jardin des Olives, et qu'elle avait eu tant à souffrir, qu'à tout coup, il lui semblait que son âme s'allait séparer de son corps (4). »
Les âmes du Purgatoire ont occupé une place trop importante dans la vie de notre Sainte pour ne pas nous arrêter quelques instants sur un sujet si instructif.
Notre Seigneur — on le sait — avait comme livré Sa bénie servante à ces pauvres âmes, pour être leur Consolatrice et leur Victime.
On peut dire qu'elle en était habituellement environnée, ces grandes affligées s'adressant à elle en toute confiance, afin d'être secourues. Plusieurs des visions qu'elle en eut sont bien faites pour donner à réfléchir. Elle raconte entre autres celle-ci
Une fois, « comme j'étais devant le Saint Sacrement le jour de Sa Fête, tout d'un coup il se présenta devant moi une personne toute en feu, dont les ardeurs me pénétrèrent si fort, qu'il me semblait que je brûlais avec elle.
L'état pitoyable où elle me fit voir qu'elle était en Purgatoire me fit verser abondance de larmes.
Il me dit qu'il était ce religieux bénédictin, qui avait reçu ma confession une fois, qu'il m'avait ordonné de faire la sainte communion, en faveur de laquelle Dieu lui avait permis de s'adresser à moi, pour lui donner du soulagement dans ses peines, me demandant, pendant trois mois, tout ce que je pourrais faire et souffrir, ce que lui ayant promis, après en avoir demandé la permission à ma supérieure, il me dit que le sujet de ses grandes souffrances était qu'il avait préféré son propre intérêt à la Gloire de Dieu, par trop d'attache à sa réputation ; la seconde était le manquement de charité envers ses frères, et (160) la troisième le trop d'affection naturelle qu'il avait eu pour les créatures et le trop de témoignages qu'il leur en avait donné dans les entretiens spirituels, ce qui déplaisait beaucoup à Dieu (1). »
Les trois mois qui suivirent furent pour Marguerite-Marie trois mois du plus cuisant martyre. Il lui semblait vivre dans le feu. Mais ce martyre de flamme eut sa floraison de Grâces. Au bout de ce temps, comblé de joie et de gloire, le religieux délivré s'en alla jouir du bonheur éternel. Remerciant sa libératrice, il lui promit de la protéger devant Dieu.
Les prisons de la Divine Justice n'étaient pas des lieux fermés pour la confidente du Coeur de Jésus ; bien souvent, Notre Seigneur lui faisait voir ce qui s'y passait. Après la mort d'une Soeur du monastère, Soeur Jeanne-Françoise Deltufort de Sirot, elle fut comme terrifiée par l'apparition et les aveux de la défunte, dont l'agonie avait été effrayante.
Sans la Sainte Vierge, son âme eût été perdue. Le Démon croyait déjà la tenir entre ses griffes.
Révélant à la charitable Soeur Alacoque ce qu'elle endurait au Purgatoire, elle lui dit : « Bien que je souffre pour plusieurs choses, il y en a trois qui me font plus souffrir que tout le reste. La première est mon voeu d'obéissance, que j'ai si mal observé, que je n'obéissais qu'en ce qui me plaisait; et telles obéissances ne sont qu'à condamnation devant Dieu. La seconde est mon voeu de pauvreté, ne voulant pas que rien me manquât, donnant à mon corps plusieurs soulagements superflus... Ah!... que les religieuses qui veulent avoir plus que la vraie nécessité et qui ne sont pas parfaitement pauvres sont odieuses aux Yeux de Dieu! La troisième chose, c'est les manquements de charité et pour avoir causé de la désunion et en avoir eu avec les autres. Et pour cela les prières que l'on fait ici ne me sont pas appliquées, et le Sacré Coeur de Jésus-Christ me voit souffrir sans compassion, parce que je n'en avais point de ceux que je voyais souffrir (1). » Cette pauvre Soeur avait sans doute été une de celles qui persécutèrent la Servante de Dieu, et maintenant c'est à elle que cette âme infortunée s'adresse pour être soulagée !
La charité de Soeur Marguerite-Marie s'étendait à toutes ces malheureuses détenues de la Justice Suprême. « Je ne les nomme que mes amies souffrantes, » écrit-elle à la Mère de Saumaise (2).
Priant pour deux personnes qui avaient été en considération dans le monde, elle en vit une condamnée à un long Purgatoire. Toutes les prières et tous les suffrages offerts à Dieu pour son repos étaient appliqués aux âmes de quelques familles de ses sujets, qui avaient été ruinées par son défaut de charité et d'équité. Rien ne leur étant resté afin de faire prier Dieu pour leurs défunts, le Seigneur avait résolu d'y suppléer ainsi.
Un premier jour de l'an, la Sainte priait pour trois amies décédées, dont deux étaient religieuses et l'autre séculière. « Laquelle veux-tu que je délivre pour tes étrennes ? » lui dit Notre Seigneur (1). Elle, s'abaissant profondément, le pria de faire lui-même ce choix. Alors, il délivra l'âme de la personne séculière, déclarant qu'il avait moins de peine à voir souffrir des âmes religieuses, parce qu'il leur avait donné, pendant leur vie, plus de moyens de se purifier par l'observance de leurs règles.
Les connaissances surnaturelles de la Soeur Alacoque relativement aux âmes du purgatoire étaient si manifestes que des personnes du dehors venaient s'informer d'elle de l'état de leurs parents décédés.
Humblement, la Soeur répondait : « Est-ce que je sais ce qui se passe en Purgatoire ! »
Cependant, quelque temps après, elle disait aux uns : « Dieu a fait une grande grâce à un tel; il l'a mis dans Son Paradis et il n'a été qu'un tel temps dans le Purgatoire. Elle exhortait les autres à continuer leurs prières (2)... »
La femme du docteur Billet, étant décédée, apparut à la Servante de Dieu, lui demanda des prières et la chargea de faire savoir à son mari . deux choses secrètes, concernant la Justice et son salut. La Mère Greyfié répugnait à de tels messages et ne voulut rien transmettre de celui-ci. Peu après, nouvelle apparition de la défunte à la Soeur Alacoque et nouvelle résistance de la Supérieure.
Mais la nuit suivante, un bruit si horrible se fit entendre dans la cellule de cette dernière, qu'elle en pensa mourir d'effroi, et revenue à elle, s'empressa d'avertir le docteur.
Il semble que la Mère Greyfié n'eût plus rien à souhaiter pour être convaincue dé la Vérité de toutes les Grâces que recevait Soeur Marguerite-Marie. Mais non ! Placée de Dieu auprès d'elle, pour la passer au crible, si l'on peut ainsi dire, cette virile supérieure va, une fois encore, exiger preuve sur preuve ; et parce que, dans tout ceci, elle n'est que l'instrument dont l'Esprit-Saint se sert, pour révéler à tous quelle âme est celle qu'il travaille de la sorte, la Mère Greyfié obtiendra tout ce qu'elle demandera, malgré ce qui semble téméraire dans sa conduite. Voici le fait.
Les infirmités de notre Sainte furent telles, durant toute l'année 1682, qu'elles ne lui laissaient pas quatre jours de suite sans l'arrêter. Le 21 décembre, jour de Saint-Thomas, elle était si faible qu'on. aurait pu croire à une mort prochaine. La Mère Greyfié vient trouver la malade à l'infirmerie et lui remet un billet, lui disant de faire ce qu'il contenait. Notre Seigneur avait été le premier à le lui annoncer. Soeur Marguerite-Marie ouvre cependant le papier et lit ce qui suit
« Je vous commande, en vertu de sainte obéissance, que vous demandiez à Dieu qu'il me fasse connaître si ce qui se passe et s'est passé en vous depuis que je suis chargée de votre conduite, est de Son Esprit et de Son Mouvement ou de celui de la nature, et que, pour Signe que le Tout est de Dieu, (164) il suspende vos maux corporels, pendant l'espace de cinq mois seulement, sans que vous ayez, pendant ce temps-là, besoin de remèdes ni de quitter le train ordinaire de la Règle. Mais que, si ce n'est pas Dieu, mais la nature qui agit en votre intérieur et extérieur, il vous laisse, selon votre coutume, tantôt d'une manière, tantôt de l'autre. Ainsi, nous resterons sûres de la Vérité. (1) »
Rapportant la chose, Soeur, Marguerite-Marie ajoute : « L'on me fit donc sortir de l'infirmerie, avec des paroles telles que Notre-Seigneur les inspirait, pour les rendre plus sensibles et mortifiantes à la nature. Je présentai donc ce billet à mon Souverain, lequel n'ignorait pas ce qu'il contenait et il me répondit : — Je te promets, ma fille, que pour Preuve du Bon Esprit qui te conduit, je lui aurais bien accordé autant d'années de santé qu'elle m'a demandé [de mois] et même toutes les autres assurances qu'elle m'aurait voulu demander.
— Et, droit à l'élévation du Saint Sacrement, je sentis, mais très sensiblement que toutes mes infirmités m'étaient ôtées, à la façon d'une robe que l'on m'aurait dévêtue et laquelle serait demeurée suspendue. Et je me trouvai dans les mêmes force et santé d'une personne très robuste, laquelle depuis longtemps n'aurait été malade, et passai ainsi le temps que l'on avait souhaité, après lequel je fus remise dans les dispositions précédentes (2). »
Le 21 mai 1683, les cinq mois étaient révolu: La Mère Greyfié eut lieu d'être satisfaite, puisque tout se passa selon le programme qu'elle avait elle-même dressé. Elle redemanda son billet à Soeur Marguerite-Marie et y traça les lignes sui vantes : «Ce vingt-cinquième mai, j'avoue que j'a remarqué en vous une santé telle que je vous avais recommandé de la demander à Dieu et que, par ce Signe manifeste, je dois être persuadée que la Bonté et Miséricorde incompréhensible du Coeur sacré de Jésus est l'autrice de ce qui s'est passé et si passe en votre âme jusqu'à présent. Je le veux ainsi croire ; mais je vous commande de nouveau de prier Dieu le Père, par Notre-Seigneur Jésus Christ, que pour l'amour de lui et encore pour m'affranchir de tous doutes, il vous continue la santé jusqu'à l'année complète de cette obéissance première. Passé cela, je vous abandonne à tout ce qu'il voudra faire de votre corps ; mais j'ai besoin, de ce temps pour mon entière assurance (1). »
L'année 1683 fut donc une année de santé pour la Servante de Dieu. Mais, la priva-t-il pour cela du bienfait sans égal de la souffrance ? Oh! non ! Et puisqu'elle était alors plus spécialement donnée aux âmes du Purgatoire, la douleur, comme un feu intelligent, semblait réduire en cendres les parties les plus délicates de son être moral. Un tel travail intérieur ne se supporte pas sans d'indicibles peines. Cependant, son âme goûta aussi de Célestes Consolations, par la vue du bonheur éternel réservé à certaines privilégiées, au sortir du Purgatoire.
Le 5 février 1683, la Mère Philiberte-Emmanuel de Monthoux, supérieure du premier monastère d'Annecy, mourait saintement. Toutefois, elle avait encore à se purifier avant de paraître devant Dieu. Notre-Seigneur montra à Soeur Marguerite-Marie que les prières et les bonnes oeuvres, offertes pour cette vénérée Mère dans tout l'Ordre de la Visitation, lui apportaient de grands soulagements. Le jeudi suivant, 15 avril, il lui sembla voir cette âme sous le Calice qui renfermait l'hostie consacrée, et y recevant l'application des mérites de la nuit d'agonie du Sauveur. Le jour de Pâques, elle la revit, bien près d'être entièrement libérée. Enfin, le 2 mai, dimanche du Bon-Pasteur, elle la contempla allant comme se noyer et s'abîmer dans la gloire, avec une autre défunte, qui était du monastère de Paray, Soeur Jeanne-Catherine Gâcon, décédée le 18 janvier précédent. Montant au ciel, cette chère Soeur répétait :
« L'amour triomphe, l'amour jouit; l'amour en Dieu se réjouit ! »
La Mère Anne-Séraphine Boulier, étant morte au monastère de Dijon le 7 septembre 1683, notre Sainte ne put s'en attrister, « la croyant jouissante de son souverain Bien (1). » Elle eut, en effet, connaissance de la récompense éternelle de cette âme, et, un peu plus tard, elle écrivit encore à son sujet : « Je la crois bien haute dans la gloire et dans le Rang de ces Séraphins, destinés à rendre un perpétuel hommage au Sacré Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ (1). »
Au mois d'avril 1684, la jeune Antoinette-Rosalie de Sennecé, élevée au monastère de Paray comme Soeur du petit habit, tomba dans un accident d'apoplexie et un sommeil léthargique qui mirent hors d'espoir de lui pouvoir administrer les derniers sacrements.
Toute la Communauté, qui chérissait cette aimable enfant, était dans la consternation. La Mère Greyfié, pour obtenir la grâce que la petite malade recouvrât l'usage de la raison, commanda à la Soeur Alacoque de promettre à Notre-Seigneur ce qu'il lui montrerait désirer. Elle n'eut pas plus tôt accompli cette obéissance que le Souverain de son âme l'assura qu'il accorderait la faveur sollicitée, « pourvu que je lui promisse trois choses, lesquelles il voulait absolument de moi, » dit-elle.
« La première, de ne jamais refuser d'emploi dans la religion;
la seconde, de ne point refuser d'aller au parloir, ni d'écrire, qui était la troisième.
A cette demande, je confesse que tout mon être frémit, pour grande répugnance et aversion que j'y sentais,
Et je répondis : — O mon Seigneur! vous me prenez bien par mon faible, mais je demanderai permission, — laquelle ma supérieure me donna d'abord, quelque peine que je lui en pusse faire paraître, et il m'en fit faire une promesse en forme de voeu, pour ne m'en pouvoir plus dédire; mais, hélas ! combien d'infidélités n'y ai-je pas commises, car il ne m'ôta pas pour cela la peine que j'y sentais, qui a duré toute ma vie, mais la Soeur reçut ses sacrements (1). »
Il faut noter cependant, que parfois, cette répugnance de Soeur Marguerite-Marie pour le parloir avait ses exceptions.
La Mère Greyfié nous en donnera un exemple : « Le Révérend Père dé la Pérouse étant venu à Paray, désira de lui parler et la voir, sur l'estime que le Révérend Père de la Colombière lui avait témoigné faire de cette chère défunte ; et l'ayant entretenue, il me fit l'honneur de me voir quelques jours après, pour me remercier de lui avoir donné cette consolation, m'assurant que, sans qu'il eût rien dit à cette vertueuse défunte de ses dispositions; elle lui avait parlé comme si elle avait lu dans son intérieur.
Je voulus savoir d'elle si elle avait été bien mortifiée, comme à son ordinaire, lorsque je l'avais fait appeler pour le parloir, pour aller près de lui. Elle me répondit d'un air dégagé et gai que non, parce que Notre-Seigneur lui avait fait connaître que ce religieux était très aimé de Son Divin Coeur.
Elle me dit, dans une autre occasion, chose à peu près semblable du Révérend Père Rolin (2). »
Ce qui lui en était (171) une bien plus grande encore, c'était de se voir privée de ce pain délicieux de la correction, dont la Mère Greyfié lui avait été extraordinairement libérale. Tout cela réuni lui devient une peine si étrange, qu'elle ne peut s'empêcher de la verser dans le coeur de son ancienne Mère, et elle lui écrit, avec le plus filial abandon : « Il me semblait que je vivais en assurance sous votre conduite, parce qu'elle me faisait toujours marcher à rebours de mes inclinations naturelles, et c'est ce qui faisait plaisir à cet Esprit duquel je crois être conduite, qui me voudrait toujours voir abîmée dans toutes sortes d'humiliations, souffrances et contradictions ; autrement il ne me donne point de repos. La nature n'y trouve pas son compte, à tout cela; mais cet Esprit qui gouverne le mien ne peut souffrir que j'aie aucun plaisir que celui de n'en avoir point. (1) »
Le Souverain Maître l'y prépara directement, puis il se communiqua à elle, avec une toute Divine Surabondance. Quelques mots suffiront à le prouver.
« Le premier jour, il me présenta Son Sacré Coeur comme une ardente fournaise, où je me sentis jetée et d'abord pénétrée et embrasée de ses vives ardeurs, qu'il me semblait m'aller réduire en cendres.
Ces paroles me furent dites : — Voici le divin purgatoire de mon amour, où il te faut purifier le temps de cette vie purgative ; puis je t'y ferai trouver un Séjour de Lumière, et ensuite d'Union et de Transformation. »
Les jours se succèdent et le Sauveur semble oublier toutes les distances qui séparent le Créateur de la créature.
La Sainte s'en exprime ainsi : « J'ai été mise en un Séjour de gloire et de Lumière où moi, chétif néant, ai été comblée de tant de Faveurs, qu'une heure de cette jouissance est suffisante pour récompenser les tourments de tous les martyrs. » Alors, écrivant encore sous le souffle de l'Esprit-Saint, elle a un passage admirable : « Il épousa mon âme en l'excès de Sa Charité, mais d'une manière et Union inexplicables, changeant mon coeur en une flamme de feu dévorant de Son pur Amour, afin qu'il consume tous les amours terrestres qui s'en approcheraient, me faisant entendre que, m'ayant toute destinée à rendre un continuel hommage à son état d'hostie et de victime au très saint Sacrement, je devais, en ces mêmes qualités, lui immoler continuellement mon être par amour d'adoration, d'anéantissement et de conformité à la « vie de mort qu'il a dans la sainte Eucharistie (1). »
C'est son Jésus caché sous l'adorable hostie qu'elle prend pour Modèle dans toutes ses actions et principalement dans la pratique des trois voeux de religion. « Comme j'allais à la sainte communion, il me fit entendre qu'il venait lui-même imprimer dans mon coeur la sainte vie qu'il mène en l'Eucharistie, vie toute cachée et anéantie aux yeux des hommes, vie de mort, de sacrifice, et qu'il me donnerait la force de faire ce qu'il désirait de moi (2). »
On sent que son âme entre dans une phase nouvelle de vie immolée intense.
Peut-être fut-ce pendant cette même retraite que la sainte Vierge lui apparut, tenant son doux Enfant Jésus. Elle le lui remit entre les bras, disant : « Voilà Celui qui vient t'apprendre ce qu'il faut que tu fasses. » Pressée d'un désir extrême de caresser le divin Enfant, « il me laissa faire tant que je voulus, » écrit-elle naïvement; « et m'étant lassée à n'en pouvoir plus, il me dit : — Es-tu contente maintenant ? Que ceci te serve pour toujours ; car je veux que tu sois abandonnée à Ma Puissance, comme tu as vu que j'ai fait. Soit que je te caresse ou que je te tourmente, tu ne dois avoir de mouvements que ceux que Je te donnerai (1). »
Sur la fin de l'année 1684, la maîtresse des novices tomba dangereusement malade. Il fallait songer à la remplacer. La Mère Melin n'eut, sans doute, pas beaucoup à réfléchir pour fixer son choix sur la Servante de Dieu. En voici une des raisons. Dans sa déposition au Procès de 1715, la Soeur Péronne-Rosalie de Farges nous apprend qu'elle était charmée d'entendre la, Soeur Alacoque parler de Dieu et de l'estime qu'on doit avoir de l'obéissance. Et: elle ajoute : « C'est cette haute idée que la déposante et d'autres, ses compagnes, avaient pour la vénérable Soeur, qui les obligea à supplier la supérieure de la leur donner pour être leur maîtresse, afin que, par son exemple, elles pussent apprendre à avancer dans la perfection dans l'état qu'elles embrassaient (1). »
Il y avait donc maintenant dans la Communauté un courant de vénération qui se portait vers la Soeur Alacoque et ce courant commençait à entraîner irrésistiblement les âmes à elle, ou plutôt par elle, au Coeur de Jésus. Tout n'était pas fait ; il avait fallu du temps, et il en faudrait encore.... mais qu'importe le temps à Celui qui dispose de l'éternité, et qui, malgré les apparences contraires, sait tout conduire à Ses fins !
Le 31 décembre 1684, Soeur Marguerite-Marie devint donc la maîtresse des novices du monastère de Paray-le-Monial.
Dans toute Communauté religieuse, un noviciat est un petit cénacle — mieux encore — un laboratoire sacré, où les âmes doivent se laisser façonner, se dépouillant d'abord du vieil homme pour se revêtir du nouveau. La loi de la transformation est la loi quotidienne des novices ; mais celles qui les dirigent doivent ne jamais perdre de vue que c'est là une oeuvre progressive, qui s'ébauche aux jours du noviciat, pour aller se perfectionnant jusqu'à la profession éternelle. Il faut donc de l'expérience, de la prudence, de la discrétion, une intelligence pratique de la Règle, il faut de la charité, de la bonté pour enfanter ainsi les âmes à Notre-Seigneur. Saint François de Sales dit dans ses Constitutions que la directrice doit être : « la douceur, sagesse et dévotion même. » Toutes ces qualités, la Soeur Alacoque les possédait, et de plus, dans sa personne, elles avaient pour couronnement une sainteté extraordinaire. Aussi, cette humble religieuse fut-elle une parfaite directrice. Il n'en pouvait être autrement, puisqu'elle avait pris pour base de son action sur les âmes de ne leur donner que ce qu'elle recevrait elle-même du (176) Coeur de Jésus. Et, de fait, pendant tout le temps qu'elle fut directrice, on peut dire qu'il n'y eut pas d'autre Maître des novices au monastère de Paray que le Sacré Coeur.
Et à une autre : « Voyez, mon enfant, si vous vous amusez à disputer ainsi avec la grâce, en ne lui donnant pas ce qu'elle vous demande, elle se lassera de vous, et vous abandonnera à vous-même. Eh quoi ! est-ce si grand'chose que l'amitié d'une créature, que vous aimiez mieux perdre les bonnes grâces du Sacré Coeur de Notre-Seigneur, que de rompre l'attache d'une inclination naturelle ? (2) » qui corroborait tous ses enseignements avec une invincible force, c'était son exemple. Quelle édification de la voir si douce envers la souffrance !
Au commencement du carême de 1685, elle fut atteinte d'un douloureux mal à un doigt. Il fallut le « fendre avec le rasoir jusqu'à l'os, » écrit-elle à la Mère de Saumaise, « mais le Seigneur soit béni ! (2) »
Bientôt, elle allait avoir sujet de redire cette même exclamation, mais dans une tout autre circonstance, incomparablement consolante, cette fois.
La bouche parle de l'abondance du coeur. Soeur Marguerite-Marie entretenait souvent ses novices du Coeur Sacré de Jésus ; c'était avec de tels accents, que ces jeunes âmes en demeuraient comme toutes ravies.
Le terrain était prêt : le Grain béni de la Dévotion au Sacré Coeur pouvait germer.
Depuis le premier vendredi après l'octave du Saint-Sacrement, auquel on s'était préparé par un défi, que l'on pourrait appeler la journée passée dans le Coeur de Jésus, résidant au Saint Sacrement, la sainte maîtresse avait attaché à l'autel du noviciat un « crayon fait avec de l'encre, » et représentant le Cœur adorable de Jésus.
Le jour de Sainte-Marguerite approchant et tombant un vendredi, Soeur Alacoque invita ses novices à dédier au Coeur sacré de Jésus tous les petits honneurs qu'elles avaient dessein de lui rendre à elle-même, à l'occasion de sa fête — pensée qu'elles accueillirent toutes avec joie.
Quelques fragments d'une feuille manuscrite, contemporaine de l'événement, doivent être cités. Rien ne vaut la charmante naïveté de tels récits. « Nous nous levâmes à minuit et fîmes un autel où nous attachâmes ce crayon, avec tous les ornements que nous avions à notre disposition, ayant été faire le réfectoire pour avoir l'après-prime libre. Mais comme nous ne le fîmes pas avec assez de tranquillité, nous nous attirâmes la correction de notre Mère Melin, que l'on obligea de nous venir trouver à la demi-heure du réveil, à qui nous dîmes nos raisons, dont elle demeura contente.
Après prime, notre bonne maîtresse étant venue à l'ordinaire au noviciat, elle nous lut une Consécration qu'elle avait composée à l'honneur de ce Divin Coeur,
et parut fort contente de notre autel, et nous invita à écrire chacune notre consécration, et qu'elle y ajouterait un mot de sa main, selon nos dispositions. Nous ne manquâmes pas à suivre ces ordres, » ajoute la narratrice, qui était certainement une des novices d'alors (1).
Nous sommes à une aurore. Il ne faut pas s'étonner que tout soit si candide et si simple.
Toute cette journée se passa ainsi en louanges et bénédictions données au Coeur très humble et très doux de Jésus.
En voyant Soeur Marguerite-Marie au milieu de ses enfants, on eût dit un Séraphin.
Les âmes du Purgatoire ne furent pas oubliées; et, selon une dévotion chère à notre Sainte, elle mena ses novices au lieu de la sépulture, leur faisant réciter quantité de prières pour les bien-aimées défuntes.
Le soir, elle dit à son petit troupeau : « Vous ne pouviez, mes chères Soeurs, me faire un plaisir plus sensible que d'avoir rendu vos hommages à ce Divin Coeur, en vous consacrant toutes à lui. Que vous êtes heureuses de ce qu'il s'est bien voulu servir de vous pour donner commencement à cette Dévotion!
Il faut continuer de prier afin qu'il règne dans tous les coeurs. Ah ! quelle joie pour moi que le Coeur adorable de mon Divin Maître soit connu, aimé et glorifié!
Oui, mes chères Soeurs, c'est la plus grande consolation que je puisse avoir en ma vie, rien n'étant capable de me faire plus de plaisir que de le voir régner. Aimons-le donc !
Mais aimons-le sans réserve, sans exception : « Donnons tout et sacrifions tout pour avoir ce bonheur, et nous aurons tout en possédant le Divin Coeur de Jésus, qui veut être toutes choses au coeur qui l'aime, mais ce ne sera qu'en souffrant pour lui (1). »
Cependant, ce qui s'était passé au noviciat avait fait du bruit dans la Communauté, parmi laquelle un orage nouveau éclata.
Cette fois, c'était au nom même de la Règle qu'il s'élevait. Allait-on supporter, dans un monastère qui tenait, avant tout, à l'observance, allait-on tolérer une innovation semblable ? Quel point d'interrogation! et que de fois dut-il retentir aux oreilles de la Mère Melin, dans les jours qui suivirent celui de la Sainte-Marguerite 1685 !
Il s'agissait de pacifier les esprits. La Mère Marie-Christine s'y essaya, commençant par défendre à la directrice tout ce qui paraissait aux yeux de la Communauté, lui permettant seulement de continuer ses petites dévotions au noviciat..... Se soumettre, n'était pas difficile à Marguerite-Marie, mais « je ne craignais rien tant, » dit-elle, « sinon que ce Divin Coeur n'en fût déshonoré ; car, tout ce que j'en entendais dire m'était autant de glaives qui me transperçaient le coeur. »
Dans son affliction, à qui s'adresser, sinon à lui-même ? Aussi, soutenait-il son courage abattu, lui disant sans cesse : « Ne crains rien, je régnerai malgré Mes ennemis et tous ceux qui s'y voudront opposer! - Ce qui me consola beaucoup, puisque je ne désirais que de le voir régner.
Je lui remis donc le soin de défendre Sa Cause et cependant que je souffrirais en silence (1). »
La Mère Melin avait cru, en outre, devoir retirer à la Servante de Dieu la communion de premiers vendredis du mois, qu'elle faisait par Ordre de son divin Maître. Il s'en montra mécontent et le prouva bientôt. Soeur Françoise-Rosalie Verchète tomba si dangereusement malade, qu'en peu de jours on désespéra de sa vie. Comme la maîtresse priait pour la guérison de sa novice, Notre-Seigneur lui fit connaître que cette Soeur souffrirait jusqu'à ce qu'on lui eût rendu à elle-même la communion des premiers vendredis.
On devine la perplexité qui s'empare de nouveau de cette âme. Que faire ? Que dire ? Elle ne pouvait aller contre la volonté de sa supérieure. Elle ne pouvait pas davantage se dérober aux sollicitations Notre-Seigneur, qui la chargeait de faire savoir à la Mère Melin combien elle lui avait déplu. Se sentant incapable de décider le parti qu'il convenait de prendre, la Soeur Alacoque demande humblement conseil. A qui ? A celle-là même qu'elle savait bien lui être opposée, quant à la nouvelle Dévotion, mais qui lui était connue pour sa droiture de jugement et sa parfaite discrétion, Soeur Marie-Madeleine des Escures.
Le billet débutait par ces mots : « C'est dans le Sacré Coeur de Notre-Seigneur que je vous écris ceci, ma chère Soeur, puisqu'il le veut ainsi. » Ensuite venait l'exposé de toute la situation et le message de Notre-Seigneur pour la Mère Melin : « Dis à ta supérieure qu'elle m'a fait un si grand déplaisir de ce que, pour plaire à la créature, elle n'a point eu de crainte de me fâcher, en te retranchant la communion que je t'avais ordonné de faire tous les premiers vendredis de chaque mois..... » La sainte directrice terminait en suppliant Soeur Marie-Madeleine de l'éclairer : « Demandez-lui qu'il vous fasse connaître la vérité, et ce qu'il veut que vous me répondiez; après quoi je tâcherai de n'y plus penser (1). »
La réponse de la Soeur des Escures fut tout ce qu'il y a de plus clair : Soeur Marguerite-Marie devait s'expliquer de tout à la supérieure, malgré la répugnance bien légitime qu'elle avait à manifester de telles choses.
La Mère Melin n'hésita pas à rendre la communion à la maîtresse, pourvu qu'elle demandât la guérison de la malade qui, subitement, parut hors de danger.
Cependant, par un malentendu qui serait inexplicable, s'il n'eût été permis pour établir mieux encore la vérité des communications surnaturelles de la Soeur Alacoque, ou la supérieure oublia de lui donner une permission générale précise, ou l'humble Soeur pensa qu'il lui en fallait une seconde, qu'elle n'osa pas demander... Toujours est-i1 qu'elle ne se crut pas en droit d'appliquer la première permission aux premiers vendredis qui suivirent. Et en attendant, la Soeur Verchère demeurait toute languissante, et Notre-Seigneur disait nettement à Soeur Marguerite-Marie que la pauvre enfant ne guérirait pas, qu'elle-même n'eût positivement repris la communion qu'il lui avait prescrite. Cela dura cinq ou six mois. Enfin la chère Sainte, malgré sa confusion, alla tout avouer, de nouveau, à la Mère Melin, qui lui accorda très volontiers la communion de tous les premiers vendredis du mois. Aussitôt, la jeune malade fut parfaitement rétablie.
Toutes ces choses ne purent manquer de transpirer au dehors. La vénération des novices pour leur maîtresse allait croissant tous les jours, surtout depuis qu'un événement fortuit avait publiquement révélé l'éminente sainteté de cette Amie du Seigneur. Il avait bien fallu que la Providence s'en mêlât, et personne n'eût soupçonné au monastère comment cette intervention allait se produire.
Depuis peu, la Retraite spirituelle du Révérend Père de la Colombière avait été imprimée (1). Il dut y avoir fête dans bien des âmes de la Visitation de Paray, lorsqu'on commença à lire au réfectoire ces pages pénétrantes.
Qui donc aurait pu penser, qu'en un sens, il y aurait eu à se méfier de ce livre ?
Grâces à Dieu, on ne s'en méfia nullement et les religieuses en écoutèrent la lecture avec une édification profonde.
Mais voici que, tout d'un coup, il n'y a plus à s'y méprendre : tout ce que le Père rapporte d'une personne à laquelle Dieu, « se communique fort confidemment, » la vision admirable dont elle est honorée devant le saint Sacrement « un jour de son octave, » les demandes précises que le Coeur sacré de Jésus fait à cette âme, et qu'elle transmet au Père lui-même, les prédictions qu'elle lui fait et qui se réalisent......... tout cela, c'est quelque chose de divin qui s'est passé dans l'église même du couvent et dans le monastère ; cette personne, cette âme, c'est Soeur Marguerite-Marie Alacoque. Elle n'est donc pas une tête malade ou une illuminée ! Le Père de la Colombière, ce grand directeur, a eu le secret de tout, et il a reconnu la vérité de tout.
Il ressuscite, pour ainsi dire, dans son livre, pour en assurer péremptoirement toutes les religieuses. Quelle révélation inattendue !
Au réfectoire, la Règle prescrit de baisser les yeux. Mais un mouvement plus fort qu'elle, porte la Soeur de Farges à regarder Soeur Marguerite-Marie. Son air de profond anéantissement la frappe et achève de lui tout confirmer. Arrivée en récréation, au sortir du réfectoire, elle l'aborde et lui dit, sans autre préambule : « Ma chère Soeur, vous avez bien eu votre compte aujourd'hui à la lecture, (189) et le Révérend Père de la Colombière ne pouvait pas mieux vous désigner. — A quoi elle lui répondit qu'elle avait bien lieu d'aimer son abjection (1). »
Le démon qui avait entrepris de nuire partout à cette grande élue de Dieu, n'oublia rien pour la faire sortir du noviciat (2). Mais le jour de Noël 1685, Notre-Seigneur lui montra qu'il la voulait maintenir en sa charge de directrice, lui faisant voir ses novices comme de petits agneaux, et lui disant, ainsi qu'à saint Pierre :
« Paissez Mes agneaux. »
Elle comprit par là qu'il la destinait à les conduire encore l'année suivante, pour les affermir davantage dans la Dévotion au Sacré Coeur. Elle s'y soumit.
Les novices se portaient avec une ardeur toujours plus grande vers ce Coeur adorable.
Dans la Communauté, quelques âmes les enviaient tout bas et succombaient parfois à la douce tentation d'aller s'associer à leur bonheur. C'est, du moins, ce que donnent à entendre les Contemporaines, lorsqu'elles avouent ingénument que la Sainte ne pouvait parler d'autre chose que de cette Dévotion parmi les novices, et « avec quelques autres, qui venaient en secret, comme le disciple du Seigneur (3), » pour profiter des célestes entretiens de la Soeur Alacoque. « Elles s'unissaient ensemble pour demander à Dieu l'établissement de la Dévotion de Son Sacré Coeur (4). » Ce mot est suggestif.
La Communauté de Semur, grâce à l'impulsion donnée par la Mère Greyfié d'abord, puis par la lecture de la Retraite du Père de la Colombière, était toute gagnée à ce Coeur divin.
On en avait fait faire un tableau, et, au commencement de janvier 1686, la Mère Péronne-Rosalie en avait envoyé le dessin en miniature à sa chère ancienne fille, avec une douzaine de petites images « pour en faire les étrennes » aux novices et à celles qui se joignaient à elles.
La supérieure de Semur les nomme toutes. Il y en avait une pour « ma Soeur de Champrond, votre prétendante. » Cette jeune fille devait, dans les Desseins de Dieu, être la cause et l'occasion d'une formidable persécution, qui vint bientôt assaillir la sainte maîtresse. Mlle de Champrond était entrée au noviciat « parce que messieurs ses parents souhaitaient qu'elle s'engageât céans (1). » L'Appel n'était donc pas d'en haut, et la directrice ne fut pas longtemps à s'apercevoir que la postulante n'avait aucune vocation pour embrasser la Règle de la Visitation. Elle n'en déploya que mieux toutes les ressources de sa bonté envers cette jeune âme. Néanmoins, sa conscience lui interdit de laisser admettre au monastère un sujet que Dieu n'y veut pas. Elle n'omet rien pour porter la postulante à se déclarer à ses parents; mais Mlle de Champrond, connaissant leurs intentions, n'ose s'ouvrir à eux. Les choses ne peuvent pourtant durer ainsi.
La Mère Melin, obligée d'agiter la question avec son Conseil, se heurte à de terribles obstacles. Cette « demoiselle de qualité, » alliée à tout ce qu'il y a de grand dans la province et dans la Communauté, chacune soupçonne que c'est la Soeur Alacoque qui veut la faire renvoyer, et on se met peu en peine d'examiner le motif tout surnaturel qui fait agir l'humble maîtresse. Alors, c'est un nouveau déchaînement contre elle. La tempête franchit les grilles. Au dehors, la rumeur s'envenime d'autant plus, que les grands du monde ne sont pas seuls à blâmer la directrice. Dieu permet que deux religieux de haute réputation se fassent comme un devoir de la censurer ouvertement. Un surtout n'oublia rien pour la décrier. On ne parlait plus d'elle dans les compagnies que comme d'une hypocrite, une visionnaire entêtée, une personne d'une vertu pleine de grimaces et d'illusions (1). On la menaça de la prison, et de là faire comparaître « devant un prince de la terre, comme un jouet de moquerie (2). » Faut-il l'avouer ? parfois, quelques-uns de ces mêmes propos circulaient en récréation et revenaient aux oreilles de Soeur Marguerite-Marie. Mais c'était alors comme un soulagement pour son âme de se voir ainsi avilie aux yeux de toutes, elle qui, si sincèrement, se nommait « un néant criminel (3). »
Au plus fort d'une telle persécution, elle resta toujours la même, ou plutôt, d'heure en heure, elle grandissait encore dans son amour de la croix, et son Union à Jésus-Christ rassasié d'opprobres.
Cependant, la Providence arrange tout. La fameuse postulante sans vocation avait alors au monastère deux soeurs, élevées au petit habit. Anne, qui devint Soeur Marie-Joseph, comprenant la délicate situation, prit sur elle de demander la sortie de sa soeur à ses parents, s'exposant ainsi a à mille petits chagrins pour faire plaisir à la Communauté (1) ». Cette sortie eut, en effet, tant d'éclat au dehors et causa de telles misères au dedans, que la Mère Melin, fort embarrassée au milieu de tout ce conflit, inclina du côté où elle savait ne rencontrer aucune résistance. En conséquence, elle imposa une pénitence à la maîtresse, avec ordre de demander pardon à Mlle de Champrond, « pour contenter et adoucir la peine que les parents témoignaient avoir de la sortie de ladite demoiselle (2). »
Se mettant à genoux à ses pieds, la Servante de Dieu accomplit cette action aussi humblement que simplement. Le Seigneur se souciait fort peu, sans doute, de contenter les hautaines exigences de ces puissants du siècle qui se croyaient offensés, mais il se souciait beaucoup d'ajouter un fleuron exquis à la couronne d'humilité de notre Sainte (1).
La persécution ne fut pas éteinte par le fait même du départ de la postulante. Longtemps encore après, la directrice continue à être le sujet de si noires calomnies que ses novices s'en indignent. Pour arrêter ce torrent qui menace de déborder, elle saura bien rompre le silence qu'elle a si héroïquement gardé. Elle parle, ou plutôt elle écrit, et, à l'approche de la fête de l'Invention de la Sainte-Croix 1686, elle trace des lignes, qui resteront à jamais comme un monument de la vertu de cette amante passionnée des mépris
« Vive + Jésus!
« Mes très chères et bien-aimées Soeurs dans le Sacré Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
« Je ne vous peux exprimer la douleur que je sens du mauvais usage que nous faisons d'une si précieuse occasion, pour lui donner des preuves de notre amour et fidélité. C'est lui-même qui a permis l'invention de cette croix pour nous préparer à sa fête, et au lieu de l'embrasser amoureusement, nous ne cherchons qu'à la secouer et nous en défaire. Et, n'en pouvant venir à bout, nous y commettons mille offenses, qui remplissent ce divin Coeur de douleur et d'amertume contre nous. D'où vient cela ? sinon du trop d'amour que nous avons pour nous-mêmes, qui nous fait craindre de perdre notre réputation et la bonne estime que nous désirons que les créatures aient de nous......... Mais, croyez moi, mes chères Soeurs, les âmes humbles sont bien éloignées de ces pensées, se croyant toujours plus coupables qu'on ne les fait paraître en les accusant. » Ici, la sainte maîtresse insiste sur la nécessité de profiter des occasions d'humiliations et contradictions, et elle prescrit à ses enfants des pratiques de pénitence, avec défense formelle de parler entre elles de toute cette affaire.
Si ses novices ne sont pas fidèles à ce qu'elle leur recommande au Nom du Sacré Coeur, « je le prierai moi-même de s'en venger, » leur dit-elle... « Si je ne vous aimais pas autant que je le fais, je ne sentirais pas tant de douleur de vos fautes, qui blessent si sensiblement ce Sacré Coeur. C'est ce qui me désole, ayant si à coeur votre perfection, qu'il n'y a rien que je ne voulusse faire et souffrir, ôté le péché, pour votre avancement au Saint amour.
« A Dieu, mais tout à Dieu, mes bons enfants, portez la croix joyeusement et courageusement, (195) car autrement, vous en rendrez compte très rigoureusement (1). »
Cependant, à cette heure d'angoisse et de souffrance, Soeur Marguerite-Marie avait besoin qu'une parole autorisée la rassurât, d'autant que l'Ennemi avait alors beau jeu pour chercher à lui persuader qu'elle était trompée et trompait les autres.
Depuis quelque temps, Dieu avait placé auprès d'elle, comme directeur, un religieux auquel on devra une éternelle reconnaissance, pour avoir ordonné à cette âme privilégiée d'écrire le détail des Grâces extraordinaires qu'elle avait reçues de Notre-Seigneur. Sans le Père Ignace Rolin, jésuite, nous ne posséderions pas l'Autobiographie de la vierge de Paray (2).
S'il faut en croire les Contemporaines, ce Révérend Père aurait été d'abord fort prévenu contre la Servante de Dieu; mais il changea bien de sentiment dès la première fois qu'il la vit, et à la seconde, il comprit que c'était une âme particulièrement favorisée de Notre-Seigneur, lequel voulait se servir de lui pour la faire arriver à la Perfection du Divin Amour. Après qu'il eut entendu la confession générale de toute sa vie, qu'elle lui fit en l'une de ses retraites, il fut longtemps à délibérer s'il ne lui ordonnerait point de l'écrire et de la conserver, dans l'espérance, disait-il, qu'on pourrait un jour, après la mort de Soeur Marguerite-Marie, connaître l'extrême pureté de cette fidèle épouse de Jésus-Christ, et juger jusqu'où peut aller l'innocence, la délicatesse et la sublime sainteté d'une âme que Dieu a gouvernée et honorée de Ses plus grandes Grâces dès le berceau (1).
A en juger par les conseils que lé Père Rolin donne à la maîtresse des novices de Paray, il est aisé de voir qu'il n'allait chercher qu'en Dieu les lumières dont il avait besoin pour la conduire. Quelle force et quelle sagesse dans les lignes suivantes, lorsqu'on les rapproche de tout ce que nous venons de dire :
« Ma très chère Soeur en Notre-Seigneur, « ...Peut-être que je ne vous donnerai aucune raison, des réponses que je ferai à vos propositions. Je ne le juge pas à propos et je pense que vous aurez assez de soumission pour vous bien soumettre à tout ce que je crois que Dieu me va faire écrire.....
L'Esprit qui vous conduit n'est point un Esprit de Ténèbres. Sa conduite est bonne, puisqu'elle est soumise toujours à l'obéissance et qu'il vous laisse en repos quand votre supérieure a parlé.... Voici mes pensées devant Notre-Seigneur. Ce ne sont point les démons qui sont déchaînés contre vous. Ces Esprits de Ténèbres n'ont point de part à toutes vos persécutions. C'est l'Amour Divin qui fait agir; et, ce qui me console, il se sert des âmes qui lui sont les plus chères pour vous faire souffrir.
Les martyrs n'avaient pas cette consolation dans leurs tourments. Leurs tyrans commettaient de grands crimes en les affligeant, mais les âmes saintes qui vous procurent des croix plaisent à Dieu, dans le petit martyre qu'elles vous font souffrir. Cette pensée vous doit bien consoler. J'agrée que vous attribuiez à vos fautes tout ce qui arrive, quoique toutes ces choses soient plutôt un effet de la Bonté de Dieu que de Sa Justice... Tous ces noms qu'on vous donne, qui sont si humiliants, ne doivent faire sortir de votre bouche que des remerciements à Notre-Seigneur et des prières pour ceux qui les profèrent. Ne vous repentez de rien de ce que vous avez dit Une cause qui produit de si bonnes croix ne saurait être mauvaise... Laissez faire toutes les plaintes que l'on voudra. Ne craignez pas pour moi. Le saint Père La Colombière est mon garant..... Quand tout ce qu'on dit contre vous se dirait à tout le monde, ce ne serait qu'une plus grande grâce que Notre-Seigneur vous ferait. Ainsi, qu'on informe qui que ce soit, vous devez vous en réjouir. Ainsi, démission, prison, tout est Amour de Jésus-Christ pour vous. Je demande de vous l'abandon, et un coeur prêt à tout faire et à tout souffrir.
« Je vous réitérerai ce que j'ai déjà dit : vous n'êtes point le jouet de Satan, mais de l'Amour Divin ; car c'est assez le langage de l'Écriture que l'amour sacré n'est pas moins rigoureux que le (197) profane, soit qu'il ait pris naissance sur le Calvaire, soit qu'il ait emprunté cette humeur de la Justice Divine, qu'il veut contenter à nos dépens (1). »
Le Triomphe du Sacré Coeur pouvait-il s'acheter trop cher ? Si les douleurs de la Servante de Dieu avaient été extrêmes dans la première partie de cette année 1686, c'est qu'on était à la veille de ce Triomphe dans la Communauté de Paray.
Le jeudi 20 juin, dernier jour de l'octave du Saint-Sacrement, la Soeur des Escures vint demander à la sainte directrice la miniature du Sacré Coeur, que la Mère Greyfié lui avait envoyée, disant qu'elle en voulait faire un petit autel au choeur, pour inviter les Soeurs à cette dévotion. Soeur Alacoque fut charmée de cette proposition, mais dissimula sa surprise, se contentant de prier et faire prier pour que l'entreprise fût heureuse (2). Elle savait que Dieu a ses heures et elle attendit.
Le lendemain, vendredi, jour désigné par Notre-Seigneur lui-même pour la Fête qu'il voulait en l'honneur de Son Divin Coeur, la Soeur des Escures, que la grâce vient de transformer, dressa devant la grille du choeur un petit autel formé d'une chaise, « où elle mit un tapis fort propre. » La miniature était dans un cadre doré, entouré de fleurs. Le premier objet qui frappa tous les regards, à mesure que les Soeurs entraient, ce fut donc l'image du Cœur de Jésus. On, s'en approche et, l'étonnement fait place à l'admiration, quand les religieuses lisent un billet, écrit de la main même de la Soeur des Escures, invitant « toutes les épouses du Seigneur à venir rendre leurs hommages à Son Cœur adorable. »
C'était signer elle-même la rétractation de toutes ses oppositions précédentes et s'en venger glorieusement. La première dans le mouvement de l'opposition, Soeur Marie-Madeleine voulait être la première dans le mouvement de l'adoration. En un moment, tout change de face au monastère. Il n'y a plus qu'un coeur et qu'une âme, parce que le Coeur de Jésus y est acclamé.
Le jour même, on projette de faire faire un tableau représentant ce Divin Coeur, et toutes celles qui pensent pouvoir obtenir « quelque chose de messieurs leurs parents » pour y contribuer, sont engagées à les solliciter, tant l'empressement est général.
« C'est ici l'oeuvre du Seigneur, » disaient toutes ces âmes droites, « qui s'admiraient dans ce changement si prompt ». Elles ajoutaient « que Dieu était véritablement le Maître des coeurs » et qu'il vérifiait « ce que notre vénérable Soeur avait dit souvent : que le Coeur de Jésus régnerait malgré Ses ennemis (1). »
La Mère Melin, inspirée d'en haut, jugea qu'il fallait d'abord ériger une chapelle en l'honneur du Sacré Coeur, avant de faire peindre un tableau. Les Soeurs du petit habit prirent aussitôt sur leurs menus plaisirs et « donnèrent quelque argent, pour être le denier à Dieu de la bâtisse de la chapelle (2). »
Au soir du 21 juin 1686, ce n'était pas trop du Te Deum pour traduire la joie qui débordait de tous les coeurs. Soeur Marguerite-Marie le fit dire à ses novices. « Je n'ai plus rien à souhaiter », leur confie-t-elle, « je ne désire plus rien, puisque « le Sacré Coeur est connu et qu'il commence à régner sur les coeurs. Faites en sorte, mes chères Soeurs, qu'il règne à jamais dans les vôtres, comme Souverain Maître et Époux (3). »
Tant de sentiments divers se pressent dans le coeur de la Sainte qu'ils doivent trouver plusieurs issues. Elle prend la plume. Elle remercie d'abord, avec une touchante effusion, la Soeur des Escures et c'est à elle qu'elle écrit ce mot profond :
« Il me semble que le grand désir que Notre-Seigneur a que Son Sacré Coeur soit honoré, par quelque hommage particulier, est afin de renouveler dans les âmes les effets de Sa Rédemption, en faisant de ce Sacré Coeur comme un second Médiateur envers Dieu pour les hommes (1). » Et, parlant des dangers que courait l'Institut de la Visitation, sous les assauts d'un Esprit étranger, Esprit d'orgueil et d'ambition, qui cherchait à s'y introduire à la place de celui d'humilité et de simplicité, fondement de tout l'édifice, elle dit : « Je vous avoue qu'il me semble que c'est notre saint fondateur qui désire et qui sollicite que cette Dévotion s'introduise dans son Institut, parce que il en connaît les effets (2). »
A la Mère Greyfié, elle adresse une longue lettre, dont la première phrase donne bien la note de sa joie surnaturelle : « Je mourrai maintenant contente, puisque le Sacré Coeur de mon Sauveur commence à être connu... Il me semble que, « par sa miséricorde, me voilà presque entièrement éteinte et anéantie d'estime et de réputation dans l'esprit des créatures, ce qui me console plus que je ne puis dire (3). »
A Semur, cette chère Dévotion prend sans cesse de nouveaux accroissements. Aussi, est-ce toujours pour féliciter, et non pour stimuler, que Soeur Marguerite-Marie se voit doucement contrainte d'y revenir par ses lettres. De même à Dijon, où, à côté de la Mère de Saumaise, le Sacré Coeur vient de se susciter une nouvelle apôtre, en la personne de Soeur Jeanne-Madeleine Joly, qui sera la première à composer un petit livret sur la Dévotion au Sacré Coeur (1).
Dès le 4 juillet 1686, la Servante de Dieu avait écrit à la Mère Louise-Henriette de Soudeilles, à Moulins, et lui parlait ouvertement de la Dévotion au Sacré Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ, comme faisant « un grand fruit et changement en tous ceux qui s'y consacrent et adonnent avec ferveur. » Mais, ingénieuse à disparaître en tout, elle trace ce mot, que l'on ne peut lire sous sa plume, sans sourire :
« Nous avons trouvé cette Dévotion dans le livre de la Retraite du Révérend Père La Colombière, que l'on vénère comme un saint (2). »
Le 15 septembre, elle écrit de nouveau à la Mère de Soudeilles et lui envoie le livre de la Retraite du Révérend Père de la Colombière, et deux images du Sacré Coeur, dont une plus grande, à mettre au pied de son crucifix ou autre lieu pour l'honorer, et une plus petite, pour porter sur elle, avec une petite consécration au Sacré Coeur.
1. Le premier petit livret de la Soeur Joly fut d'abord imprimé en secret (1686) dans le but d'obtenir de Rome l'approbation de la messe du Sacré Coeur.
M. Charolais, confesseur de la Communauté de Dijon, avait revu et corrigé le travail avant de le traduire en latin.
Ce ne fut qu'au début de 1689 qu'une édition, déjà augmentée, fut donnée au public. (Documents tirés d'une note manuscrite, conservée au monastère de la Visitation de Nevers, exilé à Mons-en-Hainaut).
Le livret de 1689 fut publié sous ce titre : LA DÉVOTION AU SACRÉ CŒUR DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST contenant les motifs & pratiques de cette Devotion, avec le petit Office, la Meffe, les Litanies & quelques Prieres pour honorer le Sacré Coeur de JÉSUS. A DIJON. Chez la Veuve d'ANTOINE MICHARD.
I. II, p. 328. Une seule des deux images dont il est parlé dans cette lettre est encore conservée à Nevers-Mons.
C'est la plus grande des deux, qui a été reproduite moitié grandeur avec le facsimité de la petite consécration : Je, N.-N., me donne et consacre au Sacré Coeur de N.-S. J.-C. ma personne et ma vie... etc. Paris, Bouasse-Lebel.
deux images du Sacré Coeur, dont une plus grande, à mettre au pied de son crucifix ou autre lieu pour l'honorer, et une plus petite, pour porter sur elle, avec une petite consécration au Sacré Coeur.
Son âme déborde en parlant de ce Coeur adorable. Elle dit : « C'est la source inépuisable de tous biens qui ne cherche qu'à se répandre et se communiquer (1). »
Cependant, pour arriver à faire faire une planche d'images du Sacré Coeur, quel mal Soeur Marguerite-Marie ne se donne-t-elle pas ? Toutes ses lettres de cette époque en font foi. Retards, malentendus, déceptions dans l'entreprise, tout cela lui devient une blessure au coeur. Elle l'accepte, pour hâter le Règne de ce Coeur-d'Amour.
Si l'âme de notre Sainte jette tant de flammes au dehors, c'est parce qu'un brasier divin la consume au dedans.
Mais, pour autant, elle n'a pas renoncé à sa vie cachée en Dieu avec Jésus-Christ. Il s'en faut bien! Plus elle devient Apôtre, plus on la voit s'enfoncer à des profondeurs toujours plus inouïes dans l'anéantissement d'elle-même et dans le dégagement de tout le créé. Une preuve incontestable en demeure. C'est le voeu de perfection qu'elle prononça le 31 octobre 1686. Elle en soumit d'abord le projet au Père Rolin, son directeur.
A cette occasion, il lui répondit une admirable lettre, datée du 18 septembre 1686. Elle se compose de dix-sept articles. Nous n'en détacherons que quelques mots, dont la portée nous semble plus remarquablement surnaturelle.
« Vous trouverez ici, ma très chère Soeur en Notre-Seigneur, la résolution des principales questions que vous m'avez faites......... Je vous dis ces choses avec autant plus d'assurance que je suis persuadé que c'est Dieu qui va vous signifier Ses volontés par le plus misérable des hommes. L'eau qui passe par un canal d'argile est aussi bonne que celle qui passerait par un canal d'or. J'ai assez vu et connu vos misères, à même temps que vous m'avez raconté les Miséricordes de Dieu en votre endroit. Je sais quelle est votre disposition; demeurez en paix. Ne vous tourmentez pas de cette pensée que vous êtes une hypocrite : on ne l'est pas si l'on ne le veut. Je ne connais pas que vous le vouliez ; ainsi, soyez en repos sur cet article. Mettez en pratique ce que vous dites, qu'il vous suffit d'agir et de pâtir en silence. Aimez l'Esprit qui vous conduit........
« Ce n'est pas une marque de réprobation de n'avoir jamais aucun mouvement de joie ni de douleur, si ce n'est ceux que le Saint-Esprit qui vous conduit vous imprime........ .
N'attribuez pas à aucun endurcissement la paix dont Notre-Seigneur vous fait jouir dans vos croix........
« Je ne désapprouve pas cette haine que vous avez pour votre corps, et ce plaisir que vous sentez à le voir périr est selon l'Esprit de l'Évangile. (205) Ne le traitez rudement que dépendamment de l'obéissance.
« Il semble que vous craignez de traiter familièrement avec Notre-Seigneur, sachez que c'est la manière de converser avec lui qui lui est la plus agréable........
J'approuve que vous fassiez les voeux que vous m'avez marqués, à la fin de la première retraite que vous allez faire aux premiers jours. S'il vous arrivait, dans la suite, qu'ils vous causassent du trouble, ils ne subsisteraient plus ; vous en seriez entièrement dégagée. Moi, ou un autre qui vous serait ce que je vous suis, aura tout pouvoir sur ces voeux pour vous les expliquer, quand il vous viendra des doutes, ou même pour vous en dispenser, s'il était expédient pour la plus grande gloire de Dieu (1). »
Sûre d'accomplir la volonté de Notre-Seigneur en faisant ce voeu, approuvé par son directeur et sa supérieure, Soeur Marguerite-Marie renferme en dix-sept articles tout ce que son Dieu demande d'elle, et qui peut se résumer dans cette formule du début :
« Voeu fait la veille de Toussaint de l'année 1686, pour me lier, consacrer et m'immoler plus étroitement, absolument et plus parfaitement au Sacré Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Ce serait trop long de citer le texte en entier. Qu'il suffise d'en extraire le huitième et le dixième article :
8. Je m'abandonne totalement au Sacré Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ, pour me consoler ou m'affliger selon Son bon Plaisir, sans me plus vouloir mêler de moi-même, me contentant d'adhérer à toutes Ses saintes Opérations et Dispositions, me regardant comme Sa Victime, qui doit toujours être dans un continuel Acte d'immolation et de sacrifice, selon Son bon Plaisir, ne m'attachant à rien qu'à l'aimer et le contenter, en agissant et souffrant en silence.
« 10. Je regarderai tous ceux qui m'affligeront, ou parleront mal de moi, comme mes meilleurs amis, et tâcherai de leur rendre tous les services et tout le bien que je pourrai (1). »
Après s'être prescrit tout ce que la Lumière Céleste lui montrait exiger d'elle, la Sainte avoue qu'elle n'aurait pas eu le courage de s'y engager, si elle n'eût été fortifiée et rassurée par ces paroles, qui lui furent dites dans le plus intime de son coeur : « Que crains-tu, puisque j'ai répondu pour toi et me suis rendu ta caution ? L'Unité de Mon pur Amour te tiendra lieu d'attention dans la multiplicité de toutes ces choses, et te promets qu'il réparera les fautes que tu y pourrais commettre et s'en vengera Lui-même sur toi (2). »
« L'année 1686 était sur son couchant, et on devait songer à se séparer, puisque la Servante de Dieu quittait sa charge de directrices (3). »
Plusieurs Soeurs devant sortir du noviciat en même temps que leur bien-aimée maîtresse, résolurent d'emporter la petite image du Sacré Coeur, qu'elles honoraient chacune à leur tour et qui faisait tout leur trésor. On la portait tout le jour sur son coeur, comme un bouquet, et celle qui l'avait prenait soin de bien caresser ce Divin Coeur, et de faire quantité d'actes de vertu en Son Honneur, selon que sa ferveur le lui inspirait'. Elles trouvèrent une petite niche pour la placer, dans un endroit retiré où l'on allait rarement. Elles le choisirent pour faire plus commodément leurs dévotions, et on y fit un petit oratoire, donnant sur l'escalier qui conduisait à la tour du noviciat.
Les premières disciples du Coeur de Jésus firent de ce petit sanctuaire le lieu de leurs délices, l'embellissant de leur mieux. Plus tard, elles y peignirent des coeurs, des étoiles, des fleurs et des fruits, comme si elles eussent voulu réunir le Ciel et la Terre autour du Roi de tous les cœurs. La croyance traditionnelle du monastère est que ces très naives peintures sont l'œuvre de Soeur Marie-Nicole de la Faige des Claines (2). La Soeur de Farges fit faire un tableau du Sacré Coeur, et la Sainte, dans une lettre à la Mère de Saumaise, dit qu'il est tel qu'elle le désirait pour cette petite chapelle (3). La Soeur des Escures se montra jalouse et fière d'être la sacristine du cher oratoire. « C'est un petit bijou, tant elle l'ajuste bien (1), » écrira encore Soeur Marguerite-Marie. Que de prières enflammées montèrent de ce cénacle d'amour vers le Cœur de Jésus ! Pour aider la dévotion des Soeurs, il y avait des livres, imprimés ou manuscrits, à l'usage spécial de celles qui fréquentaient « l'oratoire du Divin Coeur de Jésus qui est en Nazareth. « — « Ayes sil uous plait la boute de ne lan Point sortir. » Telle est la recommandation qui se lit encore sur un de ces recueils, avec la date : « 25 décembre 1688. »
1. Cf. I, p. 255. C'était une autre image que celle qui fut honorée au noviciat le 20 juillet 1685.
2. On les voit encore actuellement au plafond du modeste oratoire.
3. Ce tableau est encore aujourd'hui vénéré comme une relique au monastère de Paray.
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Plus touchante est la dédicace d'un autre petit recueil manuscrit, « commencé ce ieudi 16 doctobre 1687. uiue + iesus mon tres aymable Sauueur iesus Christ receues et acceptes ses faibles esprits tout dedié pour honorer et glorifier votre Divin Coeur. »
On peut l'affirmer, un Esprit nouveau vivifiait toute la Communauté, depuis que le Cœur de Jésus y était honoré, servi, aimé, invoqué par toutes les âmes qui la composaient.
Mgr Languet, qu'on ne peut accuser de partialité, décrit magnifiquement la transformation du monastère de Paray par la Dévotion au Sacré Cœur : « C'est ainsi que la Dévotion au Cœur de Notre-Seigneur opéra dans cette Communauté ce changement merveilleux, que Soeur Marguerite avait obtenu par ses larmes et ses souffrances ; sa patience et son humilité triomphant de tout, le Fils de Dieu changea les coeurs qui commencèrent à honorer le sien. Il y répandit l'amour de la perfection religieuse et le zèle pour l'acquérir; mais, à mesure que ces filles ouvrirent les yeux sur la sainteté de leurs devoirs, elles les ouvrirent en même temps sur le mérite de celle qui leur attirait tant de bénédictions de la part de Dieu. Les contradictions et les mépris se changèrent en vénération pour elle. On ne la nommait plus que la Sainte, et on écoutait ses paroles comme des oracles (1). »
1. Cf. II, p. 393, texte et variante. 209
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LE COMMENCEMENT DE TOUT CELA AVEC MARGUERITE MARIE ALACOQUE !
Sacrifices ! Le Diable en action ! L'ARBRE DE LA CROIX ? DIVINES FIANçAILLES?
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite-Marie_Alacoque
Le 25 mai 1671, à l'âge de 24 ans, elle entra au monastère et, en novembre 1672, elle prononça ses vœux perpétuels. De santé fragile, elle n'en continuait pas moins ses flagellations, ainsi que les macérations les plus extrêmes,voire les plus répugnantes, qu'elle mentionne elle-même dans ses Mémoires[1].
Peu après son entrée au monastère, elle reçoit, d'après son propre témoignage, plusieurs Apparitions privées du Christ. La plus célèbre de ces Apparitions est celle de juin 1675 : Jésus lui aurait alors montré son cœur en disant : « Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, [...] jusqu’à s’épuiser et se consommer pour leur témoigner son amour, et pour reconnaissance je ne reçois de la plupart que des ingratitudes... ». Une autre fois, il lui aurait dit : « Mon Divin Cœur est [...] passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier ».
Dès lors, Marguerite-Marie a pensé avoir été investie de la mission d'établir une dévotion particulière envers le Sacré-Cœur.
Avec l’aide du Père Claude La Colombière, que Jésus lui aurait présenté comme son « vrai et parfait ami », Marguerite-Marie fera connaître le Message que Jésus lui aurait adressé.
C’est le début du culte du Sacré-Cœur. Inspirée par le Christ, Marguerite-Marie établit la pratique de l'Heure Sainte, qui pour elle consistait à prier, étendue par terre, le visage contre le sol depuis onze heures du soir jusqu'à minuit le premier jeudi de chaque mois, afin de partager la tristesse mortelle qu'avait supportée le Christ, quand il fut abandonné à son agonie par ses Apôtres, puis à recevoir le lendemain la Communion. Le Christ lui aurait confié désirer choisir que soit célébrée une fête en l'honneur de Son Cœur le vendredi qui suit l'octave de la Fête du Corps du Christ; et il aurait appelé la sainte « disciple bien-aimée du Cœur Sacré » et héritière de tous Ses Trésors.
Au cours de sa dernière maladie, elle refusa tout soulagement, ne cessant de répéter : « Ce que j’ai dans le Ciel et ce que je désire sur la terre, c’est Toi seul, ô mon Dieu » et elle mourut en prononçant le Nom de Jésus.
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/margueritemarie/index.htm
C'est cette pieuse avidité des âmes qui multiplie les éditions de la Vie de Marguerite-Marie, en assure le succès qui vous réjouit et que 'nous constatons avec bonheur.
A mesure donc que la Dévotion au Sacré Cœur se développe et qu'elle irradie le Monde, s'étend aussi la gloire de notre Sainte. Son nom honoré est dans toutes les mémoires et sur toutes les lèvres.
Elle a été l'Apôtre du Sacré Cœur avec joie, avec persévérance, avec une intensité de zèle qui ravit.
Mais, à Son tour, le Sacré Coeur prend soin d'exalter Sa fidèle servante et de lui procurer, dans le ciel de l'Église, la plus triomphante ascension.
Et ainsi montrée au Monde, maintenant que l'auréole des Saintes la couronne et l'impose à l'attention de tous, Marguerite-Marie nous apprend, avec plus de force et d'autorité, comment nous devons pratiquer la Dévotion au Sacré Coeur, faire de l'Amour Divin le centre de notre âme, la Loi de notre vie, la cause de notre sainteté.
Avec quel art et quelle persuasion elle peut remplir ce rôle, nul ne saurait en douter. Mais la Vie que vous faites paraître et qui se répand partout mettra en plein relief la méthode par laquelle on devient le disciple du Sacré Coeur.
Votre Marguerite-Marie a été « chargée d'office d'attirer toutes les âmes » au Divin Coeur.
La Visitation a reçu la mission de le faire connaître, aimer, et de « distribuer aux autres » la « précieuse monnaie » de « ce Trésor inépuisable » où « plus l'on prend, plus il y a à prendre. »
Vous remplirez ce rôle par votre livre et vous contribuerez à convaincre les chrétiens et les chrétiennes de notre temps que le Sacré Coeur de Jésus
« est la source de tous biens, qui ne cherche qu'à se « répandre et à se communiquer. »
Nul autre ne fait mieux connaître l'âme de la Bienheureuse, ses relations intimes avec Notre-Seigneur, et l'esprit de la dévotion au Sacré Cœur, dont elle a été l'évangéliste et l'apôtre.
Je fais des voeux pour que ce livre se répande de plus en plus, pour apprendre aux âmes à aimer davantage et à mieux honorer le Coeur sacré de Jésus.
D'un bout à l'autre de la vie de Marguerite-Marie, l'amour de Dieu est inséparable de l'amour de la souffrance sous toutes les formes possibles. Elle s'y sent attirée d'une manière irrésistible et s'y porte avec un courage vraiment admirable. Et cela ne vient pas en elle de l'étude, d'un enseignement quelconque de la terre. C'est le fruit immédiat de l'Esprit-Saint qui imprime dans cette âme le sens et la pratique de la maxime du Maître : « Si quelqu'un veut être mon disciple, qu'il se renonce lui-même, qu'il porte sa croix et qu'il me suive. » Marguerite-Marie entre dans cette voie dès sa plus tendre jeunesse et y sera de plus en plus fidèle jusqu'à la fin de sa carrière en ce monde.— Il semble qu'elle prélude par là à la Dévotion du Sacré-Coeur telle qu'elle lui sera manifestée, qu'elle la pratiquera elle-même, qu'elle l'enseignera à toutes les personnes avec qui elle sera en relation. Admirable sagesse de Notre-Seigneur, qui veut ainsi former l'instrument dont il se servira bientôt et donner, dans la vie de Sa confidente et messagère, le Modèle vivant de la Dévotion qu'il se propose d'établir.
L'exposé des différentes Apparitions relatives à la manifestation de la nouvelle dévotion est fait d'une manière complète et saisissante. Mais immédiatement après, on nous raconte en détail tout ce que Marguerite-Marie eut à souffrir avant de pouvoir réaliser la Mission dont elle avait été chargée. Elle dut d'abord accepter d'être Victime d'Expiation pour les imperfections de ses Soeurs.
Le Monastère de Paray-le-Monial était le berceau d'où allait partir, pour se répandre dans le Monde, la Dévotion an Sacré Coeur.
Il fallait le purifier des taches qui ternissaient l'éclat de sa vie religieuse. Le récit, aussi complet que possible, de ce (XVII) qu'exigea d'elle le Dieu de toute pureté nous montre que l'amour divin ne peut s'épanouir et se développer dans les coeurs que lorsque ceux-ci ont été dégagés de tout alliage. Cette purification était une condition nécessaire, mais elle ne suffisait pas.
Marguerite-Marie dut gagner, par des années de souffrances, de mortifications, d'épreuves de tout genre, le radieux éclat que la Dévotion au Sacré-Coeur jetterait :enfin dans les dernières années de sa vie ici-bas. — Et c'est là un troisième enseignement, également très important, qui découle de sa vie. Lorsque nous entreprenons de travailler à l'extension du Règne du Sacré Coeur, il nous semble que tout doit marcher rapidement au gré de nos désirs. A peine avons-nous mis la main à l'oeuvre, que nous voudrions déjà atteindre le but. Telle n'est pas la marche de la Providence, et les pensées de Dieu ne sont pas nos pensées. Il veut que nous travaillions avec ardeur et persévérance, mais en laissant à sa sagesse et à sa puissance le soin de féconder nos efforts à l'heure qu'il aura lui-même marquée. Le succès ne vient pas de nous, mais uniquement de Sa Grâce. En attendant, il faut se sanctifier, souffrir et prier pour que la cause de Dieu avance.
Ce mouvement ne semble pas devoir se ralentir, puisque la dévotion envers la disciple du Coeur de Jésus progresse parallèlement avec la dévotion envers Lui.
Partout, en effet, où germe et se développe le culte du Sacré Coeur, les âmes se montrent avides de mieux connaître l'humble confidente du Dieu d'Amour et de Miséricorde, celle qu'il a Lui-même choisie, non seulement pour lui révéler personnellement Son Divin Coeur, mais encore pour en être l'Apôtre et l'évangéliste au sein de l'Église catholique.
Et c'est ainsi que la chère Sainte de Paray-le-Monial, qui n'ambitionnait qu'une chose : « être ensevelie dans un éternel oubli et mépris des créatures », voit maintenant, de par la Volonté Divine, son nom invoqué dans tous (XIX) les pays et son intercession réclamée comme une grâce par les grands et les petits.
Sainte Marguerite-Marie reste bien le trésor particulier de son monastère, de son Ordre et de la France; mais, du fait même de sa mission, sanctionnée par la suprême autorité de l'Église, elle appartient à tout le monde. N'est-elle point chargée d'office de distribuer à tous les hommes les Richesses infinies du Coeur de son Dieu ?
Quelle incomparable investiture ! Notre-Seigneur lui disait un jour :
« Je te constitue héritière de Mon Coeur et de tous Ses Trésors pour le temps et l'éternité, te permettant d'en user selon ton désir. »
Ce n'est pas en vain qu'un Dieu prononce une telle parole. Or, ce qu'il dit, c'est ce qu'il veut et il le maintient. Et, chaque jour davantage — surtout depuis que Marguerite-Marie est devenue une sainte canonisée — le Maître se plaît à répandre Ses Faveurs par elle.
Nombreuses sont les grâces obtenues par sa médiation ; et on, en compte de toutes sortes — des temporelles comme des spirituelles. Il nous est doux de le publier, faisant ainsi écho à la reconnaissance de tous ceux qui ont éprouvé le bienfaisant secours de la Vierge de Paray.
Après avoir montré à tous le Sacré Coeur et s'être abîmée en lui, elle resterait comme chargée d'office d'attirer toutes les âmes à ce Coeur Divin. Telle devait être sa Mission spéciale.
Comment le Ciel l'y prépara-t-il ?
Pour avoir la réponse, pénétrons dans son âme. Dieu a voulu que la clef de ce sanctuaire fût conservée.
D'une écriture très serrée, mais aussi belle que caractéristique, cet autographe de (3) soixante-quatre pages forme un des plus précieux trésors du monastère de la Visitation de Paray-le-Monial.
Là, nous puiserons le plus souvent, afin de laisser la disciple et l'Apôtre du Coeur de Jésus se révéler elle-même.
Quand on lit de suite, ou même quand on ouvre au hasard le Mémoire de la Servante de Dieu, une chose frappe : évidemment ces pages sont tracées sans aucune prétention littéraire ; l'humain en est absent. Par contre, le Divin s'y fait sentir. De la première à la dernière ligne, il règne un souffle de Vérité et de transparente humilité qui saisit.
Et cette conclusion s'impose . derrière Marguerite, à côté d'elle, ou plutôt en elle, il y a quelqu'un qu'elle contemple sans cesse, qui l'inspire sans cesse et c'est de Celui-là seul qu'elle s'inquiète.
Dès lors, pourquoi s'occuperait-elle de semer son récit de dates, que le lecteur aimerait tant à rencontrer, mais qui, pour elle, n'ajouteraient rien à la grandeur des choses qu'elle raconte ? (1) Obligée d'écrire par obéissance, elle écrit selon que ses souvenirs lui reviennent — c'est tout.
Aussi, se tournant tout d'abord vers son Souverain Maître, lui proteste-t-elle que c'est pour l'amour de lui seul qu'elle se soumet, et lui demande-t-elle de n'écrire rien que pour Sa plus grande Gloire, à lui, et sa plus grande confusion, à elle.
O mon unique Amour, combien vous suis-je redevable de m'avoir prévenue dès ma plus tendre jeunesse, en vous rendant le Maître et le Possesseur de mon coeur !... Aussitôt que je me sus connaître, vous fîtes voir à mon âme la laideur du péché, qui en imprima tant d'horreur dans mon coeur, que la moindre tache m'était un tourment insupportable; et pour m'arrêter dans la vivacité de mon enfance, l'on n'avait qu'à me dire que c'était offenser Dieu : cela m'arrêtait tout court et me retirait de ce que j'avais envie de faire (1). »
Marguerite sut toujours passer à côté des pièges tendus devant son innocence, se gardant toute pure sous l'œil de son Dieu. Au reste, lui-même veillait à ce que rien ne vînt ternir la candeur de cette Fleur des champs, dont il voulait se réserver exclusivement le parfum et la beauté. Il donnait à cette petite enfant de tels élans vers la pureté que, de son aveu, « sans savoir ce que c'était, » elle se sentait continuellement pressée de dire ces paroles :
« O mon Dieu, je vous consacre ma pureté et je vous fais voeu de perpétuelle chasteté (1). »
Une fois même elle les prononça entre les deux élévations de la messe. Ainsi donc, sans qu'elle en eût encore positivement l'intelligence, Marguerite était déjà marquée d'un sceau divin.
D'autres fois, elle mettait ses délices à invoquer la sainte Vierge, récitant le rosaire, les genoux nus en terre, ou faisant autant de génuflexions en baisant la terre qu'elle prononçait d'Ave Maria.
Ce fut là que Marguerite fit sa première communion, n'étant âgée que d'environ neuf ans.
Initiée déjà aux Mystères de Dieu par Dieu lui-même, ce fut bien autre chose après ce premier contact sacramentel de son âme avec Notre-Seigneur Jésus Christ.
L'Homme-Dieu devint son Maître.
Or, les leçons qu'il donne ne ressemblent en rien à celles des maîtres d'ici-bas.
Mais, dès cette époque, Dieu répandit tant d'amertumes sur ceux qui se présentaient à elle, que petit à petit, son coeur se détachant de la créature, chercha son unique repos dans le Créateur.
Cependant, pour attacher plus indissolublement cette âme au joug de Son amour, Notre-Seigneur permit qu'une étrange maladie vînt encore faire faire de plus sérieuses réflexions à Marguerite. Elle tomba dans un tel état de faiblesse et de maigreur, qu'au bout de deux années, sa mère la retira du couvent. Revenue dans sa famille, elle y fut encore longtemps la proie de cet inexplicable mal, « Je fus environ quatre ans sans pouvoir marcher, » dit-elle, « les os me perçaient la peau de tous côtés (1). » Aucun remède ne se montrait efficace; mais dès que la jeune infirme eut fait voeu à la sainte Vierge d'être un jour une de ses filles, si elle la guérissait, toute trace de ses précédentes souffrances disparut.
Dès lors, Notre Dame se fit la Céleste Directrice de celle qu'elle venait de rendre à la vie. Elle la reprenait des moindres fautes. Un jour, Marguerite avait pris la liberté de s'asseoir en disant son rosaire. Jamais elle n'oublia la Réprimande maternelle que lui en adressa cette Reine de Miséricorde : « Je m'étonne, ma fille, que tu me serves si négligemment (2). »
Ne serait-ce point pour faire oublier cette sorte de nonchalance à sa Mère du Ciel et prendre sa filiale revanche, que Marguerite fit plus tard le voeu de jeûner tous les samedis en l'honneur de la sainte Vierge, de lui dire l'Office de Son Immaculée Conception et de faire sept génuflexions tous les jours de sa vie, « avec sept Ave Maria, pour honorer ses sept douleurs? (3) »
En attendant, à peine eut-elle miraculeusement recouvré la santé que le monde chercha, lui aussi, à ressaisir son empire sur cette jeune fille qui, sans offenser Dieu, pouvait légitimement se laisser aller aux divertissements de son âge. Il n'est pas sans intérêt d'entendre notre Sainte avouer elle-même ses tentations et ses faiblesses à ce sujet : « Je ne pensais plus qu'à chercher du plaisir dans la jouissance de ma liberté ». Et plus loin : « [Je] commençai donc à voir le monde et à me parer pour lui plaire, cherchant à me divertir autant que je pouvais (1). »
En un autre endroit de sa Vie écrite par elle-même, Marguerite confesse, dans l'amertume de on repentir, qu'une fois au temps du carnaval, elle alla même jusqu'à se déguiser avec d'autres jeunes filles, par une vaine complaisance pour le monde.
Mais ici encore, le Seigneur, jaloux de la sanctification de Sa servante, sut bien placer la croix à côté de l'entraînement et de la légèreté du siècle. « O mon Dieu, je ne pensais pas alors ce que vous m'avez bien fait connaître et expérimenter du depuis (sic),
qui est que votre sacré Coeur, m'ayant enfantée sur le Calvaire avec tant de douleur, que la vie que vous m'y aviez donnée ne pouvait s'entretenir que par l'aliment de la croix, laquelle serait mon mets délicieux (2).
Madame Alacoque, dépouillée de son autorité dans sa propre maison depuis la mort de son mari, se voyait soumise avec sa fille à une véritable servitude. La persécution était continuelle, et pendant plusieurs années, Marguerite eut à subir un genre de martyre, dont Dieu seul connut la blessante mais purifiante pression.
Ce qui augmentait encore l'angoisse de cette position, c'étaient les fréquentes maladies de Madame Alacoque, dans lesquelles Marguerite se voyait privée même des moyens les plus élémentaires de la soulager. Une fois surtout, sa peine alla jusqu'à l'extrémité, cette bonne mère souffrant cruellement d'un érésipèle si malin, que personne ne voulait approcher, ni panser sa plaie. Sa fille, étant allée à la messe un jour de la Circoncision, supplia Notre-Seigneur d'être lui-même le Médecin et le Remède de sa pauvre mère. De retour auprès d'elle, Marguerite trouva le mal ouvert et formant une plaie large et envenimée. Sans « autre onguent que ceux de la divine Providence, » elle se mit à la panser, avec tant de confiance en la bonté de son Seigneur, qu'en peu de jours, ce mal invétéré fut guéri, contre toute apparence humaine. Où cette jeune fille, qui, jusque-là, ne pouvait ni voir ni toucher des plaies, avait-elle pris un tel courage ? — En Celui qui la fortifiait. « Mon divin Maître, » dit-elle, « me consolait et substantait d'une parfaite conformité à sa très sainte volonté. » Et, ne se prenant qu'à lui de tout ce qu'il lui envoyait, elle s'écriait : « O mon Souverain Maître, si vous ne le vouliez, cela n'arriverait pas; mais je rends grâces de quoi vous le permettez pour me rendre conforme à Vous (1). »
Elle ne rêvait plus que d'apprendre à faire l'oraison, mais, écrit-elle, « je n'en savais autre chose que ce mot d'oraison, qui ravissait mon cœur. Et m'étant adressée à mon Souverain Maître, il m'apprit comme il voulait que je la fisse, ce qui m'a servi toute ma vie. Il me faisait prosterner humblement devant lui, pour lui demander pardon de tout en quoi je l'avais offensé, et puis, après l'avoir adoré, je lui offrais mon oraison, sans savoir comme il m'y fallait prendre. Ensuite il se présentait lui-même à moi dans le Mystère où il voulait que je le considérasse, et il appliquait si fort mon esprit en tenant mon âme et toutes mes puissances englouties dans lui-même, que je ne sentais point de distractions, mais mon cœur se sentait consommé du désir de l'aimer, et cela me donnait un désir insatiable de la sainte communion et de souffrir (1). »
Dans ses désolations intérieures et les combats que le monde et l'amour de sa mère livraient à son coeur, elle n'avait pas d'autre refuge ni d'autre force que d'aller se prosterner aux pieds de Notre-Seigneur au saint Sacrement, où elle serait restée les jours et les nuits sans se lasser jamais.
Quelque confusion qu'elle en éprouvât, lorsqu'elle allait à l'église, l'Esprit de Dieu la poussait à s'approcher le plus près possible de l'autel et du tabernacle.
C'est là que son bon Maître lui enseignait à faire oraison et lui découvrait Ses mystérieux Desseins sur elle. Il imprima aussi dans son coeur, vers ce même temps, un si grand amour pour les pauvres, que Marguerite se fit un délassement du labeur de les servir et de les instruire.
Elle les soignait dans leurs maladies, pansait et baisait leurs plaies avec une ardeur toute surnaturelle. Tout ce qu'elle pouvait obtenir, elle le donnait à ses chers protégés, invitant les petits enfants à la venir trouver, et les réunissant pour leur apprendre le catéchisme. Ils accouraient en si grand nombre qu'ils remplissaient parfois toute une vaste chambre ; mais souvent, hélas ! une des trois personnes indiquées plus haut arrivait pour les chasser, avec leur bienheureuse catéchiste, trop saintement habituée à ces rebuts et mépris pour ne pas les accepter le sourire sur les lèvres.
Continuant à l'instruire elle-même, Notre-Seigneur lui faisait voir la beauté des vertus, surtout des trois voeux de pauvreté, de chasteté et d'obéissance, lui disant « qu'en les pratiquant l'on devient saint, et il me disait cela, » remarque-t-elle, « parce qu'en le priant, je lui demandais de me faire sainte. Et comme je ne lisais guère d'autre livre que la Vie des Saints, je disais en l'ouvrant : il m'en faut chercher une bien aisée à imiter, afin que je puisse faire comme elle a fait, pour devenir sainte comme elle; mais ce qui me désolait, c'était de voir que j'offensais tant mon Dieu (2). »
De plus en plus partagée entre le désir de répondre à la voix de Dieu, et celui de céder aux instances de sa mère, qui la conjurait de rester dans le Monde, Marguerite pensait pouvoir satisfaire sa conscience en lui donnant le change.
Notre-Seigneur lui demandait son coeur ; au lieu de le lui livrer, elle se contentait de lui offrir le sang de ses veines, s'accablant d'austérités, dont le seul récit fait frémir.
Par là, elle se trompait elle-même, ruinant sa santé, sans réussir à pacifier les troubles de son esprit, car le corps n'était pas la victime que convoitait le Divin Sacrificateur c'était l'âme de Marguerite qu'il voulait posséder en holocauste.
Le combat se poursuivait donc, chaque jour plus terrible et plus intime. D'un côté. Jésus-Christ multipliant Ses appels et Ses reproches intérieurs à cette âme, jusqu'à lui apparaître sous la figure d'un Ecce Homo ou dans l'état qui fut le sien après la flagellation, lui remontrant combien il souffrait de voir Son Amour méconnu par une créature autant aimée qu'elle l'était, et pour laquelle il avait enduré de si atroces tourments. De l'autre côté, la voix de la nature et de la famille se faisant entendre toujours plus forte et réclamant leurs droits avec tant de véhémence dans ce coeur de vingt ans, qu'il semblait n'y avoir plus moyen de résister.
Cependant Notre-Seigneur ne la laissait pas sans encouragement. « Une fois, » dit-elle, « j'étais comme dans une abîme (1) d'étonnement de ce que tant de défauts, d'infidélités que je voyais en moi n'étaient pas capables de le rebuter,
il me fit cette réponse : — C'est que j'ai envie de te faire comme un composé de Mon amour et de Mes miséricordes.
— Et une autre fois il me dit : — Je t'ai choisie pour Mon épouse et nous nous sommes promis la fidélité, lorsque tu m'as fait voeu de chasteté ! C'est Moi qui te pressais de le faire, avant que le monde y eût aucune part, dans ton coeur ; car je le voulais tout pur et sans être souillé des affections terrestres, et pour me le conserver comme cela, j'ôtai toute la malice de ta volonté, afin qu'elle ne le pût corrompre. Et puis je te mis en dépôt au soin de Ma Sainte Mère, afin qu'elle te façonnât selon Mes desseins (1) ».
Le Démon, soupçonnant que cette âme allait lui échapper, faisait jouer de nouvelles batteries contre elle. Marguerite les indique en toute humilité « Satan me disait continuellement : — Pauvre misérable! que penses-tu faire en voulant être religieuse ? Tu te vas rendre la risée de tout le « monde, car jamais tu n'y persévéreras; et quelle « confusion de quitter un habit de religieuse et « sortir d'un couvent! Où pourras-tu te cacher « après cela ? » Et elle ne dissimule pas ses anxiétés, car elle ne savait à quoi se résoudre. « Je me fondais en larmes parmi tout cela, (2) » ajoute-t-elle.
Notre-Seigneur en eut pitié. Il la consola en l'éclairant lui-même.
« Après la communion, si je ne me trompe, il me fit voir qu'il était le plus beau, le plus riche, le plus puissant, le plus parfait et accompli de tous les amants; et que, lui étant promise depuis tant d'années, d'où venait donc que je voulais tout rompre avec lui pour en prendre un autre. — Oh! apprends que si tu me fais ce mépris, je t'abandonne pour jamais; mais si tu m'es fidèle, je ne te quitterai point, et me rendrai ta victoire contre tous tes ennemis. J'excuse ton ignorance, parce que tu ne me connais pas encore, mais si tu m'es fidèle et me suis, je t'apprendrai à me connaître et me manifesterai à toi !(1) »
Tel fut le trait vainqueur qui décida la vocation de Marguerite. Subjuguée par l'amour de son Dieu, elle était désormais son esclave : elle ne serait qu'à lui!
C'est alors que le Crucifix devint le Maître incomparable, à l'école duquel Marguerite apprit si bien à goûter les leçons de la douleur, que parfois, éprise des charmes surhumains de la souffrance, elle allait se jeter aux pieds de son Sauveur crucifié et lui disait : « O mon cher Sauveur, que je serais heureuse si vous imprimiez en moi votre image souffrante! (1) »
Le Cardinal Perraud dira un jour, parlant de cette prière : « Elle est bien courte, mais assurément une des plus belles et des plus généreuses qu'une âme chrétienne puisse adresser au Dieu de la Croix (2). »
Lorsque Marguerite exposait ainsi à son cher Sauveur la sublime ambition de son âme de lui ressembler dans la souffrance, il daignait lui répondre :
« C'est ce que je prétends, pourvu que tu ne me résistes pas et que tu y contribues de ton côté (3). »
Et les veilles de communion, je me sentais abîmée dans un si profond silence, que je ne pouvais parler qu'avec violence, pour la grandeur de l'action que je devais faire; et lorsque je l'avais faite, je n'aurais voulu ni boire, ni manger, ni voir, ni parler, tant la consolation et paix que je sentais était grande. Et je me cachais autant que je pouvais, pour apprendre à aimer mon Souverain Bien, qui me pressait si fort de lui rendre amour pour amour. Mais je ne croyais pas de jamais pouvoir l'aimer, quoi que je pusse faire, si je n'apprenais à faire l'oraison; car je n'en savais que ce qu'il m'en avait appris, qui était de m'abandonner à tous Ses saints Mouvements, lorsque je pouvais me « renfermer en quelque petit coin avec lui; mais on ne me laissait pas assez de loisir. (1) »
On persistait à vouloir que ce fût à Sainte-Ursule. Mais; à force de prières et de larmes, versées aux pieds de la sainte Vierge, qui lui dit : « Ne crains rien, tu seras Ma vraie fille et je serai toujours ta bonne Mère (2), » Marguerite obtint d'entrer en un couvent de Sainte-Marie. On lui en proposa plusieurs; aucun ne lui semblait être celui où son Divin Maître avait marqué sa place. Mais, dira-t-elle plus tard, « aussitôt qu'on me nomma Paray, mon coeur se dilata de joie et j'y consentis d'abord (1). »
Cependant d'autres obstacles lui barraient encore le passage. Elle les surmonta tous, se répétant sans cesse à elle-même : « Il faut mourir ou vaincre ! (2) » C'est grâce à cet héroïque courage qu'elle vint se présenter, heureuse et confiante, au lieu de son bonheur, « le cher Paray (3) ».
Marguerite ne fut pas plus tôt au parloir de la Visitation qu'une voix intérieure se fit entendre à son âme et lui dit : « C'est ici que je te veux (4). » Cela lui causa tant de joie, qu'elle pria son frère, qui l'accompagnait, de tout conclure promptement pour sa prochaine entrée en ce monastère, d'autant qu'elle ne serait jamais religieuse ailleurs qu'en cette Maison de Sainte-Marie. « Après quoi, » écrit-elle, « il semblait que j'avais pris une nouvelle vie, tant je me sentais de contentement et de paix. Ce qui me rendait si gaie que ceux qui ne savaient pas ce qui se passait disaient : « Voyez-la, qu'elle a bien la façon d'une religieuse ! — Et, en effet, je portais plus d'ajustements de vanité que jamais je n'avais fait, et me divertissais de même, pour la grande joie que je sentais, de me voir bien toute à mon Souverain Bien (1). »
D'elle-même, elle s'y élance comme à une fête, et son jeune front porte déjà une auréole, sur laquelle on peut lire : Joie dans le sacrifice!
Car il me semblait être comme une esclave qui se voit délivrée de sa prison et de ses chaînes, pour entrer dans la Maison de son Époux, pour en prendre possession et jouir en toute liberté de Sa Présence, de Ses biens et de Son amour. C'était ce qu'il disait à mon coeur, qui en était tout hors de lui-même et je ne savais rendre autre raison de ma vocation pour Sainte Marie, sinon que je voulais être fille de la sainte Vierge.
Mais j'avoue que, dans le moment qu'il fallut entrer, qui était un samedi, toutes les peines que j'avais eues, et plusieurs autres, me vinrent assaillir si violemment, qu'il me semblait que mon esprit allait se séparer de mon corps en entrant. Mais aussitôt, il me fut montré que le Seigneur avait rompu mon sac de captivité et qu'il me revêtait de son manteau de liesse (2) ; et la joie me transportait tellement que je criais : c'est ici où Dieu me veut ! Je sentis d'abord gravé dans mon esprit que cette Maison de Dieu était un lieu saint, et que toutes celles qui l'habitaient devaient être saintes, et que ce Nom de Sainte-Marie me signifiait qu'il la fallait être à quel prix que ce fût, et que c'était pourquoi il fallait s'abandonner et sacrifier à tout, sans aucune réserve ni ménagement (3). »
L'âme qui comprend ainsi la vie religieuse est-elle assez apte à l'embrasser ? Affirmer que oui, c'est reconnaître l'oeuvre de préparation de l'Esprit-Saint. Étudions maintenant son oeuvre de transformation.
Aussi, lorsque dans son ardeur d'apprendre à faire l'oraison — science qu'elle croyait ignorer — Soeur Marguerite vint supplier sa maîtresse de la lui enseigner, la Soeur Thouvant se contenta-t-elle de lui répondre : « Allez vous mettre devant Notre-Seigneur comme une toile d'attente devant un peintre (1). » Soeur Marguerite obéit et le Sauveur lui donna en même temps la double intelligence de cette parole et du mystère qu'elle signifiait, lui révélant que son âme était cette toile sur laquelle il voulait peindre tous les traits de sa vie souffrante.
L'artiste divin se hâta de se mettre à l'oeuvre. Il tarda cependant trop encore au gré des brûlants désirs de cette toile vivante et aimante, qui cherchait en vain la croix et se plaignait de ne trouver que saintes et pures jouissances au service de son Dieu. Ce n'était là qu'un stratagème du Divin Amour; car ce délai ne devait pas frustrer notre Sainte d'une seule goutte de la sève amère, mais sanctifiante, qui découle de l'Arbre de la Croix.
Si nous voulons avoir une idée des opérations secrètes de la Grâce dans l'âme de cette prédestinée, dès ses premiers jours de vie religieuse, elle-même va nous le dire, sans se douter de la surhumaine beauté de son langage :
« Il me dépouilla de tout en ce moment, et après avoir vidé mon coeur et mis mon âme toute nue, il y alluma un si ardent désir de l'aimer et de souffrir, qu'il ne me donnait point de repos, me poursuivant de si près, que je n'avais de loisir que pour penser comme c'est que je le pourrais aimer en me crucifiant (1). »
Le nom de Marie, qu'elle avait déjà pris à sa confirmation, fut simplement ajouté à son nom de Marguerite. Désormais, nous l'appellerons : Soeur Marguerite-Marie.
Ce jour-là, Notre Seigneur lui fit comprendre que c'était le temps de leurs Divines Fiançailles et qu'il la comblerait de Faveurs durant tout le temps de son noviciat. Cette parole se vérifia si bien, et la novice fut parfois tellement inondée de consolations et de grâces extraordinaires, qu'elle habitait réellement d'autres régions que celles de la terre, ce qui la jetait dans une singulière confusion. Comme on la remarquait toujours perdue en Dieu, les supérieures voulurent s'assurer de l'Esprit qui la conduisait.
Pour cela, on la retirait à tout propos des exercices spirituels, l'envoyant balayer au lieu de faire oraison et semant sous ses pas mille et mille occasions de sacrifice et de renoncement. Soeur Marguerite-Marie, qui trouvait son ciel dans la volonté de Dieu, était contente de tout et jouissait tout aussi bien de son Jésus, en agissant pour lui, qu'en s'abîmant en lui, par la contemplation. Aussi s'en allait-elle, paisible et sereine, à ses petites occupations, chantant ce naïf couplet, qu'elle avait composé
Plus l'on contredit mon amour,
Plus cet unique bien m'enflamme ;
Que l'on m'afflige nuit et jour
On ne peut l'ôter à mon âme.
Plus je souffrirai de douleur,
Plus il m'unira à son Coeur (1).
Une fois, me voulant tourner pour me soulager une épaule qui me faisait mal, il me dit ces paroles : que lorsqu'il portait sa Croix, il ne la changeait pas de côté pour se soulager (1). » Marguerite-Marie s'en souvint toujours.
Une seule chose la tourmentait. « Je me sentais une faim insatiable des humiliations et mortifications, » dit-elle, « bien que mon naturel sensible les ressentît vivement. Mon Divin Maître me pressait sans cesse d'en demander, ce qui m'en procurait de bonnes ; car, quoiqu'on me refusât celles que je demandais, comme indigne de les faire, on m'en donnait d'autres que je n'attendais pas, et si opposées à mes inclinations, que j'étais obligée de dire à mon Bon Maître, dans l'effort de la violence qu'il me fallait faire — Hélas ! venez à mon secours, puisque vous en êtes la cause ! — Ce qu'il faisait en me disant : — Reconnais donc que tu ne peux rien sans Moi, qui ne te laisserai point manquer de secours, pourvu que tu tiennes toujours ton néant et ta faiblesse abîmés dans ma force (2). »
Un acte de générosité, accompli par Soeur Marguerite-Marie dans une rencontre très coûteuse à la nature, lui valut un redoublement de libéralité dans les faveurs de son doux Seigneur. Le fait est bien simple, si simple même, qu'il surprend dans une telle vie; mais il montre du moins quel prix Dieu attache aux petites choses faites avec un grand amour.
Afin de la déprendre d'une affection trop naturelle pour une de Ses compagnes, il fallut que l'Ami Divin se montrât sévère, lui disant qu'il ne voulait point de coeur partagé, que si elle ne se retirait des créatures, il se retirerait d'elle. Ce reproche fut décisif. Mais en cette circonstance, Celui qui se nomme un « Dieu jaloux (4) » avait dû attendre quelques mois, avant de triompher des résistances de cette nature aimante.
Le Sauveur lui fit alors voir Son Corps sacré, couvert des plaies qu'il avait souffertes pour son amour, lui reprochant son ingratitude et sa lâcheté à se dominer pour l'amour de lui. « Que voulez-vous donc, mon Dieu, que je fasse, puisque ma volonté est plus forte que moi ? » Il lui dit que si elle la mettait dans la plaie de Son sacré Côté, elle n'aurait plus de peine à se surmonter.
« O mon Sauveur, » s'écria-t-elle, « mettez-l'y si avant et l'y fermez si bien, que jamais elle n'en sorte!... » Dès ce moment, tout lui parut si facile qu'elle n'eut plus de peine à se vaincre (1). »
Néanmoins, dans un autre ordre d'idées, Notre-Seigneur devait encore rencontrer des résistances en cette âme d'élite.
Serait-ce pendant son noviciat qu'il lui dit : « Je cherche une victime pour mon Coeur, laquelle se veuille sacrifier comme une hostie d'immolation à l'accomplissement de Mes Desseins ? (2) »
C'est très probable ; mais ce qui est incontestable, c'est que, le jour où le divin Maître lui fit cette confidence, Soeur Marguerite-Marie se récusa de toutes ses forces, ne pouvant comprendre comment la Sainteté infinie de Dieu jetait les yeux sur elle pour un tel office de propitiation. D'autres âmes étaient bien plus propres à le remplir que la sienne, pensait-elle sincèrement. Mais Notre-Seigneur insiste et sa voix prend le ton du commandement : « Je n'en veux point d'autre que toi, et-je veux que tu consentes à Mon Désir. (1) » Elle allègue qu'elle dépend de l'obéissance. Vain prétexte devant Celui qui tient les coeurs des hommes en sa main... Il inspire à la supérieure d'approuver ce qu'il demande de Sa servante. Désormais celle-ci ne pourra plus se soustraire aux Divines Exigences.
Quand un Artiste a devant lui une perle, précieuse entre toutes, il médite longtemps comment il l'enchâssera ; et c'est un des secrets de son génie de combiner un enchâssement d'autant plus sobre d'ornements que la perle est plus belle en elle-même.
De toute éternité, le Coeur de Jésus avait choisi l'Institut fondé par saint François de Sales et sainte Jeanne de Chantal pour y enchâsser sa Marguerite; parce que là, tout devait être simple, humble, caché, l'incomparable éclat de cette perle du Ciel ne ferait que resplendir davantage aux yeux de toute l'Église. Non seulement Marguerite-Marie est appelée à la Visitation et rien ne changera cette élection divine ; mais le Souverain Seigneur va prendre soin d'avertir notre Sainte qu'il veut qu'elle préfère Sa Règle à tout le reste, et que Lui-même y ajustera Ses Grâces. Elle devra vivre de l'Esprit de Sa Règle avant tout. Les Faveurs de son Divin Époux l'y enfonceront toujours plus, au lieu de l'en retirer jamais.
Toujours plein d'une divine condescendance, le Maître répondit à la novice : « Eh bien! ma fille, je t'accorde tout cela, car je te rendrai plus utile à la religion qu'elle ne pense, mais d'une manière qui n'est encore connue que de moi ; et désormais j'ajusterai Mes Grâces à l'esprit de ta règle, à la volonté de tes supérieures et à ta faiblesse ; en sorte que tu tiennes suspect tout ce qui te retirera de l'exacte pratique de ta règle, laquelle je veux que tu préfères à tout le reste.
De plus, je suis content que tu préfères la volonté de tes supérieures à la mienne, lors qu'elles te défendront de faire ce que je t'aurai ordonné. Laisse-les faire tout ce qu'elles voudront de toi : je saurai bien trouver le moyen de faire réussir Mes Desseins, même par des moyens qui y semblent opposés et contraires.
Et je ne me réserve que la conduite de ton intérieur et particulièrement de ton coeur, dans lequel, ayant établi l'empire de Mon pur Amour, je ne le céderai jamais à d'autres (1). »
Cette vraie obéissante crut à la parole de son Dieu; si bien que, malgré les recherches les plus minutieuses, les Soeurs qui avaient aperçu les deux bêtes courant dans le potager, n'y purent trouver aucune trace de leur passage.
Ici, Soeur Marguerite-Marie a une comparaison vivante, pour rendre ce qui, alors, se passa en son âme, sous l'application du sang rédempteur. « Il me semblait me voir et sentir dépouillée et revêtue en même temps d'une robe blanche, avec ces paroles : — « Voici la robe d'innocence dont je revêts ton âme, afin que tu ne vives plus que de la vie d'un Homme-Dieu, c'est-à-dire que tu vives comme ne vivant plus, mais me laisser vivre dans toi. Car je suis ta vie, et tu ne vivras plus qu'en Moi et par Moi (1). »
Cette robe d'innocence, que le Seigneur en était jaloux pour Sa bien-aimée ! Dans un autre écrit, elle rapporte plus au long les paroles de son Souverain :
« Moi, ton Époux, ton Dieu et ton Amour, Ma bien-aimée, je suis venu pour revêtir ton âme de la robe d'innocence, afin que tu ne vives que de la vie d'un Homme-Dieu, et pour cela je simplifierai et purifierai toutes tes puissances, afin qu'elles ne reçoivent plus aucune impression étrangère. Et c'est en présence de la Sainte Trinité et de Ma sainte Mère que je te fais cette Grâce, laquelle si tu viens une fois à perdre, tu ne la recouvreras jamais, et tu te précipiteras dans un abîme si profond, à cause de la hauteur du lieu où je t'ai logée, qui est la plaie de mon Coeur, que tu ne pourras jamais te relever de cette chute (2). ».
Son Divin Maître lui répondit : « Souviens-toi que c'est un Dieu crucifié que tu veux épouser; c'est pourquoi il te faut rendre conforme à lui, disant adieu à tous les plaisirs de la vie, puisqu'il n'y en aura plus pour toi qu'il ne soit traversé de la croix (1). »
Pendant cette mémorable retraite, Soeur Marguerite-Marie se traça un plan de perfection — ou plutôt l'Esprit-Saint le lui traça de main de maître. « Voici mes résolutions qui doivent durer jusqu'à la fin de ma vie, puisque mon Bien-Aimé les a dictées lui-même.
Après l'avoir reçu dans mon coeur, il me dit : — Voici la plaie de mon Côté, pour y faire ta demeure actuelle et perpétuelle. C'est où tu pourras conserver la robe d'innocence dont j'ai revêtu ton âme, afin que tu vives désormais de la vie d'un Homme-Dieu ! vivre comme ne vivant plus, afin que je vive parfaitement en toi, ne pensant à ton corps et à tout ce qui t'arrivera comme s'il n'était plus; agissant comme n'agissant plus, mais Moi seul en toi. Il faut pour cela que tes puissances et tes sens demeurent ensevelis dans Moi et que tu sois sourde, muette, aveugle et insensible à tontes les choses terrestres : vouloir comme ne voulant plus, sans jugement, sans désir, sans affection et sans volonté que celle de Mon bon Plaisir, qui doit faire toutes tes délices; ne cherchant rien hors de Moi, si tu ne veux faire injure à Ma Puissance et M'offenser grièvement, puisque je te veux être toutes choses.
« Sois toujours disposée à Me recevoir, je serai toujours prêt à Me donner à toi, parce que tu seras souvent livrée à la fureur de tes ennemis. Mais ne crains rien, je t'environnerai de Ma Puissance et serai le prix de tes victoires. Prends garde de ne jamais ouvrir les yeux pour te regarder hors de Moi ; et qu'aimer et souffrir à l'aveugle soit ta devise. Un seul Coeur, un seul Amour, un seul Dieu ! »
Ce qui suit était écrit de son sang : « Moi, chétive, et misérable néant, proteste à mon Dieu me soumettre et sacrifier à tout ce qu'il désire de moi, immolant mon coeur à l'accomplissement de Son bon Plaisir, sans réserve d'autre intérêt que Sa plus grande Gloire et Son pur Amour, auquel je consacre et abandonne tout mon être et tous mes moments.
« Je suis pour jamais à mon Bien-Aimé, Son esclave, Sa servante et Sa créature, puisqu'il est tout à moi, et suis Son indigne épouse : Soeur Marguerite-Marie, morte au monde, Tout de Dieu et rien de moi ! Tout à Dieu et rien à moi !Tout pour Dieu et rien pour moi! (1) »
Le 6 novembre 1672, elle s'étendit sous le drap mortuaire — selon le cérémonial de l'Ordre — après avoir prononcé les trois voeux de pauvreté de chasteté et d'obéissance, triple et bienheureuse chaîne qui l'unissait pour jamais au Dieu de son coeur et au Coeur de son Dieu.
Le célébrant venait de lui dire : « Ma Soeur, vous êtes morte au Monde et à vous-même, pour ne vivre plus qu'à Dieu (1). »
Quel écho ces paroles trouvèrent-elles en son âme ?
Nous allons l'entendre : « Étant donc enfin parvenue au bien tant désiré de la sainte profession, c'est en ce jour que mon Divin Maître voulut bien me recevoir pour Son épouse, mais d'une manière que je me sens impuissante d'exprimer.
Mais seulement je dirai qu'il me parait et traitait comme une épouse du Thabor ; ce qui m'était plus dur que la mort, ne me voyant point de conformité avec mon Époux, que j'envisageais tout défiguré et déchiré sur le Calvaire.
Mais il me fut dit : — Laisse-moi faire chaque chose en son temps, car je veux que tu sois maintenant le jouet de Mon Amour, qui se veut jouer de toi selon Son bon Plaisir comme les enfants font de leurs poupées ; et faut que tu sois ainsi abandonnée, sans vue ni résistance, Me laissant contenter à tes dépens ; mais tu n'y perdras rien. — Il me promit de ne me plus quitter, en me disant : — Sois toujours prête et disposée à Me recevoir, car je veux désormais faire Ma Demeure en toi, pour converser et m'entretenir avec toi (2). »
Là ne se bornèrent pas les Faveurs Divines, Notre-Seigneur mit alors le Sceau à toutes celles qu'il avait déjà faites à sa servante et voici comment. Immédiatement après le texte que nous venons de citer, elle ajoute : « Et dès lors, il me gratifia de Sa Divine Présence, mais d'une manière que je n'avais encore point expérimentée, car jamais je n'avais reçu une si grande grâce, pour les effets qu'elle a opérés toujours en moi depuis. Je le voyais, le sentais proche de moi, et l'entendais beaucoup mieux que si ce fût été des sens corporels, par lesquels j'aurais pu me distraire pour m'en détourner; mais je ne pouvais mettre d'empêchement à cela, n'y ayant rien de ma participation. Cela imprima en moi un si profond anéantissement, que je me sentis d'abord comme tombée et anéantie dans l'abîme de mon néant, d'où je n'ai pu sortir depuis, par respect et hommage à cette Grandeur Infinie, devant laquelle j'aurais toujours voulu être la face prosternée contre terre ou à genoux : ce que j'ai fait depuis, autant que les ouvrages et ma faiblesse l'ont pu permettre (1). »
Ailleurs, revenant sur cette Grâce immense que lui fit Notre-Seigneur, la Sainte écrit ces mots : « Il me dit que je ne devais rien craindre, parce qu'il me promettait une des plus Grandes Grâces qu'il eût jamais faites à aucun de Ses amis, qui était de me gratifier de Sa Présence actuelle et continuelle (2). »
Puis Notre-Seigneur l'avertit comment il la punira de ses fautes : « Lorsque tu feras des fautes, je les purifierai par les souffrances, si tu ne le fais par la pénitence et je ne te priverai point de Ma Présence pour cela, mais je te la rendrai si douloureuse qu'elle tiendra lieu de tout autre supplice.
« — Et dans ce moment, il effectua si bien Sa Promesse qu'il m'était toujours présent. Et je le sentais toujours proche de moi, comme si l'on était proche de quelqu'un que les ténèbres de la nuit empêcheraient de voir des yeux du corps. Mais la vue perçante de l'amour me le fit voir et sentir d'une manière bien plus aimable et certaine et de différentes manières (1). »
« Je ne me souciais plus ni du temps ni du lieu, depuis que mon Souverain m'accompagnait partout, » lisons-nous dans l'Autobiographie. « Je me trouvais indifférente à toutes les dispositions que l'on pût faire de moi; étant bien sûre que, s'étant ainsi donné à moi sans aucun mien mérite de ma part, mais par Sa pure Bonté, et que, par conséquent on ne me le pourrait pas ôter, cela me rendait contente partout (2). »
elle recueillit la myrrhe des souffrances et des humiliations. Jamais cependant elle ne se sentait rassasiée de ce côté-là.
Nommée d'abord aide à l'infirmerie, elle confesse ingénument que Dieu seul peut connaître ce qu'elle y eut à souffrir, tant de la part de mon naturel prompt et sensible, » écrit-elle, « que de celle des créatures et du démon, lequel me faisant souvent tomber et rompre tout ce que je tenais entre les mains, et puis se moquait de moi, en me riant quelquefois au nez : — Oh la lourde ! tu ne feras jamais rien qui vaille ! — Ce qui jetait mon esprit dans une tristesse et abattement si grand que je ne savais que faire, car souvent il m'ôtait le pouvoir de le dire à notre Mère, parce que l'obéissance abattait et dissipait toutes ses forces (1). »
En revanche, les communications entre Jésus-Christ et cette âme sont incessantes. Mais il faut avouer qu'elles se passent sur un terrain bien, différent de celui où nous vivons habituellement.
Un jour, après la sainte communion, Notre-Seigneur daigna demander à Soeur Marguerite-Marie de lui réitérer le Sacrifice qu'elle lui avait déjà fait de sa liberté et de tout son être. « Ce que je fis de tout mon Coeur, pourvu, lui dis-je, ô mon Souverain Maître, que vous ne fassiez jamais rien paraître en moi d'extraordinaire, que ce qui me pourra le plus causer d'humiliation et d'abjection devant les créatures et me détruire dans leur estime : car hélas ! mon Dieu, je sens ma faiblesse, je crains de vous trahir et que vos dons ne soient pas en sûreté dans moi.
— Ne crains rien, ma fille, me dit-il, j'y mettrai bon ordre, car je m'en rendrai le Gardien Moi-même et te rendrai impuissante à me résister. — Eh quoi ! mon Dieu, me laisserez-vous toujours vivre sans souffrir? (1) » — Alors Notre-Seigneur lui montra une grande croix toute couverte de fleurs, l'assurant que ces fleurs tomberaient peu à peu et qu'il ne lui resterait que les épines. Ce lui fut une Annonce qui ravit son âme, au lieu de l'effrayer.
Une veille de communion, je demandai à mon Jésus d'unir mon coeur au sien, puisque c'était là toute ma prétention. Et, me disant comment se pourrait-il faire d'unir le néant au Tout. — Je sais que cela ne se peut que par votre amour. — Et, me faisant voir par la suprême pointe de l'entendement ce beau Coeur plus éclatant qu'un Soleil et d'une Infinie Grandeur et un petit point qui ne semblait qu'un atome et qui était tout noir et défiguré, mais qui faisait tous ses efforts pour s'approcher de cette belle Lumière ; mais c'était en vain, si ce Coeur amoureux ne l'eût attiré lui-même en disant: — Abîme-toi dans Ma Grandeur et prends garde de n'en jamais sortir, parce que, si tu en sors, tu n'y rentreras plus. — Et je trouve mon coeur tellement lié à l'oraison, que je suis quelquefois comme si je n'en avais plus de jouissance, et dans une paix si grande que je n'ai d'autre inquiétude que de ne pas aimer mon Dieu et que je n'emploie pas bien mon temps en l'exercice de Son Saint Amour. Et m'imaginant quelquefois que c'était le démon qui me tenait ainsi, je disais à Dieu : — Faites-moi connaître les ruses du démon, afin que je les évite! — Mais, mon Bien-Aimé m'a fait entendre que le démon ne pouvait connaître (49) l'intérieur, que lorsque l'on en donnait quelque signe extérieur, et qu'il ne pouvait donner la paix à un coeur (1). »
Soeur Marguerite-Marie était sujette à des extinctions de voix qui l'empêchaient de chanter l'office, ce qui lui était fort sensible. La veille de la Visitation, Ier juillet 1673, il y avait déjà longtemps qu'elle subissait cette privation, qu'elle regardait comme un châtiment. Ayant fait de vains efforts pour essayer de suivre le choeur au début des matines et ne pouvant y réussir, elle s'anéantit dans le sentiment de l'adoration. Tout à coup, pendant le Te Deum, tandis qu'elle tenait ses bras modestement croisés dans ses manches, une Divine Lumière vint s'y reposer sous la figure d'un petit enfant éclatant comme un Soleil. Transportée d'un tel spectacle, elle dit, « dans un profond silence : — Mon Seigneur et mon Dieu, par quel excès d'amour abaissez-vous ainsi votre Grandeur Infinie ? — Je viens, ma fille, te demander pourquoi tu me dis si souvent de ne me point approcher de toi ?
— Vous le savez, ó mon Souverain, que c'est que je ne suis pas digne de m'approcher de vous, et bien moins de vous toucher. — Apprends que, plus tu te retires dans ton néant, plus Ma Grandeur s'abaisse pour te trouver. » Craignant que ce ne fût un Ange de Satan, l'humble Marguerite s'écria:
« Si c'est vous, ô mon Dieu, faites donc que je chante vos louanges! » A l'heure même, la voix lui revint, plus libre et plus forte que jamais. L'heureuse privilégiée poursuivit le chant du Te Deum avec le choeur, et le reste des matines se passa ainsi, sans que toutes les caresses que lui prodiguait alors le Divin Enfant la détournassent un instant de l'attention respectueuse qu'elle devait au saint office. Notre-Seigneur l'en bénit, disant : « J'ai voulu éprouver le motif dont tu récites Mes louanges ; car si tu te fusses tenue un peu moins attentive à les dire, je me serais retiré. —
« Ayant gardé ma voix assez longtemps, » poursuit-elle, « je la perdis une seconde fois et, l'ayant demandée à Notre-Seigneur, il me fut répondu qu'elle n'était pas à moi, et qu'il me l'avait prêtée pour m'obliger à croire, et que je devais demeurer contente en la perdant comme en la possédant et j'en suis demeurée depuis dans l'indifférence (1). » C'est qu'elle ne trouvait rien de plus profitable à une âme que ce parfait abandon pour toutes choses (2). »
Cette maxime, elle la tenait de Notre-Seigneur lui-même, car il lui avait donné à entendre que c'était à elle à se soumettre indifféremment à tous les Vouloirs de son Dieu, sans se mêler de lui donner des lois, et il avait ajouté : « Je te ferai comprendre dans la suite que je suis un Sage et savant Directeur, qui sais conduire les âmes sans danger, lorsqu'elles s'abandonnent à Moi en s'oubliant d'elles-mêmes (3). » Et il réprimait en celle-ci jusqu'à l'ombre d'une imperfection.
Qu'il suffise de dire que, de jour en jour, Notre-Seigneur lui faisait faire un pas de plus dans le sublime et mystérieux Sentier qui devait la conduire aux Grandes Révélations du Sacré Coeur.
Déjà, il le lui manifestait, ce Coeur divin, et bien que ce ne fût encore que d'une manière qui dût lui rester intime et personnelle, Marguerite-Marie n'en commençait pas moins à se sentir consumée du désir de publier partout l'Amour du Coeur de son Dieu.
Un jour, une voix intérieure lui disait sans cesse qu'elle était sur le bord d'un précipice. Ne comprenant pas comment se l'expliquer à elle-même, elle confie sa peine à Notre-Seigneur : « Unique Amour de mon âme, faites-moi connaître ce qui m'inquiète! » A l'oraison, Notre-Seigneur se présente à elle tout couvert de plaies, lui disant de regarder l'ouverture de Son sacré Côté, qui était un abîme sans fond, creusé par une flèche sans mesure, celle de l'Amour. Si elle voulait éviter l'abîme qu'elle se plaignait de ne pouvoir connaître, il fallait se perdre dans celui-ci, car c'était la Demeure de ceux qui l'aiment.
L'âme y rencontre la Source des eaux vives pour se purifier et recevoir en même temps la vie de la grâce, que le péché lui avait ôtée.
Le coeur y trouve une fournaise d'amour qui ne le laisse plus vivre que d'une vie d'amour (1).
Un autre jour, Soeur Marguerite-Marie, sentant son âme plongée dans une sorte d'agonie, Notre-Seigneur l'honora de Sa Visite et lui dit : « Entre, ma fille, dans ce parterre délicieux, pour ranimer ton âme languissante. »
Elle comprit qu'il parlait de Son Sacré Coeur, « dont la diversité des fleurs était autant aimable que leur beauté était admirable ».
Mais comme elle n'osait les toucher, il l'y invita par ces mots : « Tu en peux cueillir à ton gré. » Alors, se jetant à Ses pieds, elle s'écria : « O mon Divin Amour, je n'en veux point d'autre que vous, qui m'êtes un bouquet de myrrhe, que je veux porter continuellement entre les bras de mes affections. — Tu as bien su choisir, me dit-il ; car toutes les autres fleurs sont passagères et ne peuvent longtemps durer en cette vie mortelle sans se flétrir. Il n'y a que la myrrhe que tu choisis qui puisse conserver sa beauté et son odeur et cette vie est sa saison : il n'y en a point dans l'éternité (2). »
mon Bien-Aimé se présenta devant moi : — Je te veux faire lire dans le Livre de vie, où est contenue la Science d'amour. — Et me découvrant Son Sacré Coeur, il m'y fit lire ces paroles : — Mon Amour règne dans la souffrance, il triomphe dans l'humilité et il jouit dans l'Unité ; — ce qui s'imprima si fort dans mon esprit que je n'en ai jamais perdu la mémoire (2). »
Le 4 octobre, fête de saint François d'Assise, Dieu donnait ce séraphique patriarche pour conducteur spécial à Soeur Marguerite-Marie, après lui avoir montré la gloire incomparable dont il jouit au Ciel et lui avoir dit que c'était « un des plus grands favoris de Son Sacré Coeur. » Marqué des sacrés stigmates, amant passionné de la pauvreté, ne voulant connaître que Jésus-Christ crucifié, François avait été sur la terre une vivante image du Sauveur du Monde. A cause de cela, il avait désormais un grand pouvoir au Ciel, pour obtenir aux âmes l'application efficace des mérites du précieux Sang. Il semble que ses mains percées fussent plus dignes d'être comme le canal par lequel ce Sang adorable voulait couler sur les pécheurs. François d'Assise était aussi un puissant avocat pour les Ordres religieux déchus de leur première ferveur.
Notre-Seigneur dit à sa servante que c'était comme gage de Son Divin Amour qu'il lui donnait un tel protecteur, pour la conduire dans ses peines et souffrances (1).
Plus Notre-Seigneur s'incline vers elle, plus c'est pour l'initier aux inénarrables douleurs de Son Coeur divin. La Sainte méditait un jour sur l'agonie du Sauveur au jardin des Oliviers, et se sentait fort pressée du désir de participer aux angoisses du Dieu fait Homme.
Il l'exauça. « C'est ici où j'ai plus souffert intérieurement qu'en tout le reste de ma Passion, » lui dit-il, « me voyant dans un délaissement général du Ciel et de la Terre, chargé de tous les Péchés des hommes. « J'ai paru devant la Sainteté de Dieu, qui, sans avoir égard à mon innocence, m'a froissé en Sa Fureur, me faisant boire le calice qui contenait tout le fiel et l'amertume de Sa Juste Indignation, et comme s'il eût oublié le Nom de Père pour me sacrifier à Sa Juste Colère. Il n'y a point de créature qui puisse comprendre la grandeur des tourments que je souffris alors. C'est cette même douleur que l'âme criminelle ressent lorsqu'étant présentée devant le Tribunal de la Sainteté Divine, qui s'appesantit sur elle, la froisse et l'opprime, et l'abîme en Sa juste Rigueur. »
Continuant Ses adorables Confidences, Notre-Seigneur ajouta : « Ma Justice est irritée et prête de punir, par des Châtiments manifestes, des pécheurs cachés, s'ils ne font pénitence ; et je te veux faire connaître lorsque Ma Justice sera prête à lancer ses coups sur ces têtes criminelles. Ce sera lorsque tu sentiras appesantir Ma Sainteté sur toi, qui dois élever ton coeur et tes mains au Ciel, par prières et bonnes oeuvres, Me présentant continuellement à Mon Père, comme une Victime d'Amour, immolée et offerte pour les Péchés de tout le monde, me mettant comme un Rempart et un Fort assuré entre Sa Justice et les Pécheurs (1). » elle sentit la Main de Dieu se poser sur elle.
Voici en quelle manière : « Les deux ou trois premiers jours, cette Sainteté Divine s'appesantit et s'imprima si fort en moi, qu'elle me rendait incapable de faire l'oraison et de supporter la douleur intérieure que je sentais, si la même puissance qui me faisait souffrir ne m'avait soutenue, car je sentais un désespoir et douleur si grande de paraître devant mon Dieu, que j'aurais voulu mille fois m'abîmer, me détruire et m'anéantir, s'il avait été à mon pouvoir, tant je me sentais indigne de paraître devant cette Divine Présence, dont je ne me pouvais retirer, d'autant qu'elle me poursuivait partout comme une criminelle qui était prête à recevoir sa condamnation; mais avec une soumission si grande au Divin Vouloir de mon Dieu, que je suis toujours disposée à recevoir toutes les peines, douleurs qu'il lui plaira m'envoyer, et avec même amour et contentement que je ferais la suavité de son amour (1). »
Souffrir de la part des créatures, c'est souvent bien amer pour une nature délicate... Mais souffrir de la Part du Créateur lui-même, c'est une peine d'une acuité bien autrement pénétrante. Job accusait le Seigneur de le tourmenter merveilleusement (2). Marguerite-Marie ressentait ce Tourment Divin, lorsqu'elle voyait s'appesantir sur elle ce qu'elle nomme les Deux Saintetés de Dieu : Sainteté d'Amour, Sainteté de Justice. En portant le poids de la Sainteté d'Amour, la Servante de Dieu devait expier pour les âmes du Purgatoire. Le poids de la Sainteté de Justice devait surtout la faire souffrir pour les Pécheurs et particulièrement pour les âmes consacrées à Dieu, « pour lesquelles, » lui dit un jour son Époux Céleste, « je te ferai voir et sentir dans la suite ce qu'il te conviendra souffrir pour Mon Amour (1). »
Mais il faut l'entendre elle-même décrire les opérations de cet Amour en elle. De tels accents ne sont pas de la Terre.
« Une autre fois, ce Souverain de mon âme me dit : — Je te veux être toute chose, ta joie et ta consolation, mais je serai aussi ton supplice. — Je connus l'effet de ces paroles.
Entre Ses Perfections Divines, celle qui devait effectuer Ses Promesses, qui était Sa Sainteté d'Amour et de Justice, je confesse qu'il est difficile à une créature d'en exprimer les effets, n'ayant jamais rien senti de si douloureux que cette Sainteté de Justice, qui s'imprime dans l'âme d'une manière si terrible qu'elle voudrait se précipiter dans toutes les peines imaginables et s'immoler à souffrir celle des damnés, plutôt que de paraître devant la Sainteté de Dieu avec un seul péché. L'âme ressemble à une huile bouillante qui pénètre jusqu'à la moelle des os et rend le corps si insensible à toutes autres douleurs qu'elles lui semblent plutôt un rafraîchissement qu'une souffrance.
Ce que je trouve de plus rigoureux, c'est la Présence de mon Souverain, lorsqu'il m'en favorise en cet état. Il donne des impressions de Sa Pureté, qu'il est impossible à l'âme de se supporter, se voyant dans un état si abominable. Elle voudrait pouvoir fuir et se cacher, mais c'est en vain. Ce Dieu plein d'Amour prend plaisir de la voir en cet état, lui fait trouver partout ce qu'elle fuit. Ce n'est pas qu'elle voulût, pour quoi que ce soit, perdre la vue de son Bien-Aimé, en faisant aucune action qui lui pût déplaire. Elle souffrirait mille morts à la vue de son indignité. Elle dit souvent avec saint Pierre : — Retirez-vous de moi, car je suis une pécheresse. — Bien loin de désirer d'être délivrée de cet état souffrant, j'aurais voulu, à chaque moment, voir augmenter mes peines.
La Sainteté d'Amour ne cause guère moins de souffrance, à la réserve que toutes ces peines donnent à l'âme des mouvements de joie et de contentement si grands, qu'il n'est pas moins difficile de les exprimer. Elle donne à l'âme un désir si ardent d'être unie à Dieu, qu'elle n'a de repos ni jour ni nuit, car le lit et la table lui semblent un gibet où elle ne va que pour se crucifier ; les conversations font son supplice. Dieu se faisant voir incessamment à l'âme et lui découvrant les Trésors dont il l'enrichit, et l'aident Amour qu'il a pour elle et le peu de correspondance qu'elle a, Son Amour la presse si vivement de l'aimer, qu'il n'y a que le Divin Auteur de ces Opérations qui puisse exprimer ce que c'est. Alors, l'âme n'a plus d'intérêts ni de désirs et d'empressements que pour son unique Amour ; le reste lui semble superflu ou inutile (1). »
Les Avertissements Divins se multipliaient. Un jour, elle croit entendre ces paroles : « Le Seigneur se lasse d'attendre, il veut entrer dans ses greniers pour cribler Son froment et séparer le bon grain d'avec le chétif. » Toutefois, elle ne s'arrête pas à cette pensée et cherche au contraire à s'en détourner, comme d'une distraction. Mais de nouveau la Sainteté de Dieu s'appesantit sur elle et une Voix toute-puissante se fait entendre, disant : « Mon peuple choisi me persécute secrètement et ont irrité Ma Justice! Mais Je manifesterai ses péchés secrets par des Châtiments visibles, car je les criblerai dans le crible de Ma Sainteté, pour les séparer d'avec Mes bien-aimés. » Et, lui découvrant Son Coeur tout déchiré et transpercé de coups, le Sauveur ajouta : « Voilà les blessures que je reçois de Mon peuple choisi. Les autres se contentent de frapper sur Mon corps; mais ceux-ci attaquent Mon Coeur, qui n'a jamais cessé de les aimer (1). »
Et, une autre fois, se présentant encore à elle sous un aspect plus sanglant, son Coeur Sacré paraissant navré de douleur : «Voilà l'état où me réduit Mon peuple choisi, que j'avais destiné pour apaiser Ma Justice et il me persécute secrètement. S'il ne s'amende, je les châtierai sévèrement; je retirerai Mes justes et j'immolerai le reste à Ma juste Colère, qui s'embrasera contre eux. »
Fidèle à ce que lui avait enseigné son Bien-Aimé, Marguerite-Marie conclut en disant: « Je lui présentai son amour souffrant, dont un des regards était capable d'apaiser son courroux (1). »
La Sainte Communion m'était si douloureuse qu'il me serait difficile d'exprimer la peine que je sentais en m'en approchant, bien qu'il ne me fût pas permis de m'en retirer, puisque c'était lui-même qui me faisait souffrir cet état, me défendant même de m'en éloigner. Je pouvais dire avec le Prophète que mes larmes me servaient de pain nuit et jour. Le Saint Sacrement, qui était tout mon refuge, me traitait avec tant d'indignation que j'y souffrais une espèce d'agonie, et je n'y pouvais demeurer qu'en me faisant une extrême violence. Et si, hors les temps d'obligation, je m'en allais me présenter devant elle (2), en disant : — Où voulez-vous que j'aille, ô Divine Justice, puisque vous m'accompagnez partout ? — j'entrais et sortais sans savoir ce que je devais faire, et sans trouver de repos que celui de la douleur (3). »
Un jour, comme Notre-Seigneur lui prescrivait certaines prières et pratiques, elle lui répondit simplement : « Mon Seigneur, vous savez que je ne suis point à moi et que je ne ferai que ce que ma Supérieure m'ordonnera. — Je ne l'entends pas autrement, » reprend-il, « car, Tout-Puissant que je suis, je ne veux rien de toi qu'avec la dépendance de ta Supérieure. Écoute bien ces paroles de la bouche de la vérité :
Tous religieux séparés et désunis de leurs supérieurs se doivent regarder comme des vases de réprobation, dans lesquels toutes les bonnes liqueurs sont changées en corruption, sur lesquelles le Divin Soleil de Justice, venant à darder, opère le même effet que le soleil luisant sur la boue. Ces âmes sont tellement rejetées de Mon Coeur, que, plus elles tâchent d'en approcher par le moyen des sacrements, oraison et autres exercices, plus je m'éloigne d'elles pour l'horreur que j'en ai (1). »
La leçon était poignante. Mais elle ne visait point l'âme très obéissante qui se l'appropriait pourtant si humblement, bien qu'elle n'eût besoin de la retenir que pour la répéter aux autres. En lui disant personnellement à elle-même : « J'aime l'obéissance et sans elle on ne me peut plaire (2). » Notre-Seigneur savait que c'en était assez pour l'attacher irrévocablement à cette vertu des parfaits.
L'âme de Marguerite-Marie ne peut pas plus vivre hors de Dieu, que notre être humain ne peut vivre hors de l'air qu'il respire. Son élément à elle, c'est « la Plénitude de Dieu. » Elle est parfois sublime lorsqu'elle expose ce qu'elle ressent « Mon Bien-Aimé a consommé en lui tous mes désirs, ne m'en ayant laissé que celui de me rendre une pure capacité de Son Divin Amour, et il ne m'a laissé aucune crainte que celle du péché... Comme toute chose n'a de repos que dans son centre, et que chacun cherche ce. qui lui est propre, mon coeur, tout abîmé dans son centre, qui est le Coeur humble de mon Jésus, a une soif inaltérable des humiliations et mépris et d'être oublié de toutes les créatures, ne me trouvant jamais plus satisfaite que lorsque je suis conforme à mon Époux crucifié. C'est ce qui me fait aimer mon abjection plus que ma vie, tenant serré sur ma poitrine ce trésor précieux, comme un gage de l'Amour de mon Bien-Aimé, qui ne me doit jamais quitter un seul moment (1). » .
« Lorsque je m'éveille, il me semble trouver mon Dieu Présent, auquel mon coeur s'unit comme à son principe et sa seule plénitude. C'est ce qui me donne une soif si ardente d'aller devant le Saint Sacrement, que les moments que je demeure à m'habiller me durent des heures, et je me sens une douleur si vive et si pressante que je me sens liée et serrée si fortement qu'il m'est impossible d'y résister. je m'en vais comme une malade languissante, me présenter à mon Médecin Tout-Puissant, hors duquel je ne peux trouver de repos ni de soulagement.... je me tiens à Ses Pieds comme une hostie vivante, qui n'a d'autre désir que de lui être immolée et sacrifiée, pour me consommer comme une holocauste (1) dans les pures flammes de Son Amour, où je sens mon coeur se perdre comme dans une fournaise ardente.
Il me semblé que mon esprit s'éloigne de moi, pour s'aller perdre dans l'immense Grandeur de Dieu, sans qu'il soit à mon pouvoir de l'appliquer à mon point d'oraison, mais seulement il se contente de cet unique objet. Mon entendement demeure dans un aveuglement si grand, qu'il n'a aucune lumière ni connaissance que celle que ce Divin Soleil de Justice lui communique de temps en temps, dont je n'ai d'autre impression ni mouvement que celui de l'aimer, dont je me sens quelquefois si pressée que je voudrais donner ma vie mille fois, pour lui témoigner le désir que j'ai de l'aimer. Et c'est en ce temps que j'emploie toutes mes forces pour l'embrasser, ce Bien-Aimé de mon âme; mais ce n'est pas des bras du corps, mais des intérieurs, qui sont les puissances de mon âme... »
Elle cherche à exprimer davantage encore ce qu'elle éprouve, puis elle dit : « Voilà les plus ordinaires occupations de mon oraison, non pas que je fais, mais que mon Dieu fait en moi, Sa chétive créature, puisque j'en sors le plus souvent sans savoir ce que j'y ai fait, ni sans faire aucune résolution, demande, ni offrande, que celle de mon Jésus à son Père éternel, en cette sorte : — Mon Dieu, je vous offre votre Fils bien-aimé pour mon action de grâces pour tous les biens que vous me faites, pour ma demande, mon offrande, pour mon adoration et pour toutes mes résolutions, et enfin je vous l'offre pour mon amour et mon tout. Recevez-le, Père éternel, pour tout ce que vous désirez que je vous rende, puisque je n'ai rien à vous offrir qui ne soit indigne de vous, sinon Celui dont vous me donnez la jouissance avec tant d'amour (1). »
Cette vraie humble était toujours un livre ouvert pour ses supérieures. Elle leur rapportait donc tout ce qui se passait en elle, « quoique souvent, » avoue-t-elle, « je ne comprenais ce que je leur disais (2). » Trop élevées dans les voies spirituelles, pour ne pas savoir que Dieu est libre de se communiquer à qui il lui plaît et comme il lui plaît, la Mère de Saumaise et la Soeur Thouvant n'en sont pas moins perplexes, en voyant ce qui arrive à la Soeur Alacoque. La prudence religieuse les oblige, au moins, à prémunir cette jeune professe contre tout sentiment de vaine complaisance, s'il en eût été besoin. Elles la préviennent que ces voies extraordinaires ne sont pas propres aux filles de Sainte-Marie, et elles s'appliquent à détruire, autant qu'elles peuvent, toutes ces opérations surnaturelles dans leur fidèle disciple. Celle-ci se soumet, suivant exactement tout ce que l'obéissance lui ordonne pour se retirer de cette Puissance Supérieure qui l'envahit et l'entraîne. Mais tout est inutile... Rien de plus touchant ni de plus beau que le Dialogue qui s'établit alors entre Soeur Marguerite-Marie et son unique Amour :
« Et je me plaignais à lui : — Eh quoi ! lui disais-je, ô mon Souverain Maître, pourquoi ne me laisser dans la voie commune des filles de Sainte-Marie ? M'avez-vous amenée dans votre Sainte Maison pour me perdre ? Donnez ces Grâces extraordinaires à ces âmes choisies, qui y auront plus de correspondance et vous glorifieront plus que moi, qui ne vous fais que des résistances. Je ne veux rien que votre amour et votre croix, et cela me suffit. pour être une bonne religieuse, qui est tout ce que je désire. » Et Notre-Seigneur reprenait : « Combattons, ma fille, j'en suis content, et nous verrons lequel remportera la victoire : du Créateur ou de Sa créature, de la force ou de la faiblesse, du Tout-Puissant ou de l'impuissance ; mais celui qui sera vainqueur le sera pour toujours (1). »
Et le Créateur triompha ! Et, de cette âme qui ne demandait qu'à être « une bonne religieuse, » il fit une sainte, dont il voulut avoir besoin, pour réaliser extérieurement le dernier effort de la Charité Divine envers les hommes !
Nous touchons à l'Heure marquée de toute éternité pour cette oeuvre de la Régénération du Monde par le Sacré Coeur. L'instrument qui doit y coopérer a été dégagé de tout alliage terrestre. Le Seigneur peut s'en emparer et s'en servir: Marguerite-Marie est prête !
MARGUERITE-MARIE EST CHOISIE DE DIEU POUR MANIFESTER AUX HOMMES « LE DERNIER EFFORT DE SON AMOUR. ». LES GRANDES RÉVÉLATIONS DU SACRÉ COEUR.
« Je m'oubliai de moi-même et du lieu où j'étais et je m'abandonnai à ce Divin Esprit, livrant mon cœur à la force de Son Amour. Il me fit reposer fort longtemps sur Sa divine poitrine, où il me découvrit les Merveilles de Son Amour et les Secrets inexplicables de Son Sacré Coeur, qu'il m'avait toujours tenus cachés jusqu'alors, qu'il me l'ouvrit pour la première fois, mais d'une manière si effective et sensible, qu'il ne me laissa aucun lieu d'en douter, pour les effets que cette Grâce produisit en moi, qui (68) crains pourtant toujours de me tromper en tout ce que je dis se passer en moi.
Et voici comme il me semble la chose s'être passée
« Il me dit : — Mon Divin Coeur est si passionné d'Amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de Son ardente Charité, il faut qu'il les répande par ton moyen, et qu'il se manifeste à eux, pour les enrichir de Ses précieux Trésors que je te découvre, et qui contiennent les Grâces sanctifiantes et salutaires nécessaires pour les retirer de l'abîme de perdition ; et je t'ai choisie comme un abîme d'indignité et d'ignorance pour l'Accomplissement de ce Grand Dessein, afin que tout soit fait par Moi. —
« Après, il me demanda mon coeur, lequel je le suppliai de prendre, ce qu'il fit, et le mit dans le sien adorable, dans lequel il me le fit voir comme un petit atome, qui se consommait dans cette ardente fournaise, d'où le retirant comme une flamme ardente en forme de coeur, il le remit dans le lieu où il l'avait pris, en me disant : — Voilà, Ma bien-aimée, un précieux Gage de Mon Amour, qui renferme dans ton côté une petite étincelle de ses plus vives flammes, pour te servir de coeur et te consommer jusqu'au dernier moment, et dont l'ardeur ne s'éteindra, ni ne pourra trouver de rafraîchissement que quelque peu dans la saignée, dont je marquerai tellement le sang de ma croix, qu'elle t'apportera plus d'humiliation et de souffrance que de soulagement. (69) C'est pourquoi je veux que tu la demandes simplement, tant pour pratiquer ce qui vous est ordonné que pour te donner la consolation de répandre ton sang sur la croix des humiliations. Et pour Marque que la Grande Grâce que je te viens de faire n'est point une imagination, et qu'elle est le fondement de toutes celles que j'ai encore à te faire, quoique j'aie refermé la plaie de ton côté, la douleur t'en restera pour toujours ; et si, jusqu'à présent, tu n'as pris que le nom de Mon esclave, je te donne celui de la Disciple bien-aimée de Mon Sacré Coeur. —
« Après une Faveur si grande et qui dura une si longue espace (1) de temps, pendant lequel je ne savais si j'étais au ciel ou en terre, je demeurai plusieurs jours comme toute embrasée et enivrée, et tellement hors de moi que je ne pouvais en revenir pour dire une parole qu'avec violence, et m'en fallait faire une si grande pour me récréer et pour manger que je me trouvais au bout de mes forces pour surmonter ma peine : ce qui me causait une extrême humiliation. Et je ne pouvais dormir, car cette plaie, dont la douleur m'est si précieuse, me cause de si vives ardeurs qu'elle me consomme et me fait brûler toute vive. Et je me sentais une si grande plénitude de Dieu, que je ne pouvais m'exprimer à ma supérieure comme je l'aurais souhaitée (2). » Certes, on le comprend !
Pour une âme aussi profondément humble que l'était celle de notre Sainte, quelle agonie intérieure de se voir forcée d'aller déclarer de semblables Révélations ! Elle, qui eût ambitionné voir l'Univers entier l'accabler d'injures et de mépris, ou du moins, qui se fût sentie soulagée si on lui eût permis de faire sa confession générale en plein réfectoire, pour mieux découvrir le fonds de corruption qu'elle croyait renfermer, elle, venir avouer que le Roi du Ciel et de la Terre la choisissait pour manifester Son Amour au Monde!... N'était-ce point une folie de son orgueil de croire elle-même que le Seigneur lui avait effectivement parlé ainsi?... Elle abandonna toutes ces réflexions à la merci de l'obéissance, se contentant de rapporter le fait à la Mère de Saumaise, appelée à recevoir bientôt d'autres confidences, non moins extraordinaires.
Le Coeur de Jésus n'avait pas dit son dernier mot à Soeur Marguerite-Marie. Elle va le voir encore, et ce sera tel qu'elle l'aura vu et qu'elle le dépeindra, que les âmes aimeront, dans la suite, à contempler le Sacré Coeur.
« Ce Coeur Divin me fut représenté », dit-elle, « comme dans un Trône tout de feu et de flammes, rayonnant de tous côtés, plus brillant que le soleil et transparent comme un cristal. La plaie qu'il reçut sur la Croix y paraissait visiblement. Il y avait une couronne d'épines autour de ce Divin Coeur et une croix au-dessus. Mon Divin Maître me fit entendre que ces instruments de sa Passion signifiaient que l'Amour immense qu'il a eu pour les hommes avait été la source (71) de toutes ses souffrances; que, dès le premier instant de son Incarnation, tous ces tourments lui avaient été présents, et que ce fut dès ce premier moment que la croix fut, pour ainsi dire, plantée dans Son Coeur ; qu'il accepta, dès lors, toutes les douleurs et humiliations que Sa Sainte Humanité devait souffrir pendant le cours de sa vie mortelle, et même les outragés auxquels Son Amour pour les hommes l'exposait jusqu'à la fin des siècles, dans le saint Sacrement. Il me fit connaître ensuite que le grand désir qu'il avait d'être parfaitement aimé des hommes lui avait fait former le Dessein de leur manifester Son Coeur, et de leur donner, dans ces derniers siècles, ce dernier effort de Son Amour, en leur proposant un objet et un moyen si propre pour les engager à l'aimer, et à l'aimer solidement, leur ouvrant tous les Trésors d'Amour, de Miséricorde, de Grâce, de Sanctification et de Salut qu'il contient, afin que tous ceux qui voudraient lui rendre et lui procurer tout l'honneur et l'amour qui leur serait possible, fussent enrichis avec profusion des Divins Trésors dont il est la Source féconde et inaltérable.
Il m'a encore assuré qu'il prenait un singulier plaisir d'être honoré sous la figure de ce Coeur de chair, dont il voulait que l'image fût exposée en public, afin, ajouta-t-il, de toucher le coeur insensible des hommes, me promettant qu'il répandrait avec abondance sur le coeur de tous ceux qui l'honoreront tous les Trésors de Grâces dont il est rempli et que partout où cette image (72) serait exposée, pour y être singulièrement honorée, elle y attirerait toutes sortes de bénédictions.
« Mais, voici cependant ce qui me causa une espèce de supplice, qui me fut plus sensible que toutes les autres peines dont j'ai parlé : c'est lorsque cet aimable Coeur me fut présenté, avec ces paroles: — J'ai une soif ardente d'être honoré des hommes dans le Saint Sacrement, et je ne trouve presque personne qui s'efforce, selon Mon Désir, de me désaltérer, usant envers moi de quelque retour (1). »
C'en était trop pour une âme aussi aimante. La pensée que le Souverain Amour n'était pas aimé lui devint comme un glaive qui transperçait incessamment son coeur.
En 1674, la Servante de Dieu n'était plus seconde infirmière ; elle venait d'être nommée maîtresse des Soeurs du petit habit (1). Large et simple était sa méthode d'éducation : inculquer à ces jeunes âmes l'horreur du vice, l'amour de la vertu, par conséquent le véritable amour de Dieu, tels étaient ses principes.
Elle était indulgente et bonne pour les fautes de son petit troupeau ; tout était pardonné facilement, à l'exception du mensonge et des rapports, qu'elle corrigeait vivement (1). A plusieurs reprises, elle fut ainsi chargée de celles qu'on nomme, à la Visitation, nos chères Petites Sœurs. Or, quelles que soient les années auxquelles les dépositions de 1715 font allusion, les témoignages sont unanimes (2). Un Ange du Ciel n'aurait pas inspiré plus de vénération à ce petit groupe d'enfants que l'humble Soeur Alacoque.
Aussi, tout ce qu'elles en reçoivent comme récompenses pieuses, images ou chapelets, elles le tiennent pour des reliques. Elles demandent en grâce qu'on leur donne de ses cheveux, quand on les lui coupe. La jeune Marie Chevalier de Montroüan a parfois la curiosité de l'observer en oraison, et court « avertir les autres de venir voir comme leur sainte priait Dieu. » La même s'aperçoit que leur maîtresse vit de mortification plus que de tout le reste, et elle lui en voit faire des actes héroïques ; entre autres, un jour, où elle la surprend à lécher un ulcère survenu au pied d'une de ses petites compagnes. Toutes remarquent en Soeur Marguerite-Marie quelque chose d'extraordinaire.
Le fait est que la Volonté de Dieu s'imposait désormais sans réplique à cette âme. Comme un Géant, le Soleil du Sacré Coeur s'est levé sur elle. Impossible de se dérober à sa chaleur (1). Et ce Soleil Divin va encore se manifester à elle dans une Nouvelle Lumière et un Nouvel éclat.
Le Seigneur a véritablement placé Son tabernacle sur les hauteurs et Son élue doit y monter pour y demeurer avec lui. Quis ascendet in montem Domini ? aut quis stabit in loco sancto ejus ? Innocens manibus et munndo corde (2).
Les premiers vendredis du mois, elle était conviée à d'ineffables délices. « Ce Sacré Coeur m'était « représenté comme un Soleil brillant d'une éclatante Lumière, dont les rayons tout ardents donnaient à plomb sur mon coeur, qui se sentait d'abord embrasé d'un feu si ardent qu'il me semblait m'aller réduire en cendres, et c'était particulièrement en ce temps-là que ce Divin Maître m'enseignait ce qu'il voulait de moi, et me découvrait les Secrets de cet Aimable Coeur. Et une fois, entre les autres, que le saint Sacrement était exposé, après m'être sentie retirée toute au-dedans de moi-même, par un recueillement extraordinaire de tous mes sens et puissances, Jésus-Christ, mon doux Maître, se présenta à moi, tout éclatant de Gloire, avec ses cinq plaies, brillantes comme cinq soleils, et de cette sacrée Humanité, sortaient des flammes de toute part, mais surtout de Son adorable poitrine, qui ressemblait une fournaise, et, s'étant ouverte, me découvrit Son tout aimant et tout aimable Coeur, qui était la vive source de ces flammes.
Ce fut alors qu'il me découvrit les Merveilles inexplicables de Son pur Amour et jusqu'à quel excès il l'avait porté d'aimer les hommes, dont il ne recevait que des ingratitudes et méconnaissances. — Ce qui m'est beaucoup plus sensible, me dit-il, que tout ce que j'ai souffert en ma Passion; d'autant que s'ils me rendaient quelque retour d'amour, j'estimerais peu tout ce que j'ai fait pour eux, et voudrais, s'il se pouvait, en faire encore davantage. Mais ils n'ont que des froideurs et du rebut pour tous Mes empressements à leur faire du Bien. Mais, du moins, donne-moi ce plaisir de suppléer à leurs ingratitudes autant que tu en pourras être capable. — Et lui remontrant mon impuissance, il me répondit: —Tiens, voilà de quoi suppléer à tout ce qui te manque. — Et en même temps ce Divin Coeur s'étant ouvert, il en sortit une flamme si ardente que je pensais en être consommée ; car j'en fus toute pénétrée et ne pouvais plus la soutenir, lorsque je lui demandai d'avoir pitié de ma faiblesse. — Je serai ta force, me dit-il, ne crains rien, mais sois attentive à ma voix et à ce que je te demande pour te disposer à l'accomplissement de Mes Desseins.
Premièrement; tu me recevras dans le Saint Sacrement, autant que l'obéissance te le voudra permettre, quelque mortification et humiliation, qui t'en doivent arriver, lesquelles tu dois recevoir comme (76) des Gages de Mon Amour.
Tu communieras, de plus, tous les premiers vendredis de chaque mois. Et toutes les nuits du jeudi au vendredi je te ferai participer à cette mortelle tristesse que j'ai bien voulu sentir au jardin des Olives, et laquelle tristesse te réduira, sans que tu la puisses comprendre, à une espèce d'agonie, plus rude à supporter que la mort. Et pour m'accompagner dans cette humble prière que je présentai alors à mon Père parmi toutes mes angoisses, tu te lèveras entre onze heures et minuit, pour te prosterner pendant une heure avec moi, la face contre terre, tant pour apaiser la Divine Colère, en demandant Miséricorde pour les Pécheurs, que pour adoucir en quelque façon l'amertume que je sentais de l'abandon de Mes apôtres, qui m'obligea à leur reprocher qu'ils n'avaient pu veiller une heure avec moi, et pendant cette heure, tu feras ce que je t'enseignerai (1). Mais écoute, ma fille, ne crois pas légèrement à tout Esprit, et ne t'y fie pas ; car Satan enrage de te décevoir; c'est pourquoi ne fais rien sans l'approbation de ceux qui te conduisent, afin qu'ayant l'autorité de l'obéissance, il ne te puisse tromper, car, il n'a point de pouvoir sur les obéissants (1). »
Avec son habituelle simplicité, la Sainte poursuit : « Et pendant tout ce temps, je ne me sentais pas, ni ne savais plus où j'en étais, lorsqu'on me vint retirer de là. Et voyant que je ne pouvais répondre, ni même me soutenir qu'avec grand'peine, l'on me mena à notre Mère, laquelle me trouvant comme tout hors de moi-même, toute brûlante et tremblante, me jetant par terre à genoux, où elle me mortifia et humilia de toutes ses forces, ce qui me faisait un plaisir et me donnait une joie incroyable. Car je me sentais tellement criminelle et remplie de confusion, que, quelque rigoureux traitement qu'on m'eût pu faire, il m'aurait semblé trop doux. Et après lui avoir dit, quoiqu'avec une extrême confusion, ce qui s'était passé, elle se prit encore à m'humilier davantage, sans me rien accorder, pour cette fois, de tout ce que je croyais que Notre-Seigneur me demandait de faire, et. ne traitant qu'avec mépris tout ce que je lui avais dit. Cela me consola beaucoup et je me retirai avec une grande paix (2). »
Cet aveu fait, elle reprend : « Et le feu qui me dévorait me jeta d'abord dans une grande fièvre continue ; mais j'avais trop de plaisir à souffrir pour m'en plaindre, n'en parlant point jusqu'à ce que les forces me manquèrent, que le médecin (3) connut qu'il y avait fort longtemps que je la portais; et elle me dura encore plus de soixante accès. Et jamais je n'ai tant senti de consolation, car tout mon corps souffrant d'extrêmes douleurs, cela soulageait un peu l'ardente soif que j'avais de souffrir. Car ce feu dévorant ne se nourrissait ni contentait que du bois de la croix, de toute sorte de souffrances, mépris, humiliations et douleurs, et jamais je ne sentais de douleur qui pût égaler celle que j'avais de ne pas assez souffrir. L'on croyait que j'en mourrais (1). »
Mais Celui qui est la Vie ne la laissa pas tomber dans la mort. Pendant une défaillance qu'elle eut, les trois Personnes de l'Adorable Trinité daignèrent la visiter, et firent sentir d'inexprimables consolations à son âme. « I1 me sembla que le Père éternel, me présentant une fort grosse croix toute hérissée d'épines, accompagnée de tous les autres instruments de la Passion, il me dit : — Tiens, ma fille, je te fais le même présent qu'à Mon Fils bien-aimé. — Et moi, me dit mon Seigneur Jésus-Christ, je t'y attacherai comme j'y ai été attaché, et je t'y tiendrai fidèle compagnie. — Et la troisième de ces adorables Personnes me dit que lui, qui n'était qu'Amour, m'y consommerait en me purifiant. Mon âme demeura dans une paix et joie inconcevable, car l'impression qu'y firent ces divines Personnes ne s'est jamais effacée (2). »
Cependant, la Soeur Alacoque était toujours malade, et son désir de la Sainte Communion devenait si intense que, lui eût-il fallu marcher pieds nus sur un chemin de flammes, cette peine ne lui eût rien été, en comparaison de la douleur d'être privée de ce pain de vie. Un jour, malgré une faiblesse excessive, elle se sent pressée d'aller au choeur pour communier, tout en reconnaissant qu'elle ne le pourra, si Celui qui l'attire ne la soutient. « Il me sembla que, me touchant de Sa Main, il me dit : — Que crains-tu, fille de peu de foi ? Lève-toi et me viens trouver ! » Ce mot la fait tressaillir. Elle se lève à l'insu de l'infirmière. Mais celle-ci veut que la malade se recouche immédiatement, en dépit de l'assurance qu'elle donne de sa santé. « Notre Mère me reprit de l'attache que j'avais à ma volonté, » écrit humblement la Sainte ; « je ne lui en dis pas le sujet, crainte que ce ne fût une imagination et qu'elle le crût une vérité (1). » Quoi qu'il en soit, la Mère de Saumaise lui ordonna bientôt de demander sa santé à Notre-Seigneur. Elle s'y soumit, redoutant d'être exaucée. Mais on lui dit que ce serait le Signe auquel on reconnaîtrait si tout ce qui se passait en elle venait de l'Esprit de Dieu. Si Notre-Seigneur la guérissait, on lui permettrait ce qu'il lui avait commandé, tant pour la communion des premiers vendredis, que pour l'heure de veille du jeudi au vendredi. Par obéissance, elle exposa donc le tout à Notre-Seigneur. « Je ne manquai pas de recouvrer aussitôt la santé, » ajoute-t-elle, comme une chose qui allait de soi-même. Ne connaissait-elle pas assez déjà le Coeur de son Jésus, pour être sûre de lui ?
Mais en cette circonstance, Notre-Seigneur voulut laisser à Sa Sainte Mère la joie de guérir Sa fille très aimée. En effet, la sainte Vierge apparut à Marguerite-Marie, lui « fit de grandes caresses, » l'entretint longtemps et lui dit : « Prends courage, Ma chère fille, dans la santé que je te donne de la part de Mon Divin Fils, car tu as encore un long et pénible chemin à faire, toujours dessus la croix, percée de clous et d'épines, et déchirée de fouets ; mais ne crains rien, je ne t'abandonnerai et te promets Ma Protection (1). »
Une âme élevée à un tel degré d'Union à Dieu pouvait s'attendre à une Souveraine Jalousie de la part de Celui qui la comblait sans mesure de Ses Grâces. Une fois, sur quelque faute qu'elle avait faite, son Divin Maître lui donna cette leçon : « Apprends que je suis un Maître saint et qui enseigne la sainteté. Je suis pur et ne peux souffrir la moindre tache. C'est pourquoi il faut que tu agisses en simplicité de coeur, avec une intention droite et pure en Ma Présence. Car je ne peux souffrir le moindre détour, et je te ferai connaître que si l'excès de Mon Amour m'a porté à me rendre Ton Maître, pour t'enseigner et te façonner à Ma Mode et selon Mes Desseins, que je ne peux supporter les âmes tièdes et lâches, et que, si je suis doux à supporter tes faiblesses, je ne serai pas moins sévère et exact à corriger et punir tes infidélités (1). »
Une autre fois, Soeur Marguerite-Marie s'étant laissée aller à quelque mouvement de vanité en parlant d'elle-même, « ô mon Dieu ! combien de larmes et de gémissements me causa cette faute ! » s'écrie-t-elle: « Car, lorsque nous fûmes seul à seule, il me reprit en cette manière et d'un visage sévère : — Qu'as-tu, ô poudre et cendre, de quoi te pouvoir glorifier, puisque tu n'as rien de toi que le néant et la misère, que tu ne dois jamais perdre de vue, non plus que sortir de l'abîme de ton néant ? Et afin que la Grandeur de Mes Dons ne te fasse méconnaître et oublier de ce que tu es, je t'en veux mettre « le tableau devant les yeux. » Et cette Parole s'effectuant à l'heure même, le Dieu de toute Pureté mit devant elle un tableau où se trouvait en raccourci tout ce qu'elle était. La vue de cette horrible peinture la bouleversa au point qu'elle n'aurait pu la soutenir, sans la Miséricorde de son Bien-Aimé, vers lequel son âme lançait ce cri de supplication : « O mon Dieu, hélas ! ou faites-moi mourir, ou cachez ce tableau ! (2) »
Le Seigneur l'a dit : Ses Pensées ne sont pas nos pensées — Ses Voies ne sont pas nos voies (3). En effet, il avait envers Sa servante une manière d'agir dont nous comprenons à peine le Mystère.
Elle s'en explique ainsi : « Quelque grandes que soient mes fautes, cet Unique Bien de mon âme ne me prive jamais de Sa Divine Présence, ainsi comme il me l'a promis. Mais il me la rend si terrible, lorsque je lui ai déplu en quelque chose, qu'il n'y a point de tourment qui ne me fût plus doux et auquel je ne me sacrifiasse plutôt mille fois que de supporter cette Divine Présence et paraître devant la Sainteté de Dieu, ayant l'âme souillée de quelque péché ! Et j'aurais bien voulu me cacher en ce temps-là, et m'éloigner si j'avais pu; mais tous mes efforts étaient inutiles, trouvant partout ce que je fuyais, avec des tourments si effroyables qu'il me semblait être en Purgatoire, puisque tout souffrait en moi, sans nulle consolation ni désir d'en chercher, ce qui me faisait dire quelquefois dans ma douloureuse amertume : oh ! qu'il est terrible de tomber entre les Mains d'un Dieu Vivant ! (1) »
Toutefois, pouvait-elle se plaindre ? Notre-Seigneur ne l'avait-il pas prévenue qu'il lui serait en même temps joie et supplice ? (2)
Un autre jour, le Sauveur lui fit cette question « Ma fille, me veux-tu bien donner ton coeur, pour faire reposer Mon Amour souffrant que tout le monde méprise ? — Mon Seigneur, vous savez que je suis toute à vous ; faites selon votre désir. — Il me dit : — Sais-tu bien à quelle fin je te donne Mes Grâces si abondamment ?
C'est pour te rendre comme un Sanctuaire, où le feu de Mon Amour brûle continuellement et ton coeur est comme un Autel Sacré où rien de souillé ne touche, l'ayant choisi pour offrir à mon Père éternel des sacrifices ardents (1).
» Que de fois déjà Marguerite-Marie avait-elle pu lire cette Parole de son bienheureux Père (2) : « Si la jalousie pouvait régner au Royaume de l'Amour éternel, les Anges envieraient la Souffrance de Dieu pour l'homme et la souffrance de l'homme pour Dieu ! » Mais elle ne s'attendait certainement pas à voir les Anges venir eux-mêmes lui en prouver la réalité.
Alors, écrit-elle, me fut en même temps représenté l'Aimable Coeur de mon Adorable Jésus, plus brillant qu'un soleil. Il était au milieu des flammes dé Son pur Amour, environné de Séraphins qui chantaient d'un concert admirable :
L'Amour triomphe, l'Amour jouit, L'Amour du Saint Coeur réjouit (2). »
Ces bienheureux Esprits l'invitèrent à s'unir à eux pour louer le Coeur de Jésus ; mais, retenue par le sentiment de son indignité, elle n'osa le faire. Les Séraphins l'en reprirent, lui déclarant qu'ils étaient venus afin de former une Association avec elle, pour rendre un Continuel Hommage d'amour, d'adoration et de louange à ce Divin Coeur. Ils ajoutèrent que pour cela ils tiendraient ma place devant le Saint Sacrement, » dit-elle, « afin que je le pusse aimer sans discontinuation par leur entremise, et que de même, ils participeraient à mon amour, souffrant en ma personne, comme je jouirais en la leur. Et ils écrivirent en même temps cette Association dans ce Sacré Coeur, en lettres d'or et du caractère ineffaçable de l'Amour (1). »
La vision que rapporte ainsi Soeur Marguerite-Marie dura environ deux ou trois heures. Depuis cette époque, elle ne nommait plus les Anges, en les priant, que ses Divins Associés (2). Elle confesse avoir ressenti toute sa vie les effets de cette Association avec les Séraphins. Son amour envers le Saint Sacrement s'en accrut encore. Combien intelligente était sa dévotion envers lui ! Lorsqu'elle était devant lui, jouissant de la Présence de son Bien-Aimé et de Ses Divines Caresses, si l'obéissance lui ordonnait de sortir, elle le quittait sans résistance. Peu lui importait d'être occupée à ceci ou à cela, pourvu qu'elle fît la Volonté de son Dieu et fût dans l'Exercice de l'Amour.
En voici une nouvelle preuve : « Je priais souvent Notre-Seigneur que mon coeur ne s'éloignât pas de Sa Présence. Il me dit un jour, comme je faisais la génuflexion : — Tu t'en vas donc sans coeur, car le tien ne sortira plus d'ici ? Je le remplirai d'un baume précieux, qui entretiendra. sans cesse le feu de Mon Amour. La bonne volonté doit être la mèche qui ne doit jamais finir. Tout ce que tu pourras faire et souffrir avec Ma Grâce, tu le dois mettre dans Mon Coeur, pour être converti en ce baume, qui doit être l'huile de cette Lampe, afin que tout y soit consommé dans le feu du Divin Amour. — Je tâchai de faire ce qu'il m'enseignait.
« Ma fille, me dit-il, je prends tant de plaisir à voir ton coeur, que je me veux mettre en sa place, et te servir de coeur ; — ce qu'il fit si sensiblement qu'il ne m'était pas permis d'en douter. Depuis ce temps, Sa Bonté me donnait un si libre accès auprès de Sa Grandeur, que je ne puis l'exprimer : — As-tu perdu au change que tu as fait avec moi, me dit Notre-Seigneur, en me donnant tout ? Aie soin seulement de remplir ta lampe et j'y allumerai le feu (1). »
Depuis que Soeur Marguerite-Marie avait été guérie par miracle à la suite de la vision relative à l'Heure Sainte, la Mère de Saumaise n'avait plus aucun doute sur la Vérité des Communications Célestes faites à sa bienheureuse fille. Mais se sentant embarrassée pour la conduire dans ces voies éminentes, la prudente supérieure crut qu'il fallait que des personnes de doctrine examinassent ce qui se passait en cette âme. En conséquence, elle la fit parler à plusieurs directeurs. Qui furent ces directeurs ? Aucun document ne nous les fait connaître. Du moins, le résultat de leurs décisions est certain : il fut d'apporter beaucoup d'angoisses et pas du tout de lumière à la Servante de Dieu, car on la traita de visionnaire et on lui défendit de s'arrêter à ses inspirations. Monseigneur Languet a pris soin de buriner, en une phrase réaliste, l'un des oracles rendus à l'unanimité par les juges de cette innocente victime. Ils ordonnèrent « qu'on fît manger de la soupe à cette fille ! (1) »
Être humiliée et méprisée, ce n'était rien pour elle; mais ce qui demeurait hors de son pouvoir, c'était de résister à la Violence douce et bénie que lui faisait son Unique Amour. Il fallait qu'elle le suivît là où il voulait la conduire, indépendamment de toutes les créatures.
L'état dans lequel était alors plongée la pauvre Soeur ne saurait s'exprimer. Dans les perplexités de son esprit, elle s'adressa, comme toujours, à son Divin Maître. Il la soutint, l'encouragea et l'assura qu'il lui enverrait bientôt « un sien serviteur (2) » auquel il voulait qu'elle manifestât tout ce qu'elle savait des Trésors et des Secrets du Sacré Coeur, parce que celui-là serait celui qui devait la rassurer dans sa voie intérieure. La Prédiction ne tarda pas à s'accomplir.
Au commencement de l'année 1675, le Révérend Père de la Colombière arrivait à Paray, comme supérieur de la résidence des Pères jésuites. C'était un homme de grande distinction, un parfait religieux, que le Ciel avait doué d'un remarquable discernement des Esprits.
Né le 2 février 1641, à Saint-Symphorien-d'Ozon en Dauphiné, Claude de la Colombière était entré au noviciat de la Compagnie de Jésus, à Avignon, le 25 octobre 1658. En 1660, il prononce ses premiers voeux, est ordonné prêtre en 1669 ; en 1674, il fait sa troisième probation à Lyon, et sa profession solennelle le 2 février 1675. Déjà, il a une histoire, car ce jeune jésuite, avant même d'être prêtre, a été précepteur des deux fils de Colbert et s'est trouvé mêlé au plus grand monde. Mais Dieu le destine à quelque chose de bien autrement grand, et c'est précisément pour cela, qu'à l'heure marquée par sa Providence, il le conduit à Paray.
La première fois que le Père de la Colombière vit la Communauté, Soeur Marguerite-Marie entendit ces paroles au fond d'elle-même. « Voilà celui que je t'envoie (1). » Peu après, le Père étant venu entendre les confessions de toutes les Soeurs du monastère pour les Quatre-Temps, bien que la Soeur Alacoque ne se fît nullement connaître, il la retint fort longtemps, — environ une heure et demie — et lui parla comme s'il eût compris ce qui se passait en elle. Mais, toujours humble et réservée, elle se retira, sans lui avoir fait aucune ouverture sur les Visites Extraordinaires qu'elle recevait de Dieu. Le Père lui ayant demandé si elle agréerait qu'il vînt une autre fois lui parler en ce lieu, elle répondit que, n'étant pas à elle, elle ferait ce que l'obéissance lui ordonnerait.
quelque temps de là, le Père supérieur vint faire une conférence spirituelle à la Communauté. Il remarqua la Soeur Marguerite-Marie entre toutes les autres. Après le sermon, il pria la Mère de Saumaise de lui dire qui était cette jeune religieuse, qu'il avait vue en telle place qu'il désigna. La Mère la lui ayant nommée, il l'assura que c'était une âme de Grâce (1). »
La Mère de Saumaise, ayant prié le Père de revenir, ordonna à la Soeur d'aller lui parler. La Sainte rapporte ainsi ses dispositions en cette circonstance : « Je ne laissai pas d'y sentir des répugnances effroyables lorsqu'il fallut y aller, ce que je lui dis d'abord. Mais il me répondit qu'il était bien aise de m'avoir donné occasion de faire un sacrifice à Dieu. Et alors, sans peine ni façon, je lui ouvris mon cœur et lui découvris le fond de mon âme, tant le mal que le bien. Sur quoi il me donna de très grandes consolations, en m'assurant qu'il n'y avait rien à craindre en la Conduite de cet Esprit, d'autant qu'il ne me retirait point de l'obéissance ; que je devais suivre Ses Mouvements en lui abandonnant tout mon être, pour me sacrifier et immoler, selon Son Bon Plaisir.
Admirant la Grande Bonté de notre Dieu, de ne s'être point rebuté parmi tant de résistance, il m'apprit à estimer les Dons de Dieu et à recevoir avec respect et humilité les fréquentes communications et familiers entretiens dont il me gratifiait, dont je devrais être dans de continuelles actions de grâces envers une si Grande Bonté (1). »
Rien de surnaturel comme l'attitude de ces deux âmes en présence l'une de l'autre. Pour obéir, la pénitente expose les envahissements de la grâce en elle. Le religieux admire l'oeuvre de Dieu en celle qui s'ouvre à lui ; mais que lui dit-il ? Qu'en tout cela elle a grand sujet de s'humilier. C'était sanctionner le plus impérieux besoin qu'elle eût peut-être jamais ressenti et, du même coup, approfondir encore la Paix que Dieu venait d'établir en elle.
Des détails pratiques furent aussi résolus. Il s'agissait de savoir s'il fallait continuer à se violenter comme elle s'y astreignait, pour réciter des prières vocales, alors que son âme était le plus ravie en Dieu. Très expérimenté dans les choses spirituelles les plus hautes, le sage directeur lui dit que non : se borner à ce qui était d'obligation, y ajouter le chapelet, lorsqu'elle le pourrait, c'était tout ce qu'il fallait, étant donné le Chemin par lequel Dieu la conduisait.
Soeur Marguerite-Marie soumit encore au Père de la Colombière sa peine au sujet des lettres et des billets, que la Grâce la pressait d'écrire à certaines personnes, ce dont il lui revenait de grandes humiliations.
La réponse du serviteur de Dieu ne fut pas moins nette. Il ordonna à la Soeur Alacoque, quelque peine et humiliation qu'elle en dût souffrir, de ne jamais se désister de suivre ce Mouvement de l'Esprit-Saint, écrivant simplement ce qu'il lui dicterait, puis, d'aller présenter le billet à sa supérieure, qui en ferait ce qu'elle jugerait à propos. Une telle direction, puisée aux sources les plus pures de l'Esprit de Dieu, n'avait d'autre Règle que le niveau de la Grâce.
Le Père de la Colombière ne se contenta pas de tranquilliser la sainte fille. Il ne rassura pas moins la Mère de Saumaise ; en sorte que, pour l'une comme pour l'autre, l'appui de son expérience fut d'un secours tout providentiel, dans un moment particulièrement critique pour toutes les deux.
Mais il était écrit que la Disciple du Coeur de Jésus ne goûterait jamais de consolation qui ne fût aussitôt traversée de la croix. Cette première et si longue communication avec le nouveau supérieur, celles qui suivirent, firent fondre sur elle d'autres humiliations et d'autres épreuves. On en devine assez-le genre, sans qu'il soit besoin de les détailler. Elle ne pouvait pas ne pas entendre quelques-unes des réflexions qui se faisaient à son sujet, et dont les moins piquantes étaient qu'elle voulait sans doute décevoir le Père par ses illusions, et le tromper comme elle en avait trompé d'autres. « Lui-même eut beaucoup à souffrir à cause de moi, » écrit-elle, ajoutant : « mais cela ne lui faisait nulle peine (1). » Tels sont les saints. Pourvu que Dieu soit. content, que leur importe ce que pensent et disent les hommes ? D'ailleurs ici, le Coeur de Jésus allait se charger de les dédommager divinement lui-même, l'un et l'autre. Un jour que le Père était venu dire la messe dans l'église du monastère, Notre-Seigneur lui fit de très Grandes Frâces, et à Soeur Marguerite-Marie en même temps. Au moment où elle s'approcha pour recevoir la Sainte Communion, il lui montra Son Divin Cœur comme une ardente fournaise. Deux autres coeurs allaient s'unir et s'abîmer dans ce Cœur sacré, qui disait : « C'est ainsi que Mon Pur Amour unit ces trois coeurs pour toujours. » Notre-Seigneur lui fit entendre encore qu'il voulait qu'elle découvrit au Père les Trésors de Son Adorable Coeur, « afin qu'il en fit connaître et en publiât le prix et l'utilité. » La Sainte a un mot d'une simplicité ravissante : « Il voulait que nous fussions comme frère et soeur, également partagés de biens spirituels. » Mais, dans son humilité, elle a peine à comprendre cela, ne voyant que l'inégalité qui existe « entre un homme d'une si grande vertu et mérite et une pauvre chétive pécheresse comme moi. » Notre-Seigneur se charge de l'éclairer, disant : «Les Richesses Infinies de Mon Cœur suppléeront et égaleront tout. Dis-lui seulement sans craindre. »
La première fois qu'elle vit le Père, elle lui rapporta tout. « La manière d'humilité et d'action de grâce avec laquelle il le reçut, avec plusieurs autres choses que je lui dis de la part de mon Souverain Maître, en ce qui le concernait, me toucha tellement et me profita plus que tous les sermons que j'aurais pu entendre (1). »
Comme l'âme de Marguerite-Marie, celle du Père de la Colombière est prête ! L'heure est maintenant venue de la Dernière des Grandes Révélations.
Le saint jésuite y recevra sa part de l'héritage du Sacré Coeur.
C'est à genoux qu'il conviendrait d'écouter le récit de cette magnifique Apparition du Cœur de Jésus à sa servante. Le fait appartient à l'histoire.
Voici venir l'annonce d'une ère nouvelle dans l'Église de Dieu.
En 1675, le jeudi de la Fête-Dieu tombait le 13 juin. L'octave de la fête s'étendait donc jusqu'au 20 juin inclusivement. Nous sommes à cette époque mémorable.
« Étant une fois devant le saint Sacrement, un jour de son octave, » écrit la Sainte (1), je reçus de mon Dieu des Grâces excessives, de Son Amour, et me sentis touchée du désir de quelque retour et de lui rendre amour pour amour. Et il me dit : —Tu ne m'en peux rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai déjà tant de fois demandé. — Alors, me découvrant Son Divin Cœur : — Voilà ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qu'il n'a rien épargné jusqu'à s'épuiser et se consommer pour leur témoigner Son Amour; et pour reconnaissance, je ne reçois dé la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris qu'ils ont pour moi dans ce Sacrement d'Amour. Mais ce qui m'est encore le plus sensible, est que ce sont des coeurs qui me sont consacrés qui en usent ainsi. C'est pour cela que je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du Saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer Mon Coeur, en communiant ce jour-là, et en lui faisant réparation d'honneur, par une amende honorable, pour réparer les indignités qu'il a reçues pendant le temps qu'il a été exposé sur les autels. Je te promets aussi que Mon Coeur se dilatera, pour répandre avec abondance les influences de Son Divin Amour sur ceux qui lui rendront cet honneur, et qui procureront qu'il lui soit rendu. — Et répondant à cela que je ne savais comme pouvoir accomplir ce qu'il désirait de moi depuis tant de temps, il me dit de m'adresser à Son serviteur, qu'il m'avait envoyé pour l'accomplissement de ce dessein.
Et l'ayant fait, il m'ordonna de mettre par écrit ce que je lui avais dit touchant le sacré Coeur de Jésus-Christ; et plusieurs autres choses qui le regardaient pour la Gloire de Dieu (1). » qui eut lieu alors entre le Coeur de Jésus et Sa bienheureuse disciple.
« Mais, mon Seigneur », lui dit-elle, « à qui vous adressez-vous ? à une si chétive créature et pauvre pécheur, que son indignité serait même capable d'empêcher l'accomplissement de votre dessein. Vous avez tant d'âmes généreuses pour exécuter vos desseins. — Eh! pauvre innocent que tu es, ne sais-tu pas que je me sers des sujets les plus faibles pour confondre les forts ; que c'est ordinairement les plus petits et les pauvres d'esprit sur lesquels je vois Ma Puissance avec plus d'éclat, afin qu'ils ne s'attribuent rien à eux-mêmes ? — Donnez-moi donc, je lui dis, le moyen de faire ce que vous me commandez. — Pour lors, il m'ajouta : — Adresse-toi à Mon serviteur N. [le Père de la Colombière] et lui dis de ma part de faire son possible pour établir cette dévotion et donner ce Plaisir à Mon Divin Coeur. Qu'il ne se décourage point pour les difficultés qu'il y rencontrera, car il n'en manquera pas ; mais il doit savoir que celui-là est tout-puissant qui se défie entièrement de soi-même pour se confier uniquement à moi (1). »
Le Père de la Colombière n'était pas homme à croire légèrement tout ce qui lui était dit. Mais il avait sous les yeux trop de preuves éclatantes de l'inaltérable vertu de la Soeur Marguerite-Marie pour craindre la moindre illusion dans ce qu'elle lui transmettait.
Humblement reconnaissant et saintement fier du Ministère que le Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ lui réservait en tout ceci, le fervent jésuite voulut commencer par étendre sur lui-même le Règne du Sacré Coeur. Il se dédia et consacra donc à lui, dans toute l'énergie et l'amour de son âme, dès le 21 juin 1675, vendredi après l'octave du saint Sacrement. Du fond de son monastère, la Servante de Dieu s'unit sans doute à l'acte solennellement intime accompli par son vénéré directeur. Qui dira ce que fut pour le Coeur de Jésus l'offrande totale de ces deux coeurs, qu'il pouvait regarder comme Ses deux premières conquêtes, dans l'ordre des révélations de Paray-le-Monial
Au témoignage de notre Sainte, le Père de la Colombiére ne laissa pas de lui continuer son secours « le peu de temps qu'il demeura en cette ville et toujours. Et je me suis cent fois étonnée » remarque-t-elle, comme il ne m'abandonnait pas, aussi bien que les autres, car la manière dont je traitais avec lui aurait rebuté tout autre, bien qu'il n'épargnât rien pour m'humilier et mortifier, ce qui me faisait un grand plaisir (1). »
Bien loin de ne s'occuper que de ses intérêts personnels, et d'ailleurs, souverainement attachée à la Sainte Église, Marguerite-Marie avait une prière véritablement catholique, c'est-à-dire qu'elle embrassait toutes les âmes. En voici un grand exemple.
Lorsque l'on eut fait l'ouverture du jubilé (1), Notre-Seigneur lui fit voir dans une sévérité de Juge que Sa Justice était moins irritée contre les infidèles que contre « Son peuple choisi, » qui s'était révolté contre lui. Saisie d'angoisse en face de cette Vérité, l'humble Soeur ne se lassait pas de prier pour les Pécheurs. Son ardeur est encore stimulée par cette consolante parole, tombée des lèvres de son Dieu : « Une âme juste peut obtenir le Pardon pour mille criminelles. »
Mais il lui dit aussi : — Pleure et soupire sans cesse mon sang, répandu inutilement sur tant d'âmes qui en font un si grand abus dans ces indulgences, qui se contentent de couper les mauvaises herbes qui sont crues dans leurs coeurs, sans jamais en vouloir ôter la racine. Mais, malheur à ces âmes qui demeurent souillées et altérées au milieu de la source des eaux vives, puisqu'elles ne seront jamais purgées ni désaltérées ! — Mon Seigneur et mon Dieu », lui dit-elle, en regardant Son Coeur Sacré, il faut que votre Miséricorde loge ici toutes ces âmes infidèles, afin qu'elles s'y justifient, pour vous glorifier éternellement. — Oui, je le ferai., si tu m'en veux promettre un parfait amendement. — Mais vous savez bien, mon Dieu, que cela n'est pas à mon pouvoir, si vous-même ne le faites, en rendant efficaces les mérites de votre sainte Passion. » — Alors, il lui apprit ce qu'elle devait faire pendant ce Jubilé : Offrir au Père éternel 1° les surabondantes satisfactions du Sacrifice de Son Fils sur la Croix, pour la conversion des Pécheurs; 2° les ardeurs de Son Coeur Sacré, pour compenser la tiédeur et lâcheté du peuple choisi; 3° la soumission de Son Ddorable volonté à son Père, afin que Ses mérites obtiennent l'Accomplissement de toutes les Volontés Divines (1).
Pour l'âme de Marguerite-Marie, la Volonté de Dieu allait être de lui retirer l'appui que le Ciel lui avait envoyé, en la personne du Père de la Colombière. Ce fut à la fin de septembre de l'année 1676 qu'il cessa d'être supérieur à Paray et qu'il partit pour l'Angleterre, comme prédicateur de Son Altesse Royale Madame la duchesse d'York, Marie-Béatrix d'Este. La Soeur Alacoque avait eu révélation de ce départ. Cela ne l'empêcha pas d'en ressentir toute la peine. Mais le Divin Maître ne lui permit pas longtemps d'y réfléchir, lui adressant ce reproche : « Eh quoi ! ne te suffis-je pas, moi qui suis ton principe et ta fin ? (1) » Il ne lui en fallut pas davantage pour tout abandonner à son Unique Seigneur.
Tout ce que je puis dire, c'est que si c'est le mauvais Esprit qui l'a dicté, il est extrêmement contraire à lui-même, vu que j'y ai puisé de si grands secours contre Ses attaques et qu'il fait sur moi tous les effets que le Saint-Esprit a coutume de produire (1). »
Marguerite-Marie aurait-elle pu être efficacement l'Apôtre du Sacré Coeur si elle n'eût d'abord été sa victime ?
Un jour, Notre-Seigneur se présente à elle. Il tenait en chacune de ses mains un tableau. Dans l'un était figurée la vie la plus heureuse possible pour une âme religieuse : paix, consolations intérieures et extérieures, santé, estime et applaudissement des créatures. L'autre tableau était la peinture « d'une vie toute pauvre et abjecte, toujours crucifiée, par toute sorte d'humiliations, mépris et contradictions, toujours souffrante au corps et en l'esprit. » Notre-Seigneur lui dit : « Choisis, ma fille, celui qui t'agréera le plus ; je te ferai les mêmes grâces au choix de l'un comme de l'autre. » Dans son ardeur, elle se jette à ses pieds pour l'adorer, disant : « O mon Seigneur, je ne veux rien que vous et le choix que vous ferez pour moi. » Mais le Sauveur la pressait toujours de choisir. « Vous m'êtes suffisant, ô mon Dieu! faites pour moi ce qui vous glorifiera le plus, sans avoir nul égard à mes intérêts ni satisfactions. Contentez-vous et cela me suffit! —
(106) Alors il me dit, qu'avec Madeleine, j'avais choisi la meilleure part, qui ne me serait point ôtée, puisqu'il serait mon héritage pour toujours. Et me présentant ce tableau de crucifixion : — Voilà, me dit-il, ce que je t'ai choisi et qui m'agrée le plus, tant pour l'Accomplissement de Mes Desseins que pour te rendre conforme à moi.
L'autre est une vie de jouissance et non de mérite ; c'est pour l'éternité. — J'acceptai donc ce tableau de mort et de crucifixion, en baisant la Main qui me le présentait; et quoique la nature en frémît, je l'embrassai de toute l'affection dont mon coeur était capable, et en le serrant sur ma poitrine, je le sentis si fortement imprimé en moi, qu'il me semblait n'être plus qu'un composé dé tout ce que j'y avais vu représenté (1). »
Une autre fois, comme elle considérait Notre-Seigneur sur l'arbre de la Croix, il la tint fortement attachée à lui, puis il lui dit : « Reçois, ma fille, la croix que je te donne et la plante dans ton cœur, l'ayant toujours devant les yeux et la portant entre tes bras. Les plus rigoureux tourments qu'elle te fera seront inconnus et continuels : urge faim sans te rassasier, une soif sans te désaltérer, une ardeur sans rafraîchissement.
Et ne pouvant comprendre ces paroles, je dis : — Mon Dieu, donnez-moi l'intelligence de ce que vous voulez que je fasse. — L'avoir dedans ton coeur, c'est qu'il faut que tout y soit crucifié ; l'avoir devant tes yeux, c'est qu'il faut être crucifiée en toute chose, et la porter entre tes bras, c'est l'embrasser amoureusement toutes les fois qu'elle se présente, comme le plus précieux Gage de Mon Amour que je te peux donner en cette vie.
Cette faim continuelle des souffrances est pour honorer celle que j'avais de souffrir pour glorifier mon Père éternel; cette soif sera de moi et du salut des âmes, en mémoire de celle que j'ai eue, sur l'arbre de la Croix (1). »
Il y a souvent dans la vie des saints des actions qui nous semblent exagérées ; mais elles ne sont que la conséquence de l'Amour de Dieu qui les ravit hors d'eux-mêmes. Ce furent ces Transports de l'Amour Divin qui poussèrent parfois Marguerite-Marie à de véritables excès de mortification. Deux traits surtout sont demeurés caractéristiques et dépassent étrangement tout ce qu'on peut imaginer.
En ce temps-là, l'humble Soeur était de nouveau aide à l'infirmerie. «J'étais si fort douillette, » écrit-elle, que la moindre saleté me faisait bondir le coeur. » Quoi de surprenant à cela ? dira-t-on.
Mais il faut penser que le Souverain Maître a de Divines Sévérités pour Ses élus. Or, il reprit si fortement Sa généreuse disciple de ce mouvement instinctif de répulsion, que, pour se punir elle-même et sans consulter la raison, elle absorba spontanément le vomissement d'une malade qu'elle soignait.
En cette circonstance, elle obéissait à l'impétuosité de son amour pour Notre-Seigneur; alors tout lui devenait expédient. « Si j'avais mille corps, mille amours, mille vies, je les immolerais pour vous être asservie », disait-elle à son Bien-Aimé. Il ne fut pas longtemps à lui prouver combien il avait béni la violence qu'elle s'était faite. La suite du récit ne laisse aucun doute à ce sujet. « Et lors, je trouvai tant de délices dans cette action, que j'aurais voulu en rencontrer tous les jours de pareilles, pour apprendre à me vaincre et n'avoir que Dieu pour Témoin. Mais Sa Bonté, à qui seule j'étais redevable de m'avoir donné la force de me surmonter, ne laissa pas de me témoigner le plaisir qu'il y avait pris.
Car la nuit ensuite, si je ne me trompe, il me tint bien environ deux ou trois heures la bouche collée sur la plaie de Son Sacré Coeur.
Et il me serait bien difficile de pouvoir exprimer ce que je sentis alors, ni les effets que cette Grâce produisit dans mon âme et dans mon coeur. Mais cela suffit pour faire connaître les Grandes Bontés et Miséricordes de mon Dieu sur un sujet si misérable (1). »
Elle eut bientôt une autre occasion de satisfaire, plus incroyablement encore, son besoin d'apprendre à se vaincre, n'ayant que Dieu pour Témoin.
Une fois qu'elle s'était encore laissée aller à quelque soulèvement de coeur en servant une malade, Notre-Seigneur renouvela sa réprimande intérieure; mais avec une telle autorité que, n'importe quoi paraissant plus supportable à Soeur Marguerite-Marie que d'avoir mécontenté son Dieu, afin de réparer sa faute, elle se livra sur-le-champ à un acte si répugnant pour la nature, que personne au monde n'aurait pu le conseiller, ni le permettre. Notre-Seigneur même dut arrêter Son héroïque servante; puis il lui dit : « Tu es bien folle de faire cela! — O mon Seigneur, » reprit-elle, je le fais pour vous plaire et pour gagner votre Divin Coeur, et j'espère que vous ne me le refuserez pas. Mais vous, mon Seigneur, que n'avez-vous pas fait pour vous gagner celui des hommes, et cependant ils vous le refusent et vous en chassent bien souvent! — Il est vrai, Ma fille, que Mon Amour m'a fait tout sacrifier pour eux, sans qu'ils me rendent du retour; mais je veux que tu supplées par les Mérites de Mon Sacré Coeur à leur ingratitude. Je te le veux donner, Mon Coeur ; mais auparavant, il faut que tu te rendes Sa Victime d'Immolation, pour que, avec son entremise, tu détournes les Châtiments que la Divine Justice de mon Père, armé de Colère, veut exercer sur une Communauté religieuse pour la reprendre et corriger en Son Juste Courroux. — Et me la faisant voir, à la même heure, avec les défauts particuliers qui l'avaient irrité, et tout ce qu'il me fallait souffrir pour apaiser Sa Juste Colère, ce fut alors que tout en frémit en moi; et n'eus pas le courage de me sacrifier (1). »
Il n'y a pas à le cacher, ni à l'atténuer — c'est un fait historique, qui, d'ailleurs, tournera plus tard à la Gloire du Sacré Coeur — cette Communauté pour laquelle Dieu exigeait que Marguerite-Marie s'offrit en Victime, c'était la Visitation Sainte-Marie de Paray-le-Monial. Rien que régulière et « très observante, » de graves défauts s'y étaient glissés — : entre autres, on n'y pratiquait plus la charité et l'humilité au degré voulu pour les âmes religieuses. Et voilà pourquoi le rôle de celle que Notre-Seigneur choisissait pour apaiser Sa Colère devenait doublement délicat. Un combat indicible s'engagea alors entre cette âme et son Maître. Il veut qu'elle s'immole à Sa Justice : « Je dis que, n'étant pas à moi, je ne pouvais le faire sans le consentement de l'obéissance. Mais la crainte que j'avais qu'on ne me le fît faire, me fit négliger de le dire ; mais il me poursuivait sans cesse et ne me donnait point de repos. Je me fondais en larmes et me voyant enfin contrainte de le dire à ma supérieure, laquelle, voyant ma peine, me dit de me sacrifier à tout ce qu'il désirait de moi, sans réserve. Mais, mon Dieu, ce fut alors que ma peine se redoubla encore plus fort, car je n'avais point le courage de dire oui et je résistais toujours (1). »
Que se passait-il alors au plus intime de l'être de notre Sainte ? En dernière analyse, cela est resté son secret. Cependant; elle soulève suffisamment le voile de douleur qui l'enveloppe en cette rencontre, pour qu'il nous soit permis d'assister à une scène d'autant plus émouvante qu'elle est plus mystérieuse.
Cette humble religieuse a été prédestinée pour reproduire en elle l'image de son Jésus souffrant. Comme lui, elle aura sa nuit d'agonie..... comme lui, elle sera, pour ainsi dire, traînée de tribunal en tribunal. Le Seigneur permettra tout, parce que, à Ses Yeux Divins, rien ne vaut l'immolation d'une âme, en Union avec l'Adorable Victime de Gethsémani et du Calvaire.
On était arrivé au samedi 20 novembre, veille de la Présentation. « Cette Divine Justice me parut armée d'une manière si terrible que j'en demeurai tout hors de moi ; et ne pouvant me défendre, il me fut dit comme à saint Paul : — Il t'est bien dur de regimber contre les Traits de Ma Justice ! Mais puisque tu m'as tant fait résistance pour éviter les humiliations qu'il te conviendra souffrir par ce sacrifice, je té les donnerai au double ; car je ne te demandais qu'un sacrifice secret, et maintenant je le veux public, et d'une manière et dans un temps hors de tout raisonnement humain et accompagné de circonstances si humiliantes, qu'elles te seront un sujet de confusion pour le reste de ta vie, et dans toi-même et devant les créatures, pour te faire comprendre (112) ce que c'est que de résister à Dieu. — Hélas ! je le compris bien en effet, car jamais je ne me vis en tel état : en voici quelque petite chose, mais non pas, tout (1). »
Donc, Soeur Marguerite-Marie l'avoue ; elle supprime beaucoup de choses... notamment ce que Notre-Seigneur lui dit touchant la manière dont il voulait qu'elle se sacrifiât. Mais, d'après certaines expressions, d'après les règles et les coutumes de la Visitation, il n'est pas difficile de la conjecturer. Néanmoins, il est nécessaire de noter que la Sainte ne s'explique pas là-dessus en toutes lettres. Reprenons l'Autobiographie.
Après donc l'oraison du soir, je ne pus sortir avec les autres (2), et je demeurai au choeur, jusqu'au dernier coup du souper (3), dans des pleurs et gémissements continuels. je m'en allai faire collation, car c'était la veille de la Présentation, et m'étant traînée à vive force à la Communauté (4), je m'y trouvai si fortement pressée de faire ce sacrifice tout haut, en la manière que Dieu me faisait connaître le vouloir de moi, que je fus contrainte de sortir, pour aller trouver ma supérieure qui était malade pour lors. Mais je confesse que j'étais tellement hors de moi, que je me voyais comme une personne qui aurait pieds et mains liés, et à qui il ne resterait plus rien de libre en l'intérieur ni pour l'extérieur, que les larmes que je versais en abondance, pensant qu'elles étaient la seule expression de ce que je souffrais : car je me voyais comme la plus criminelle du monde, traînée à force de cordes au lieu de mon supplice. Je voyais cette sainteté de Dieu, armé des traits de sa juste colère, prêt à les lancer pour m'abîmer, si me semblait, dans cette gueule béante de l'enfer, que je voyais ouvert, prêt à m'engloutir. Je me sentais brûlée d'un feu dévorant qui me pénétrait jusqu'à la moelle des os, et tout mon corps dans un tremblement étrange; et ne pouvais dire autre chose sinon : — Mon [Dieu], ayez pitié de moi selon la grandeur de vos miséricordes ! — Et tout le reste du temps, je gémissais sous le poids de ma douleur, sans pouvoir trouver le moyen de me rendre vers nia supérieure que sur les huit heures, qu'une Soeur m'ayant trouvée, me condui[sit] vers elle. Et elle fut bien surprise de me voir en cette disposition, laquelle je ne pouvais pour lors exprimer; mais je croyais, pour surcroît de peine, que l'on la connaissait en me voyant, ce qui n'était pas. Ma supérieure, qui savait qu'il n'y avait que la seule obéissance qui avait tout pouvoir sur cet esprit qui me tenait en cet état, m'ordonna de lui dire ma peine. Et aussitôt je lui dis le sacrifice que Dieu voulait que je lui fisse de tout mon être, en présence de la Communauté, et le sujet pour quoi il me le demandait; lequel je n'exprimerai point, crainte de blesser la sainte charité et en même (114) temps le Coeur de Jésus-Christ, dans lequel cette chère vertu prend sa naissance ; c'est pourquoi il ne veut point qu'on l'intéresse tant soit peu, sous quel prétexte que ce puisse être. Enfin, ayant fait et dit ce que mon Souverain désirait de moi, on en parlait et jugeait diversement (1). »
C'est cette dernière phrase qui, dans sa concision, est le noeud de toute la question. Car, selon toute vraisemblance, elle signifie que Soeur Marguerite-Marie étant rentrée dans la chambre où la Communauté se trouvait réunie, avant de se séparer à huit heures demi-quart, et, en l'absence de la supérieure malade, l'assistante ayant posé la question d'usage : « Vos Charités ont-elles quelque chose à dire? » à ce moment, quelque chose d'extraordinaire eut lieu. On vit sans doute la jeune et timide Soeur Alacoque tomber à genoux, et déclarer à haute voix qu'elle était chargée, de par la volonté divine, de réparer les fautes de toutes ses Soeurs.....
Au sens humain, un acte semblable, dans sa forme présente et ses conséquences futures, ne peut se mesurer..... surtout quand on pense que celle qui vient de parler est celle-là même, dont on se demandait, bien peu d'années auparavant, s'il était sage de l'admettre au monastère, et quand on songe qu'elle s'adresse alors à une Communauté composée de Soeurs issues, en grand nombre, de familles très illustres selon le monde (2).
Elles ne purent apprendre autre chose de ce qui s'était passé, sinon que la Soeur avait dit que Dieu était fort irrité contre la maison; mais ce récit ne fit qu'augmenter leur indignation, » remarque Mgr Languet (1) Et, il dépeint cette indignation sous de fortes couleurs. Plus modestes sont celles qu'emploie la plume de notre Sainte, quand elle écrit seulement : « Je laisse toutes ces circonstances à la miséricorde de mon Dieu. Et je puis assurer, si me semble, que je n'avais jamais tant souffert, noix pas même quand j'aurais pu rassembler toutes les souffrances que j'avais eues jusqu'alors et toutes celles que j'ai eues depuis, et que toutes ensemble m'auraient été continuelles jusqu'à la mort, cela ne me semblerait pas comparable à ce que j'endurai cette nuit, de laquelle « Notre-Seigneur voulut gratifier sa chétive esclave, pour honorer la nuit douloureuse de sa Passion, quoique ce n'en fût qu'un petit échantillon. L'on me trairait de lieu en lieu avec des confusions effroyables (1). »
Et plus loin : « L'on crut que j'étais possédée ou obsédée, et l'on me jetait force eau bénite dessus, . avec des signes de croix, avec d'autres prières pour chasser le Malin Esprit. Mais Celui dont je me sentais possédée, bien loin de s'enfuir, me serrait tant plus fort à lui, en me disant : — J'aime l'eau bénite, et je chéris si fort la croix que je ne peux m'empêcher de m'unir étroitement à ceux qui la portent comme moi et pour l'amour de moi. — Ces paroles rallumèrent tellement en mon âme le désir de souffrir, que tout ce que je souffrais ne me semblait qu'une petite goutte d'eau, qui allumait plutôt la soif insatiable que je sentais, que de la désaltérer ; quoiqu'il me semble pouvoir dire qu'il n'y avait aucune partie de mon être qui n'eût sa souffrance particulière, tant l'esprit que le corps ; et cela sans compassion ni consolation, car le diable me livrait de furieux assauts, et mille fois j'aurais succombé, si je n'avais senti une Puissance Extraordinaire qui me soutenait. et combattait pour moi, parmi tout ce que je viens de dire (1). »
Cette nuit s'étant donc passée dans les tourments que Dieu connaît, et sans repos, jusqu'au lendemain environ la sainte messe, alors Soeur Marguerite-Marie entendit ces paroles : « Enfin la paix est faite et Ma Sainteté de Justice est satisfaite par le sacrifice que tu m'as fait (2). » Continuant à parler à Sa douce victime, Notre-Seigneur lui dit : « A mon imitation, tu agiras et souffriras en silence, sans autre intérêt que la Gloire de Dieu dans l'établissement du Règne de Mon sacré Coeur dans celui des hommes, auxquels je le veux manifester par ton moyen. — Mon Souverain m'a donné ces Saints Enseignements après l'avoir reçu; mais il ne me sortit point de mon état souffrant (3)...
Enfin, ma supérieure, ne sachant plus que faire de moi, me fit communier pour demander à Notre-Seigneur, par obéissance, de me remettre en ma première disposition. M'étant donc présentée à lui comme Son hostie d'immolation, il me dit : — Oui, ma fille, je viens à toi comme Souverain Sacrificateur, pour te donner une nouvelle vigueur, afin de t'immoler à de nouveaux supplices. — Ce qu'il fit, et je trouvai tout tellement changé, que je me sentais comme un esclave à qui l'on vient de redonner la liberté.
« Mais cela ne dura guère, car l'on commença à me dire que c'était le diable qui était l'Auteur de tout ce qui se passait en moi et qu'il me perdrait, si je n'y prenais garde, par ses ruses et illusions (1). »
Bien loin d'aller à la réprobation, elle allait à la plus héroïque sainteté, acceptant sans restriction aucune, de ne « plus paraître que comme un objet de contradiction, un égoût de rebut, de mépris et d'humiliation, lesquels je voyais avec plaisir venir fondre sur moi de toute part, et, » poursuit-elle, « sans recevoir aucune consolation du Ciel ni de la Terre. Il semblait que tout conspirait à m'anéantir. J'étais continuellement interrogée, et le peu de réponse que l'on tirait de moi, comme par force, ne laissait pas de servir d'instrument pour augmenter mon supplice. Je ne pouvais ni manger, ni parler, ni dormir; et tout mon repos et occupation n'était que de demeurer prosternée devant mon Dieu, dont la Souveraine Grandeur me tenait toute anéantie dans le plus profond abîme de mon néant, toujours pleurant et gémissant, pour lui demander Miséricorde et détourner les Traits de Sa Juste Colère (2)… »
Mais comment ne pas rapporter à cette époque ce qu'elle raconte d'une lutte de charité, dans laquelle son ardeur remporta le prix ? L'allusion est plus que transparente. « M'ayant une fois montré les Châtiments qu'il voulait exercer sur quelques âmes, je me jetai à Ses Pieds sacrés, en lui disant : — O mon Sauveur! déchargez plutôt sur moi toute votre Colère, et m'effacez du Livre de Vie, plutôt que de perdre ces âmes, qui vous ont coûté si cher! — Et il me répondit : — Mais elles ne t'aiment pas et ne cesseront de t'affliger. — Il n'importe, mon Dieu, pourvu qu'elles vous aiment, je ne veux cesser de vous prier de leur pardonner. — Laisse-moi faire ; je ne les peux souffrir davantage ! — Et l'embrassant encore plus fortement : — Non, mon Seigneur, je ne vous quitterai point que vous ne leur ayez pardonné. — Et il me disait : — Je le veux bien, si tu veux répondre pour eux. — Oui, mon Dieu; mais je ne vous paierai toujours qu'avec vos propres biens, qui sont les Trésors de votre Sacré Cœur. — C'est de quoi il se tint content (1). »
Ne semble-t-il pas, d'ailleurs, que Notre-Seigneur ait pris soin d'abriter lui-même la réputation de la Communauté de Paray, lorsqu'il disait à Marguerite-Marie : « Je te fais bien de l'honneur, ma chère fille, de me servir d'instruments si nobles pour te crucifier. Mon Père éternel m'a livré entre les mains cruelles des impitoyables bourreaux pour me crucifier : et moi, je me sers pour cet effet à ton égard des personnes qui me sont dévouées et consacrées, et au pouvoir desquelles je t'ai livrée, et pour le salut desquelles je veux que tu m'offres tout ce qu'elles te feront souffrir (1). » Ainsi, ces religieuses qui ont tant fait souffrir leur angélique compagne étaient agréables à Dieu, et ce n'est que par une secrète ordonnance de Sa Sagesse, visant la sanctification de l'humble favorite de Son Coeur, qu'elles en sont venues à la traiter de la sorte. « Tout coopère au bien de ceux qui aiment Dieu, » assure saint Paul.
Achevons de dire les sentiments de notre Sainte : « Je me trouvais tellement engloutie et absorbée dans ma souffrance, que je ne me sentais plus d'esprit ni de vie que pour voir et sentir ce qui se passait de douloureux à mon égard. Mais tout cela ne me causait pas le moindre mouvement d'inquiétude ni de chagrin (3). »
Il y avait pourtant bien de quoi tomber malade. Nous le savons déjà, elle ne pouvait plus rien manger. On s'en aperçut et on lui en fit des réprimandes. Sa supérieure et son confesseur lui ordonnèrent de prendre tout ce qu'on lui servirait à table. Quoique cette prescription lui parût au-dessus de ses forces, elle l'exécuta. Il en résulta des vomissements si fréquents et un tel ébranlement général dans sa santé, qu'on finit par la dégager de cette obéissance, lui donnant celle de ne prendre que ce qu'elle pourrait. Sa mortification n'y perdit rien et se trahit dans cette phrase : « Quelque effort que je me sois fait pour manger indifféremment ce qui m'était présenté, je ne pouvais me défendre de prendre ce que je croyais le moindre, comme le plus conforme à ma pauvreté et mon néant, qui me représentaient continuellement que le pain et l'eau m'étant suffisants, tout le reste était superflu. « Le manger, je l'avoue, m'a causé de rudes tourments depuis ce temps-là, allant au réfectoire comme à un lieu de supplice, auquel le péché m'avait condamnée. »
La Mère de Saumaise n'avait plus que quelques mois à gouverner la Communauté de Paray, lorsque les événements que nous venons de raconter s'y passèrent. A l'Ascension de 1678, elle déposait la charge de supérieure et retournait à Dijon, son monastère de profession, pour être élue à Moulins l'année suivante. En s'éloignant de Paray, elle emportait le germe béni de la dévotion au Sacré Coeur, afin de le répandre plus tard au loin, quand le Moment marqué par Dieu serait venu. Elle gardait aussi la conviction que la professe du 6 novembre 1672 était une âme de grâce, selon la parole du Père de la Colombière ; et lorsqu'en 1690, la Mère de Saumaise sera priée de dire elle-même quelque chose de ce qu'elle en savait, on pourra lire, dans son Mémoire, ce témoignage non équivoque : « Dans l'espace de six ans que j'ai connu notre Soeur Marguerite-Marie Alacoque, je puis assurer que je n'ai pas remarqué qu'elle ait relâché d'un instant à la résolution qu'elle prit, se consacrant à Dieu par la profession religieuse, de le faire régner en elle avant tout, au-dessus de tout, et en tout ; ne s'étant jamais accordé aucun plaisir, soit pour l'esprit, soit pour le corps. Et cette fidélité lui attira de la Divine Bonté des Grâces et Faveurs très particulières, qui la portaient à un désir très grand des croix, humiliations et souffrances. L'on pourrait dire, sans exagérer, qu'il n'y a point d'ambitieux d'honneurs et de plaisirs plus ardent qu'elle ne l'était de ces choses, dont elle faisait sa joie, bien qu'elle y fût très sensible (1). »
Qui remplacerait la Mère de Saumaise, auprès de l'humble fille investie d'une si grande mission ? La -Providence y pourvut, et, dans l'admirable économie de Ses Desseins, elle donnait au monastère de Paray, en 1678, une supérieure que l'on peut bien appeler hors ligne, en la personne de la Mère Péronne-Rosalie Greyfié, professe du premier monastère d'Annecy. Encore toute jeune enfant, elle avait été bénie par sainte Chantal. Entrée au premier monastère d'Annecy, à douze ans, comme Soeur du petit habit, » elle passe au noviciat dès que son âge le lui permet, et ne compte pas encore dix-sept ans lorsqu'elle fait la sainte profession, le 10 août 1655. Elle puise la véritable sève de l'Institut à la racine même, et se l'assimile si parfaitement, qu'on la juge capable d'être élue supérieure à Thonon, en 1670, ayant à peine trente-deux ans. Six années d'un premier gouvernement avaient encore développé les qualités maîtresses de cette remarquable religieuse.
Dieu, qui voulait s'en servir pour une couvre qu'elle ignorait elle-même, s'était hâté de tout faire mûrir en elle. En 1678, si quelqu'un était préparé pour prendre la direction d'une âme telle que celle de la Soeur Marguerite-Marie, pour en sonder à fond les états surnaturels et leur imposer l'épreuve du creuset, c'était la Mère Greyfié.
Douée d'un esprit supérieur et d'un jugement exceptionnel, du premier coup d'oeil elle comprit la situation et arrêta son plan. Le voici : « Lorsque j'entrai au service de votre maison, » écrira-t-elle au monastère de Paray, après la mort de la Soeur Alacoque, bien que votre Communauté fût très bonne et remplie de vertus et de piété, je trouvai néanmoins les sentiments fort partagés au sujet de cette véritable épouse du Sauveur crucifié, et, me trouvant sans expérience et sans aide pour la conduire dans des voies si extraordinaires, je me fiai un peu, et même beaucoup, aux assurances qu'elle me donna, que le Seigneur me ferait agir selon sa sainte volonté à son égard ; de sorte que je suivis sans crainte mon penchant naturel, qui cherche la (124) paix et la tranquillité. Et afin d'y tenir chacun, je n'ai presque jamais fait mine de faire attention à ce qui se passait d'extraordinaire en cette âme. Je ne la produisais auprès de personne, ni du dedans, là du dehors. S'il arrivait qu'elle fît quelque chose qui déplût, encore que c'eût été par mon ordre ou avec mon congé, je souffrais qu'on la désapprouvât et je l'en blâmais moi-même, quand c'était en sa présence (1). »
C'en fut assez pour que Sœur Marguerite-Marie reconnût que sa nouvelle supérieure agissait d'après l'Esprit de Dieu. Dès lors, elle lui voua une reconnaissance et une affection qui ne feront que grandir tous les jours, et qui, par là même, demeureront à tout jamais pures du soupçon d'être inspirées par des sentiments humains.
Consumée du désir de faire connaître et aimer le Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Sa bienheureuse disciple ne tarda pas à s'ouvrir là-dessus à celle qui, désormais, lui tenait la place de Dieu. « Je me souviens que la première fois que j'eus le bonheur d'entretenir cette chère Soeur, » écrit la Mère Greyfié, elle me parut avoir une ardeur véhémente de trouver les moyens de faire connaître, adorer et aimer ce Coeur très Adorable, à tous les habitants de l'univers, si elle eût pu. D'autre part, la connaissance et le bas sentiment qu'elle avait pour elle-même et qui croissait tous les jours, la repoussait bien loin de cette entreprise, croyant de bonne foi qu'il suffisait qu'elle s'en mêlât pour tout gâter et inspirer du rebut de cette dévotion, qu'elle avait tant à coeur, et pour l'établissement de laquelle elle aurait voulu donner mille vies, si elle les avait eues (1). »
En attendant, elle se laissait immoler entièrement par l'obéissance. La Mère Greyfié était femme à frapper de grands coups. Peu après son arrivée à Paray, elle retrancha l'heure de veille du jeudi au vendredi à la Servante de Dieu. Celle-ci obéit; mais, rapporte la Mère Greyfié, souvent pendant cet intervalle d'interruption, elle venait à moi toute craintive, m'exposer qu'il lui semblait que Notre-Seigneur me savait mauvais gré de ce retranchement, et qu'elle craignait qu'il ne se satisfît là-dessus de quelque manière qui me serait fâcheuse et sensible. Je n'en démordis pas encore; mais voyant ma Soeur Quarré mourir assez promptement d'un flux de sang, dont personne dans le monastère ne fut malade qu'elle, et quelques autres circonstances qui accompagnèrent la perte d'un si bon sujet, je rendis vite l'heure d'oraison à votre précieuse défunte, la pensée me poursuivant fortement que c'était là la punition dont elle m'avait menacée de la part de Notre-Seigneur (1). »
Sa retraite de l'année 1678 laissa de profonds souvenirs de Grâce dans l'âme de Sœur Marguerite Marie.
« Voici ce que mon Souverain me fit entendre..... Comme je me plaignais de ce qu'il me donnait Ses Consolations avec trop d'abondance, ne me sentant capable de les soutenir, il me dit que c'était pour me fortifier, parce que j'avais à souffrir. — Bois et mange, me dit-il, à la table de Mes délices, pour te rafraîchir, afin que tu chemines courageusement, à la force de ce pain; car tu as encore un long, pénible et rigoureux chemin à faire, et dans lequel tu auras souvent besoin de prendre haleine et repos dans Mon Sacré Cœur, qui pour cela te sera toujours ouvert, tandis que tu marcheras dans Ses voies. Je veux que ton coeur me soit un asile où je me retirerai pour y prendre Mon Plaisir, lorsque les Pécheurs me persécuteront et rejetteront des leurs......
« Ne t'oublie jamais de ton néant et que tu es la Victime de Mon Coeur, qui doit toujours être disposée d'être immolée pour la charité..... Comme je te l'ai promis, tu posséderas les Trésors de Mon Cœur en échange, et je te permets d'en disposer à ton gré, en faveur des sujets disposés. N'en sois pas chiche car ils sont infinis.....
« J'ai encore une rude et pesante croix à mettre sur tes faibles épaules ; mais je suis assez puissant pour la soutenir. Ne crains rien et me laisse faire tout ce que je voudrai de toi et en toi (1). »
Ce fut vers cette époque que la Sainte reçut un Gage Nouveau de l'Amour de Son Doux Maître, Un jour qu'elle était dans une grande souffrance,
Ce fut vers cette époque que la Sainte reçut un gage nouveau de l'amour de son doux Maître, Un jour qu'elle était dans une grande souffrance, il lui dit : « Ma fille, ne t'afflige pas, car je te veux donner un gardien fidèle qui t'accompagnera partout et t'assistera dans toutes tes nécessités intérieures et qui empêchera que ton ennemi ne se prévaudra point de toutes les fautes où il croira de te faire tomber par ses suggestions, qui retourneront à sa confusion, Grâce qui me donne une telle force qu'il me semble n'avoir plus rien à craindre, car ce fidèle gardien de mon âme m'assiste avec tant d'amour qu'il m'affranchit de toutes ces peines. Mais je ne le voyais que lorsque mon Seigneur me cachait Sa Présence sensible, pour me plonger dans les douleurs très rigoureuses de Sa Sainteté de Justice.
C'était alors qu'il me consolait par ses familiers entretiens, me disant une fois :
— Je vous veux dire qui je suis, Ma chère Soeur, afin que vous connaissiez l'Amour que votre Époux vous porte.
Je suis un des sept Esprits qui sont les plus proches du Trône de Dieu, et qui participent le plus aux ardeurs du Sacré Cœur de Jésus-Christ....
Une autre fois, il me dit : — Prenez bien garde qu'aucune Grâce et caresse familière que vous recevez de notre Dieu ne vous fasse oublier de ce qu'il est et de ce que vous êtes ; car autrement je tâcherais moi-même de vous anéantir (1). »
Cette âme héroïque devait clôturer l'année 1678 par un Acte Solennel.
Notre-Seigneur, comme Souverain Sacrificateur, lui commanda de faire en Sa Faveur un Testament ou Donation entière, sans réserve et par écrit,
de tout ce qu'elle pourrait faire et souffrir, de toutes les prières et biens spirituels que l'on ferait pour elle, pendant sa vie et, après sa mort.
Le Divin Maître entendait que la chose fût faite en règle.
Il fit demander par Soeur Marguerite-Marie à la Mère Greyfié si elle voulait bien servir de notaire en cette affaire — qu'il se chargeait de la payer solidement.
Si la supérieure refusait, la Soeur devait s'adresser au Père de la Colombière. Mais la Mère Greyfié, après avoir pris le temps de réfléchir, s'y prêta très volontiers. Elle écrivit donc elle-même la pièce suivante :
« Vive Jésus dans le coeur de Son épouse, ma Soeur Marguerite-Marie, pour laquelle, et en vertu du pouvoir que Dieu m'a donné sur elle, j'offre et dédie et consacre purement et irrévocablement au Sacré Coeur de l'Adorable Jésus tout le bien qu'elle pourra faire pendant sa vie, et celui qui sera fait après sa mort, pour elle, afin que la Volonté de ce Coeur Divin en dispose à Son gré et selon Son bon plaisir et en faveur de quiconque il lui plaira, soit vivant ou trépassé-; ma Soeur Marguerite-Marie protestant qu'elle s'en dépouille volontiers généralement de tout, excepté la volonté d'être à jamais unie au Divin Coeur de son Jésus, et l'aimer purement pour l'amour de lui-même.
En foi de quoi, elle et moi signons cet écrit, le dernier jour de décembre 1678. Soeur Péronne- Rosalie Greyfié; à présent Supérieure, et de laquelle ma Soeur Marguerite-Marie demandera tous les jours la conversion à ce Coeur Divin. et Adorable, avec la Grâce de la Pénitence finale.
La Soeur ayant présenté cet écrit à Notre-Seigneur, il lui en témoigna un grand agrément et lui dit que, puisque son amour l'avait dépouillée de tout, il ne voulait pas qu'elle eût d'autres richesses que celles de Son Sacré Coeur et il lui en fit une donation à l'heure même, me la faisant écrire de mon sang, selon qu'il la dictait, et puis je la signai sur mon coeur avec un canif, duquel j'y écrivis Son Sacré Nom de Jésus, » ajoute l'Autobiographie (1).
Consultons le Mémoire des Contemporaines. Nous y lirons ce qui suit :
« Après cette donation faite, je la signai», dit-elle, « sur mon coeur, comme mon Divin Maître le voulait, et je la signe encore ici : Soeur Marguerite-Marie, disciple du Divin Coeur de L'adorable Jésus, lequel s'étant donné à moi par la sainte communion, il me fit lire dans ce Coeur Adorable ce qui était écrit pour moi.
— Ce qui suit est écrit de son sang :
— Je te constitue héritière de Mon Coeur et de tous Ses Trésors pour le temps et l'éternité, te permettant d'en user selon ton désir, et te promets que tu ne manqueras de secours que lorsque Mon Coeur manquera de puissance. Tu en seras pour toujours la disciple bien-aimée, le jouet de Son Bon Plaisir et l'holocauste de Ses Désirs, et lui seul sera le plaisir de tous tes désirs, qui réparera et suppléera à tes défauts, et t'acquittera de tes obligations (2). »
Il a besoin d'être étudié pour être bien compris. En voici 'l'enchaînement logique.
Soeur Marguerite-Marie présente à Notre-Seigneur le Testament en question et, dans un transport d'amour, grave le Saint Nom de Jésus sur son coeur.
Puis, elle signe en ces termes la pièce écrite par la Mère Greyfié : « Soeur Marguerite-Marie, disciple du Divin Cœur de l'Adorable Jésus. » Enfin, Notre-Seigneur, lui fait lire ce qu'il y a d'inscrit pour elle dans Son Sacré Coeur et lui fait écrire de son sang la donation ci-dessus :
« Je te constitue héritière,... » etc. L'Autobiographie continue : « Après quoi, il me dit qu'il prendrait soin de récompenser au centuple tous les biens que l'on me ferait, comme faits pour lui-même, puisque je n'avais plus rien à y prétendre ; et que, pour récompense à celle qui avait dressé ce Testament en Sa Faveur, il lui voulait donner la même récompense qu'à sainte Claire de Montefalco ; et que pour cela, il ajouterait à ses actions les mérites infinis des siennes, et par l'Amour de Son Sacré Coeur, il lui ferait mériter la même couronne. Ce qui me donna une grande consolation, parce que je l'aimais beaucoup, à cause qu'elle nourrissait mon âme abondamment du pain délicieux de la mortification et humiliation, qui était si agréable au goût de mon Souverain Maître (1). »
Ce Testament était daté du 31 décembre 1678. Presque à la même date, le Révérend Père de la Colombière, qui venait de se voir frustré de la gloire du martyre, mais avait, du moins, conquis la palme de confesseur de la foi, injustement accusé et banni d'Angleterre, reprenait le chemin de la France. Cette disgrâce entrait dans les Desseins de Dieu, pour reconduire momentanément le saint jésuite dans la petite ville charolaise, à une époque où sa présence était singulièrement opportune.
La Mère Greyfié avait alors des craintes au sujet de la Soeur Alacoque.
Elle les soumit au Père et voici comment il l'éclaira et la rassura : « Il me fit connaître qu'il n'hésitait pas de croire que ce qui se passait en cette chère Soeur ne fût vraies Grâces de Dieu.
— Mais qu'importe, me dit-il, quand ce seraient des illusions diaboliques, pourvu que cela produise en elle les mêmes effets que font les Grâces du Seigneur ?
Il n'y a nulle apparence à cela, me dit-il encore, parce qu'il se trouverait que le diable, en la voulant tromper, se tromperait lui-même, l'humilité, la simplicité, l'exacte obéissance et la mortification n'étant point les fruits de l'Esprit de Ténèbres (1). »
Si ce retour passager de l'éminent religieux à Paray fut une consolation pour notre Sainte, il lui devint aussi l'occasion de manifester une fois de plus sa vertu consommée. Le Révérend Père souhaitant parler à Soeur Marguerite-Marie au confessionnal, pour être en particulier, la Mère Greyfié le permit très volontiers. Mais elle apprit bientôt qu'on s'en était fait de la peine » —
Et le Père de la Colombière, que, pensa-t-il de Soeur Marguerite-Marie ?
Le 23 mars 1679, il écrivait à la Mère de Saumaise : « Passant à Paray, je n'ai pu voir qu'une fois la Soeur Alacoque, mais j'ai bien eu de la consolation en cette visite. je la trouvai toujours extrêmement humble et soumise, dans un grand amour de la croix et du mépris.
Voilà des marques de la Bonté de l'Esprit qui la conduit, et qui n'a jamais trompé personne (2). »
L'Ange de Ténèbres avait une haine marquée pour la disciple du Coeur de Jésus.
« Maudite que tu es, » lui dit-il un jour, je t'attraperai et si je te peux une fois tenir à ma puissance, je te ferai bien sentir ce que je sais faire ; je te nuirai partout (1). »
Désespéré qu'il était de n'avoir pu abuser cette âme, ni l'enlacer dans les filets de l'orgueil, il s'en était, depuis longtemps, pris à son corps, se donnant pour tâche de lui tendre des pièges en tout lieu.
D'abord, il la rendait à tout propos d'une maladresse extrême, lui faisant tomber des mains et casser les objets qu'elle tenait.
Plusieurs fois, il fut plus méchant encore. Un jour, il la poussa du haut d'un escalier, « tandis qu'elle portait; du feu dans un vaisseau de terre, qui ne se rompit point (2). » La confusion fut pour son ennemi et non pour elle, qui se trouva au bas de l'escalier, sans avoir même rien renversé, ni sans s'être fait aucun mal. Naturellement parlant, elle aurait dû se casser les jambes. Mais son saint ange était là qui veillait.
Elle dit tout simplement : « Je sentis mon fidèle gardien qui me soutint (3). »
Le Malin ne la laissait presque jamais tranquille et la poursuivait aux récréations comme ailleurs. A différentes reprises, étant ensemble au chauffoir commun, plusieurs des religieuses virent tout d'un coup retirer l'escabeau sur lequel la Servante de Dieu était assise, sans qu'on` aperçut l'être qui se jouait ainsi d'elle. L'humble Soeur tombait alors à terre et reprenait paisiblement son siège ; mais le fait se réitérant un seul jour sur-le-champ jusqu'à trois fois, il fut impossible de ne pas reconnaître l'auteur de cette vexation. La Soeur de Lyonne s'avisa de dire : « Il faut que le démon s'en mêle ! » A quoi la Soeur Alacoque ne répondit que « par un sourire (1). »
Notre-Seigneur l'avait prévenue que Satan avait demandé de l'éprouver comme l'or dans la fournaise, et qu'il lui avait tout permis, à la réserve de l'impureté ; mais que, pour toutes les autres tentations, il lui fallait être sur ses gardes, et qu'elle aurait surtout à subir celles dont le diable avait osé l'attaquer lui-même. Elle en fit la terrible expérience.
Il y a une haute leçon, cachée pour nous sous les humbles aveux d'une si grande âme. « Je souffris pendant ce temps-là de rudes combats de la part du démon, qui m'attaquait particulièrement sur le désespoir, me faisant voir qu'une aussi méchante créature que moi ne devait point prétendre de part dans le paradis, puisque je n'en avais déjà point dans l'amour de mon Dieu, duquel je serais privée pour une éternité. Cela me faisait verser des torrents de larmes.
D'autres fois, il m'attaquait de vaine gloire, et puis de cette abominable tentation de gourmandise, me faisant sentir des faims effroyables ; et puis, il me représentait tout ce qui est le plus capable de contenter le goût, et cela dans le temps de mes exercices, ce qui m'était un tourment étrange. Et cette faim me durait jusqu'à ce que j'entrais au réfectoire pour prendre ma réfection, dont je me sentais d'abord dans un dégoût si grand, qu'il me fallait faire une grande violence, pour prendre quelque peu de nourriture. Et d'abord que j'étais sortie de table, « ma faim recommençait plus violente qu'auparavant. »
Ce que voyant, la Mère Greyfié ordonna à cette parfaite obéissante de venir lui demander à manger, lorsqu'elle se sentirait plus pressée de la faim, « ce que je faisais avec des violences extrêmes, pour la grande confusion que je sentais, » rapporte la Sainte. « Et au lieu de m'envoyer manger, elle me mortifiait et humiliait fortement là-dessus, en me disant que je garderais ma faim pour la contenter lorsque les autres iraient au réfectoire. Après, je demeurais en paix dans ma souffrance (1). »
Non seulement Notre-Seigneur ne voulait pas diminuer la sensibilité ni les répugnances de Marguerite-Marie (2), mais il avait divinement pris ses mesures pour les aviver encore. « Il voulait que je fusse dans un continuel acte de sacrifice, et que, pour cela, il augmenterait mes sensibilités et mes répugnances, en telle sorte que je ne ferais rien qu'avec peine et violence, pour me donner matière de victoire, même dans les choses les plus minces et indifférentes. Ce que je puis assurer avoir toujours éprouvé depuis. De plus, que je ne goûterais plus aucune douceur que dans les amertumes du Calvaire, et qu'il me ferait trouver un martyre de souffrance dans tout ce qui pouvait composer la joie, le plaisir et la félicité temporelle des autres. Ce qu'il m'a fait éprouver d'une manière très sensible, puisque tout ce qui [se] peut nommer plaisir, me devint un supplice (1). »
Une fois, Notre-Seigneur lui fit entendre qu'il la voulait retirer dans la solitude, non celle d'un désert, mais celle de son sacré Coeur, et il lui demanda de jeûner cinquante jours au pain et à l'eau, pour honorer son jeûne dans le désert. Elle n'en put obtenir la permission, cette singularité ne cadrant pas avec les usages ordinaires.
Alors, son Époux divin l'assura qu'il aurait comme très agréable qu'elle passât cinquante jours sans boire, pour rendre hommage à la soif que son Cœur sacré a du salut des pécheurs.
La courageuse Sœur Alacoque commença donc cette pénitence, mais on ne la lui laissa pas achever pour cette première fois. Plus tard, elle eut congé de la recommencer et d'aller jusqu'au bout des cinquante jours. Elle passait de même les vendredis sans boire, depuis le jeudi soir jusqu'au samedi matin, ce qui était d'autant plus extraordinaire qu'elle était plus habituellement travaillée d'une soif dévorante. Elle continua longtemps cette pratique, jusqu'à ce que la Mère Greyfié, jugeant de son devoir de la lui défendre, lui donna l'obéissance de boire trois ou quatre fois entre les repas, tous les jours. Mais, pour obéir et souffrir tout ensemble, Sœur Marguerite-Marie s'avisa de boire de l'eau où on lavait
vaisselle, et même la lessive. Une Soeur, l'ayant prise sur le fait, en prévint la supérieure, qui sut bien encore, en cette rencontre, gratifier l'innocente coupable d'une énergique réprimande.
La parfaite loyauté de la Mère Péronne-Rosalie à dépeindre la sévérité de sa conduite envers la Servante de Dieu donne à ses récits un charme plein d'une mâle saveur. Nous allons encore en goûter quelque chose.
Il est question de la mystérieuse douleur de côté que la Sainte portait continuellement, et que Notre-Seigneur lui avait prédit ne
pouvoir être soulagée que par la saignée. « Je l'ai vue pressée de sa douleur, se tenir en paix, sans demander la saignée, à laquelle nos Soeurs et moi aussi avions de la répugnance, parce qu'il la lui fallait faire trop souvent.
On s'en prenait à elle; comme si ç'avait été un remède attaché à sa fantaisie, plutôt que propre à son mal. Elle a eu de bonnes occasions à ce sujet de souffrir et de patienter en silence, comme elle faisait entre Dieu et elle. Moi-même, une fois, je m'obstinai à ne vouloir pas qu'elle fût saignée.
On lui fit plusieurs autres remèdes, qui ne servirent qu'à aigrir sa douleur. Elle en vint à un vomissement de toutes sortes d'aliments qu'on pût lui donner, même la confection d'hyacinthe. Elle ne refusait rien de tout ce qu'on lui donnait pendant deux ou trois. jours, ni ne se plaignit jamais d'être dans ce pauvre état, faute de lui vouloir faire une saignée.
Quand je lui en parlai : — « Ma Mère, » me dit-elle, « je sais bien qu'il n'y a que ce remède qui me soulage : mais je ne le désire pas, si Votre Charité ne le veut (138) pas, parce que mon Jésus vous fait vouloir tout ce qu'il veut pour moi. Je suis bien aise de souffrir tant qu'il lui plaira. »
— A la fin, le mal l'ayant réduite dans l'état de ne pouvoir presque plus respirer ni parler, et ses vomissements dans une grande faiblesse, je la conduisis à l'infirmerie, où on ne lui eut pas plus tôt tiré une palette de sang qu'elle reprit la liberté de la respiration et de la parole, et se trouva si vigoureuse, qu'aussitôt que son bras fut bandé, elle aurait voulu que je lui eusse permis d'aller à la suite de la Communauté.............................................
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Sacré-Cœur de Jésus — Wikipédia
L'extension de cette dévotion dans l'Église catholique à partir du XVIIe siècle vient de révélations privées d'une visitandine de Paray-le-Monial, sainte Marguerite-Marie Alacoque, puis, à partir du XIXe siècle, d'une autre religieuse catholique, Marie du Divin Cœur, qui a demandé à Léon XIII de consacrer le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus.
Le Sacré-Cœur est souvent représenté, dans l'art chrétien, sous la forme d'un cœur enflammé brillant d'une lumière divine, ensanglanté après avoir été percé par la lance d'un soldat romain, entouré d'une couronne d'épines et surmonté d'une petite croix. Parfois, le cœur est centré sur le corps du Christ, avec ses mains transpercées dirigées vers lui. Les blessures et la couronne d'épines font allusion aux conditions de la mort de Jésus-Christ, alors que le feu symbolise le pouvoir transformateur de l'amour.
Au XVIIe siècle, Jean Eudes (1601-1680) mit en place les éléments d'un culte dédié au Cœur immaculé de la Vierge Marie, puis au Sacré-Cœur de Jésus, en les unissant ensemble à partir de 1634[6]. Approuvé par plusieurs évêques en 1672, il célébra une fête du Sacré-Cœur pour la première fois le 20 octobre 1672 au sein de sa Congrégation de Jésus et Marie[7],[4].
L'Église catholique se trouva confortée dans l'instauration de ce culte à la suite des apparitions que Marguerite-Marie Alacoque (plus tard proclamée sainte) dit avoir reçues de Jésus entre 1673 et 1675 à Paray-le-Monial[8]. Les révélations que reçut Marguerite-Marie furent à l'origine de plusieurs dévotions dont notamment celle de l'image du Sacré-Cœur : « Et il me fit voir qu’il fallait honorer (le Cœur de Dieu) sous la figure de ce Cœur de chair, dont il voulait que l’image soit exposée et portée sur soi et sur le cœur, pour y imprimer son amour et le remplir de tous les dons dont il était plein et pour y détruire tous les mouvements déréglés. Et que partout où cette sainte image serait exposée pour y être honorée, il répandrait ses grâces et bénédictions »[9],[10]. L'image qu'elle propage, entouré de rayons d'or et de flammes de feu, comporte au centre le mot « charitas » c'est-à-dire charité (dans le sens catholique de "amour"). Toujours d'après Alacoque, d'autres dévotions firent également l'objet d'une demande particulière de Jésus, comme l'institution de la fête du Sacré-Cœur qui deviendra plusieurs siècles plus tard une solennité : « C'est pour cela que je te demande que le premier vendredi d'après l'octave du saint Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon Cœur, en communiant ce jour-là et en lui faisant réparation d'honneur par une amende honorable... »[11],[4]. C'est à la suite de cette vision que saint Claude La Colombière se consacra au Sacré-Cœur le 21 juin 1675, faisant de lui la première personne s'y consacrant après Marguerite-Marie. Il aidera par la suite cette dernière à répandre le culte du Sacré-Cœur[12]. Enfin, on peut également citer la dévotion des premiers vendredis, à laquelle est attachée la « grande promesse » accordée à ceux qui la pratiquent[13], ainsi que la pratique de l'Heure Sainte[14].
En 1689, Marguerite-Marie Alacoque affirme devoir délivrer quatre demandes particulières à l'intention de Louis XIV et du pouvoir temporel[15]:
Une fête en l’honneur de son Sacré-Cœur ;
Une basilique dédiée au Sacré-Cœur ;
La consécration de la France au Sacré-Cœur ;
Placer le Sacré-Cœur sur le drapeau français.
Pie IX
En 1856, le pape Pie IX étend la fête du Sacré-Cœur à toute l'Église catholique[4],[22].
Le 19 août 1864, il béatifie Marguerite-Marie Alacoque, puis il bénit le projet d'édification de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre[25],[23].
Consécrations au Sacré-Cœur
La France a été consacrée le 29 juin 1873 par un groupe d'une cinquantaine de parlementaires lors d'un pèlerinage à Paray-le-Monial conduite par le député toulousain Gabriel de Belcastel[26].
Le 8 octobre 1873, par décret remis au président Gabriel García Moreno, l'Équateur fut le premier pays du monde consacré au Sacré-Cœur[27], accomplissant enfin ce que Dieu avait demandé à Marie-Madeleine un peu moins de deux mille ans auparavant, selon la vulgate chrétienne[24]. Depuis le milieu du XIXe siècle, des groupes, des congrégations et même des États du monde entier se sont consacrés au Sacré-Cœur.
Le pape Léon XIII consacra par son encyclique Annum Sacrum (le 25 mai 1899), chaque être humain au Sacré-Cœur[22],[23]. L'idée de cet acte, que Léon XIII surnomma le « grand acte » de son pontificat, lui avait été soumise par la bienheureuse Marie du Divin Cœur, comtesse Droste zu Vischering, une religieuse supérieure de la Congrégation du Bon Pasteur de Porto, au Portugal, qui affirmait l'avoir surnaturellement reçue du Christ lui-même.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La basilique du Sacré-Cœur de Montmartre est dite Vœu national. Elle est déclarée d'utilité publique par une loi votée le 24 juillet 1873 par l'Assemblée nationale de 1871. Le 16 juin 1875, l'archevêque de Paris, le cardinal Guibert, pose la première pierre de la basilique, honorant après deux cents ans jour pour jour, la demande rapportée par Marguerite-Marie Alacoque, le 16 juin 1675[28],[29].
Au début du XXe siècle, Pie X afin de clore chaque messe quotidienne ajoute aux prières dites prières léonines, une invocation au Sacré-Cœur, le Cor Jesu Sacratissimum, invoquée trois fois.
En 1928, Pie XI confirme l'attachement de l'Église à cette dévotion par l'encyclique Miserentissimus Redemptor[23]. Il y précise la tradition catholique associant le Sacré-Cœur aux actes de réparation dédiés au Christ : « L'esprit d'expiation ou de réparation a toujours tenu le premier et principal rôle dans le culte rendu au Sacré-Cœur de Jésus ».
Le 29 janvier 1929, Pie XI officialise la composition d'une nouvelle messe et d'un nouvel office liturgique du Sacré-Cœur[30]. La fête du Sacré-Cœur est établie comme solennité et dès lors célébrée le troisième dimanche après la Pentecôte[31],[23] afin de « compenser à l'égard de l'amour incréé, l'indifférence, l'oubli, les offenses, les outrages qu'il subit »[32].
Pie XII publie à son tour une encyclique sur ce thème en 1956, Haurietis aquas, y définissant le mystère du cœur de Jésus comme le mystère de l'amour miséricordieux du Christ et de la Trinité tout entière, Père, Fils et Saint-Esprit, envers l'humanité[33].
Jean-Paul II visite le site de Paray-le-Monial en 1986.
Benoît XVI consacra la jeunesse du monde entier au Sacré-Cœur au cours des Journées mondiales de la jeunesse à Madrid[22].
Le 24 octobre 2024, François publie une encyclique sur le Sacré-Cœur, Dilexit nos, avec pour thème principal l'amour humain et divin du cœur de Jésus-Christ[34],[35].
L'acte de consécration au Sacré-Cœur de Jésus est à l'origine une prière de consécration personnelle au Sacré-Cœur de Jésus. Au fil du temps, ce sont des communautés, des régions, des pays et même tout le genre humain qui furent consacrés au Sacré-Cœur à travers différents actes de consécration.
Les litanies du Sacré-Cœur sont une prière vocale litanique, généralement récitée en groupes, dédiées au Sacré-Cœur et appelant à sa miséricorde.
Le scapulaire du Sacré-Cœur est un scapulaire approuvée par l'Église catholique qui est associé aux apparitions de Notre-Dame de Pellevoisin à Estelle Faguette en 1876 et à la dévotion au Sacré-Cœur.
Le Sanctuaire du Christ Roi est un grand monument religieux en Almada, Portugal, dédié au Sacré-Cœur de Jésus où existe une chapelle avec des reliques de sainte Marguerite-Marie Alacoque, de saint Jean Eudes, de sainte Faustine Kowalska et de la bienheureuse Marie du Divin Cœur.
Allemagne
Église du Sacré-Cœur à Munich, en Bavière.
Belgique
Basilique du Sacré-Cœur de Bruxelles ou basilique de Koekelberg.
Canada
Église du Sacré-Cœur de Jésus de Montréal, Québec
Sanctuaire du Sacré-Cœur de Montréal, Québec
Église du Sacré-Cœur de Gatineau (Hull), Québec
Église du Sacré-Cœur de Longueuil, Québec
Église du Sacré-Cœur de Chicoutimi, Québec
Église du Sacré-Cœur de Stanstead, Québec
Sanctuaire du Sacré-Cœur de Beauvoir, Sherbrooke, Québec
États-Unis
Basilique du Sacré-Cœur (Basilica of the Sacred Heart), sise en l'université Notre-Dame, à South Bend, dans l'Indiana
Basilique-cathédrale du Sacré-Cœur (Cathedral Basilica of the Sacred Heart), à Newark (New Jersey), dans le New Jersey
France
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, à Paris
Basilique du Sacré-Cœur de Marseille
Basilique du Sacré-Cœur de Bourg-en-Bresse
Basilique du Sacré-Cœur de Nancy
Basilique du Sacré-Cœur de Lutterbach
Église du sacré-Cœur à Castellane
Église du Sacré-Cœur en Saint-Germain-du-Crioult
Église du Sacré-Cœur en Menton
Église du Sacré-Cœur de Cholet
Eglise du Sacré-Cœur d'Agen
Eglise du Sacré-Cœur de Sète
Paroisse du Sacré-Cœur de Colombes
Chapelle du Sacré-Cœur à Berné
Sanctuaire diocésain Sacré-Cœur de Dijon
Basilique du Sacré-Cœur de Grenoble
Église du Sacré-Cœur d'Audincourt
Église du Sacré-Cœur de Douarnenez
Sanctuaire Notre-Dame de Pellevoisin
Église du Sacré-Cœur d’Angoulême
Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption d'Ajaccio
Église du Sacré-Cœur-de-Jésus de Villeneuve-d'Ascq
Paroisse du Sacré-Coeur d'Avignon
Paroisse du Sacré-Coeur de Toulon
Eglise du Sacré-Coeur d'Antibes
Ensemble paroissial Sacré-Coeur et Notre-Dame de Bellecombe à Lyon
Eglise du Sacré-Coeur de Bourges
Église du Sacré-Cœur de Bordeaux
Eglise du Sacré-Coeur de Limoges
Eglise du Sacré-Coeur-de-Jésus de Beynac
Eglise du Sacré-Coeur du Prado à Cannes
Chapelle Notre Dame du Sacré Coeur de "Les Îles" à Lavaudieu (43)
Église du Sacré-Coeur de Lourdes
Inde
Basilique du Sacré-Cœur de Pondichéry
Liban
Église du Sacré-Cœur dans le quartier de Badaro à Beyrouth
Ouzbékistan
Église du Sacré-Cœur de Tachkent[37]
Portugal
Basilique du Sacré-Cœur (de l'Étoile) à Lisbonne
Église-Sanctuaire du Sacré-Cœur de Jésus à Ermesinde
Sanctuaire du Christ Roi en Almada
Russie
Église du Sacré-Cœur de Saint-Pétersbourg[38]
Église du Sacré-Cœur de Samara.
Suisse
Église du Sacré-Cœur de Genève
Thaïlande
Cathédrale du Sacré-Cœur en Chiang Maï
Togo
Eglise du Sacré-Cœur de Dzodzekondzi
Au XVIIe siècle, Jean Eudes (1601-1680) mit en place les éléments d'un culte dédié au Cœur immaculé de la Vierge Marie, puis au Sacré-Cœur de Jésus, en les unissant ensemble à partir de 1634[6]. Approuvé par plusieurs évêques en 1672, il célébra une fête du Sacré-Cœur pour la première fois le 20 octobre 1672 au sein de sa Congrégation de Jésus et Marie[7],[4].
L'Église catholique se trouva confortée dans l'instauration de ce culte à la suite des Apparitions que Marguerite-Marie Alacoque (plus tard proclamée sainte) dit avoir reçues de Jésus entre 1673 et 1675 à Paray-le-Monial[8]. Les révélations que reçut Marguerite-Marie furent à l'origine de plusieurs dévotions dont notamment celle de l'image du Sacré-Cœur : « Et il me fit voir qu’il fallait honorer (le Cœur de Dieu) sous la figure de ce Cœur de chair, dont il voulait que l’image soit exposée et portée sur soi et sur le cœur, pour y imprimer son amour et le remplir de tous les dons dont il était plein et pour y détruire tous les mouvements déréglés. Et que partout où cette sainte image serait exposée pour y être honorée, il répandrait ses grâces et bénédictions »[9],[10]. L'image qu'elle propage, entouré de rayons d'or et de flammes de feu, comporte au centre le mot « charitas » c'est-à-dire charité (dans le sens catholique de "amour").
COEUR Immaculé DE MARIE :
Cœur immaculé de Marie — Wikipédia
Le Cœur immaculé de Marie est une dévotion catholique au cœur de la Vierge Marie. La fête du Cœur immaculé de Marie se célèbre le samedi après la solennité du Sacré-Cœur de Jésus.
Historique de la dévotion
Cette dévotion est fondée sur la théologie mariale de Bernard de Clairvaux, ainsi que sur les écrits de Docteurs de l'Église tels qu'Anselme de Cantorbéry. Après l'apparition de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus par les révélations privées reçues par Gertrude de Helfta, Mechtilde de Hackeborn et Marguerite-Marie Alacoque au XVIIe siècle, cette dévotion fut progressivement assimilée à Marie, qui ne forme qu'un seul cœur avec celui de Jésus selon François de Sales. La dévotion au Cœur de Marie va apparaître lentement chez les fidèles catholiques, notamment grâce à l'expansion de la dévotion mariale à partir du XVIIe siècle[1], avant de prendre une plus grande influence par la promotion qu'en fit notamment Jean Eudes, et dans une moindre mesure par Louis-Marie Grignion de Montfort, au XVIIe siècle[2],[3]. Une fête consacrée au Cœur très pur de Marie était déjà célébrée par l'ordre des Augustins et le diocèse de Rome dès le XIXe siècle.
Le 27 novembre 1830, Catherine Labouré confesse avoir vu la Vierge Marie qui lui aurait demandé, au cours d'une apparition, de faire frapper une médaille avec les Cœurs de Jésus et de Marie[3].
Le 11 décembre 1836, l'abbé Desgenettes, curé de Notre-Dame-des-Victoires à Paris, consacra sa paroisse au Cœur immaculé de Marie[3].
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LA VAGUE D'OVNIS EN BELGIQUE, à LIEGE, à PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989 ! UNE SEMAINE AVANT, YAHWEH ILOHIM LE Créateur a commencé à ME PARLER, J'ALLAIS AVOIR 30 ANS ! C'EST LA GLOIRE DE YAHWEH AINSI QUE LA Nuée QUI SONT APPARUES AU-DESSUS DE MOI, SELON DEUTERONOME chap 18:15, ISSAYAH chap 4 et chap 5:1, chap 2, chap 3, chap 11, chap 13, chap 55:12, chap 59:13, 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 18, chap 9, chap 10, chap 47; APOC DE JEAN chap 10, chap 12:1-2, chap 14:14 et chap 19:11, chap 18, chap 21, chap 22)
VAGUE D'OVNI EN BELGIQUE (mystere) - Vidéo Dailymotion
https://www.dailymotion.com/video/xnexxa
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NOUVELLE VIDEO SEPTEMBRE 2014 :
COURONNEMENT FEMME :
ENFANTEMENT DE L'ELU ET DU ROYAUME DE YAHWEH EN UN SEUL JOUR !
YAHWEH PROVOQUE L'ENFANTEMENT !
https://www.dailymotion.com/video/x26it9f
CONTENU DE MA VIDEO DE SEPTEMBRE 2014 :
Bonjour mon Nom est NOËLLA, je suppose que vous me connaissez tous ceux qui pourront voir cette video ! CELA FAIT 24 ANS QUE JE SERS YAHWEH, MON ILOHIM, MON Père ET LE VÔTRE, ET JE SUIS fière DE LE SERVIR !
(CECI MANQUE AUSSI DANS MA VIDEO, CERTAINES PARTIES ont été effacées MAIS PAS PAR MOI ! ET POURTANT JE L'AVAIS DIT, MAIS JE LE REMETS AUJOURD'HUI :
COMME VOUS AVEZ PU LE LIRE, J'ai été GRAVEMENT MALADE CES DERNIERS TEMPS, MAIS JE VAIS MIEUX AUJOURD'HUI !
VOUS SAVEZ QU'à PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989, LA GLOIRE DE YAHWEH AINSI QUE LA Nuée, EST APPARUE AU-DESSUS DE MA TÊTE, à LIEGE EN BELGIQUE là où J'HABITAIS, LONGTEMPS, UN énorme Nuée DE FORME TRIANGULAIRE ! MAIS AUSSI EN 1989, LA Nuée BLANCHE à CHRISSOPETRA, à GALLIKOS, KILKIS, THESSALONIQUE EN Grèce, DE LAQUELLE EST DESCENDU UN Géant ET a posé SES PIEDS SUR LA TERRE EN Y LAISSANT SES EMPREINTES, DEVANT LA PETITE EVI SOTIROPOULOU / SAUVEUR, ET SON PETIT Frère ! MAIS également EN RUSSIE EN 1989, UNE énorme Nuée EST DESCENDUE AVEC 3 Géants QUI ONT FAIT LE TOUR DE LA Nuée EN COMPAGNIE D'UN PETIT ROBOT)
COMME JE VOUS L'AI déjà DIT, EN 1990, YAHWEH ME DEMANDA DE COMMENCER à écrire LE LIVRE OUVERT ET DE JURER AU NOM DU Créateur EN LEVANT MA MAIN DROITE, QU'IL N'Y AURAIT PLUS DE Délai, MAIS QU'AUX JOURS où LE 7ème ANGE FERAIT RETENTIR LA TROMPETTE ET FERAIT ENTENDRE SA VOIX, ALORS S'ACCOMPLIRAIT LE Mystère DE ILOHIM COMME IL EN A FAIT L'ANNONCE à SES SERVITEURS LES Prophètes !
LES Prophéties SONT TOUTES EN COURS D'ACCOMPLISSEMENT, ET TOUTES ELLES TOURNENT AUTOUR DE CELLE-CI : YAHWEH AVAIT DIT POUR LE PEUPLE D'ISRAËL : JE VOUS DISPERSERAI DANS TOUTES LES NATIONS où VOUS serez persécutés, AU TEMPS DE LA FIN JE VOUS RASSEMBLERAI DE TOUTES LES NATIONS ET JE VOUS amènerai SUR VOTRE TERRE ! CETTE GRANDE Prophétie S'EST ACCOMPLIE EN NOS JOURS, ET TOUTES LES AUTRES GRANDES Prophéties TOURNENT AUTOUR DE CELLE-CI, CAR C'EST ELLE QUI MONTRE LE TEMPS DANS LEQUEL NOUS SOMMES AVEC EXACTITUDE ! Après 2.000 ANS, DE DIASPORA, DE DISPERSION, ISRAËL a été créé AUSSI LE 29 NOVEMBRE 1947 ! ET EN 1990, IL Y A EU LA CHUTE DE L'URSS, POUR PERMETTRE AUX JUIFS, QUI étaient RETENUS, DE POUVOIR ÊTRE LIBRE DE RENTRER EN ISRAËL !)
AUJOURD'HUI LA PLUPART DES Prophéties SONT EN COURS D'ACCOMPLISSEMENT, NOUS SOMMES déjà AU 6ème BOL,
ET L'HOMME, LE NOUVEL ADAM EST EN COURS DE Préparation, IL est préparé PAR SION, ET IL a été conduit auprès DU TRÔNE DE SON Père ! COMME IL est écrit, IL reçoit LES ATTAQUES, PENDANT L'ACCOUCHEMENT VAIS-JE DIRE, PENDANT L'ENFANTEMENT, DU MAUVAIS DE L'ADVERSAIRE ! MAIS JE PROMETS à YAHWEH QUE JE NE LE LAISSERAI PAS FAIRE ! JE RESTERAI auprès DE CET HOMME, ET JE L'AIDERAI à S'ENFANTER, ET JE L'AIDERAI à ACCOMPLIR LE Décret DE YAHWEH, ET JE L'AIDERAI à accéder à LA SAGESSE, ET JE L'AIDERAI à S'ABREUVER AUX EAUX VIVES QUI SORTENT DU TRÔNE DE YAHWEH !
VOUS SAVEZ QUE YAHWEH a élu DOMICILE, SON SANCTUAIRE, EN SION, SON TRÔNE ET SON AUTEL; CELA SYMBOLISE LA FEMME, DANS MON COEUR, DANS MON esprit, DANS MA Volonté, DANS TOUT MON ÊTRE ! VOUS VOUS ÊTES CERTAINEMENT RENDU COMPTE QUE YAHWEH M'EN IMPOSE PAR TOUTES SES FACETTES, QUE CE SOIT L'Autorité, L'AMOUR, LA JUSTICE, LA PAIX, LA Rapidité, LA PATIENCE, LA Miséricorde, LA COMPASSION; TOUT CE QU'IL A MIS EN OEUVRE POUR AMENER SON PEUPLE à SORTIR DES Ténèbres ET à VENIR VERS SA Lumière; TOUT CE QU'IL a donné à SON PEUPLE AFIN DE LE CONNAÎTRE, ET DE FAIRE LE CHOIX DE LE SERVIR !
JE MONTRE L'EXEMPLE, PARCE QU'IL M'a demandé D'ÊTRE UN EXEMPLE, JE LE FAIS DE TOUT MON COEUR, J'ESSAYE D'ÊTRE LE MEILLEUR EXEMPLE POSSIBLE POUR VOUS, JE FAIS DE MON MIEUX ! POUR MOI, LA Simplicité, L'Honnêteté, UNE CONDUITE CLAIRE, DES PAROLES CLAIRES, ME PERMETTENT d'accéder POUR MOI à UNE FORME DE PERFECTION, ET MON OBJECTIF, ET J'espère QUE BIENTÔT CE SERA LE VÔTRE AUSSI, C'EST D'ÊTRE L'AMIE DE YAHWEH; MOI J'Y suis arrivée, C'EST à VOUS DE FAIRE LES EFFORTS POUR Y ARRIVER AUSSI !
MAIS MON TRAVAIL CONSISTE AUSSI à VOUS Y AIDER, DONC JE SUIS SEREINE, L'INFLUENCE DU MILIEU, DANS UNE Société SAINE, TOUT LE MONDE SERA SAIN, PAR L'EXEMPLE; ET JE VOUS MOTIVERAI, ET JE SUIS très DYNAMIQUE POUR MOTIVER LES AUTRES, NE VOUS TRACASSEZ PAS !
DONC, voilà, L'HOMME EST EN COURS DE Préparation, IL reçoit CE QU'IL reçoit, MAIS DE TOUTE façon, EN MÊME TEMPS IL NE FAUT PAS CRAINDRE LES ATTAQUES DU MAUVAIS, CAR ELLES PERMETTENT D'AFFERMIR SA FOI, DE LE RENDRE PLUS FORT, D'EXERCER SES SENS, SON DISCERNEMENT, ET D'accéder à L'OREILLE SPIRITUELLE, AUX YEUX SPIRITUELS, ET à FAIRE DES CHOIX CLAIRS ! ET EN MÊME TEMPS, IL VOIT COMMENT JE SUIS, JE SUIS QUAND MÊME DANS SA proximité, JE LUI MONTRE L'EXEMPLE ! MOI CELA FAIT 24 ANS QUE JE SERS YAHWEH, LUI CELA FAIT 5 MOIS, IL EST AU Démarrage, IL EST Débutant, COMME CELA est écrit IL SERA FRÊLE; DONC IL VA PRENDRE SA FORCE EN SION, ET JE LUI TIENS LA MAIN SPIRITUELLEMENT AFIN QU'IL ACCOMPLISSE LA Volonté DE SON Père !
PERSONNELLEMENT, C'EST MON TRAVAIL, C'EST MA MISSION, DEPUIS 24 ANS ET DANS TOUTE L'éternité, DE VOUS AIDER à DEVENIR PROCHE DE YAHWEH, DE DEVENIR DES AMIS DE YAHWEH, à APPRENDRE à LE CONNAÎTRE ET à LE SERVIR AUSSI VITE QUE LES ANGES DANS LE CIEL ! J'AIME CETTE PHRASE, QUE JESUS NOUS avait donné, YECHOUAH DANS LE NOTRE Père ! DONC, QUE SA Volonté SOIT FAITE SUR LA TERRE COMME ELLE EST déjà FAITE DANS LES CIEUX !
Voilà, MAINTENANT CELA FAIT 24 ANS QUE J'AI FAIT MON TRAVAIL, COMME VOUS AVEZ PU LE LIRE : LA FEMME SION, JERUSALEM A BU LA COUPE DE LA TERREUR; GRÂCE à CELA ET TOUTES CES épreuves, J'AI PU accéder à LA SAGESSE QUI A EU AUSSI SON TRÔNE EN MOI; ET C'EST POUR CELA QUE JE LA COMPRENDS BIEN, ET J'AI BEAUCOUP D'AMOUR ET DE PLAISIR DE VIVRE AVEC ELLE, ET DE LA PRATIQUER DANS MA VIE DE TOUS LES JOURS EN TOUTE Simplicité, AVEC LES GENS QUI M'ENTOURENT ET DANS TOUTES LES SITUATIONS !
CE SONT DES CADEAUX QUE J'ai reçu CETTE Année, CAR J'IGNORAIS QUE YAHWEH avait décidé QUE SON TRÔNE SERAIT EN SION, J'IGNORAIS QUE EN SION TOUT CE QU'IL a expliqué, QUE SA PAROLE SORTIRAIT D'ELLE POUR AUJOURD'HUI POUR SON PEUPLE, ET POUR TOUS LES DESCENDANTS ET LES DESCENDANTS DES DESCENDANTS, TOUT CE QU'IL METTRAIT DANS LA BOUCHE DE SION; JE L'IGNORAIS DONC CELA é été DES CADEAUX, CETTE Année J'ai pleuré DE JOIE NON STOP, PARCE QUE c'était DES GRANDS CADEAUX: ET AUSSI QUAND J'AI LU DANS LE SIRACIDE, QUE LA SAGESSE AUSSI a élu DOMICILE EN MOI, J'ai AUSSI pleuré DE JOIE, FATALEMENT; SI VOUS aviez été à MA PLACE, VOUS COMPRENDRIEZ !
ET AUJOURD'HUI, YAHWEH ME DEMANDE DE FAIRE LE Décret DE YAHWEH SELON LE PSAUME 2, DONC IL VA PARLER à TRAVERS MA BOUCHE, VOUS ALLEZ POUVOIR L'ENTENDRE POUR LA Première FOIS, VOUS, EN DIRECT; ET VA S'ACCOMPLIR TOUT CE QU'IL VA EXPLIQUER !
5min 54 sec : " C'EST MOI VOTRE Père, YAHWEH VOTRE ILOHIM, QUI VOUS PARLE : AUJOURD'HUI, JE VAIS ENFANTER LA FEMME QUI SERA MA REINE, JE VAIS L'INSTITUER MA REINE ET ELLE DEMANDERA LES NATIONS QUE JE LUI ACCORDERAI ! JE L'ai habillé DE LA ROBE BLANCHE, MAIS CELA VOUS LE SAVIEZ déjà, ELLE PORTERA LA CEINTURE D'OR, ELLE RECEVRA LES DEUX SOUFFLES, ET également LE GLAIVE ! ET ELLE PORTERA LE MANTEAU DE Lumière, UN MANTEAU BLEU, ET LES DEUX COURONNES, LA COURONNE DE LA JUSTICE, DE L'Autorité, ET JE LUI FAIS DON, AVEC GRAND HONNEUR ET GRAND Mérite DES SEPT ESPRITS, CAR ELLE LE mérite ! ELLE a été DUREMENT éprouvée, ET MOI YAHWEH, VOTRE ILOHIM, VOTRE Père, AINSI QUE TOUTE LA Hiérarchie Céleste, AVEC GRAND HONNEUR ET GRAND Mérite, NOUS ESTIMONS QU'ELLLE mérite L'HONNEUR QUE NOUS LUI ACCORDONS ET NOUS POUVONS LUI FAIRE CONFIANCE, COMME NOUS AVONS PU LUI FAIRE CONFIANCE PENDANT 24 ANS, DE MÊME POUR TOUTE L'éternité ! EN SION ET EN JERUSALEM, JE POURRAI VOUS CONSOLER DIRECTEMENT !
AU TEMPS DE MOÏSE, J'ai parlé à MON PEUPLE, à TRAVERS LA Nuée, J'ai donné LES PAROLES DE YAHWEH, ENTRE-GUILLEMETS, "LES DIX COMMANDEMENTS", ET PUIS LE PEUPLE a demandé QUE JE PARLE à UN HOMME, DONC J'ai parlé à MOÏSE, QUI TRANSMETTAIT MON ENSEIGNEMENT, MA PAROLE, MES Préceptes, MES COMMANDEMENTS !
MAIS POUR LE ROYAUME QUI ARRIVE, JE VEUX ÊTRE PROCHE DE VOUS, ESSUYER TOUTE LARME, VOUS CONSOLER, ET NON SEULEMENT JE VOUS PARLERAI à TOUS, MAIS MA PAROLE SERA TRANSMISE PAR LA BOUCHE DE SION ET DE JERUSSALEM, COMME VOUS AVEZ PU LE LIRE DANS LES Prophéties ! ET C'EST UN POINT très IMPORTANT, CAR C'EST à SION QUE JE DONNE MON PLAN SECRET, C'EST à SION QUE JE DONNE, EN FONCTION DE CERTAINES SITUATIONS HUMAINES, MES DIRECTIVES DIRECTEMENT, ET TOUT CE QUE J'aurai décidé DANS MON PLAN SECRET, JE LE COMMUNIQUERAI à SION QUI VOUS EN INFOREMERA OU JE VOUS PARLERAI COMME EN CE MOMENT DIRECTEMENT à TRAVERS SA BOUCHE !
Voilà, MAINTENANT JE VAIS LUI DEMANDER DE S'HABILLER, ET QUAND ELLE sera habillée, ON réalisera LE Décret DE YAHWEH SELON LE PSAUME 2 ! "
- LA CEINTURE D'OR, C'EST UN GRAND MOMENT POUR MOI, JE SUIS émue ! LES DEUX COURONNES, LE MANTEAU DE Lumière, DU Zèle SPIRITUEL, AINSI QUE LA BAGUE QUI SYMBOLISE LE TRÔNE DE YAHWEH, AINSI QUE CE COLLIER JE VOUS LE présente AVEC LES MULTIPLES FACETTES DE YAHWEH, AINSI QUE CE COLLIER, QUI SYMBOLISE LA SAGESSE, AVEC SES FEUILLES DE L'ARBRE DE VIE POUR guérir LES NATIONS, AINSI QUE CE COLLIER QUI représente DEUX POISSONS AUTOUR D'UNE PERLE BLEUE, LE TRÔNE DE YAHWEH, DEUX POISSONS AUTOUR DU TRÔNE DE YAHWEH, CELA VEUT DIRE QUE LE TRAVAIL DES DEUX Témoins, DES DEUX OLIVIERS près DU TRÔNE DE YAHWEH, a démarré; ILS ont commencé à FRAPPER LES NATIONS DE PLAIES, JUSTE POUR LES FAIRE SORTIR DES Ténèbres ET DE LES RAMENER VERS LA Lumière DE YAHWEH ! CE COLLIER-CI QUI SYMBOLISE LE TRÔNE DE YAHWEH QUI EST DANS MON COEUR ! CETTE COURONNE SYMBOLISE AUSSI LA COURONNE DES DOUZE étoiles, QUI représentent LES DOUZE APÔTRES DE JESUS, DE YECHOUAH; ET LA NOUVELLE ALLIANCE, DONC LE NOUVEAU TESTAMENT, EVANGILE SELON SAINT MATTHIEU, JUDE, JACQUES, L'APOCALYPSE, ET également LES DOUZE PATRIARCHES DES TRIBUS D'ISRAËL ! Voilà !
- "C'EST MOI VOTRE Père YAHWEH QUI VOUS PARLE TOUJOURS, JE VAIS réaliser LE Décret DE YAHWEH :
AUJOURD'HUI MA FILLE, JE T'ai institué MA REINE POUR TOUTE L'éternité, AUJOURD'HUI MA FILLE, MOI YAHWEH TON Père JE T'ai enfanté : TU ES MON FILS, DEMANDE-MOI LES NATIONS, ET ELLES TE seront données POUR Héritage ET POUR DOMAINE JUSQU'AUX Extrémités DE LA TERRE !"
MOI, NOËLLA MIRSINI : -" MON Père YAHWEH, MON ILOHIM, JE TE REMERCIE POUR TON AMOUR, POUR TA PATIENCE POUR M'avoir enseignée, éduquée, formée à TA SAGESSE, à TON ENSEIGNEMENT, à TES Préceptes, QUE J'AIME VIVRE AVEC ET APPLIQUER ET QUE JE LES AIME DE TOUT MON COEUR !
TU SAIS QUE JE T'AIME DE TOUTE MA Volonté, DE TOUT MON COEUR, DE TOUT MON esprit, DE TOUTE MA FORCE, DE TOUTE MON INTELLIGENCE ! J'AIME TOUT ! SUR 24 ANS, CE QUE TU M'as fait découvrir, CE QUE J'AI PU VOIR DE TOI, M'EN IMPOSE ! ET JE SUIS VRAIMENT HEUREUSE ET fière DE TE SERVIR !
JE TE DEMANDE LES NATIONS, Ô GRAND ROI, CAR C'EST TOI NOTRE GRAND ROI, YAHWEH, NOTRE ILOHIM, NOTRE Père, JE TE DEMANDE LES NATIONS POUR LES SORTIR DES Ténèbres ET LES RAMENER VERS TA Lumière, VERS TON AMOUR, VERS TA Miséricorde, VERS TA PATIENCE, VERS TES Qualités Créatrices ET INNOVATRICES, VERS LE NOUVEAU ROYAUME QUE TU as prévu POUR L'HOMME, VERS L'éternité, RENDRE à L'HOMME SA PLACE; CE QU'IL a toujours mérité D'AVOIR ET QU'IL A PERDU PAR LA CAUSE DE LA Désobéissance D'EVE ET D'ADAM à CAUSE DU SERPENT QUI a trompé EVE !
(CECI MANQUE DANS LA VIDEO, JE LE RAJOUTE ICI :
PUISQUE LA MORT EST VENUE SUR LES HOMMES à CAUSE DE LA Désobéissance D'EVE ET D'ADAM à YAHWEH ILOHIM, LE Créateur, CAR EVE a été trompée PAR LE SERPENT ANTIQUE; TOUT DOIT REVENIR à L'Obéissance à YAHWEH ILOHIM, NOTRE Créateur, POUR QUE NOUS AYONS LA VIE éternelle, ET NOTRE PARADIS SUR LA TERRE AVEC LES Bénédictions DE YAHWEH ILOHIM POUR TOUS LES HOMMES !)
TU M'AS DIT QUE J'étais LA NOUVELLE EVE, FORTE DE L'Expérience DU PRIX ET DES Conséquences DE LA Désobéissance,
JE LE JURE EN TON NOM YAHWEH : JAMAIS JE NE TE désobéirai ! TOUTE PAROLE QUE TU VOUDRAS ENSEIGNER à TON PEUPLE AINSI QU'à MOI-MÊME, J'obéirai ET JE LE FERAI AUSSI VITE QUE LES ANGES DANS LE CIEL, QUE LES ARCHANGES, QUE LA Hiérarchie Céleste !
POUR MOI, JE METS UN POINT D'HONNEUR à CE QUE TOUS LES HOMMES T'obéissent, VIVENT SELON TES LOIS ! DANS TON ROYAUME, IL SERAIT INDIGNE QU'après TOUT CE QUE L'Humanité a vécu, SUITE à LA Désobéissance, QU'IL EXISTE ENCORE DE GRAVES Péchés, DE GRANDS Péchés ! LE GLAIVE QUE TU AS MIS ENTRE MA BOUCHE ET LE SOUFFLE, PERMETTRA UNE JUSTICE ET UNE Autorité !
IL EST GRAND TEMPS QUE NOTRE Créateur YAHWEH ILOHIM, L'UNIQUE SOIT ENFIN CONTENT DE SES Créatures QU'IL a créé, DE SES ENFANTS, DE TOUS SES ENFANTS, ET SES ENFANTS DE LEUR ILOHIM !
JE M'ENGAGE ET JE LE JURE, YAHWEH, JE TE LE JURE : JAMAIS JE N'AUTORISERAI QU'IL Y AIT DE GRAVES Péchés DANS TON ROYAUME, RIEN D'IMPUR N'Y ENTRERA ! ET J'EXPLIQUE POURQUOI :
QUAND ON EN AUTORISE à UNE PERSONNE DE COMMETTRE UN GRAND Péché ET ON LUI PARDONNE, MILLE SUIVRONT, SI PAS UN MILLION !
(CE PASSAGE MANQUE AUSSI DANS LA Vidéo, J'AI REMIS DE L'ORDRE SELON MES SOUVENIRS CI-DESSUS, MAIS JE VAIS LE REMETTRE ICI :
SI J'AUTORISE à UNE SEULE PERSONNE DE COMMETTRE UN GRAND Péché, ET QUE JE LUI PARDONNE; ALORS JE SERAI DANS L'OBLIGATION DE L'AUTORISER à TOUS LES AUTRES ET DE LEUR PARDONNER AUSSI ! ET NOUS NOUS RETROUVERIONS DIRECTEMENT DANS UN MONDE COMME CELUI D'AUJOURD'HUI, où LES GRANDS Péchés SONT COMMIS TOUS LES JOURS : PARDONNE-MOI JE NE RECOMMENCERAI PLUS, PARDONNE-MOI ET JE CONTINUE, PARDONNE-MOI ... ! MAIS DANS CE MONDE-CI, où QUE NOUS TOURNIONS LE REGARD, NOUS VIVONS DANS L'Insécurité ET DANS LA PEUR POUR NOUS ET POUR NOTRE FAMILLE ET POUR NOS ENFANTS ET POUR NOS PROCHES, à CAUSE DES NOMBREUX GRAVES ET GRAND Péchés QUI S'Y COMMETTENT CHAQUE JOUR, à LONGUEUR D'Années ! ET CE N'EST PAS COMME CELA QUE LE PARADIS SUR TERRE DOIT ÊTRE POUR NOUS TOUS ! POUR CELA, JE NE PARDONNERAI JAMAIS à PERSONNE AUCUN GRAND ET GRAVE Péché ! ET POURTANT J'ai la capacité très grande DE PARDONNER ! MAIS C'EST POUR NOUS préserver TOUS, ET AMENER LA JUSTICE ET LA PAIX SUR LA TERRE, DANS NOTRE PARADIS, QUE JE NE PARDONNERAI à PERSONNE UN GRAVE ET GRAND Péché, POUR LE BIEN DE TOUS !
YAHWEH a donné SA LOI ET SES COMMANDEMENTS POUR QUE LES HOMMES PUISSENT VIVRE HEUREUX SUR LA TERRE, CAR IL N'Y A PAS DE Société SAINE SANS DES LOIS SAINES, SANS UNE JUSTICE SAINE ! PAR AILLEURS, AUJOURD'HUI ENCORE, MÊME DANS NOS Sociétés sont appliquées CERTAINES LOIS QUE YAHWEH NOUS a données : TU NE VOLERAS PAS, TU NE COMMETTRAS PAS D'Adultère, TU NE TUERAS PAS, TU NE CONVOITERAS PAS LES BIENS DE TES PROCHES, TU NE FERAS PAS DE FAUX Témoignage,.. SONT LES BASES DE LA JUSTICE SUR LA TERRE ! )
DONC, SACHEZ-LE d'emblée, PERSONNELLEMENT JE N'AUTORISERAI JAMAIS DES GRAVES Péchés DANS LE ROYAUME DE YAHWEH ! UN GRAND Péché EST GRAVE QUAND LES Conséquences SONT CATASTROPHIQUES POUR L'HOMME LUI-MÊME, POUR SA FAMILLE, POUR SON COMPAGNON DE VIE, POUR SES ENFANTS, POUR SES PROCHES, POUR SES AMIS, POUR TOUT SON ENTOURAGE, POUR TOUTE LA Société ! SI VOUS VOULEZ SAVOIR SI CE QUE VOUS VOULEZ FAIRE EST UN GRAND Péché, DEMANDEZ-VOUS QUELLES EN SERONT LES Conséquences, ET SI ELLES SONT GRAVES, C'EST QUE C'EST UN GRAND Péché, ET QUE CELA VOUS EST INTERDIT DANS LE ROYAUME DE YAHWEH, DANS LA NOUVELLE TERRE, DANS LE PARADIS DE ILOHIM ! CELUI QUI SAIT ANTICIPER ET VOIR à L'AVANCE LES Conséquences DE SES ACTES, DES SES PAROLES, DE SES Décisions, CELUI-CI PEUT TRIOMPHER DU MAL, ET DES GRANDS Péchés, ET AGIR EN Conséquence ET IN FINE DIRIGER SA VIE AVEC SAGESSE ET INTELLIGENCE ET DISCERNEMENT !
JE LE JURE à MON Père, JE LE JURE à YAHWEH, DE TOUT MON COEUR ET DE TOUT MON esprit ET DE TOUTE MON INTELLIGENCE ET DE TOUT MON DISCERNEMENT ET DE TOUTE MA SAGESSE ! Voilà !
ET JE SUIS fière DE LE SERVIR ! C'EST UN GRAND HONNEUR ET UN GRAND Mérite POUR MOI DE SERVIR UN GRAND ROI COMME NOTRE ROI; ET DE POUVOIR accéder à UN ROYAUME COMME CELUI QU'IL a préparé POUR SES ENFANTS, ET QU'IL SOIT auprès DE NOUS !
JE VOUS REMERCIE TOUS, ET J'espère QUE VOUS SAUREZ apprécier CE MOMENT UNIQUE ET Précieux, QUE DURANT DES Millénaires NOUS AVONS ATTENDU CE MOMENT UNIQUE, ET JE TIENS à REDIRE QUE L'HOMME EST EN Préparation, AINSI QUE LE PEUPLE ! DONC, BIENTÔT IL SERA à MES Côtés, COMME YAHWEH NOUS L'A DIT, ET TOUTES LES Prophéties LE CONCERNANT S'ACCOMPLIRONT ! MOI, JE suis formée DEPUIS 24 ANS, DONC J'AI UNE FORCE SPIRITUELLE CERTAINE, JE VAIS DIRE, à UN NIVEAU supérieur, J'ai accédé AUX ESCALIERS, MARCHE PAR MARCHE ! LUI CELA NE FAIT QUE 5 MOIS, DONC, IL FAUT LUI LAISSER DU TEMPS ! SI MOI, ON M'a accordé 24 ANS, ON LUI ACCORDERA BIEN UN PEU DE TEMPS à LUI AUSSI, LE TEMPS QUE LES NATIONS se préparent, IL SERA PRÊT ET auprès DE MOI ! ET IL SERA PRÊT, JE VOUS LE PROMETS DE TOUT MON Zèle, DE TOUT MON DYNAMISME, DE TOUT MON AMOUR, DE MA PATIENCE, MA miséricorde ! PARFOIS, JE L'EMBÊTE UN PEU, PARCE QUE JE LUI FORCE LA MAIN à se dépasser, MAIS IL SERA PRÊT ET IL SERA à LA DROITE DE YAHWEH ET IL PORTERA LA COURONNE ET LES SEPT ESPRITS ET IL SERA NOTRE GRAND MAÎTRE !
Voilà, J'espère QUE CETTE BONNE NOUVELLE FERA LE TOUR auprès DE SES ENFANTS, ET VOUS saurez l'apprécier à SA JUSTE VALEUR TOUT COMME MOI !
AMEN ! GLOIRE à NOTRE GRAND ROI YAHWEH, GLOIRE à SA VENUE, ET GLOIRE D'ÊTRE MEMBRE DE SON ROYAUME, DE LA NOUVELLE JERUSALEM, DU NOUVEAU ISRAËL ! AMEN ! "
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LES FEUILLES DE L'ARBRE DE VIE POUR LA GUERISON DES NATIONS 12 FOIS L'AN NOELLA ! 27/2/2015
LES FEUILLES DE L'ARBRE DE VIE POUR LA GUERISON DES NATIONS 12 FOIS L'AN NOELLA !
https://www.youtube.com/watch?v=CMVmTUo3G54
CONTENU DE MA VIDEO DU 27 février 2015 :
BONJOUR, AUJOURD'HUI YAHWEH M'a demandé QU'ON COMMENCE à rénover LES CHOSES, CAR YAHWEH rénovera TOUTES CHOSES ! ET NOTAMMENT POUR LES DEMEURES DE Mémorial, C'EST-à-DIRE, QUE TOUTES LES DEMEURES QUI DONNENT SA PAROLE SUR TERRE soient purifiées, QU'IL N'Y AIT PLUS D'IDOLES, PLUS D'IMAGES; ET QUE SA PAROLE SOIT TRANSMISE, SA PAROLE QUI VIENT DES LIVRES DES SAINTES ECRITURES : LA TORAH, LA SAGESSE, L'EVANGILE, ET LE LIVRE LE CORAN; AINSI QUE LE LIVRE ETERNEL "LE LIVRE OUVERT" QUE L'ANGE FORT A PRIS DE LA MAIN DROITE DE YAHWEH !
TOUS CEUX QUI PARLERONT EN SON NOM SONT DES ANGES DE YAHWEH, ET ILS FERONT SONNER DE LA TROMPETTE POUR ATTIRER L'ATTENTION DU PEUPLE, CAR LES ANGES SONNENT DE LA TROMPETTE DANS LE LIVRE DE L'APOCALYPSE !
Voilà ! DONC, Derrière MOI, VOUS ALLEZ POUVOIR VOIR LE LIVRE LA TORAH QUI a été donné à MOÏSE ET à SON PEUPLE, AINSI QUE LE LIVRE DES Prophètes Y COMPRIS SA SAGESSE, L'EVANGILE ET LES SAINTES ECRITURES DE LA NOUVELLE ALLIANCE AVEC YECHOUAH, LE LIVRE LE CORAN LE LIVRE DU RAPPEL QUI INCLUT TOUTES LES SAINTES ECRITURES; ET LE LIVRE OUVERT DE LA MAIN DROITE DE YAHWEH AVEC LES Révélations DES SAINTES ECRITURES ET SON PLAN SECRET !
YAHWEH DEMANDE à SES ANGES DE SES DEMEURES DE Mémorial, QU'ILS soient habillés EXACTEMENT COMME MOI, C'EST-à-DIRE DE PORTER LE MANTEAU DE Lumière, DU Zèle SPIRITUEL, LA ROBE BLANCHE DES VERTUS DES OEUVRES PIEUSES, DE SE LAVER LES MAINS POUR LES PURIFIER, ET LA CEINTURE D'OR, ILS PORTERONT LA CEINTURE D'OR; PAS LE PECTORAL ! LE PECTORAL DU JUGEMENT ILS NE PEUVENT PAS LE PORTER ! ET ILS PORTERONT LA COURONNE PARCE QU'ILS sont consacrés à YAHWEH, ET CE SERA UNE COURONNE AVEC DES PERLES BLEUES QUI RAPPELLE LE SAPHIR DU TRÔNE DE YAHWEH !
Voilà, ET IL Y AURA LA Ménorah, UNE Ménorah à SEPT BRANCHES, VOUS POUVEZ EN PRENDRE SEPT également, MOI J'EN AI SEPT, COMME VOUS POUVEZ REGARDER là derrière MOI; ET LA COUPE DES EAUX VIVES QU'ILS BOIRONT, QU'ILS VERSERONT, EN GROS, CETTE COUPE ILS LA REMPLIRONT auprès DE LA FEMME ! ET CET EAU, CELA DEVIENDRA DES EAUX VIVES !
Voilà ! AUJOURD'HUI C'EST LE MESSAGE QUE JE VOULAIS VOUS TRANSMETTRE DE LA PART DE NOTRE GRAND ROI YAHWEH ! QUE TOUTES LES DEMEURES DE Mémorial soient purifiées, PLUS D'IDOLES, PLUS D'IMAGES, AVEC GRAND Zèle détruisez TOUT, POUR obéir à LA PAROLE DE YAHWEH ET PURIFIEZ !
VOUS POUVEZ INSCRIRE DES PAROLES VIVIFIANTES TELLES QUE LES PAROLES DE YAHWEH QU'IL LEUR A DITES DANS LA Nuée LUMINEUSE : LES DIX COMMANDEMENTS ! ET QUE SA PAROLE SOIT, QUE VOUS LIREZ DANS LES LIVRES DANS L'ORDRE QU'IL LES a révélés à SES Prophètes, à SES MESSAGERS ! DONC, LES LIREZ ET VOUS FINIREZ CHAQUE FOIS TOUTE L'HISTOIRE, C'-EST-à-DIRE DE COMMENCER à LA LIRE ET PUIS, VOUS L'ACHEVEZ ! SI VOUS PARLEZ D'ABRAHAM, DE SA DESCENDANCE QUI SERA AUSSI NOMBREUSE QUE LES étoiles DU CIEL ET QUE LES GRAINS DE SABLE, AVEC DES MOTS à VOUS, VOUS EXPLIQUEREZ LA Finalité DE L'HISTOIRE; LES POINTS ESSENTIELS ! IL NE FAUT PLUS LIRE DE Manière à ARRÊTER TROP TÔT ET QUE L'HISTOIRE SEMBLE UN PEU décousue ! PAREILLEMENT POUR L'EVANGILE DE L'HISTOIRE DE YECHOUAH, PAREILLEMENT POUR LIVRE LE CORAN ! DONC IL FAUT LIRE DANS LES TROIS LIVRES ! L'HEURE DE Prédication VA DURER AUX ENVIRON DE 70 MINUTES !
YAHWEH AIMERAIT, PARCE QU'IL EST VIVANT, AIMERAIT QU'IL Y AIT DES CHANTS QUI LE GLORIFIENT, QUE LES GENS, LE PEUPLE lèvent LES MAINS ET GLORIFIENT SON SAINT NOM, ET QU'ON CHANTE ET QU'ON DANSE, TOUT COMME DAVID, QUE CE SOIT VIVANT !
QUE SES ANGES TRANSMETTENT LA PAROLE DE Manière VIVANTE, DE Manière à AIDER LES AUTRES à ÊTRE HEUREUX ET FIERS DE SERVIR YAHWEH, ÊTRE HEUREUX ET FIERS DE GLORIFIER SON SAINT NOM, à ÊTRE HEUREUX ET FIERS D'ÊTRE MEMBRE DE LA NOUVELLE JERUSALEM, DU NOUVEAU ISRAÏL SPIRITUEL !
C'était AUJOURD'HUI ESSENTIELLEMENT LE MESSAGE QUE YAHWEH VOULAIT VOUS TRANSMETTRE !
MOI, JE VAIS PARLER DE MOÏSE, CAR AUJOURD'HUI COMME LE Prophète EZECHIEL L'avait annoncé, LA Nuée DE YAHWEH EST AU-DESSUS DE NOS TÊTES, AVEC L'ARC-EN-CIEL, ET IL S'EST ASSIS EN SON TRÔNE ! ALORS, QUAND LA Nuée APPARAÎT, AINSI QUE LA Miséricorde DE YAHWEH, AINSI QUE SA GLOIRE, DONC, YAHWEH VOUS ATTEND TOUTE LA TERRE, SEPT MILLIARDS DE PERSONNES SUR TERRE, SEPT MILLIARDS D'ÂMES, à LES SORTIR DES Ténèbres ET à LES CONDUIRE à LA Lumière !
YAHWEH ME GUIDE, MAIS IL COMPTE SUR VOUS POUR AIDER TOUTES CES ÂMES à VENIR DANS SON ROYAUME ! IL DEMANDE QUE TOUS SES ANGES DANS TOUTES LES DEMEURES DE Mémorial, MONTRENT DU Zèle ET SOIENT LUMINEUX DE SA PAROLE !
D'AVANCE TOUTE LA Hiérarchie Céleste, AINSI QUE YAHWEH, AINSI QUE MOI-MÊME, AINSI QUE TOUS SES ENFANTS, VOUS EN REMERCIONS !
VOUS SAVEZ AUJOURD'HUI QUE SOUFFLENT LES VENTS DE Bénédiction SUR TOUTE LA TERRE, YAHWEH ENVOIE SES VENTS DE Bénédictions POUR QU'ELLES ATTEIGNENT TOUTE LA TERRE, TOUTES LES ÂMES, TOUTES LES PERSONNES; CAR L'HOMME N'EST PAS RESPONSABLE DE L'ENDROIT où IL NAÎT, C'EST POUR CELA ! ET également YAHWEH ET LA Hiérarchie CélesteNOUS INNONDENT DES HARPES Célestes, DE CHANTS, DE SIGNES Extérieurs POUR NOTRE GRANDE JOIE, POUR VENIR DANS SON ROYAUME AVEC FORCE, Volonté, DYNAMISME, Zèle !
VOUS SAVEZ QUE, POUR LE MOMENT, L'ANGE FORT a crié AUX ANGES Célestes : RETENEZ LES VENTS LE TEMPS QUE NOUS MARQUIONS SUR LE FRONT, LE NOM DU ILOHIM VIVANT, TOUS LES fidèles; CAR CES VENTS VONT détruire TOUS CEUX QUI NE PORTERONT PAS LE SCEAU DE YAHWEH, ET TOUS CEUX QUI CONTINUERONT à FAIRE DES GRANDS Péchés ! DONC C'EST très IMPORTANT !
YAHWEH VOUS a déjà demandé QUE LE CONTENU DE LA Première VIDEO SOIT TRADUIT DANS TOUTES LES LANGUES ET distribuée, AFIN QUE LES FAMILLES se préparent ET QU'ILS APOSENT LE SCEAU Sacré LUMINEUX DE SON NOM SUR LEUR FRONT, AVEC LA Bénédiction SACERDOTALE !
AUJOURD'HUI, JE VAIS BOIRE, COMME BOIRONT AUSSI LES ANGES DE YAHWEH, DANS LA COUPE DES EAUX VIVES ! DONC, ILS PRENDRONT UNE COUPE, LA REMPLIRONT D'EAU, ET VIENDRONT PRENDRE DANS LA VIDEO LES EAUX VIVES, ET LES VERSERONT DEVANT LE PEUPLE ! ET LE PEUPLE AUSSI POURRA BOIRE DES EAUX VIVES, GRÂCE à LA VIDEO ! Voilà !
QUE CES EAUX VIVES ATTEIGNENT TOUTES LES MAISONS, TOUTES LES ÂMES, LES SEPT MILLIARDS D'ÂMES SUR TERRE, LES 144.000 ! SEPT MILLIARDS D'ÂMES, 144.000,
QUE YAHWEH TE Bénisse ET TE GARDE !
QUE YAHWEH FASSE BRILLER SA FACE SUR TOI, ET QU'IL T'ACCORDE SA GRÂCE !
QUE YAHWEH lève SA FACE VERS TOI, ET QU'IL TE DONNE LA PAIX !
ET YAHWEH DIT : ILS METTRONT MON NOM SUR LEUR FRONT ET JE LES bénirai !
QUE YAHWEH VOUS bénisse, QUE YAHWEH VOUS APPORTE TOUTES LES Bénédictions QUE YAHWEH DONNE AUX HOMMES !
AUJOURD'HUI, LE MOMENT EST très IMPORTANT POUR TOUTE L'Humanité, CAR C'EST LE MOMENT où S'ACCOMPLISSENT LES GRANDES Prophéties SPIRITUELLES,
LES GRANDES Prophéties DU PASSAGE DE L'Humanité VERS LE ROYAUME DE YAHWEH !
IL FAUT MONTRER DU Zèle, IL FAUT VENIR DANS LE ROYAUME SANS PEUR ET SANS CRAINTE, CAR YAHWEH NOUS préservera DE L'HEURE QUI VIENT SUR TOUTE LA TERRE ! C'EST POUR CELA QU'IL a prévu QUE TOUT LE MONDE VIENNE DANS L'ARCHE; C'EST COMME AU TEMPS DE NOAH, ET C'EST POUR CELA QU'IL FAUT VRAIMENT VOUS préparer !
AU TEMPS DE NOAH, IL N'Y A PAS EU DE SIGNES Extérieurs, C'EST POUR CELA QU'IL N'Y A EU QUE HUIT PERSONNES QUI ont été sauvées !
AUJOURD'HUI, YAHWEH ET TOUTE LA Hiérarchie Céleste, VOUS ont donné LES Prophéties QUI SE SONT ACCOMPLIES COMME SIGNES POUR LES ÊTRES HUMAINS, POUR QU'ILS SOIENT SÛRS DES MOMENTS QUE NOUS VIVONS ! IL a donné DES SIGNES DE CATASTROPHES NATURELLES, DES CATASTROPHES BIBLIQUES; ET YAHWEH avait annoné LES SIGNES Extérieurs, LES TABLES DU CIEL QUI INNONDENT LA TERRE D'EAUX VIVES AVEC JOIE POUR NOUS; ET ILS ont prévu DES SIGNES QUE NOUS LES RECONNAISSONS POUR NOTRE Préparation !
VOUS SAVEZ QUE YAHWEH TOUT AU LONG DES 25 Années, VOUS a apporté à CONNAÎTRE SA PAROLE, à LE CONNAÎTRE, à L'apprécier, à CONNAÎTRE SA SAGESSE,
ET QUE VOUS SOYEZ TOUS LUMINEUX POUR LA TRANSMETTRE, ET QUE VOUS ACCEPTIEZ DE VIVRE SANS GRANDS Péchés SUR TERRE, DANS LE NOUVEAU ROYAUYME, NOTRE Héritage !
ET voilà, YAHWEH EST HEUREUX ET CONTENT QUE TOUS LES ÊTRES HUMAINS VIENNENT ET obéissent à SA PAROLE, PAR SA VOIX EN SION, PUISQUE YAHWEH a élu SION COMME TEMPLE VIVANT !
JE VOUS PORTE TOUS SUR MON COEUR, LE PECTORAL DU JUGEMENT AVEC LES DOUZE PIERRES, DE COULEURS QUI sont écrites DANS L'APOCALYPSE, SE TROUVENT ICI, JE VOUS PORTE SUR MON COEUR; ET JE ME suis engagée à VOUS AIDER à ENTRER DANS CE ROYAUME, ET DE RESTER TOUJOURS obéissant à LA PAROLE DE YAHWEH, CAR C'EST POUR TOUTE L'éternité ! CE SONT DES MOMENTS HISTORIQUES, CELA FAIT DES Millénaires QUE L'ON ATTEND DE VIVRE DES MOMENTS PAREILS, C'EST TELLEMENT INIMAGINALBE, INCONCEVABLE, ET NOUS SOMMES LA Génération QUI VIVONS CES SIGNES ! C'EST UN MOMENT UNIQUE, C'EST UN MOMENT HISTORIQUE, IL FAUT ÊTRE CONSCIENT ET HEUREUX D'ÊTRE CETTE Génération QUI VIVONS TOUT CELA, CAR NOUS SOMMES LES ANCIENS QUI ENSEIGNERONT LES NOUVEAUX, LES JEUNES ENFANTS; ET NOUS SERONS LES GARDIENS DE MAINTENIR DANS NOTRE ROYAUME éternel, DE TOUJOURS BIEN obéir à YAHWEH QUI SERA PARMI NOUS, QUI ESSUIERA TOUTES LARMES, QUI rénovera TOUT !
LE SACRIFICE QUE YAHWEH VOUS DEMANDE, LE CULTE Intérieur, C'EST QUELQUE CHOSE DE très IMPORTANT, ET IL DEMANDE QUE CHACUN DE VOUS SOYEZ VIGILANTS à CE QUI SORT DE VOS lèvres, QUE VOS lèvres SOIENT PURES, QUE VOS MAINS SOIENT PURES ! DONC, QUE VOUS SOYEZ VIGILANTS à VOS Pensées, à VOS PAROLES, à VOS ACTES, à VOS CONDUITES; AFIN QU'ELLES NE NUISENT NI à VOUS, NI AUX AUTRES, NI AU ROYAUME ! QUE VOUS SOYEZ VIGILANTS DE NE JAMAIS COMMETTRE DE GRAVES Péchés ! CAR LE GRAND Péché, QUAND ON décide DE S'EN APPROCHER, C'EST COMME UN SERPENT; QUAND VOUS VOUS EN APPROCHEZ, IL VOUS MORDRA, ET SA VOIE CONDUIT AUX ENFERS !
AUJOURD'HUI, L'ENFER EST ICI, YAHWEH A PERMIS PAR LE LIVRE OUVERT ET PAR CE QUI SE PASSE AUTOUR DE NOUS, QUE TOUT CELA SOIT VISIBLE; AFIN QUE L'HOMME CONSCIENTISE COMBIEN IL EST IMPORTANT POUR SON ÂME DE FAIRE LE CHOIX DE VENIR DANS SON ROYAUME ET D'obéir à SA PAROLE, ET DE LE CONNAÎTRE ET DE L'apprécier ! CAR L'HOMME A SON LIBRE ARBITRE, MAIS EN Réalité IL N'Y A QUE DEUX VOIES, LA VOIE DE DROITE QUI EST CELLE DE YAHWEH, DE LA Hiérarchie Céleste, DES ANGES LUMINEUX QUI LE SERVENT ! ET IL Y A LA VOIE DE GAUCHE, CE SONT LE PRINCES DES Ténèbres, LE DIABLE, SATAN, ET LES Démons ! Voilà ET TOUT CELA EST VISIBLE AUJOURD'HUI, AFIN QUE VOUS PUISSIEZ DE Manière CONSCIENTE, RESPONSABLE ET VIGILANTE, décider AVEC Maturité DE VOUS préparer !
POUR LE MOMENT, L'ANGE FORT a crié QUE LES VENTS SOIENT RETENUS, LES VENTS QUI VONT détruire TOUS CEUX QUI NE PORTERONT PAS LE SCEAU LUMINEUX SUR LEUR FRONT, DU NOM DE YAHWEH LE ILOHIM VIVANT ! PARCE QUE NOTRE ILOHIM EST UN ILOHIM VIVANT !
LA Nuée LUMINEUSE EST AU-DESSUS DE MA TÊTE, ELLE EST énorme, C'EST COMME UN TERRAIN DE FOOTBALL, ET D'UNE épaisseur DE DEUX étages, AVEC TROIS PHARES QUI éclairent, ET UNE LAMPE ROUGE; COMME AU TEMPS DE MOÏSE, DE MÊME QUE SALOMON ! ET L'ARC-EN-CIEL EST AU-DESSUS DE MA TÊTE COMME AU TEMPS DE NOAH; C'EST LE SIGNE DE L'ALLIANCE ! CE SIGNE DE CETTE ALLIANCE était TOUT PARTICULIER, LE SANG DE L'HOMME NE DOIT PAS être versé, CAR IL VOUS sera demandé COMPTE DE TOUT SANG versé PAR LES AUTRES HOMMES !
BIEN ENTENDU, CE QUE YAHWEH à révéler à MOÏSE ET QU'IL a parlé à TRAVERS LA Nuée POUR TOUT LE PEUPLE, LES PAROLES DE YAHWEH, LES DIX COMMANDEMENTS SONT D'Actualité ! C'était LE MODE D'EMPLOI POUR QUE L'HOMME PUISSE VIVRE HEUREUX SUR TERRE, SANS ENFREINDRE LES LOIS DE YAHWEH ! CE SONT LES LOIS DE JUSTICE, QUI SONT très IMPORTANTES ! L'HOMME SPIRITUEL EST SIMPLE, L'HOMME SPIRITUEL EST HONNÊTE, ET L'HOMME SPIRITUEL EST intègre ! C'EST très IMPORTANT CES TROIS POINTS, PARCE QUE CES TROIS POINTS PERMETTENT à L'HOMME D'ÊTRE UNE PERSONNE LIBRE, UNE PERSONNE DANS LA JOIE, ET EN MÊME TEMPS D'ÊTRE LUMINEUSE; PARCE QU'ELLE EST LOIN DES GRANDS Péchés; ET SURTOUT PARCE QU'ELLE FAIT LE CHOIX CONSCIENT QUE C'EST LA VOIE QUI mène à LA Lumière, C'EST LA VOIE QUI PERMET à L'HOMME D'ÊTRE HEUREUX SUR TERRE ! C'EST LA VOIE QUI DONNE LA Liberté à L'HOMME, C'EST UNE LOI D'AMOUR ! ET VOUS SAVEZ QUE LES GRANDS Péchés SONT INTERDITS !
Voilà, C'EST CELA QUE JE VOULAIS VOUS DIRE AUJOURD'HUI, QUE LE NOM DE YAHWEH soit glorifié SUR TOUTE LA TERRE, QUE YAHWEH NOUS APPORTE LA JOIE, LE BONHEUR ! QUE YAHWEH ET LA Hiérarchie Céleste NOUS CONDUISENT PROGRESSIVEMENT VERS SON ROYAUME, VERS LE ROYAUME éternel !
L'HEURE EST GRAVE, CAR VOUS SAVEZ QUE LES SEPT TROMPETTES ont sonné, IL NE RESTE PLUS BEAUCOUP DE TEMPS, YAHWEH AIMERAIT TOUT particulièrement QUE VOUS TRADUISIEZ LE MESSAGE, AFIN DE libérer LES HOMMES DE L'EMPRISE DE L'ADVERSAIRE; CAR L'ADVERSAIRE AVAIT BEAUCOUP DE Pièges ET DE RUSES, POUR PROJETER DANS LES Ténèbres L'HOMME !
MAIS AUJOURD'HUI, L'HEURE DE RECEVOIR NOTRE Héritage à SONNER, ET C'EST POUR CELA QUE YAHWEH VOUS DEMANDE D'ÊTRE SAGE, ET SURTOUT D'ÊTRE FORT, CAR YAHWEH A BESOIN DE GENS DYNAMIQUES, AFIN DE RAMENER SES ENFANTS VERS LA Liberté, VERS SA Lumière !
C'EST très IMPORTANT QUE CHACUN DE NOUS AVERTISSE AUTOUR DE NOUS, ET ramène LES HOMMES VERS YAHWEH, VERS SA Lumière !
LES RESPONSABLES DES DEMEURES DE Mémorial également DOIVENT ÊTRE REMPLIS DE Zèle, DYNAMIQUES, DONNER LA PAROLE DE Manière VIVANTE, ET PERMETTRE AUX HOMMES DE S'HABILLER DE L'HABIT BLANC DES OEUVRES PIEUSES ! CAR LE ROYAUME DE YAHWEH N'EST PAS UNE QUESTION D'HABILLEMENT, DU MONDE, C'EST UNE QUESTION D'HABILLEMENT Intérieur, DE S'HABILLER DES HABITS SPIRITUELS, DE S'HABILLER DES OEUVRES PIEUSES ! QUE VOS lèvres SOIENT PROPRES ET QU'ON N'AUTORISE PAS QUE SORTENT DE NOS lèvres DES CHOSES MAUVAISES; QUE NOS MAINS N'AGISSENT PAS POUR FAIRE LE MAL; QUE NOS CONDUITES N'AGISSENT PAS POUR SEMER LA CORRUPTION; ET QUE NOTRE esprit NE SOIT PAS REBELLE à LA PAROLE DE YAHWEH ! Voilà !
JE VOUS REMERCIE ET J'AIMERAIS particulièrement QUE LES RESPONSABLES SOIENT REMPLIS DE Zèle, DE Lumière ET DE DYNAMISME; CAR L'HEURE N'EST PLUS à ÊTRE tièdes ! AUJOURD'HUI, SEPT MILLIARDS D'HOMMES ONT BESOIN DE VOUS, SEPT MILLIARDS D'ÂMES ONT BESOIN D'ÊTRE CONDUITS VERS LA Lumière DE YAHWEH ! N'OUBLIEZ JAMAIS QUE YECHOUAH A ACCOMPLI LES Prophéties QUE LES GRANDS Prophètes DE YAHWEH ont annoncé DANS LES Premières ALLIANCES DE YAHWEH, IL NE FAUT JAMAIS OUBLIER CELA; ET VOUS GLORIFIER YECHOUAH, VOUS AVEZ RAISON DE LE FAIRE, MAIS SACHEZ QUE C'EST YAHWEH QU'IL FAUT GLORIFIER ! NOUS AUTRES, YECHOUAH ET MOI, NOUS SOMMES DES Prophètes, NOUS SOMMES SES SERVITEURS, ET C'EST LE NOM DE YAHWEH QUI DOIT ÊTRE glorifié ET LUI SEUL ! TON ADORATION à YAHWEH !
AUJOURD'HUI, JE PENSE QUE TOUT LE MONDE EST CONSCIENT DE CELA, VOUS CONNAISSEZ SA PAROLE; ET C'EST LE MOMENT DE préparer LES SEPT MILLIARDS D'ÂMES QUI SONT SUR TERRE ! (CETTE VIDEO EST DU 27 février 2015 !)
MOI, JE ME BATS DE TOUTES MES FORCES, DEPUIS 25 ANS JOUR ET NUIT, J'écris, J'AVERTIS, JE répète TOUT CE QUE YAHWEH M'a révélé ! ET VOUS LE RECEVEZ EN MÊME TEMPS QUE MOI PRATIQUEMENT, LE TEMPS QUE JE LE METTE SUR LE SITE, ET JE PENSE QU'AUJOURD'HUI VOUS ÊTES à MÊME DE DONNER LA PAROLE DE YAHWEH, CAR VOUS avez reçu VOTRE Préparation PENDANT 25 ANS, TOUT COMME MOI ! ALORS, AVEC Zèle ET DYNAMISME, ENSEIGNEZ LA PAROLE DE YAHWEH ! ENSEIGNER QUE C'EST LUI SEUL QUI DOIT ÊTRE glorifié ET QU'IL EST UN ILOHIM UNIQUE !
Voilà, VOUS SAVEZ QUE LE LIVRE OUVERT QUE J'AI PRIS DANS LA MAIN DROITE DE YAHWEH, EST LE LIVRE QUI COMPREND TOUTES LES SAINTES ECRITURES, LA TORAH, LA SAGESSE, LES GRANDS Prophètes, L'EVANGILE; ET LE LIVRE LE CORAN QUI également COMPREND TOUTES LES ECRITURES !
REMERCIONS YAHWEH, NOTRE GRAND ROI, NOTRE ILOHIM, DE TOUT CE QU'IL A MIS EN OEUVRE POUR NOUS SORTIR DES Ténèbres ET NOUS CONDUIRE VERS SON ROYAUME ETERNEL, UN ROYAUME DE JOIE, UN ROYAUME D'AMOUR, UN ROYAUME DE Lumière où YAHWEH, TOUTE LA Hiérarchie Céleste, MOI ET AINSI QUE VOUS, PUISQUE VOTRE INTELLIGENCE sera augmentée, NOUS ALLONS NOUS ATTELER à ORGANISER NOTRE NOUVEAU MONDE, LE PARADIS SUR TERRE AVEC NOTRE Zèle, POUR LE BONHEUR DE TOUS ! LES 144.000, C'EST TOUTE LA TERRE, C'EST LES SEPT MILLIARDS D'ÂMES QUI SONT SUR TERRE ! ALORS SOYONS zélés POUR ENSEIGNER, POUR réveiller, POUR RAMENER AVEC JOIE, AVEC Zèle, AVEC AMOUR, AVEC NOTRE PATIENCE également POUR APPRENDRE AUX AUTRES ! IL FAUT UN PEU DE TEMPS, LE TEMPS QU'ILS COMPRENNENT, MAIS IL FAUT ABSOLUMENT INVITER LES PERSONNES à VENIR DANS LE ROYAUME ETERNEL DE YAHWEH, CAR C'EST NOTRE Héritage ! C'EST UN MOMENT HISTORIQUE, ALORS JE VEUX QUE VOUS SOYEZ TOUS FORTS ET DYNAMIQUES !
YAHWEH A BESOIN QU'ON AIE LA FOI, MAIS IL A AUSSI BESOIN DE PERSONNES QUI ONT DU Zèle SPIRITUEL, QUI SONT DANS LA Lumière, QUI ONT DE LA FORCE ET DU Déterminisme ! JE VOUS EN REMERCIE POUR LES SEPT MILLIARDS D'ÂMES, JE VOUS EN REMERCIE DE LA PART DE YAHWEH, VOTRE Père, ET POUR TOUTE LA Hiérarchie Céleste QUI LE SERVENT ET QUI ONT FAIT LE CHOIX DE LE SERVIR, ET QUI NE SONT PAS PARTIS COMMES LES Déchus !
Voilà, REMERCIONS YAHWEH POUR TOUT CE QU'ILS ONT MIS EN OEUVRE ET REMERCIONS-LE également POUR LES HARPES Célestes !
YAHWEH AIMERAIT QUE, TOUT COMME DAVID, QUE SA PAROLE soit enseigné DANS SES DEMEURES DE Mémorial, à LA FIN AVEC DES CHANTS, QUE LES fidèles lèvent LEURS MAINS, ET CHANTENT YAHWEH ET GLORIFIENT YAHWEH, GLORIFIENT SON NOM !
SAINT SAINT SAINT EST LE NOM DE YAHWEH !
SAINT SAINT SAINT EST LE NOM DE YAHWEH !
SAINT SAINT SAINT EST LE NOM DE YAHWEH, CHANTE LA Hiérarchie Céleste AINSI QUE NOUS ! NOUS SOMMES LA Hiérarchie TERRESTRE ! EUX C'EST LA Hiérarchie Céleste, ET NOUS, NOUS SERONS LA Hiérarchie TERRESTRE, DES ÊTRES SANS GRANDS Péchés !
Voilà, JE VOUS REMERCIE ET QUE LA PAROLE DE YAHWEH SOIT VIVANTE, QUE LES ECRITURES SOIENT VIVANTES, ET NOUS SOMMES LES GARDIENS POUR TOUTE L'éternité, NOUS CETTE Génération QUI VIVONS CELA, POUR TOUTES LES ÂMES QUI VIENDRONT après, CAR L'ENFANTEMENT EST EN COURS; UNE NATION EN UN SEUL JOUR; ET C'EST YAHWEH QUI PROVOQUE L'ENFANTEMENT ET MOI JE SUIS VOTRE Mère SPIRITUELLE, ET JE LE FAIS AVEC GRANDE JOIE !
Voilà MAINTENANT JE VAIS METTRE QUELQUES CHANSONS POUR MONTRER L'EXEMPLE, POUR QUE SON NOM soit glorifié, ET NOUS ALLONS COMMENCER !
LES STENTORS : SEPT MILLIARDS DE GENS SUR TERRE
Sept milliards de gens sur Terre (d'après "Trois milliards de gens sur Terre")
Sept milliards de gens sur Terre (d'après "Trois milliards de gens sur Terre")
Paroles de la chanson Sept milliards de gens sur terre par Les Stentors
Partout des yeux se lèvent
Et partout les mêmes gestes
Accompagnent chaque jour
Le Soleil de l'Est à l'Ouest
Si ta main calme la mienne
Si ma main sème le grain
L'Amour est en chemin
Sept milliards de gens sur terre
Qui se cherchent une Lumière
Sept milliards de gens sur terre
Qui s'aimeront demain
Si tu plantes un nouvel arbre
Pour celui qui a brûlé
Si tu t'assois à la table
Où l'on parle de la paix
Si tu donnes ta confiance
Si tu peux encore prier
L'Amour est en chemin
Sept milliards de gens sur terre
Qui se cherchent une Lumière
Sept milliards de gens sur terre
Qui s'aimeront demain
Si tu marches vers l'étoile
Qui éclaire le matin
Si tu refuses de croire
Que la faute est au voisin
Si tu sais penser à l'autre
Si l'autre te le rends bien
L'Amour est en chemin
Sept milliards de gens sur terre
Qui se cherchent une Lumière
Sept milliards de gens sur terre
Qui s'aimeront demain
Sept milliards de gens sur terre
Qui se cherchent une Lumière
Sept milliards de gens sur terre
Qui n'ont pas besoin de guerre
Qui s'aimeront demain
Demain !
QUE LES VENTS DE Bénédictions SOUFFLENT SUR TOUTE LA TERRE !
Vincent Niclo & Le Choeur Symphonique Bel Canto Tour - Ameno
Vincent Niclo & Le Choeur Symphonique Bel Canto Tour - Ameno
AMENO : Je suis d'accord
Endors-moi, cache-moi, garde-moi, endors-moi.
Je suis d'accord, je suis d'accord, Lumière, éclaire-moi, endors-moi.
Je suis d'accord, le Signe de Roi, je suis d'accord.
Dis-moi, dis-moi, recouvert d'un tissu, recouvre-moi d'un tissu, je suis d'accord.
Les Signes du Roi, immunise-moi, je suis d'accord.
Les Signes du Roi, immunise-moi, je suis d'accord.
Je suis d'accord, je suis d'accord, endors-moi, je suis d'accord.
ALLILUYAH ! ALLILUYAH ! ALLILUYAH !
JE REMERCIE YAHWEH ET TOUTE LA Hiérarchie Céleste POUR LES HARPES Célestes, POUR LES EAUX VIVES QUI INNONDENT LA TERRE, ET POUR TOUS LES VENTS DE Bénédictions QUI SOUFFLENT SUR LA TERRE POUR TOUTES LES ÂMES !
BATTEZ-VOUS POUR SEPT MILLIARDS D'ÂMES, POUR LES 144.000 ! JE VOUS AIME, JE VOUS REMERCIE, JE VEUX CROIRE à VOTRE Zèle SPIRITUEL, JE VEUX CROIRE à VOTRE Volonté D'acquérir NOTRE Héritage ET AUSSI DE VOUS BATTRE POUR LES AUTRES AFIN QU'ILS L'acquièrent AUSSI NOTRE Héritage, NOTRE TERRE, NOTRE PARADIS, NOTRE NOUVEAU MONDE ! BIENVENUE à TOUS !
VOUS êtes invités AUX NOCES DE L'AGNEAU !
ALLILUYAH, ALLILUYAH, ALLILUYAH ! QUE YAHWEH soit glorifié SUR TOUTE LA TERRE ! QUE SON NOM soit glorifié SUR TOUTE LA TERRE !
ALLILUYAH ! AMEN ! JE VOUS REMERCIE !
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BENEDICTION SACERDOTALE ET LE SCEAU DU NOM DE YAHWEH
LE 27 février 2015
BENEDICTION SACERDOTALE ET LE SCEAU DU NOM DE YAHWEH
https://www.youtube.com/watch?v=E0z8fTF_yB4
CONTENU DE MA VIDEO DU 27 février 2015 :
BONJOUR, VOUS ME RECONNAISSEZ, MON NOM EST NOULA, NOËLLA ! YAHWEH EST auprès DE MOI DEPUIS 25 ANS MAINTENANT, ET derrière MOI SE TROUVENT LES SEPT CHANDELIERS à SEPT BRANCHES, COMME VOUS POUVEZ LE VOIR, ET LA COUPE DES EAUX VIVES également !
AUJOURD'HUI VONT S'ACCOMPLIR DE GRANDES Prophéties, QUE JE VAIS VOUS EXPLIQUER d'emblée, LA Prophétie DE L'AGNEAU SUR LE MONT SION, DE L'AGNEAU QUI SE TIENT DEBOUT SUR LE MONT SION, EST EN TRAIN DE S'ACCOMPLIR SOUS VOS YEUX ! AINSI QUE LA Prophétie DE L'ANGE QUI SE TROUVE AVEC UNE VOIX COMME UNE TROMPETTE, AUTOUR DE LUI, LES SEPT CHANDELIERS, ET QUI TIENT LES SEPT EGLISES DANS SA MAIN, TOUTES LES EGLISES, LES Mosquées, LES SYNAGOGUES !
AUJOURD'HUI, JE VAIS FAIRE RETENTIR LA 7ème TROMPETTE SEPT FOIS POUR FAIRE L'ANNONCE QUE L'EMPIRE DE CE MONDE est passé à YAHWEH, NOTRE GRAND ROI, ET LA Souverainteté à SON OINT ! AUJOURD'HUI, auprès DE MOI EST YAHWEH, AINSI QUE TOUTE LA Hiérarchie Céleste, LES 24 VIEILLARDS, LES QUATRE ANIMAUX, LES Chérubins, LES Séraphins, TOUTE LA Hiérarchie Céleste EST là, EST auprès DE MOI, AINSI QUE YAHWEH !
YAHWEH M'A OINTE DE L'HUILE Sacrée LUI-MÊME, EN PERSONNE, JE N'AI PAS été OINTE PAR UN Prophète, J'ai été ointe PAR YAHWEH ! L'AGNEAU A PRIS LE LIVRE DANS LA MAIN DROITE DE YAHWEH, ET L'A OUVERT; ET VOUS AVEZ PU RECEVOIR LES SEPT LIVRES, AINSI QUE LE LIVRE DE L'AGNEAU, LES LIVRES DE JOIE QUE LE 7ème PATRIARCHE après ADAM, LE PREMIER ADAM, ENOCH avait prophétisé POUR LA FIN DES TEMPS; CE SONT DES LIVRES DE JOIE !
YAHWEH ET TOUTE LA Hiérarchie Céleste, ET JE LES EN REMERCIE, NOUS ont innondé DE SIGNES Extérieurs, ET évidemment LA Qualité DES Révélations BIEN ENTENDU !
NOUS AVONS Accès AU PLAN Mystérieux DE YAHWEH, à SON PLAN SECRET QUI RETENTIT AVEC LA 7ème TROMPETTE ET LE 7ème ANGE ! JE REMERCIE YAHWEH ET TOUTE LA Hiérarchie Céleste POUR TOUS LES SIGNES Extérieurs, POUR L'ANNONCE DE SON ROYAUME, L'ANNONCE DE LA BONNE NOUVELLE, DES CHANSONS ET DES FILMS, QUI CONFIRMENT TOUTES LES Révélations QUE YAHWEH M'a données, ET QUI CONTINUERONT à CONFIRMER SES SIGNES POUR MOI, POUR L'HOMME, ET AUSSI POUR TOUS SES ENFANTS, TOUS LES DESCENDANTS DE LA FEMME, DE LA NOUVELLE JERUSALEM, DE LA NOUVELLE EVE ! JE SUIS HEUREUSE DE POUVOIR VOUS ANNONCER TOUT CELA !
UNE AUTRE BONNE NOUVELLE AUJOURD'HUI, C'EST QUE L'HOMME A FAIT UN PREMIER SIGNE TIMIDE, PARCE QUE C'EST UNE PERSONNE QUI EST UN PEU TIMIDE; JE LE CONNAIS DEPUIS LE MOIS DE SEPTEMBRE DE L'Année passée ! JE LE CONNAIS DEPUIS PLUS LONGTEMPS, MAIS DISONS QUE PENDANT BEAUCOUP D'Années, JE NE LE VOYAIS PLUS ! MAIS J'AI APPRIS UN PEU PLUS à LE CONNAÎTRE SANS SAVOIR QUI IL était CES DERNIERS TEMPS, à PARTIR DE SEPTEMBRE DE L'Année passée ! ET L'HOMME S'EST UN PEU éloigné, CAR c'était TROP D'INFORMATIONS, TROP DE NOUVELLES Données POUR LUI, CELA VA TROP VITE ! ET évidemment, MOI CELA FAIT 25 ANS, DONC JE BAIGNE DANS TOUTES SES Révélations, ET JE SUIS très à L'AISE ! ET L'HOMME, PAR CONTRE LUI, c'était LA Première FOIS, CELA FAIT QUE DEPUIS LE MOIS DE MAI, YAHWEH a révélé QU'IL était L'HOMME, YECHOUAH ! DONC, JE VAIS LE préparer, ET C'EST VRAI QU'IL S'EST UN PEU éloigné CES TEMPS-CI ! ET AUJOURD'HUI, LA BONNE NOUVELLE C'EST QU'IL A FAIT UN SIGNE TIMIDE DE RETOUR, GRÂCE à TOUS LES SIGNES Extérieurs QUE YAHWEH DONNE ET INONDE LES CANAUX Extérieurs !
JE NE CACHE PAS MA JOIE ET MES PLEURS DE JOIE GRÂCE à TOUS CES SIGNES QUE YAHWEH a donnés, PARCE QUE C'EST VRAI QUE CELA FAIT DU BIEN MORALEMENT DE VOIR TOUT CELA !
ALORS, YAHWEH M'a demandé DE PORTER LE MANTEAU D'OR SUR MES épaules, AFIN DE VOUS DONNER LA Bénédiction SACERDOTALE, POUR POUVOIR APPOSER LE SCEAU DU NOM DE YAHWEH SUR VOS FRONTS, LE SCEAU Sacré, LE SCEAU LUMINEUX, LE SCEAU GLORIEUX ! ET CELUI-CI SE PORTE PAR LA Dernière LETTRE DE L'ALPHABET Hébreu, LE TAW, QU'ON TRACERA AVEC SON INDEX, COMME JE LE FAIS DEVANT VOUS !
AUJOURD'HUI, YAHWEH ME GLORIFIE, YAHWEH M'a demandé DE METTRE SUR MES CHEVEUX ET SUR MON VISAGE DES PAILLETTES argentées ET dorées, SUR TOUTE MA CHEVELURE, SUR TOUT MON VISAGE, SUR TOUTES MES MAINS ! DE PORTER LA CEINTURE D'OR, YAHWEH M'a demandé DE PORTER LE PECTORAL DU JUGEMENT, LES DOUZE PIERRES DES TRIBUS D'ISRAÏL, COMME CELA est écrit DANS LE LIVRE DE L'APOCALYPSE ET DANS ISSAIE, QUE LA FEMME PORTERAIT DES PERLES, LA NOUVELLE JERUSALEM, SION, DES PERLES Précieuses ! CE PECTORAL DU JUGEMENT SYMBOLISE LES DOUZE TRIBUS D'ISRAÏL, DU NOUVEAU ISRAÏL, LES 144.000, QUE JE PORTE SUR MON COEUR, SUR MA POITRINE ! ET JE VAIS VOUS MENER VERS LE NOUVEAU ROYAUME ETERNEL DE YAHWEH, VERS LA CONNAISSANCE DE YAHWEH, ET QUE VOUS DEVENIEZ TOUS DES AMIS DE YAHWEH; AFIN QUE SON NOM soit glorifié SUR TOUTE LA TERRE, DANS SON NOUVEAU ROYAUME, DANS SON EMPIRE, DANS SON ROYAUME ETERNEL !
CONCERNANT L'HOMME, YAHWEH DONNA LA Bénédiction SACERDOTALE à MOÏSE, POUR LA TRANSMETTRE à SON PEUPLE, DONC IL était SUR LA Nuée QUAND CELA fut révélé à MOÏSE, AVEC YEHOCHOUAH SON SERVITEUR, SON JEUNE SERVITEUR, QUI PAR après DEVINT SON SUCCESSEUR, LE SUCCESSEUR DE MOÏSE ! ET YECHOUAH AUJOURD'HUI AYANT FAIT UN SIGNE DE SON RETOUR; QUAND IL SERA PRÊT MORALEMENT, SPIRITUELLEMENT, QU'IL AURA LU LE LIVRE OUVERT, IL aura avalé LE LIVRE OUVERT, ON VA VOIR, IL décidera AVEC Maturité SPIRITUELLE, AVEC Zèle SPIRITUEL, DE VENIR AVEC SES HABITS SALES DEVANT L'ANGE, AFIN QU'IL soit habillé, IL PORTERA LA COURONNE AVEC LA LAME Sacrée, AINSI QUE LES VÊTEMENTS Sacrés DU GRAND PRÊTRE AARON; ET YAHWEH LE OINDRA ! Voilà, DONC TOUT CELA S'ACCOMPLIRA DANS LE FUTUR DEVANT VOS YEUX, QUAND L'HOMME SERA PRÊT !
AUJOURD'HUI, JE VAIS VOUS DONNER LA Bénédiction SACERDOTALE, QUI PAR LE DOUBLE SOUFFLE DE LA FEMME, QU'IL COUVRE TOUTE LA TERRE, IL RENTRE DANS VOS ESPRITS ET DANS VOS COEURS PAR LE SOUFFLE DE LA FEMME ET QU'IL VOUS APPORTE TOUT CE QUE LE SOUFFLE DE LA FEMME PEUT APPORTER !
Voilà, J'ai reçu LE GLAIVE, TOUS CEUX QUI RECEVRONT LE SCEAU DE YAHWEH SUR LEURS FRONTS, SERONT D'ACCORD DE VIVRE SANS GRANDS Péchés, CAR RIEN D'IMPUR NE RENTRERA DANS LA NOUVELLE JERUSALEM; ET YAHWEH SERA PARMI NOUS PUISQU'IL PARLE à TRAVERS LA BOUCHE DE SION, à TRAVERS MA BOUCHE ET IL ESSUIERA TOUTES LARMES ET IL VOUS CONSOLERA ET IL SERA NOTRE GRAND ROI PARMI NOUS ! Voilà, CELA EST LA BONNE NOUVELLE DE SON ROYAUME ! (C.P. DU 15/10/2025 : YAHWEH VIVRA PARMI NOUS, ET NOUS VERRONS SON VISAGE COMME CELA est écrit DANS L'APOC DE JEAN chap 21 et chap 22, QUAND LA TERRE sera purifiée, ET SON TRÔNE SERA PARMI NOUS !)
AUJOURD'HUI, JE VAIS DONC VOUS DONNER LA Bénédiction SACERDOTALE :
QUE YAHWEH TE Bénisse ET TE GARDE !
QUE YAHWEH FASSE BRILLER SA FACE SUR TOI, ET QU'IL T'ACCORDE SA GRÂCE !
QUE YAHWEH lève SA FACE VERS TOI, ET QU'IL TE DONNE LA PAIX !
ET YAHWEH DIT : "ILS METTRONT MON NOM SUR LES ENFANTS D'ISRAÏL ET JE LES bénirai !"
Voilà, DONC VOUS POUVEZ METTRE AVEC VOTRE INDEX LA LETTRE TAW SUR VOTRE FRONT, COMME JE LE FAIS MOI-MÊME DEVANT VOUS ! ET VOUS ACCEPTEZ DE VIVRE SELON LES PAROLES DE YAHWEH EN SION ET DE VIVRE SANS GRANDS Péchés; ET YAHWEH VOUS bénira !
Voilà, ET QUE PAR LE DOUBLE SOUFFLE DE LA FEMME, CELA ATTEIGNE TOUTE LA TERRE, TOUTES LES MAISONS, TOUT ÊTRE HUMAIN DE TOUTES LES NATIONS, TOUS CEUX QUI VOUDRONT se préparer ET VIVRE DANS LE ROYAUME ETERNEL DE JOIE DE YAHWEH ! JE SOUFFLE SEPT FOIS POUR CELA !
JE VAIS BOIRE DANS LA COUPE DES EAUX VIVES, CETTE COUPE EST REMPLIE D'EAUX, ET JE VAIS BOIRE DEDANS !
PRENEZ UNE COUPE également DANS VOS DEMEURES, PRENEZ UNE COUPE, AINSI VOUS POURREZ RECEVOIR LES EAUX VIVES QUI SORTENT DE LA BOUCHE DE SION, DU TRÔNE DE YAHWEH ! JE VERSE LES EAUX VIVES à TERRE EN TENANT LA COUPE DANS MA MAIN DROITE ! QUE YAHWEH NOUS bénisse TOUS ET QUE YAHWEH NOUS APPORTE LA PAIX ET QJ'IL NOUS ACCORDE SA GRÂCE ! AMEN !
GLOIRE à NOTRE GRAND ROI YAHWEH, GLOIRE à NOTRE AL ILLAH, ILOAH, ILOHIM, IL SHADDAY, ILOHIM DE LA Nuée, QUI MARQUE SA GLORIEUSE Présence auprès DE NOUS ! LA GLORIEUSE Présence DE YAHWEH est marquée PAR L'ARC-EN-CIEL QUI SE TROUVE AU-DESSUS DE LA TÊTE DE L'ANGE FORT QUI a juré, AU-DESSUS DU TRÔNE DE YAHWEH ET AINSI QUE LA Nuée AU-DESSUS DE LA TÊTE DE L'ANGE FORT !
YAHWEH S'EST ASSIS EN SON TRÔNE, ET VOUS DEVIENDREZ TOUS UN NOUVEAU ROYAUME DE PRÊTRES DE YAHWEH ! CELA VEUT DIRE QUE VIVANT SANS GRAND Péché, VOUS POURREZ TOUS DIGNEMENT VOUS HABILLER DE LA ROBE BLANCHE ET DE LA CEINTURE D'OR POUR LE GLORIFIER, LE JOUR DU SABBAT ! PARCE QUE C'EST LE 7ème JOUR QUE YAHWEH SE REPOSA ET QU'IL DEMANDA AUX HOMMES DE LE GLORIFIER EN CE JOUR !
Voilà ! AUJOURD'HUI UNE AUTRE GRANDE Prophétie EST EN TRAIN DE S'ACCOMPLIR SOUS VOS YEUX POUR TOUTE L'Humanité, POUR TOUTE L'éternité,
C'EST LES NOCES DE L'AGNEAU ! L'AGNEAU QUI A PRIS LE LIVRE DANS LES MAINS DE YAHWEH, QUI a été DIGNE ET QUI SE TROUVE DEBOUT AUJOURD'HUI DEVANT VOUS; DEBOUT SUR LA MONTAGNE DE SION, ET QUI A PU OUVRIR LES LIVRES POUR QUE VOUS PUISSIEZ RECEVOIR LES LIVRES DE JOIE, LES SEPT LIVRES, AINSI QUE LE LIVRE DE L'AGNEAU !
ET LES NOCES DE L'AGNEAU SE FONT AVEC LE Créateur QUI épouse SION, ET QUI VA LUI ACCORDER LA NOUVELLE ALLIANCE DE PAIX QUI est scellée PAR CETTE BAGUE AVEC UNE PERLE BLEUE, QUI représente LE TRÔNE DE YAHWEH QUI EST DE COULEUR BLEU SAPHIR !
Voilà, YAHWEH VOUS DEMANDE à TOUS DE PORTER, COMME IL est écrit DANS LES Prophéties DANS ISSAIE, NOTRE Créateur YAHWEH épouse SION, LA NOUVELLE JERUSALEM, MAIS également SA TERRE EST SON épousée, DONC C'EST VOUS, DONC PORTEZ AUSSI LE SIGNE DE LA NOUVELLE ALLIANCE DE PAIX SUR VOTRE DOIGT; AFIN QUE TOUS SACHE QUE VOUS ÊTES MEMBRES DE LA NOUVELLE JERUSALEM ET QUE VOUS avez reçu LE SCEAU DE YAHWEH, ET QUE VOUS FAITES PARTIE DE CETTE VILLE entourée DE FEU ET protégée PAR GLAIVE QUI SORT DE LA BOUCHE DE LA FEMME, QUI EST LE VERBE DE YAHWEH PAR LA PAROLE; ET TOUTES LES Armées Célestes LA SUIVENT ! YAHWEH QUI PORTE SON MANTEAU, QUI a levé LE BRAS DROIT, QUI PORTE LA CUIRASSE DE LA JUSTICE, ET LE MANTEAU DU Zèle SPIRITUEL ! Voilà, CE SONT DE GRANDES Prophéties QUI SONT EN TRAIN DE S'ACCOMPLIR SOUS VOS YEUX ! ET JE SUIS HEUREUSE QU'ENFIN RETENTISSE CE GRAND JOUR ET J'AI BEAUCOUP DE JOIE ET BEAUCOUP DE BONHEUR POUR ÊTRE MEMBRE DE CETTE NOUVELLE JERUSALEM !
VOUS SAVEZ QUE YAHWEH NOUS a déjà annoncé QU'IL AUGMENTERAIT L'INTELLIGENCE DE L'HOMME, AFIN QUE NOUS PUISSIONS TOUS ENSEMBLE BÂTIR UN ROYAUME DE JOIE, DE RIRES, D'HUMOUR, DE Zèle SPIRITUEL, DYNAMIQUE; ET QUE NOUS SOYONS TOUS DES AMIS DE YAHWEH, ET YAHWEH PARMI NOUS MARQUERA SA Présence ET ESSUIERA TOUTES LARMES ET NOUS CONSOLERA !
Voilà ! JE VOULAIS préciser QUE YAHWEH M'a demandé DE METTRE SUR MON VISAGE DES PAILLETTES, AINSI QUE SUR TOUTE MA CHEVELURE, ET SUR MA ROBE ET SUR MES MAINS également, QUI SONT REMPLIES ET BRILLANTES; DONC AUJOURD'HUI JE PEUX DIRE QUE YAHWEH M'a glorifiée, YAHWEH a glorifié L'AGNEAU, YAHWEH a glorifiée SION, YAHWEH a glorifiée LA NOUVELLE JERUSALEM; AFIN QU'ELLE se présente auprès DE VOUS préparée COMME UNE Epousée ! Voilà ! VOUS ÊTES TOUS invités AUX NOCES DE L'AGNEAU, VOUS ÊTES TOUS invités à ÊTRE MEMBRES DE LA NOUVELLE JERUSALEM !
GLOIRE à NOTRE GRAND ROI YAHWEH, GLOIRE à NOTRE ILOHIM QUI SERA auprès DE NOUS POUR NOUS CONSOLER, POUR VIVRE auprès DE NOUS, PARMI NOUS !
JE REMERCIE YAHWEH AINSI QUE TOUTE LA Hiérarchie Céleste, POUR LE GRAND TRAVAIL QUI EST FAIT auprès DE NOUS, POUR NOUS, POUR TOUTE L'Humanité, POUR TOUTES LES NATIONS, POUR TOUS LES ENFANTS, POUR LES SIGNES Extérieurs ET LES SIGNES, BIEN SÛR, LES Révélations DES LIVRES DE JOIE ET TOUS SES SIGNES Extérieurs QUI NOUS REMPLISSENT DE JOIE ! JE NE CACHE PAS QUE J'ai pleuré CES DERNIERS JOURS, CAR YAHWEH M'a honorée. TOUT CELA EST INIMAGINABLE DANS L'ESPRIT D'UN ÊTRE HUMAIN !
Voilà, JE VOUS REMERCIE, BIENTÔT L'HOMME SERA auprès DE MOI ET IL ACCOMPLIRA LES Prophéties LE CONCERNANT, QUAND IL SERA PRÊT MORALEMENT !
ON VIT CES MOMENTS EN étant PLEINEMENT CONSCIENTS, PLEINEMENT RESPONSABLES, PLEINEMENT REMPLI D'AMOUR DE CE QUE CELA représente ET SYMBOLISE, L'ACCOMPLISSEMENT DES Prophéties; ET C'EST UN GRAND HONNEUR QUE YAHWEH ACCORDE à CEUX QUE LUI CHOISIT POUR ÊTRE SES SERVITEURS; ET MOI JE LE FAIS DE TOUT MON Zèle, DE TOUT MON DYNAMISME, DE TOUT MON AMOUR, QU'ARRIVE CE GRAND ROYAUME DE YAHWEH; ET JE SUIS CONTENTE QUE LES Prophéties S'ACCOMPLISSENT ASSEZ RAPIDEMENT ET QUE QUAND IL LES révèle, ELLES SONT déjà ACCOMPLIES; EN EFFET, EN SON TEMPS YAHWEH HÂTERA CELA, ET EN EFFET NOUS POUVONS TOUS ASSISTER QUE YAHWEH HÂTE TOUT CELA !
JE VOUS EN REMERCIE, PARLEZ-EN AUTOUR DE VOUS, à VOS AMIS, à VOS ENFANTS, QUE S'ENTENDE CETTE BONNE NOUVELLE; ET QUE CHACUN DE VOUS VOUS prépariez GRÂCE AU SOUFFLE DE LA FEMME VOUS ALLEZ POUVOIR RECEVOIR ! CEUX QUI ont reçu LE SCEAU Sacré ET LUMINEUX ET GLORIEUX DE YAHWEH, LE NOM DE YAHWEH SUR LEUR FRONT, POURRONT RECEVOIR DES MIRACLES QUAND ILS LES DEMANDERONT, QUAND ILS SONT MALADES ! DEMANDEZ à YAHWEH, IL LES ACCORDERA à TRAVERS LE DOUBLE SOUFFLE DE LA FEMME ! DONC, CE NE SONT QUE DES MOMENTS DE JOIE !
Voilà, ET VOUS POUVEZ RETROUVER TOUS CES LIVRES DE JOIE SUR LES SITES, ET POUR LE MOMENT NOUS SOMMES DANS LE LIVRE DE VIE DE L'AGNEAU ! SOYEZ MEMBRES, VOUS VOUS INSCRIVEZ AUTOMATIQUEMENT DANS LE LIVRE DE VIE DE L'AGNEAU QUAND VOUS PORTEZ LE SCEAU Sacré DE YAHWEH, ET QUE VOUS ACCEPTEZ DE VIVRE SANS GRANDS Péchés !
CAR L'ADVERSAIRE AUSSI RÔDE COMME UN LION, LES TEMPS SONT ACCOMPLIS POUR LUI; CAR YAHWEH LES A MIS SOUS MON Autorité CAR JE TIENS LA CLEF DE LA MORT ET LA CLEF DU Chéol; DONC LEUR TEMPS est limité !
C'EST POUR CELA QU'IL FAUT VITE VOUS préparer AUSSI, CAR J'ai déjà demandé QUE YAHWEH M'ACCORDE LES ROYAUMES DE LA TERRE, LE Décret DE YAHWEH ! TOUT EST ACCOMPLI !
JE VOUS AIME, SOYEZ NOMBREUX, VENEZ AVEC FORCE, DYNAMISME, Zèle SPIRITUEL, AMOUR DANS CE NOUVEAU ROYAUME ETERNEL ! ET QUE L'HOMME RETROUVE SA PLACE DANS SON ROYAUME QUE YAHWEH avait prévu DEPUIS LE COMMENCEMENT !
LA GRANDE Prophétie AUSSI QUE LA FEMME, QUE L'ADVERSAIRE, QUE LE SERPENT LA BLESSERAIT AU TALON EST ACCOMPLIE, CAR J'ai été blessée ASSEZ VIOLEMMENT, COMME VOUS LE SAVEZ PAR LE SITE; MAIS AUJOURD'HUI JE SUIS DEBOUT, ET SA TÊTE est écrasée ! C'EST POUR CELA QUE YAHWEH LES A MIS SOUS MON Autorité !
JE VOUS REMERCIE ! GLOIRE à NOTRE GRAND ROI YAHWEH
SAINT, SAINT, SAINT EST LE ILOHIM D'ISRAÏL,
SAINT, SAINT, SAINT EST YAHWEH AL ILAH, ILOHA, ILOHIM, IL SHADDAY, ILOHIM DE LA Nuée,
SAINT, SAINT, SAINT EST YAHWEH !
JE VEUX RENDRE AUJOURD'HUI HONNEUR AU PEUPLE D'ISRAËL, CELUI QUI a reçu LES ECRITURES AVEC MOÏSE, ET ILS SONT REMIS EN HONNEUR POUR LE RESTANT DE LEUR VIE DANS CE NOUVEAU ROYAUME; CAR C'EST LE PREMIER PEUPLE QUE YAHWEH AVAIT CHOISI ET QUI LEUR AVAIT TRANSMIS LES SAINTES ECRITURES, SA PAROLE; ET QU'ILS EN ont été LES GARDIENS JUSQU'à AUJOURD'HUI ! DONC, JE LES METS EN HONNEUR ET JE LES REMERCIE !
JE VEUX METTRE EN HONNEUR AUSSI YECHOUAH QUI a obéi IL Y A 2.000 ANS JUSQU'à MONTER SUR LA CROIX, PAR Obéissance à LA PAROLE DE YAHWEH, à LA Volonté DE YAHWEH ! DONC, JE LE REMERCIE POUR CETTE GRANDE Obéissance, CAR IL A PERMIS QUE LA NOUVELLE ALLIANCE DE YAHWEH AVEC LES HOMMES PUISSENT s'étendre SUR TOUTE LA TERRE, AFIN QUE AUJOURD'HUI PUISSE S'ACCOMPLIR LA NOUVELLE ALLIANCE DE PAIX ! DONC TOUT EST à SA PLACE ET JE LE METS à L'HONNEUR ET JE LE REMERCIE; D'AUTANT PLUS QU'AUJOURD'HUI C'EST SON RETOUR ET QU'IL EST auprès DE NOUS, JE SUIS CONTENTE !
ET JE VAIS METTRE AUSSI à L'HONNEUR LE GRAND Prophète MUHAMMAD QUI NOUS a laissé DE GRANDES Prophéties CONCERNANT LA FIN DES TEMPS ! ET CE LIVRE LE CORAN QUI EST UN LIVRE DU RAPPEL, EST UN LIVRE IMPORTANT, CAR C'EST LE SEUL LIVRE QUI INCLUT TOUS LES AUTRES : LES SAINTES ECRITURES DE MOÏSE, IL PARLE DE DAVID, D'ABRAHAM, DE YECHOUAH, LE Mystère AVEC MARIE ET QUI reçut EN SON SEIN LE NOUVEL ADAM, YECHOUAH ! DONC, JE VEUX METTRE à L'HONNEUR TOUT CELA; ET REMERCIER YAHWEH POUR TOUS SES SIGNES ET TOUTES SES Prophéties, QUI GRÂCE à TOUTES SES SAINTES ECRITURES NOUS ONT PERMIS D'AVOIR LE LIVRE LUMINEUX ET ETERNEL QUE NOUS AURONS POUR TOUTE L'éternité QUI COMPREND TOUTES LES SAINTES ECRITURES ET TOUTES LES PAROLES QUE YAHWEH a donné à TOUS SES Prophètes, AINSI QU'à YECHOUAH ET AU PEUPLE D'ISRAËL !
Voilà, DONC ça C'EST QUELQUE CHOSE DE très IMPORTANT ! C'EST UN LIVRE LUMINEUX QUI VA éclairer TOUTES LES NATIONS, TOUTE LA TERRE, CHAQUE ÊTRE HUMAIN, SON COEUR ET QUE NOUS AURONS POUR TOUTE L'éternité : LE LIVRE EST OUVERT, IL EST LUMINEUX, IL DESCEND DU CIEL ! YAHWEH a donné LES Révélations, EUX avaient reçu LES ECRITURES, MAIS POUR LE MOMENT YAHWEH a donné LES SEPT TROMPETTES, LES SEPT TONNERRES ont parlé ET ont donné LES Révélations DE TOUTES CES SAINTES ECRITURES ET LEURS ACCOMPLISSEMENTS ! JE REMERCIE YAHWEH POUR TOUT CELA, C'EST UN LIVRE LUMINEUX QUI COMPREND, TOUT COMME LE CORAN, TOUTES LES PAROLES DE YAHWEH ! LES PAROLES DE YAHWEH sont purifiées, ELLES sont purifiées SEPT FOIS ET ELLES PERMETTENT à CHAQUE HOMME DE SE NOURRIR AUX EAUX VIVES DE SA PAROLE ! ET LES EAUX VIVES SORTIRONT DU TRÔNE DE YAHWEH, CAR YAHWEH S'EST ASSIS EN SON TRÔNE, S'EST ASSIS EN SION, IL TRANSMET SA PAROLE PAR JERUSALEM; SON AUTEL Sacré EST là DANS MON COEUR ! ET YAHWEH VEILLE SUR NOUS TOUS !
GLOIRE à NOTRE GRAND ROI YAHWEH ! ALLILUYAH, ALLILUYAH, ALLILUYAH !
ET MOI J'AIMERAIS AUSSI EN PLUS QUE L'ALLIANCE ET MON SCEAU DIRE : "AMENO", "JE SUIS D'ACCORD" !
ET VOUS AUSSI, J'AIMERAIS BIEN QUE VOUS APPRENEZ à DIRE, EN LEVANT LA MAIN DROITE : "AMENO, AMENO YAHWEH" ! "AMENO, AMENO YAHWEH" ! "AMENO, AMENO YAHWEH !
MERCI à TOUS ! AMEN !
ERA - Ameno (Official Video)
https://www.youtube.com/watch?v=onjPLuZp6hY&t=4s
AMENO : Je suis d'accord
Endors-moi, cache-moi, garde-moi, endors-moi.
Je suis d'accord, je suis d'accord, Lumière, éclaire-moi, endors-moi.
Je suis d'accord, le Signe de Roi, je suis d'accord.
Dis-moi, dis-moi, recouvert d'un tissu, recouvre-moi d'un tissu, je suis d'accord.
Les Signes du Roi, immunise-moi, je suis d'accord.
Les Signes du Roi, immunise-moi, je suis d'accord.
Je suis d'accord, je suis d'accord, endors-moi, je suis d'accord.
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C.P. : ET ALORS QUE JE N'AVAIS PLUS REVU MON EPOUX, L'HOMME, YECHOUAH LE NOUVEL ADAM DEPUIS SEPTEMBRE 2014, CAR IL m'a répudiée;
ET aprés L'éclipse DU SOLEIL TOTALE PAR LA LUNE LE 20 MARS 2015 !
LE 29 AVRIL 2015, YAHWEH ILOHIM ME DEMANDA D'ALLER écouter LES CONCERTS DE GEORGES DALARAS EN ISRAËL DE 1999, ET là YAHWEH ME FIT COMPRENDRE QU'IL était AMOUREUX DE MOI, ET YAHWEH DES Armées, MON Créateur ME DEMANDA SI J'ACCEPTAIS DE DEVENIR SON EPOUSE ! ET LE 30 AVRIL JE LUI AI DIT QUE J'ACCEPTAIS DE DEVENIR SON EPOUSE ! COMME CELA est écrit DANS ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, chap 2, chap 3, chap 3:6, chap 4 et chap 5:1, chap 7, chap 8, chap 9, chap 11, chap 13, chap 24, chap 25, OSHEYAH chap 2:16, JOËL chap 2, chap 2:16, APOC DE JEAN chap 18, chap 18:23; APOC DE JEAN chap 19, chap 21 et chap 22; PSAUMES 110, 45, 50, 1, 2, 91, 23, 87, 89, LE CANTIQUE DES CANTIQUES !
Giorgos DALARAS Israel Philharmonic Orchestra FULL Israel 1999
Giorgos DALARAS Israel Philharmonic Orchestra FULL Israel 1999
RETRANSCRIPTION DES CHANSONS DE CE CONCERT : 1999- 2009 ISRAÏL HARPES DE YAHWEH ! LA ROSE OUVERTE ! L'EPOUSE ! SION ! ICI D'ISRAÏL EN AVRIL 2015 LA LETTRE DE SON AMOUR
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A PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989, LA GLOIRE DE YAHWEH AINSI QUE LA Nuée SONT APPARUES à LIEGE EN BELGIQUE ! LA Nuée SELON LES DIRES DES DEUX GENDARMES Témoins, S'ARRÊTE AU-DESSUS D'UNE EGLISE ! COMME CELA est écrit DANS DEUTERONOME chap 18:15; EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 9, chap 33, chap 18, ISSAYAH chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 13, chap 2 et chap 3, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 13, chap 65, chap 66, 2ème LIVRE DES Macchabées chap 2; APOC DE JEAN chap 10, chap 12:1-2, chap 18, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22; LE LIVRE D'HENOCH ! LE 29 NOVEMBRE 1947 a été LA DATE DE LA Création D'ISRAËL après 2.000 ANS DE DIASPORA !
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Emission Mystere "Ovni en Belgique" LIEGE
LES Nuées à PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989, LA VAGUE BELGE
https://www.dailymotion.com/video/xnexxa
https://www.dailymotion.com/video/x18bt99

A PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989 : Début DE LA VAGUE !
CONTENU DE LA VIDEO :
LE Témoignages DES DEUX GENDARMES !
ON A VU L'ENGIN ENVAHIR LE CIEL BELGE !
EN résurmé CE QU'ON A VU, C'EST CE GRAND OBJET TRIANGULAIRE AVEC TROIS PUISSANTES Lumières BLANCHES DANS LES COINS ! ,
ET C'était IMMOBILE AU-DESSUS DE L'AUTOROUTE !
CERTAINS DE CES Témoins, ont dessiné L'ENGIN QU'ILS AVAIENT OBSERVéS !
LE PLUS étonnant C'EST QUE LES CENTAINES DE DESCRIPTIONS CONCORDENT !
UN IMMENSE OBJET TRIANGULAIRE AVEC DES PHARES DANS LES COINS ET UN AUTRE PHARE AU MILIEU !
S'AGIRAIT-IL D'UNE HALLUCINATION COLLECTIVE ?
DEUX ANS PLUS TARD, LE 11 JUILLET 1991, L'Armée BELGE DONNAIT UNE Conférence DE PRESSE très étonnante,
DES JETS DE L'Armée DE L'AIR, avaient donné CHASSE à UN OVNI, ET CELA avait été enregistré SUR LES RADARS DES CHASSEURS
LE FILM DE L'ENREGISTREMENT fut montré à LA PRESSE !
DE TOUTE évidence L'Armée PRENAIT CELA très au sérieux !
LE Mystère DES OVNIS BELGES COMMENCA LA NUIT DU 29 NOVEMBRE 1989, près d'EUPEN, UNE PETITE VILLE à 10 KM DE LA frontière ALLEMANDE !
CE SOIR-là DEUX GENDARMES, HEINRICH NICOLL ET HUBERT VAN MONTIGNY, étaient EN PATROUILLE,
EN S'APPROCHANT DE LA ROUTE DE NEROS, AU CARREFOUR, NOTRE ATTENTION a été attirée SUR LE FAIT QU'UNE PRAIRIE LONGEANT LA ROUTE,
était éclairée D'UNE façon ANORMALE, éclairée, ON AURAIT PU DIRE COMME UN TERRAIN DE FOOTBALL, COMME éclairage !
EN S'APPROCHANT, ON NE SAVAIT PAS DU TOUT d'où VENAIT CETTE éclairage, à CE MOMENT-là, ON s'est approché, ET ON s'est garé LE LONG DE LA ROUTE !
ON A VU UNE énorme PLATE-FORME TRIANGULAIRE ET EN DESSOUS UN PHARE PUISSANT ET AU MILIEU UNE BOULE ORANGE QUI PULSAIT,
LE TOUT FLOTTAIT DANS LE CIEL !
HEINRICH NICOLL a immédiatement appelé LE POSTE DE GENDARMERIE D'EUPEN
ON NE SAIT PAS CE QUE CELA EST ! C'EST DU sérieux ! IL Y A QUELQUE CHOSE là !
Téléphonez POUR VOIR S'IL N'Y A PAS DE MANOEUVRES MILITAIRES là-haut !
AU POSTE, L'APPEL est noté, MAIS ON NE PREND PAS très AU sérieux CETTE HISTOIRE DE SOUCOUPE VOLANTE !
VIENS RENTRE HENRI (DANS LA VOITURE)
LES DEUX GENDARMES décident DE SUIVRE L'ENGIN QUI SE DIRIGE VERS LA VILLE D'EUPEN !
ON POUVAIT LE VOIR très CLAIREMENT PARCE QUE LES PHARES étaient très PUISSANTS ET ON VOYAIT AUSSI LA BOULE ORANGE, clignoter EN-DESSOUS !
ON CONDUISAIT très LENTEMENT, ET ON SE DEMANDAIT S'IL Y AVAIT QUELQU'UN à L'intérieur DE CET ENGIN QUI OBSERVAIT CE QU'IL SE PASSAIT SUR LA TERRE !
QUELQUES INSTANTS PLUS TARD, AU POSTE DE GENDARMERIE, L'Opérateur REMARQUE UNE étrange LUEUR à TRAVERS LES FENÊTRES,
IL aperçoit ALORS UN ENGIN BIZARRE d'où SORTENT DES FAISCEAUX LUMINEUX COMME DES RAYONS LASERS !
ON A CONTINUé à SUIVRE L'ENGIN !
IL était MAINTENANT AU-DESSUS DE LA VILLE D'EUPEN (près D'UNE EGLISE) ET SE DIRIGEAIT VERS LA FORÊT
SUR LES côtés PARTAIENT DEUX FAISCEAUX LUMINEUX ET UNE BOULE s'est détachée DE L'ENGIN
LES DEUX GENDARMES N'EN REVIENNENT PAS, L'ENGIN SEMBLE FAIRE DU SUR PLACE MAINTENANT
HEINRICH NICOLL RAPPELLE L'Opérateur, CELUI-CI VENAIT DE CONTACTER QUATRE Aéroports VOISINS, AUCUNE TOUR DE CONTRÔLE n'avait signalé QUOIQUE CE SOIT DANS LE CIEL !
PENDANT UNE DEMI-HEURE, LES DEUX GENDARMES ont observé L'ENGIN,
PUIS TOUT D'UN COUP UN Deuxième ENGIN ARRIVAIT SUR LA DROITE TOUT près D'EUX !(DANS LA VIDEO 4 MIN 02 SEC)
REGARDE CELA ! REGARDE CELA !
ET PUIS après s'être rapproché, PUIS TOUT D'UN COUP UN Deuxième ENGIN ARRIVAIT SUR LA DROITE TOUT près D'EUX !(DANS LA VIDEO 4 MIN 02 SEC)
REGARDE CELA ! REGARDE CELA !
ET PUIS après s'être rapproché, L'ENGIN s'est éloigné VERS LE VILLAGE DE LA CALAMINE !
SIX MINUTES PLUS TARD, DEUX AUTRES GENDARMES EFFECTUANT UNE PATROUILLE DANS LE VILLAGE DE LA CALAMINE, ont remarqué UN GIGANTESQUE TRIANGLE DANS LE CIEL !
ILS AVAIENT ENTENDU LES échanges DE LEURS collègues SUR LEUR RADIO, MAIS ILS N'AVAIENT PAS PRIS CELA AU sérieux,
CE QU'IL Y AVAIT MAINTENANT LEUR PROUVAIT QU'IL Y AVAIT VRAIMENT UN ENGIN EXTRAORDINAIRE DANS LE CIEL !
(L'ENGIN / LA Nuée SE DIRIGE AU-DESSUS D'UNE EGLISE POUR LA SYMBOLIQUE QUE CELA EST UN ENGIN/ LA Nuée DU Créateur ET CONCERNE LA RELIGION) DANS LA VIDEO 4 MIN 48 SEC
CELA NOUS A FAIT UNE DRÔLE D'IMPRESSION ! ON NE POUVAIT PAS COMPRENDRE DE QUEL GENRE D'ENGIN IL S'AGISSAIT !
EST-CE QUE CELA POUVAIT ÊTRE UN ENGIN MILITAIRE Américain !
DIETER PLUMMANS, GENDARME, LE Témoin : CELA JE NE SAURAIS PAS LE DIRE !
MAIS JE SAIS QUE CELA était VRAI, réel ET C'était AU-DESSUS DE NOUS !
UNE PARTIE DE L'ENGIN s'est détachée, UNE BOULE DE Lumière ROUGE QUI s'est approchée DE NOUS !
D'après LES Témoignages DE DIETER PLUMMANS, GENDARME, ET DE SON Collègue, GENDARME AUSSI,
L'ENGIN S'EST TOUT-à-COUP transformé EN UNE SEULE Lumière ! PUIS IL A DISPARU à UNE VITESSE INCROYABLE !
LE LENDEMAIN MATIN, LA PRESSE RAPPORTAIT
CONTENU DE LA PRESSE : OVNI EN BELGIQUE : PLUS DE 600 Témoignages ! D'EUPEN à MOUSCRON, DES CENTAINES DE Témoins décrivent CES DERNIERS MOIS DES OBJETS VOLANTS NON Identifiés. PRATIQUEMENT AUCUNE OBSERVATION CHEZ LES VOISINS...
Phénomène : OVNIMANIA : SI LES PETITS HOMMES VERTS avaient montré LE BOUT DE LEUR TROMPE LORS DE CE Mémorable WEEK-END DE TRAQUE (à PÂQUES, LA TRAQUE MILITAIRE )
PUIS IL A DISPARU à UNE VITESSE INCROYABLE, LE LENDEMAIN MATIN, LA PRESSE RAPPORTAIT QUE DES CENTAINES DE PERSONNES avaient appelé LA GENDARMERIE POUR SIGNALER UN Mystérieux ENGIN !
TOUS décrivaient LA MÊME FORME TRIANGULAIRE,
AU COURS DES MOIS SUIVANTS, D'AUTRES OBSERVATIONS D'OVNIS furent enregistrées !
PUIS EN AVRIL 1990, UNE PHOTO EXTRAORDINAIRE FUT PRISE, ELLE MONTRE LES MÊMES Lumières décrites PAR LES Témoins OCCULAIRES
A L'AIDE D'UN ORDINATEUR, ON a souligné LES CONTRASTES SUR LA PHOTO ! ET ON PEUT VOIR CLAIREMENT LA FORME TRIANGULAIRE DE L'ENGIN ! (DANS LA VIDEO 6 MIN 17 SEC)
LA SOBEPS, UN CENTRE DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE BELGE, a travaillé AVEC LE CONCOURS DE L'Armée ET DE LA GENDARMERIE,
POUR CLASSER ET COMPARER LES MILLIERS DE Témoignages, (ENGIN DESSIN AVEC épaisseur 6 min 28 sec)
ET a établi UN PROTOCOLE POUR QUE LES NOUVEAUX RAPPORTS soient consignés DE façon SCIENTIFIQUE
EN MARS 1990, commença UNE Deuxième VAGUE D'OVNI SUR LA BELGIQUE ! ET LES Témoignages SE MULTIPLIAIENT !
DANS UNE BASE MILITAIRE DE L'OTAN, à 45 km DE BRUXELLES, UN RADAR détecta UN OBJET NON Identifié DANS LE CIEL !
SUR LE RADAR, ON POUVAIT REMARQUER UN PETIT CERCLE AVEC UNE SORTE DE PETITE QUEUE à LA GAUCHE DE L'écran (VIDEO 6 MIN 50 SEC)
QUATRE AUTRES BASES signalèrent LE MÊME écho SUR LEURS RADARS !
QUELQUE CHOSE DE très ETRANGE VOLAIT DANS LE CIEL BELGE !
L'Armée DE L'AIR DONNA L'ALERTE !
DEUX AVIONS F16 DE L'Armée DE L'AIR, furent immédiatement déployés (LE WEEK-END DE LA PÂQUES)
LEUR MISSION : LCALISER ET INDENTIFIER L'ENGIN INCONNU
LES PILOTES ONT POURSUIVI L'ENGIN ET ont VITE verrouillé LA CIBLE SUR LEUR RADAR !
MAIS CINQ SECONDES PLUS TARD, L'ENGIN se dégageait à UNE VITESSE VERTIGINEUSE !
Témoignage du Général DE BROUWER, Armée DE L'AIR BELGE :
VOUS SAVEZ ON a mesuré DES TAUX D'accélération ABSOLUMENT INCROYABLES,
ET ON NE PEUT PAS LES IMPUTER à DES ENGINS CONVENTIONNELS C'EST CLAIR !
PENDANT 60 MINUTES, LES PILOTES ont joué EUX AU CHAT ET à LA SOURIS AVEC L'ENGIN !
A CHAQUE FOIS QUE LA CIBLE était verrouillée SUR LE RADAR ET DANS LA LIGNE DE MIRE DES F16,
L'ENGIN INCONNU se dégageait à TOUTE VITESSE ! LA CIBLE ALLAIT BEAUCOUP PLUS VITE QUE LES F16 !
QUAND LES MILITAIRES ont analysé LE FILM enregistré SUR LE RADAR, ILS N'EN CROYAIENT PAS LEURS YEUX !
VOICI LE FILM AUTHENTIQUE DE L'ENREGISTREMENT DU RADAR F16 (DANS LA VIDEO 8 MIN 15 SEC)
L'OVNI APPARAÎT AU MILIEU DE L'ECRAN COMME UN PETIT LOSANGE, LE CHIFFRE EN HAUT à DROITE DE L'ECRAN, INDIQUE L'ALTITUDE DE L'ENGIN EN MILLIERS DE PIEDS !
LA Première FOIS QUE LE PILOTE a verrouillé SA CIBLE, L'ENGIN était à 7.000 PIEDS D'ALTITUDE, EN QUELQUES SECONDES IL est monté à 10.000 PIEDS,
PUIS L'ENGIN a plongé à MOINS DE 500 PIEDS EN CINQ SECONDES TOUT EN accélérant à UNE VITESSE DE 1.500 KM/HEURE !
C'EST-à-DIRE UNE FOIS ET DEMIE LA VITESSE DU SON !
CETTE FANTASTIQUE COMBINAISON D'accélérations ET DE DESCENTES, aurait été MORTELLE POUR UN PILOTE HUMAIN !
IL s'est passée UNE AUTRE CHOSE SURPRENANTE, BIEN QUE L'ENGIN ait été PLUS RAPIDE QUE LA VITESSE DU SON,
PERSONNE à TERRE N'A ENTENDU DE BANG SUPERSONIQUE, ALORS QUE NORMALEMENT C'EST inévitable !
BIEN QUE DES MILLIERS DE Témoins ont rapporté avoir observé DES OVNIS, BIEN QUE CES OVNIS aient été enregistrés SUR DES RADARS MILITAIRES ET BIEN QU'UN ENGIN INCONNU ait été CAPABLE DE SEMER DES CHASSEURS F16 , EXTRÊMEMENT sophistiqués,
DES SCEPTIQUES CONTINUENT DE PENSER QU'IL S'AGIT QUE D'UNE Hystérie COLLECTIVE ! ILS PENSENT QUE LES ENREGISTREMENTS DES RADARS SONT DÛS à DE FAUX ECHOS OU à DES CHANGEMENTS DE CONDITIONS Atmosphériques !
Général DE L'Armée DE L'AIR BELGE, Général DE BROUWER :
IL Y A EU DE MILLIERS DE Témoignages EN BELGIQUE, ET JE PENSE QUE C'EST NOTRE DEVOIR D'ESSAYER DE SAVOIR S'IL Y A VRAIMENT EU QUELQUE CHOSE DANS LE CIEL !
D'où CELA VENAIT ! QUELLE EN EST L'ORIGINE ! ET QUELLES SONT LEURS INTENTIONS ! EFFECTIVEMENT, IL s'est passé EN BELGIQUE QUELQUE CHOSE QUE NOUS NE MAÎTRISONS PAS !
UNE Dernière CHOSE étonnante QUI DOIT ÊTRE signalée, IL Y A EU DE MILLIERS D'OBSERVATIONS D'OVNIS rapportés EN BELGIQUE,
MAIS très PEU DANS LES PAYS VOISINS, L'ALLEMAGNE, LA FRANCE OU LES PAYS-BAS !
LES SCEPTIQUES VOIENT EN CELA, UNE PREUVE supplémentaire QU'IL NE S'AGIT QUE DE PHANTASMES OU D'HALLUCINATIONS !
POURTANT CERTAINES PERSONNES ont pensé à UNE EXPLICATION :
LES OVNIS SONT PEUT-ÊTRE attirés PAR LES lumières DES AUTOROUTES BELGES QUI SONT SI BIEN éclairées LA NUIT, QUE LES ASTRONAUTES LES ont remarquées DE L'ESPACE LORS DES MISSIONS APOLLOS SUR LA LUNE !


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LA Nuée BLANCHE à CHRISSOPETRA / LA PIERRE D'OR, à GALLIKOS, KILKIS, THESSALONIQUE, MAKEDONIA, EN Grèce LE 29 JUILLET 1989, AVEC LA DESCENTE D'UN Géant qui a laissé SES EMPREINTES SUR LA TERRE ! (DANIEL chap 7, chap 12, chap 9, chap 10, chap 2:30; APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 14:14, chap 19:11, chap 18, chap 21 et chap 22; PSAUME 50)
L'OVNI DU VILLAGE LA PIERRE D'OR LE 29/7/1989
CET Evénement QUI A EU LIEU EN 1989, CELA est arrivé à 8h 15 min, LE MATIN DU JEUDI, 29 JUILLET 1989,
DANS LE VILLAGE DE LA PIERRE D'OR DANS LA Région DE KILKIS
QUI a provoqué LA PANIQUE DANS TOUTE LA Région.
UNE Nuée particulièrement BLANCHE, QUI DANS SON CORPS à L'intérieur, UNE énorme FIGURE HUMAINE SE TORTILLAIT,
s'est entreposé AVEC UN énorme BRUIT, DANS UNE RUE DE TERRE DU côté BAS DU VILLAGE, ENTRE DEUX MAISONS.
LE FAIT a démarré AVEC UNE EXPLOSION FORTE DANS LA COUR DE MADAME TRIANTAFILLIAS (ROSIER) KALOGIANNI (BONJEAN), QUI a soulevé TOUT LE VILLAGE.
UN Témoin DU FAIT, UNE PETITE FILLE DE 11 ANS, EVI SOTIROPOULOU, (EVI RESSEMBLE à EVE, ET SOTIROPOULOU, SOTIRAS SIGNIFIE SAUVEUR),
PETITE FILLE DE Mme BONJEAN, QUI A EU très PEUR ET A COURU terrorisée PRèS DE SA grand-mère.
LA PETITE PAR après, a décrit QU'ELLE A VU UNE GIGANTESQUE Nuée BLANCHE QUI ST DESCENDUE
ET DANS LAQUELLE à L'intérieur, SE DISCERNAIT L'ALLURE D'UNE FORME HUMAINE ANORMALEMENT GRANDE, QUI dépassait EN HAUTEUR LA MAISON.
IL était GRAND COMME UNE PERSONNE, HAUT DE TROIS, QUATRE mètres,
ET IL AVAIT AUSSI DES MAINS, ALORS QU'IL SEMBLAIT AVOIR LES "JAMBES démolies".
L'ATTERRISSAGE était accompagné D'UN BRUIT ASSOURDISSANT- QUELQUE CHOSE COMME UNE EXPLOSION, CHOSE QU'ONT ENTENDU D'AUTRES PERSONNES DANS LE VILLAGE.
LA MAISON a tremblé.
MADAME BONJEAN EST SORTI EN VITESSE DEHORS DE SA CUISINE, Où ELLE SE TROUVAIT, ET ELLE A VU LA PETITE EVI COURIR VERS SON côté.
LA Nuée AVAIT DISPARUE, MAIS IL EXISTAIT DEUX PROFONDES TRACES DE PIEDS HUMAINS SURNATURELS.
LES DEUX EMPREINTES AVAIENT POUR MESURE 1, 10 mètre ET 60 cm DE LARGEUR,
DANS UNE PROFONDEUR DE 2,5 com DANS LE SOL.
L'après-midi DE LA MÊME journée, EST VENU LE père DE LA PETITE EVI, ET IL a prévenu LA GENDARMERIE.
Dès CE MOMENT-là, LA GENDARMERIE ET L'Armée, ont commencé POUR LA PREMIèRE FOIS à S'EN MÊLER ET à BOUGER.
Parallèlement, LA NOUVELLE s'esst répandue, ET LES HABITANTS DE LA PIERRE D'OR ET DE LA Régiion AVOISINANTE, ONT COURU POUR VOIR DE LEURS YEUX, LA GIGANTESQUE EMPREINTE.
L'EMPREINTE a été encerclée POUR ÊTRE à L'ABRI, PROVISOIREMENT AVEC DES BRIQUES ET DES PLANCHES,
ALORS QUE DES CHERCHEURS, AVEC DES CHIENS DE BERGERS ont commencé à FAIRE DES RECHERCHES, PAR GROUPES, DANS LA Région TOUTE entière.
DES RENSEIGNEMENTS DE SOURCES DIGNES, ont rapporté QUE DES ANCIENS HOMMES DE M.E.A. expérimentés, DES CHASSEURS MANIAQUES, DE SANGLIERS, DE GIBIERS, ET D'AUTRES ANIMAUX RARES, DEMANDAIENT AVEC INSISTANCE AUX Autorités, DES OUTILS DE L'Armée, AINSI QUE DES ARMES DE GUERRE.
LA DIRECTION DE LA GENDARMERIE DE LA VILLE DE KILKIS, a prévenu AVEC UN MESSAGE D'URGENCE LES Autorités DANS LA VILLE,
DE SORTE QU'IL a été décidé à L'unanimité, L'INTERVENTION immédiate DANS LA Région, SOUS LA TUTELLE DES SCIENTIFIQUES DE L'Université ARISTOTELIO DE THESSALONIQUE. Mr SAHSAMANOGLOU, A DIT EN étant tracassé :
LES DEUX EMPREINTES géantes, SE TROUVENT L'UNE près DE L'AUTRE. QUELQU'UN POURRAIT DIRE QU'à CET ENDROIT S'EST TENU UNE PERSONNE
AVEC DES DIMENSIONS GIGANTESQUES POUR UN SEUL INSTANT ET QU'IL A DISPARU.
PERSONNE NE PEUT CEPENDANT PARLER AVEC PLEINE ASSURANCE. "DES PROFESSEURS spécialisés DOIVENT VENIR,
LESQUELS SUR BASE DES Relevés QU'ILS VONT FAIRE, POURRONT DIRE AVEC ASSURANCE, QUE LES DIMENSIONS DES EMPREINTES,
CONCORDENT PLEINEMENT AVEC CELLES DES PIEDS HUMAINS. A L'OEIL NU, PERSONNE NE PEUT METTRE EN DOUTE,
QU'IL S'AGIT DE PIEDS HUMAINS, AVEC TALON, PLANTE ET CINQ DOIGTS, a signifié MONSIEUR SAHSAMANOGLOU.
DANS LA Régiion, IL a été attribué POUR LA RECHERCHE AUSSI, LE PROFESSEUR DE Paléontologie DE L'A.P.TH.
MONSIEUR GEORGES KOUFOS (KOUFOS SIGNIFIE SOURD EN GREC), LEQUEL A FAIT DES RECHERCHES APPROFONDIES ET SCIENTIFIQUES
SUR LES EMPREINTES GIGANTESQUES.
Après étude, MONSIEUR KOUFOS, A ABOUTI AUX Données SUIVANTES :
EN TOUT PREMIER, CETTE EMPREINTE-CI N'A RIEN à VOIR AVEC LA Paléontologie, PUISQUE DE TELS ANIMAUX n'ont JAMAIS vécu DANS LA Région.
EN CE QUI CONCERNE L'EXPLOSION QUI a été entendue, IL EST CONNU QUE DANS LA MONTAGNE d'à côté, GKAMILA (GKAMILA SIGNIFIE EN GREC CHAMELLE) .......
Très BIEN JUSQU'ICI.
VOYONS MAINTENANT UN PEU UN AVIS différent DU SCIENTIFIQUE Mr KOUFOS, D'UN Témoin VISUEL, QUI NOUS a donné DES RENSEIGNEMENTS.
LA Flèche JAUNE INDIQUE L'ENDROIT DE L'APPARITION ET DE LA DESCENTE DE L'OVNI UFO (DANS LA VIDEO 1 MIN 10 SEC : LA VIDEO a été supprimée),
LA MAISON FAIT 3 mètres de HAUT ET LA cheminée 1.5 Mètre, DONC 4,5 mètres, ET LES Témoins ONT DIT,
QUE "LA PERSONNE" DE L'APPARITION dépassait MÊME LA cheminée...
LA CONVERSATION QUE J'AI EU AVEC LE Témoin Mr STEPHANE SIMOGLOU, LEQUEL EST Président DU CERCLE DES CITOYENS DE LA PIERRE D'OR (CHRISOPETRA), ET BIEN ENTENDU IL était UN Témoin VISUEL DE CE QUI est arrivé.
NOTRE CONVERSATION :
- BONJOUR
- SALUT
- TU ES UN HABITANT DU VILLAGE ?
-OUI
-PERMANENT
-OUI...
- C'EST BIEN ICI, QUest tombé " CET OVNI-là" ?
- A... VOUS VOULEZ DES RENSEIGNEMENTS ?
VOUS VOULEZ SAVOIR CE QUI est arrivé ?
- OUI....
- ET BIEN, écoutez... A CETTE HEURE-là, J'étais CHEZ MOI. SOUDAINEMENT... TOUS LES ANIMAUX DU VILLAGE se démenait, COMME S'ILS étaient FOUS... ILS SEMBLAIENT INQUIETS..
ON SE DIT .... "QUE SE PASSE-T-IL ?... NOUS AVONS UN ENTERREMENT ?"
Après PEU, SE FAIT ENTENDRE UN VACARME....COMME SI DES Armées DE COMBAT VENAIENT DE LOIN...
OU DES BULDOZERS, UNE PREMIèRE CHOSE ....!
JE SORS DEHORS... ET LE BRUIT AUGMENTAIT...
JE REGARDE à DROITE- à GAUCHE ... RIEN...
JE REGARDE DANS LE CIEL ET JE VOIS UNE NUéE BLANCHE
- ELLE DEVAIT FAIRE ....200 mètres DE LONG - ET ELLE DESCENDAIT !
LE BRUIT QU'ELLE FAISAIT était COMME LES Armées LORS DES PARADES...
COMME SI DES BULDOZERS TRAVAILLAIENT...COMME FONT ....
Là Où a marché CETTE CHOSE-là,
IL a laissé TROIS EMPREINTES... (ENTRETEMPS, LA PLUPART DES RENSEIGNEMENTS PARLENT SEULEMENT DE UNE OU DEUX EMPREINTES)
UNE PERSONNE DU VILLAGE, EN a gardé UNE ... IL A MIS DU PLÂTRE à L'intérieur, POUR QU'IL L'AIE COMME échantillon.. NOUS L'AVONS DANS LE CERCLE.
DANS CETTE ENDROIT là, LES GARS... C'était UNE ROUTE DE TERRE DES CHAMPS.
CHAQUE JOUR DES TRACTEURS, DES MACHINES AGRICOLES ET D'AUTRES VOITURES PASSAIENT...
LE CHEMIN était très tassé... MÊME PAS AVEC DU LOURD, QUE TU L'aurais frappé, TU N'AURAIS PAS SU FAIRE UN PETIT LAC...
EH... CELA était DE 2 à 3 cm enfoncé...
- Après CELA SONT VENU DES SCIENTIFIQUES, L'Armée, LA GENDARMERIE.... ET DES MILLIERS DE PERSONNES...
- NOUS AVONS L'EMPREINTE... EN PHOTOGRAPHIE NOUS L'AVONS...
L'EMPREINTE L'a possédée CELUI QUI L'A PRISE...
CETTE IMAGE AVEC L'EMPREINTE (DANS LA VIDEO 2 MIN 53 SEC)
ELLE EST MISE DANS UN CADRE DANS LE CERCLE DES CITOYENS !
- ET DIS-MOI ...
LA PETITE FILLE L'A VU EN PREMIER ?
-OUI, MAIS IL Y AVAIT AUSSI UN PETIT Garçon là...DEUX, étaient LES PETIT-ENFANTS QUI JOUAIENT là...
ET LEUR grand-mère A COURRU après POUR VOIR POURQUOI LES ENFANTS CRIAIENT apeurés...
Après ILS LES ONT CONDUITS CHEZ DES Médecins, POUR vérifier S'ILS AVAIENT UN QUELCONQUE problème, après L'Evénement.. MAIS ILS ETAIENT OK.
ILS N'AVAIENT AUCUN problème ....
- MAINTENANT... LES GENDARMES, LES SCIENTIFIQUES SONT VENUS !
-AU début, NOUS avons invité LA GENDARMERIE ET ILS PENSAIENT QUE CELA était UNE FARCE...
ENSUITE, NOUS Y sommes retournés ET NOUS AVONS DIT : QU'ILS VIENNENT VOIR.
ILS SONT VENUS ET ILS sont restés stupéfaits ! Après CEUX-CI sont allés AU CENTRE ET ont invités PAR téléphone THESSALONIQUE ET ATHèNES...
LE LENDEMAIN, EST VENU L'Armée ET a fermé LA ROUTE ET A MIS DES RUBANS AUTOUR DES EMPREINTES DE PAS ....
- EN UNE SEMAINE, TOUT ETAIT SENS DESSUS DESSOUS...
JE REVIENS DE THESSALONIQUE ET QU'EST-CE QUE JE VOIS ...
PAS MOINS DE 500 PERSONNES...ET CONTINUELLEMENT EN VENAIENT D'AUTRES !
JE N'ARRIVAIS MÊME PLUS à RENTRER DANS MA MAISON !
LA NASA EST VENU EN PREMIER...PUIS L'ANGLETERRE...ET DES SCIENTIFIQUES DE LA Grèce...
à LA FIN, IL EN EST VENU DE RUSSIE...CE QUE TU VEUX IL Y AVAIT...
DES VISITEURS DE TOUTE LA Grèce ET DE L'étranger !
PENDANT CINQ à HUIT MOIS, ICI SE PASSAIT "LE VIENS VOIR"...
DES CARS... DES VOITURES... DES CANTINES PLEINES...
LAISSE ALLER !
- LES CANTINES ONT SORTI "DE L'OR à CHRISOPETRA / LA PIERRE D'OR" HEIN ? (RIRES)
-OUI...MAIS ENCORE PENDANT HUIT Années, ILS VENAIENT... PAS AUTANT QU'AU Début...MAIS 3-4 VISITEURS PAR SEMAINE.
BREF LES GARS...QUE PUIS-JE DIRE ?
ET après, ILS NOUS DISENT "ILS N'EXISTENT PAS" ET D'AUTRES...ALORS QU'ICI, IL EST VENU !
A PEU près AINSI s'est terminée LA CONVERSATION SUR L'Evénement.
ICI EST L'ENDROIT. (3MIN 56 SEC VIDEO)
ENTRE LA MAISON à GAUCHE ET LE POULAILLER à DROITE
DANS LA VIDEO à 4 MIN 4 SEC, DANS LE FOND LE VILLAGE LAODIKINO (LAO DIKI SIGNIFIE : JUGEMENT DU PEUPLE) D'où sont arrivés CERTAINS DES PREMIERS HABITANTS après LE BRUIT.
LE SCIENTIFIQUE Mr SAHSAMANOGLOU A DIT :
JE NE PEUX PAS EXPLIQUER LES EMPREINTES DE PAS !
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URSS LE 27 SEPTEMBRE 1989 : LA DESCENTE DES TROIS DES QUATRE OUVRIERS QUE YAHWEH ILOHIM, LE Créateur, L'UNIQUE, LE TOUT-PUISSANT, a envoyé SUR LA TERRE SUR LA Nuée : ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3, chap 4, chap 6, EVANGILE SELON MATTHIEU chap 24, APOC DE JEAN chap 1:5-7, chap 10:8, chap 11, chap 11:15, chap 12:1-2, ISSAYAH chap 2 et chap 3:8, EZECHIEL chap 28:11, PSAUME 89, DANIEL chap 9, SOURATE AL-KAHF / LA CAVERNE) !
EN PLUS, LE 29 JUILLET 1989, L'APPARITION DE LA Nuée BLANCHE à CHRISSOPETRA D'UN Géant DEVANT LA PETITE EVI SOTIROPOULOU / SOTIRIA SIGNIFIANT LE SALUT, PETITE FILLE DE Mme ROSIER BONJEAN, DE GALLIKOS, KILKIS EN 1989 AUSSI, AVEC UN DES QUATRE OUVRIERS QUE YAHWEH ENVOYA SUR LA TERRE SUR LA Nuée AUSSI ! (ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3, chap 4, chap 6; ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 ET chap 5:1, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; DANIEL chap 7, chap 9, chap 10, chap 12, chap 2:30, APOC DE JEAN chap 10, chap 12:1-2, chap 18, chap 14:14, chap 19:11, CHAP 14:6; CHAP 20:15; chap 3, chap 21 et chap 22; PSAUME 87; JOËL chap 2, chap 3, chap 4:12; PSAUMES 50, 1, 2, 110, 109, 45, 23, 89; SOURATE AL-KAHF / SOURATE LA CAVERNE; SOURATES : LA CHAMELLE QU'ALLAH LEUR ENVOYA COMME SIGNE, MAIS ILS L'égorgèrent ! LE LIVRE D'HENOCH : LE UN DES QUATRE !)
EN PLUS à PARTIR DU 29 NOVEMBRE 1989, APPARITION DE LA GLOIRE DE YAHWEH AINSI QUE LA Nuée AU-DESSUS DE LA TÊTE DE L'ANGE FORT AVEC L'ARC-EN-CIEL AU-DESSUS DE SA TÊTE, QUI TIENT LE LIVRE OUVERT, ET QUI JURE AU NOM DU Créateur QU'IL N'Y AURA PLUS DE Délai ! LA FILLE SION, LA NOUVELLE JERUSALEM, LA Mariée, parée POUR SON EPOUX, QUI DESCEND DU CIEL BRILLANTE DE LA GLOIRE DE ILOHIM, COMME CELA est écrit DANS DEUTERONOME chap 18:15; EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 9, chap 47; ISSAYAH chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12, chap 2, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, chap 7, chap 8, chap 9, chap 2, chap 3, chap 4, chap 5, chap 11, chap 13, MICHEYAH chap 4, PSAUME 50; MALACHIYAH chap 3; ET DANS L'APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 19:11, chap 21 et chap 22 ! LE LIVRE D'HENOCH ! 2ème LIVRE DES Macchabées chap 2)
ovni - Les OVNIS vus de près: la presse, atterrissage à Voronej, URSS, 1989
LES OVNIS DANS LA PRESSE QUOTIDIENNE : LE prétendu ATTERRISSAGE DE VORONEJ, URSS, 1989
L'ARTICLE CI-DESSOUS EST PARU DANS LE QUOTIDIEN "LE COURRIER DE L'OUEST, FRANCE, LE 10 OCTOBRE 1989.

ovni - Les OVNIS vus de près: la presse, atterrissage à Voronej, URSS, 1989
https://ufology.patrickgross.org/press/courrierdelouest10oct1989f.htm
C.P. LE 16/10/2025 : JE RETRANSCRIS CET ARTICLE DE PRESSE PARU DANS LE COURRIER DE L'OUEST, FRANCE, LE 10 OCTOBRE 1989 :
UN OVNI AURAIT ATTERRI EN URSS
MOSCOU. - DES CHERCHEURS Soviétiques ont affirmé QU'UN VAISSEAU SPATIAL étrange non identifié, manoeuvré PAR DES INDIVIDUS Géants AVEC DES TÊTES MINUSCULES, avait récemment atterri DANS UN PARC DE LA VILLE DE VORONEJ, - a annoncé LUNDI L'AGENCE TASS.
LES SCIENTIFIQUES ont identifié L'ENDROIT DE L'ATTERRISSAGE ET découvert DES TRACES DES étranges Créatures, QUI ont effectué une brève PROMENADE DANS LE PARC.
LA DATE DE L'ATTERRISSAGE n'est pas précisée.
- SELON TASS, UNE BOULE OU UN GRAND DISQUE LUMINEUX a été aperçu AU-DESSUS DU PARC PAR DES HABITANTS DE VORONEJ, UNE VILLE située à 480 km AU SUD-EST DE MOSCOU.
L'OBJET VOLANT non identifé (OVNI) A ATTERRI ET TROIS Créatures, QUI MESURAIENT ENTRE TROIS ET QUATRE mètres AVEC DES TÊTES MINUSCULES, SEMBLABLES à DES ÊTRES HUMAINS EN SONT SORTIES, accompagnées D'UN PETIT ROBOT !
C.P. : C'EST LE 27 SEPTEMBRE 1989, QU'ILS ONT ATTERRI !
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APOCALYPSE DE JEAN
20:15 TOUS CEUX QU'ON NE TROUVA PAS INSCRITS DANS LE LIVRE DE VIE furent jetés DANS L'étang DE FEU.
21:15 ET JE NE VIS PAS DE TEMPLE EN ELLE PARCE QUE, SON TEMPLE EST LE SEIGNEUR, ILOHIM, LE PANTOKRATOR / LE ROI DE TOUTES LES NATIONS, ET L'AGNEAU. 23 ET LA VILLE N'A PAS BESOIN DU SOLEIL OU DE LA LUNE, POUR éclairer EN ELLE, PARCE QUE, LA GLOIRE DE ILOHIM L'A éclairée, ET SA LAMPE EST L'AGNEAU. (APOC DE JEAN chap 12:1-2; ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12)
24 ET LES NATIONS DE CELLES QUI sont sauvées, MARCHERONT DANS SA Lumière, ET LES ROIS DE LA TERRE APPORTERONT LEUR GLOIRE ET LEUR HONNEUR EN ELLE. 25 ET SES PORTES NE FERMERONT PAS LE JOUR, PARCE QUE, IL N'Y A PAS DE NUIT là. 26 ET EN ELLE ILS APPORTERONT LA GLOIRE ET L'HONNEUR DES NATIONS.
27 ET EN ELLE IL NE RENTRERA RIEN QUI SOUILLE ET QUI PROVOQUE ABOMINATION, ET MENSONGE, MAIS SEULEMENT LES INSCRITS DANS LE LIVRE DE VIE DE L'AGNEAU.
ISSAYAH chap 60
59:13 ETRE infidèles ET RENIER YAHWEH, TOURNER LE DOS à NOTRE ILOHIM, PARLER DE VIOLENCE ET DE Révolte, CONCEVOIR ET TIRER DE NOTRE COEUR DES Faussetés ! ...
14 ET LE DROIT a été renversée, ET LA JUSTICE RESTE LOIN DE NOUS; CAR LA Vérité CHANCELLE SUR LA PLACE PUBLIQUE, ET LA DROITURE NE PEUT Y pénétrer : 15 LA Vérité A DISPARU, ET QUI évite LE MAL SE FAIT PILLER.
YAHWEH L'A VU, ET IL déplaît à SES YEUX QU'IL N'Y AIT PLUS DE DROITURE. 16 IL A VU QU'IL N'Y AVAIT PERSONNE, ET IL s'est étonné QUE NUL N'INTERVÎNT.
ALORS SON BRAS LUI a donné LA VICTOIRE, ET SA JUSTICE a été SON SOUTIEN. 17 IL A PRIS LA JUSTICE COMME UNE CUIRASSE, ET SUR SA TÊTE LE CASQUE DE LA VICTOIRE, IL A PRIS POUR COTTE D'ARMES LA VENGEANCE, ET IL s'est enveloppé DU Zèle COMME MANTEAU.
18 TELLES LES OEUVRES, TELLE LA Rétribution : Colère POUR SES ADVERSAIRES, Représailles POUR SES ENNEMIS; ET IL USERA DE Représailles CONTRE LES ÎLES.
19 ET ILS CRAINDRONT AU COUCHANT LE NOM DE YAHWEH, ET SA GLOIRE AU SOLEIL LEVANT; CAR IL VIENDRA COMME UN FLEUVE resserré, QUE POUSSE LE SOUFFLE DE YAHWEH.
20 MAIS POUR SION IL VIENDRA EN Rédempteur, ET POUR CEUX DE JACOB CONVERTIS DE L'Infidélité, - ORACLE DE YAHWEH.
21 ET MOI, VOICI MON ALLIANCE AVEC EUX, DIT YAHWEH : MON ESPRIT QUI EST SUR TOI ET MES PAROLES QUE J'AI MISES DANS TA BOUCHE NE QUITTERONT PAS TA BOUCHE NI LA BOUCHE DE TES DESCENDANTS, NI LA BOUCHE DES DESCENDANTS DE TES DESCENDANTS, DIT YAHWEH, dès MAINTENANT ET à JAMAIS.
60:1 DEBOUT ! RESPLENDIS ! CA R TA Lumière PARAÎT, ET LA GLOIRE DE YAHWEH s'est levée SUR TOI.
2 EN EFFET, VOIS LES Ténèbres COUVRANT LA TERRE, ET UNE SOMBRE Obscurité LES PEUPLES, MAIS SUR TOI YAHWEH se lève, ET SA GLOIRE SE MANIFESTE SUR TOI.
3 LES NATIONS MARCHENT à TA Lumière, ET LES ROIS à L'éclat DE TA SPLENDEUR.
4 Lève TES REGARDS AUTOUR DE TOI, ET VOIX : TOUS SE RASSEMBLENT, ILS VIENNENT à TOI; TERS FILS VIENNENT DE LOIN, ET TES FILLES sont portées à TES côtés. 5 A CETTE VUE TU RESPLENDIRAS; TON COEUR TRESSAILLIRA ET SE DILATERA, CAR LES RICHESSES DE LA MER CONFLUERONT VERS TOI, LES Trésors DE LA TERRE VIENDRONT à TOI..
6 DES FLOTS DE CHAMEAUX TE COUVRIRONT, LES DROMADAIRES DE MIDYAN ET D'EPHA; TOUS CEUX DE SABA VIENDRONT, chargés D'OR ET D'ENCENS,
ET PUBLIANT LES LOUANGES DE YAHWEH.
7 TOUS LES TROUPEAUX DE QEDAR SE RASSEMBLERONT CHEZ TOI; LES béliers DE NABAYOT SERONT à TON SERVICE; ILS MONTERONT, PLEINEMENT agréés, SUR MON AUTEL, ET JE GLORIFIERAI LA DEMEURE DE MA GLOIRE.
8 QUI SONT CEUX-là QUI VOLENT COMME UNE Nuée, COMME DES COLOMBES VERS LEUR COLOMBIER ?
9 OUI, LES ÎLES METTENT EN MOI LEUR ATTENTE, ET LES VAISSEAUX DE TARCHICH, LES PREMIERS, ramèneront TES FILS DE LOIN, OFFRANT LEUR ARGENT ET LEUR OR, AU NOM DE YAHWEH, TON ILOHIM, ET AU SAINT D'ISRAÏL, PARCE QU'IL T'a glorifiée.
10 LES FILS DE L'étranger REBÂTIRONT TES MURAILLES, ET LEURS ROIS SERONT à TON SERVICE; CAR JE T'ai frappée DANS MA Colère, MAIS, DANS MA BIENVEILLANCE, J'ai pitié DE TOI. (ISSAYAH chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:12 ; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 2:8, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 11, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 12:5, chap 14:14, chap 19:11, chap 18, chap 21 et chap 22)
11 TES PORTES SERONT TOUJOURS OUVERTES, JOUR ET NUIT, JAMAIS ferméees, AFIN DE T'APPORTER LES Trésors DES NATIONS, LEURS ROIS SE JOIGNANT AU Cortège.
12 CAR LA NATION ET LE ROYAUME QUI NE TE SERVIRONT PAS DISPARAÎTRONT; CES NATIONS-là seront entièrement détruites.
13 LA GLOIRE DU LIBAN VIENDRA CHEZ TOI, LE cyprès, le platane et le mélèze PAREILLEMENT, POUR ORNER LE LIEU DE MON TEMPLE, ET JE GLORIFIERAI LE LIEU où REPOSENT MES PIEDS.
14 LES FILS DE TES persécuteurs VIENDRONT à TOI LE FRONT courbé, ET TOUS CEUX QUI TE HONNISSAIENT SE PROSTERNERONT à TES PIEDS; ET L'ON T'APPELLERA LA VILLE DE YAHWEH, LA SION DU SAINT D'ISRAÏL. 15 DE Délaissée QUE TU étais, HAÏE ET SOLITAIRE, JE FERAI DE TOI UNE Majesté éternelle, UNE JOIE POUR TOUTES LES Générations.
16 TU SUCERAS LE LAIT DES NATIONS, TU SUCERAS LA MAMELLE DES ROIS, ET TU SAURAS QUE MOI, YAHWEH, JE SUIS TON SAUVEUR, ET QUE TON Rédempteur EST LE VAILLANT DE JACOB.
17 AU LIEU DE L'AIRAIN, J'APPORTERAI DE L'OR, ET AU LIEU DU FER, J'APPORTERAI DE L'ARGENT; ET AU LIEU DU BOIS DE L'AIRAIN, ET AU LIEU DES PIERRES, DU FER; ET JE TE DONNERAI POUR DIRIGEANTS LA PAIX, POUR MAGISTRATS LA JUSTICE.
18 ON NE PARLERA PLUS DE VIOLENCE DANS TA TERRE, NI DE RAVAGE NI DE DESTRUCTION DANS TES Frontières;
TU APPELLERAS TES MURAILLES : SALUT, ET TES PORTES : LOUANGE.
19 LE SOLEIL NE SERA PLUS TA lumière PENDANT LE JOUR, ET LA LUEUR DE LA LUNE ne T'éclairera plus; YAHWEH SERA POUR TOI UNE Lumière éternelle, ET TON ILOHIM SERA TA SPLENDEUR.
20 TON SOLEIL NE SE COUCHERA PLUS, ET TA LUNE NE SE RETIRERA PLUS; CAR YAHWEH SERA POUR TOI UNE Lumière éternelle, ET LES JOURS DE TON DEUIL SONT ACCOMPLIS. (ISSAYAH chap 54, chap 55; MALACHIYAH chap 3) (APOC DE JEAN CHAP 12:1-2, CHAP 21)
21 TON PEUPLE NE COMPTERA QUE DES JUSTES, ET ILS posséderont LA TERRE POUR TOUJOURS, LE TRONC QUE J'ai planté, L'OUVRAGE DE MES MAINS, RESPLENDISSANTS.
22 LE PLUS PETIT DEVIENDRA UN MILLIER, ET LE MOINDRE UNE NATION PUISSANTE. MOI, YAHWEH, EN SON TEMPS, JE HÂTERAI CELA.
61:1 L'ESPRIT DU SEIGNEUR YAHWEH EST SUR MOI, PARCE QUE YAHWEH M'A OINT. IL M'a envoyé PORTER LA BONNE NOUVELLE AUX MALHEUREUX, PANSER CEUX QUI ONT LE COEUR brisé; ANNONCER AUX CAPTIFS (DES Ténèbres) LA Liberté ET AUX PRISONNIERS (DES Ténèbres) L'élargissement;
2 PUBLIER UNE Année DE GRÂCE DE YAHWEH, ET UN JOUR DE VENGEANCE POUR NOTRE ILOHIM;
CONSOLER TOUS CEUX QUI ONT PRIS LE DEUIL, 3 APPORTER à CEUX QUI ONT PRIS LE DEUIL DE SION ET LEUR METTRE UNE PARURE AU LIEU DE CENDRE, L'HUILE DE JOIE AU LIEU D'UN VÊTEMENT DE DEUIL, DES LOUANGES AU LIEU d'un esprit abattu : ON LES APPELLERA Térébinthes DE JUSTICE, PLANTATIONS DE YAHWEH RESPLENDISSANTES...........................................................................
10 JE ME réjouis EN YAHWEH, ET MON ÂME JUBILE EN MON ILOHIM, PARCE QU'IL M'A REVÊTU DES VÊTEMENTS DU SALUT ET M'A COUVERT DU MANTEAU DE LA JUSTICE, COMME LE Marié CEINT UN TURBAN, COMME LA Mariée SE PARE DE SES JOYAUX.
11 CAR, COMME LA TERRE POUSSE SES GERMES ET COMME LE JARDIN FAIT GERMER SES SEMENCES, AINSI LE SEIGNEUR YAHWEH FERA GERMER LA JUSTICE ET LA LOUANGE DEVANT TOUTES LES NATIONS.
62:1 POUR LA CAUSE DE SION, JE NE ME TAIRAI PAS, ET POUR JERUSALEM JE N'AURAI PAS DE TRÊVE, JUSQU'à CE QUE SA JUSTICE SURGISSE éclatante, ET QUE SON SALUT BRÛLE COMME UNE TORCHE. (ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4, chap 5:1, chap 65, chap 66, MICHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 12:1-2, chap 21 et chap 22)
2 LES NATIONS VERRONT TA JUSTICE, ET TOUS LES ROIS TA GLOIRE, ET L'ON T'APPELLERA D'UN NOUVEAU NOM, QUE LA BOUCHE DE YAHWEH NOMMERA.
3 TU SERAS UNE COURONNE RESPLENDISSANTE DANS LA MAIN DE YAHWEH, UN TURBAN ROYAL DANS LA MAIN DE NOTRE ILOHIM.
4 ON NE TE NOMMERA PLUS Délaissée, ET ON NE NOMMERA PLUS TA TERRE Abandonnée. MAIS ON T'APPELLERA MON-PLAISIR-EN ELLE, ET TA TERRE Epousée. CAR YAHWEH METTRA SON PLAISIR EN TOI, ET TA TERRE AURA UN EPOUX. 5 CAR COMME UN JEUNE HOMME épouse UNE VIERGE, TON Créateur T'épousera; ET COMME LA Mariée FAIT LA JOIE DU Marié, AINSI TU SERAS LA JOIE DE TON ILOHIM. (ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:12, APOC DE JEAN chap 19, chap 21)
APOCALYPSE DE JEAN
9:20 LES RESTES DES PERSONNES, QUI n'avaient pas été tués PAR CES PLAIES-CI, NE SE REPENTIRENT PAS DES OEUVRES DE LEURS MAINS, DE SORTE QU'ILS CESSENT DE SE PROSTERNER DEVANT LES Démons ET LES IDOLES d'or, d'argent, d'airain, de PIERRES ET DE BOIS, LESQUELS NE SAVENT PAS VOIR, NI ENTENDRE NI MARCHER. 21 NI ILS NE SE REPENTIRENT DE LEURS CRIMES OU DE LEURS POISONS NI DE LEURS PROSTITUTIONS NI DE LEURS VOLS.
10:1 ENSUITE J'AI VU UN AUTRE ANGE PUISSANT QUI DESCENDAIT DU CIEL, RECOUVERT D'UNE Nuée SUR SA TÊTE, ET L'ARC-EN-CIEL SUR SA TÊTE, ET SON VISAGE était COMME LE SOLEIL,
2 ET SES JAMBES COMME DES COLONNES DE FEU, ET DANS SA MAIN IL TENAIT UN PETIT LIVRE OUVERT.
IL MIT SON PIED DROIT SUR LA MER ET LE GAUCHE SUR LA TERRE FERME. 3 ET IL CRIA AVEC UNE VOIX FORTE, COMME UN LION QUI RUGIT.
ET QUAND IL CRIA, ALORS ont parlé LES SEPT TONNERRES LEURS PROPRES VOIX.
4 ET QUAND ont parlé LES SEPT TONNERRES, je me préparai à écrire, MAIS j'ai entendu UNE VOIX DU CIEL QUI ME DISAIT : "SCELLE TOUT CE QUE LES SEPT TONNERRES ONT DIT ET NE LES écrit PAS". (C.P. : ICI C'EST JEAN QUI PARLE, LE LIVRE est scellé JUSQU'AUX TEMPS DE LA FIN, ET C'EST L'ANGE PUISSANT, L'HOMME VÊTU DE LIN, QUI délie LES SEPT SCEAUX DU LIVRE scellé QUE ILOHIM LUI DONNE ! CONFER EXODE chap 19 et chap 20, CHAP 19:19; DEUTERONOME chap 18:15; DANIEL chap 12, chap 10, chap 7, chap 9, EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 9, chap 10, chap 12, MALACHIYAH chap 3, APOC DE JEAN chap 4 et chap 5; SOURATES : LE LIVRE QU'ALLAH T'a révélé !; ZACHARIYAH chap 5)
5 ALORS L'ANGE, QUE J'AI VU QUI SE TENAIT SUR LA MER ET SUR LA TERRE FERME, LEVA SA MAIN DROITE VERS LE CIEL. 6 ET IL JURA PAR CELUI QUI VIT DANS LES Siècles DES Siècles ET QUI a créé LE CIEL ET TOUT CE QUI EXISTE EN LUI, LA TERRE ET TOUT CE QUI EXISTE EN ELLE, ET LA MER ET TOUT CE QUI EXISTE EN ELLE, QU'IL N'Y AURAIT PLUS désormais DE TEMPS, 7 MAIS DANS LES JOURS DE LA VOIX DU Septième ANGE, QUAND IL SONNERA LA TROMPETTE, ALORS S'ACCOMPLIRA LE PLAN SECRET DE ILOHIM, SELON QU'IL L'a révélé à SES SERVITEURS LES Prophètes. (DANIEL chap 12, chap 10, chap 9, chap 7, chap 2:30; EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 9, JOËL chap 2 et chap 3, chap 4:12, ISSAYAH chap 52, chap 58; SOURATES : ET ON SONNERA DANS LA TROMPE !; APOC DE JEAN CHAP 1:10, chap 11:15)
8 ENSUITE, LA VOIX QUE J'AI ENTENDU QUI VENAIT DU CIEL, PARLA DE NOUVEAU AVEC MOI ET DIT : VA RECEVOIR LE LIVRE OUVERT DANS LA MAIN DE L'ANGE QUI SE TIENT SUR LA MER ET SUR LA TERRE. 9 ET J'ALLAI VERS L'ANGE, LUI DISANT QU'IL ME DONNE LE LIVRE, ET IL ME DIT : Reçois-le ET MANGE-LE, 10 ET IL TE SERA AMER POUR LE VENTRE, MAIS DANS TA BOUCHE IL SERA DOUX COMME DU MIEL".
10 JE PRIS LE PETIT LIVRE DE LA MAIN DE L'ANGE ET JE LE MANGEAI : DANS MA BOUCHE IL était DOUX COMME DU MIEL, MAIS QUAND JE L'ai mangé, MON VENTRE DEVINT AMER.
11 ALORS ILS ME DIRENT : "IL FAUT DE NOUVEAU QUE TU prophétises à BEAUCOUP DE PEUPLES ET NATIONS ET LANGUES ET ROIS". (ZACHARIYAH chap 2, chap 3, chap 4, chap 5, chap 6; ISSAYAH chap 2, CHAP 3:6)
11:1 ENSUITE IL ME fut donné UN CALAME SEMBLABLE à UN BÂTON ET ILS ME DIRENT : "Lève-toi ET MESURE LE TEMPLE DE ILOHIM ET L'AUTEL ET CEUX QUI SE PROSTERNENT là, MAIS LA COURS Extérieur DU TEMPLE QUE TU LA JETTES DEHORS ET NE LA COMPTE PAS, CAR ELLE a été donné AUX PAÏENS, ET ILS piétineront LA VILLE SAINTE PENDANT 42 MOIS.
3 ET JE DONNERAI ORDRE à MES DEUX Témoins QU'ILS prophétisent PENDANT 1.260 JOURS, VÊTUS DE SACS". 4 EUX SONT LES DEUX OLIVIERS ET LES DEUX LAMPES, QUI SE TROUVENT DEVANT LE SEIGNEUR DE LA TERRE,(ZACHARIYAH chap 3, chap 4, chap 6; APOC DE JEAN chap 1:10, ISSAYAH chap 2, chap 3:6, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; MALACHIYAH chap 2 ET chap 3; EZECHIEL chap 28:11, PSAUME 89, DANIEL chap 9, SOURATE AL-KAHF / LA CAVERNE)
5 ET SI QUELQU'UN VEUT LEUR NUIRE, DU FEU SORT DE LEURS BOUCHES ET dévore LEURS ENNEMIS, AINSI IL FAUT QU'IL soit tué CELUI QUI VOUDRA LEUR NUIRE.
6 EUX ONT LE POUVOIR QU'ILS FERMENT LE CIEL POUR QU'IL NE TOMBE PAS DE PLUIE DANS LES JOURS QU'ILS prophétisent.
ILS ONT également POUVOIR DE CHANGER LES EAUX EN SANG ET QU'ILS FRAPPENT LA TERRE AVEC N'IMPORTE QUELLE PLAIE, QUAND ILS LE VOUDRONT.
7 MAIS QUAND ILS FINIRONT LEURS Témoignages, LA BÊTE QUI SORT DE L'ABÎME FERA LA GUERRE CONTRE EUX ET ELLE LES VAINCRA ET ELLE LES FERA MOURIR. (APOC DE JEAN chap 12:3-4; chap 13, chap 17; ISSAYAH chap 3:6; DANIEL chap 7) (APOC DE JEAN chap 1:10, chap 2:8, ISSAYAH chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; PSAUME 50)
8 LEURS CADAVRES seront laissés SUR LA PLACE DE LA GRANDE Cité, LAQUELLE allégoriquement EST appelée SODOMES ET EGYPTE, là MÊME où LEUR SEIGNEUR a été crucifié. (JOËL chap 4:12; APOC DE JEAN chap 13, chap 17; ISSAYAH CHAP 11:8, chap 14:29, chap 47, chap 52:11, chap 57, chap 59, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 18, chap 14:6, chap 16, chap 20:15)
9 ET DES PERSONNES DES PEUPLES, DES RACES, DES LANGUES ET DES NATIONS VERRONT LEURS CADAVRES PENDANT TROIS JOURS ET DEMI ET ILS NE PERMETTRONT PAS QU'ILS soient enterrés DANS UN TOMBEAU.
10 LES HABITANTS DE LA TERRE SERONT DANS LA JOIE POUR LEURS MORTS, ET ILS se réjouiront ET ILS S'ENVERRONT L'UN à L'AUTRE DES Présents, PARCE QUE CES DEUX Prophètes-là ont torturé LES HABITANTS DE LA TERRE.
11 ET après LES TROIS JOURS ET DEMI, UN SOUFFLE DE VIE DE ILOHIM ENTRA EN EUX ET ILS SE TINRENT SUR LEURS JAMBES, ET UNE GRANDE PEUR S'EMPARA DE CEUX QUI LES REGARDAIENT.
12 ALORS J'ENTENDIS UNE VOIX FORTE DU CIEL QUI LEUR DISAIT : "MONTEZ ICI". ET ILS montèrent DANS LE CIEL, DANS UNE Nuée, ET LEURS ENNEMIS LES ONT VUS.
13 ET EN CETTE HEURE-là, IL SE FIT UN GRAND TREMBLEMENT DE TERRE ET LE dixième DE LA Cité TOMBA, ET SEPT MILLE furent tués PAR LE TREMBLEMENT DE TERRE, LES AUTRES PRIRENT PEUR ET glorifièrent LE ILOHIM DU CIEL.
14 LE Deuxième MALHEUR est passé, LE Troisième MALHEUR ARRIVE VITE.
15 ALORS LE Septième ANGE SONNA DE LA TROMPETTE ET DES VOIX FORTES FURENT ENTENDUES, LESQUELLES DISAIENT :
"LA Royauté DU MONDE EST DEVENUE LA Royauté DE NOTRE SEIGNEUR ET DE SON OINT, ET IL régnera DANS LES Siècles DES Siècles". (DANIEL chap 7, ZACHARIYAH chap 14; APOC DE JEAN chap 14, CHAP 15, chap 19, CHAP 19:6, chap 21 et chap 22)
ET LES 24 PRESBYTERIS, QUI étaient DEVANT LE TRÔNE DE ILOHIM, ASSIS SUR LEURS TRÔNES, tombèrent à terre avec leurs visages ET ILS se prosternèrent DEVANT ILOHIM ET ILS DISAIENT : 17 "NOUS TE REMERCIONS, SEIGNEUR ILOHIM PANTOKRATOR / ROI DE TOUTES LES NATIONS, TOI QUI EXISTE ET QUI EXISTAIS ET CELUI QUI VIENT, CAR TU AS PRIS TA GRANDE FORCE ET TU règnes.
18 LES NATIONS SE SONT MISES EN colère, MAIS TA Colère EST VENUE ET LE TEMPS QUE soient jugés LES MORTS
ET QUE TU rétribues TES SERVITEURS LES Prophètes, ET LES SAINTS ET CEUX QUI CRAIGNENT TON NOM, LES PETITS ET LES GRANDS,
ET QUE TU détruises CEUX QUI détruisent LA TERRE." (LIVRE D'HENOCH)
19 ALORS S'OUVRIT LE TEMPLE DE ILOHIM, QUI EST DANS LE CIEL, ET EST APPARUE L'ARCHE DE L'ALLIANCE DU SEIGNEUR DANS SON TEMPLE, ET ILS SE FIRENT DES éclairs, DES VOIX, DES TONNERRES, TREMBLEMENT DE TERRE ET UNE GRANDE GRÊLE.
12:1 ET UN GRAND SIGNE EST APPARU DANS LE CIEL : UNE FEMME REVÊTUE DU SOLEIL, LA LUNE étant SOUS SES PIEDS ET SUR SA TÊTE UNE COURONNE DE DOUZE étoiles. 2 ELLE était ENCEINTE ET ELLE CRIAIT DANS LES DOULEURS ET SON ANGOISSE QU'ELLE ENFANTE. (ISSAYAH chap 60, chap 66, MICHEYAH chap 4; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 10, chap 21; PSAUME 87)
3 ALORS EST APPARU UN AUTRE SIGNE DANS LE CIEL : VOICI, UN GRAND DRAKON ROUGE AVEC SEPT TÊTES ET DIX CORNES, SUR SES TÊTES étaient SEPT diadèmes. (ISSAYAH CHAP 11:8, chap 14:29, APOC DE JEAN chap 13, chap 17, chap 18, chap 14:6, chap 16)
4 ET SA QUEUE ENTRAÎNA UN TIERS DES étoiles DU CIEL ET LES JETA SUR LA TERRE.
ENSUITE LE DRAKON SE TINT DEVANT LA FEMME, QUI était PRÊTE D'ENFANTER, POUR QU'IL dévore SON ENFANT, dès QU'ELLE L'ENFANTERAIT. (LIVRE DE LA SAGESSE chap 10, OSHEYAH chap 13:12, ISSAYAH chap 3:6, chap 28)
5 ET ELLE ENFANTA UN FILS MÂLE, CELUI QUI DEVRA PAÎTRE TOUTES LES NATIONS AVEC UN BÂTON DE FER, (ISSAYAH chap 66, chap 7, chap 8, chap 9, chap 11, PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 23, 91, 89; ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 4 et chap 6; chap 12:8, chap 13, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 54, chap 55:3, chap 55:12, EZECHIEL chap 34:23, chap 37:24, JEREMIYAH chap 23:5, chap 33:15, MICHEYAH chap 4; MALACHIYAH chap 2 et chap 3; APOC DE JEAN chap 7 et chap 14:14 et chap 19:11; DEUTERONOME chap 18:15)
ET SON ENFANT FUT PRIS VERS ILOHIM ET VERS SON TRÔNE. (DANIEL chap 7; JEREMIYAH chap 3:17; APOC DE JEAN chap 7, chap 21 et chap 22)
ET LA FEMME EST PARTIE DANS LE Désert, où ELLE A UN ENDROIT préparé POUR ELLE PAR ILOHIM, POUR QU'ILS LA NOURRISSENT là 1.260 JOURS. (OSHEYAH chap 2:16)
7 ENSUITE, IL S'EST FAIT LA GUERRE DANS LE CIEL : MICHAËL ET SES ANGES COMBATTAIENT CONTRE LE DRAKON. 8 LE DRAKON ET SES ANGES ONT COMBATTU, MAIS ILS NE VAINQUIRENT PAS, ET IL ne fut plus trouvé désormais POUR EUX D'ENDROIT DANS LE CIEL.
9 ET IL fut jeté EN BAS LE GRAND DRAKON, LE SERPENT ANTIQUE, QUI SE NOMME DIABLE ET SATAN, L'égareur DE TOUT L'UNIVERS, IL fut jeté EN BAS SUR LA TERRE, ET AVEC LUI ont été jetés SES ANGES AUSSI.
10 ALORS J'ENTENDIS UNE GRANDE VOIX DANS LE CIEL QUI DISAIT :
"MAINTENANT EST VENU LE SALUT, LA FORCE, LE Règne DE NOTRE ILOHIM ET LA Souveraineté DE SON OINT, CAR IL a été jeté EN BAS L'ACCUSATEUR DE NOS frères, QUI LES ACCUSAIT DEVANT NOTRE ILOHIM JOURS ET NUITS.
11 ET EUX L'ONT VAINCU GRÂCE AU SANG DE L'AGNEAU ET GRÂCE à LA PAROLE DE LEURS Témoignages, ET ILS étaient indifférent POUR LEUR VIE JUSQU'à LA MORT. 12 POUR CELA réjouissez-vous CIEUX ET TOUS CEUX QUI HABITENT EN EUX.
MALHEUR à LA TERRE ET à LA MER, CAR LE DIABLE EST DESCENDU CHEZ VOUS AVEC UNE GRANDE Colère, PARCE QU'IL SAIT QU'IL A PEU DE TEMPS.
13 QUAND LE DRAKON fut jeté SUR LA TERRE, IL POURSUIVIT LA FEMME QUI avait enfanté L'ENFANT MÂLE. 14 MAIS ILS furent donnés à LA FEMME DEUX AILES DU GRAND AIGLE, POUR QU'ELLE S'ENVOLE AU Désert EN SON ENDROIT, où ELLE EST NOURRIE là UN TEMPS, DES TEMPS ET UN DEMI-TEMPS , LOIN DU SERPENT.
15 ALORS LE SERPENT déversa DE SA BOUCHE DE L'EAU COMME UN FLEUVE, derrière LA FEMME, POUR QU'IL L'ENTRAÎNE.
16 MAIS LA TERRE AIDA LA FEMME ET LA TERRE OUVRIT SA BOUCHE ET AVALA LE FLEUVE QUE LE DRAKON déversa DE SA BOUCHE.
17 ET LE DRAKON SE MIT EN Colère CONTRE LA FEMME, ET IL PARTIT POUR QU'IL COMBATTE CONTRE LES AUTRES DE SON SPERME à ELLE, CEUX QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE ILOHIM ET QUI DONNENT Témoignages POUR JESUS.
17:18 ET LA FEMME QUE TU AS VUE EST LA GRANDE Cité, LAQUELLE règne SUR LES ROIS DE LA TERRE".
18:1 Après TOUT CELA, J'AI VU UN AUTRE ANGE QUI DESCENDAIT DU CIEL, AVEC UN GRAND POUVOIR ET LA TERRE fut éclairée PAR SA SPLENDEUR,
2 ET IL CRIA AVEC UNE VOIX PUISSANTE ET IL DIT : "ELLE est tombée, ELLE est tombée BABYLONE LA GRANDE ET ELLE DEVENUE LA DEMEURE DES Démons, LE REFUGE DE CHAQUE ESPRIT IMPUR, LE REFUGE POUR CHAQUE OISEAU IMPUR ET HAÏSSABLE,
3 CAR TOUTES LES NATIONS ONT BU DU VIN DE LA PASSION DE SA PROSTITUTION, ET LES ROIS DE LA TERRE se sont prostitués AVEC ELLE, ET LES Commerçants DE LA TERRE PAR LA RICHESSE DE SON LUXE SE SONT ENRICHIS".
4 ENSUITE J'AI ENTENDU UNE AUTRE VOIX DU CIEL QUI DISAIT : "SORTEZ HORS D'ELLE, MON PEUPLE, POUR NE PAS QUE VOUS DEVENIEZ DES Associés DE SES Péchés ET QUE VOUS PARTAGIEZ SES PLAIES, CAR SES Péchés sont arrivés JUSQU'AU CIEL, ET ILOHIM S'EST SOUVENU DE SES CRIMES. (ISSAYAH chap 52:11, chap 14, chap 28, chap 33, chap 47, chap 57, chap 59, chap 65, chap 66)
22 "AINSI AVEC FORCE TOMBERA à TERRE BABYLONE, LA GRANDE Cité, ET ELLE ne sera plus trouvée désormais.
22 ET LA VOIX DES GUITARISTES ET DES MUSICIENS, DES JOUEURS DE FLÛTES ET DE HARPES, NE S'ENTENDRA PLUS désormais CHEZ TOI, ET LE BRUIT DE LA MEULE NE S'ENTENDRA PLUS désormais CHEZ TOI, 23 LA Lumière DE LA LAMPE n'éclairera plus désormais CHEZ TOI, LA VOIX DU Marié ET DE LA Mariée NE SERA PLUS ENTENDUE désormais CHEZ TOI.
TES Commerçants étaient LES GRANDS DE LA TERRE, QUE DANS TON POISON se sont égarées TOUTES LES NATIONS, ET CHEZ ELLE DU SANG DE Prophètes ET DE SAINTS a été trouvés, ET DE TOUS CEUX QUI ont été égorgés SUR LA TERRE.
19:1 Après TOUT CELA, J'AI ENTENDU COMME UNE VOIX FORTE D'UN PEUPLE NOMBREUX DANS LE CIEL, LESQUELS DISAIENT:
"ALLILUYAH ! LE SALUT ET LA GLOIRE ET LA FORCE DE NOTRE ILOHIM, QUE VRAIES ET JUSTES SONT SES JUGEMENTS, QU'IL a jugé LA GRANDE Prostituée, QUI avait souillé LA TERRE PAR SA PROSTITUTION, ET IL a vengé LE SANG DE SES SERVITEURS CONTRE ELLE".
3 ET POUR LA Deuxième FOIS ILS DIRENT : "ALLILUYAH ! SA fumée MONTE DANS LES Siècles DES Siècles".
4 ET LES 24 PREBSYTERIS ET LES QUATRE ANIMAUX VIVANTS tombèrent ET se prosternèrent DEVANT ILOHIM QUI EST ASSIS SUR LE TRÔNE, ET ILS DISAIENT : "AMIN, ALLILUYAH".
5 ET DU TRÔNE EST SORTI UNE VOIX QUI DISAIT : "LOUEZ NOTRE ILOHIM VOUS TOUS SES SERVITEURS ET CEUX QUI LE CRAIGNEZ, PETITS ET GRANDS".
6 ET J'ENTENDIS COMME LA VOIX D'UN PEUPLE NOMBREUX ET COMME LE BRUIT DE BEAUCOUP D'EAUX ET COMME LE BRUIT DE GRANDS TONNERRES QUI DISAIENT : "ALLILUYAH, CAR LE SEIGNEUR LE ILOHIM LE PANTOKRATOR / LE ROI DE TOUTES LES NATIONS règne. (ISSAYAH CHAP 24:23, CHAP 52, CHAP 52:6-15, chap 53, chap 54, chap 55, DANIEL chap 7, APOC DE JEAN chap 11:15, ZACHARIYAH chap 14:7-9)
7 QUE NOUS SOYONS DANS LA JOIE ET QUE NOUS NOUS réjouissions ET QUE NOUS LE GLORIFIONS, CAR LE JOUR DU MARIAGE DE L'AGNEAU est arrivée ET SA FEMME s'est préparée, IL LUI a été donné UN VÊTEMENT DE LIN Précieux, GLORIEUX, PUR". (ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, JOËL chap 2, APOC DE JEAN chap 21 et chap 22)
8 LE LIN témoigne DES ACTES JUSTES DES SAINTS.
9 ALORS L'ANGE ME DIT : "ECRIS : BIENHEUREUX LES Invités AU REPAS DU MARIAGE DE L'AGNEAU". 10 ET IL AJOUTA : CELLES-CI SONT LES PAROLES VRAIES DE ILOHIM".
10 ET JE TOMBAI DEVANT SES PIEDS POUR QUE JE ME PROSTERNE DEVANT LUI, MAIS LUI ME DIT : "FAIS ATTENTION, NON. JE SUIS SERVITEUR COMME TOI ET COMME TES frères QUI DONNENT témoignages POUR YECHOUAH. DEVANT ILOHIM TU DOIS TE PROSTERNER ! LE témoignage POUR YECHOUAH EST l'esprit DE LA Prophétie.
11 ENSUITE J'AI VU LE CIEL OUVERT, ET VOICI, UN CHEVAL BLANC ET LE CAVALIER SE NOMME Fidèle ET Véridique, IL JUGE ET IL COMBAT AVEC JUSTICE.
12 SES YEUX étaient COMME DES FLAMMES DE FEU ET SUR SA TÊTE étaient BEAUCOUP DE COURONNES.
SUR LUI était écrit UN NOM, LEQUEL PERSONNE NE CONNAÎT SEULEMENT LUI, ET IL PORTAIT UN VÊTEMENT TEINT DE SANG.
13 LE NOM AVEC LEQUEL IL est appelé EST LA PAROLE DE ILOHIM, 14 LES Armées DU CIEL AVEC UN VÊTEMENT DE LIN BLANC, PUR, LE SUIVAIENT SUR DES CHEVAUX BLANCS. (ZACHARIYAH chap 1, ISSAYAH chap 13, PSAUME 50, JOËL chap 4:12)
15 DE SA BOUCHE SORTAIT UN GLAIVE à DOUBLE TRANCHANT, POUR QU'IL FRAPPE PAR LUI LES NATIONS. (ISSAYAH chap 49, APOC DE JEAN chap 14:14)
LUI VA LES PAÎTRE AVEC UN BÂTON DE FER ET IL FOULERA LE PRESSOIR QU SORT LE VIN DE LA GRANDE Colère DE ILOHIM LE PANTOKRATOR / LE ROI DE TOUTES LES NATIONS. (PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, 45, 23, 89; APOC DE JEAN chap 7, chap 14:14; ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5; MICHEYAH chap 4, JOËL chap 4:12, PSAUME 50)
16 SUR SON VÊTEMENT ET SUR SA CUISSE IL A UN NOM écrit : "ROI DES rois ET SEIGNEUR DES seigneurs".
20:1 ENSUITE J'AI VU UN ANGE QUI DESCENDAIT DU CIEL, LEQUEL AVAIT LA CLEF DE L'ABÎME ET UNE GRANDE CHAÎNE DANS SA MAIN. 2 ET IL SAISIT LE DRAKON, LE SERPENT ANTIQUE, QUI EST LE DIABLE ET SATAN, ET IL LE LIA POUR MILLE ANS, ET IL LE JETA DANS L'ABÎME, LAQUELLE IL FERMA ET SCELLA PAR DESSUS LUI, POUR QU'IL n'égare plus désormais LES NATIONS, JUSQU'à CE QUE soient complétés LES MILLE ANS. Après IL DEVRA être délié POUR UN PETIT TEMPS. ............................
20:15 ALORS LA MORT ET L'HADES furent jetés DANS LE LAC DE FEU. CELA EST LA SECONDE MORT. (ISSAYAH chap 28)
ET CELUI QUI ne fut pas trouvé INSCRIT DANS LE LIVRE DE VIE, fut jeté DANS LE LAC DE FEU.
21:1 ENSUITE J'AI VU UN NOUVEAU CIEL ET UNE NOUVELLE TERRE, CAR LE PREMIER CIEL ET LA Première TERRE ONT DISPARU, ET LA MER N'EXISTE PLUS désormais. (ISSAYAH chap 51:15, chap 65, chap 66)
2 ET J'AI VU LA VILLE SAINTE, LA NOUVELLE JERUSALEM, QUI DESCENDAIT DU CIEL d'auprès DE ILOHIM, préparée COMME UNE Mariée parée POUR SON EPOUX.
3 ET J'ENTENDIS UNE GRANDE VOIX DU CIEL QUI DISAIT : "VOICI, LA DEMEURE DE ILOHIM EST PARMI LES HOMMES, IL HABITERA AVEC EUX ET EUX SERONT SON PEUPLE, ET ILOHIM LUI-MÊME SERA AVEC EUX. ILOHIM SUPPRIMERA CHAQUE PLEURS DE LEURS YEUX, LA MORT N'EXISTERA PLUS désormais, NI DE DEUIL, NI DE CRI, NI DE DOULEUR, N'EXISTERA PLUS désormais, PARCE QUE LES ANCIENNES CHOSES ONT DISPARU". (ISSAYAH chap 25, chap 4 et chap 5:1, chap 65, chap 66; JOËL chap 4:12; LIVRE D'HENOCH)
5 ALORS CELUI QUI EST ASSIS SUR LE TRÔNE, DIT : "VOICI, JE FAIS TOUTES CHOSES NOUVELLES".
ET à MOI IL DIT : "ECRIS-LE, CAR CES PAROLES-CI SONT DIGNES DE FOI ET VRAIES". ET IL AJOUTA : "TOUTE CHOSE EST ACCOMPLIE. MOI JE SUIS LE ALEF ET LE TAW, LE COMMENCEMENT ET LA FIN. A CELUI QUI A SOIF MOI JE LUI DONNERAI GRATUITEMENT DE LA SOURCE DE L'EAU DE LA VIE. 7 TOUT CELA héritera CELUI QUI EST VAINQUEUR ET MOI JE LUI SERAI SON ILOHIM ET LUI ME SERA UN FILS. (ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12)
8 MAIS LES LÂCHES, LES Infidèles ET LES ABOMINABLES, LES MEURTRIERS, LES Adultères, LES EMPOISONNEURS ET LES IDOLÂTRES ET TOUS LES MENTEURS, LEURS PLACES EST DANS LE LAC où BRÛLENT LE FEU ET LE SOUFRE. CELA EST LA SECONDE MORT". (ISSAYAH chap 14, chap 28, chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 9:20, chap 13, chap 17, chap 18, chap 16, chap 14:6)
9 ENSUITE EST VENU UN DES SEPT ANGES, QUI AVAIENT LES SEPT COUPES AVEC LES SEPT Dernières PLAIES, ET IL ME PARLA ET DIT :
"VIENS QUE JE TE MONTRE LA Mariée, LA FEMME DE L'AGNEAU".
10 ET IL M'AMENA EN EXTASE SUR UNE GRANDE, HAUTE MONTAGNE, ET IL ME MONTRA LA VILLE SAINTE JERUSALEM, QUI DESCENDAIT DU CIEL d'auprès DE ILOHIM, AYANT LA GLOIRE DE ILOHIM. (ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1)
11 SON éclat RESSEMBLAIT à UNE Précieuse PIERRE, COMME UNE PIERRE DE JASPE QUI BRILLE COMME DU CRISTAL. (ZACHARIYAH chap 3:8, chap 4, chap 6, ISSAYAH chap 4 et chap 5:1, chap 28)
12 ELLE AVAIT UNE GRANDE ET HAUTE MURAILLE AVEC DOUZE PORTES, SUR LESQUELLES étaient DOUZE ANGES, ET SUR LES PORTES étaient écrits LES NOMS DES DOUZE TRIBUS D'ISRAÏL. (ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 60, chap 61, chap 62, chap 4 et chap 5:1, APOC DE JEAN chap 7; chap 3, PSAUME 87)
13 VERS L'ORIENT IL Y AVAIT TROIS PORTES, VERS LE NORD TROIS PORTES, VERS LE SUD TROIS PORTES, ET VERS L'OCCIDENT TROIS PORTES.
14 LA MURAILLE DE LA VILLE AVAIENT DOUZE PIERRES DE FONDATION, SUR LESQUELLES étaient LES DOUZE NOMS DES APÔTRES DE L'AGNEAU. (APOC DE JEAN chap 7 : DES 12 PATRIARCHES D'ISRAËL)
15 ET L'ANGE QUI PARLAIT AVEC MOI AVAIT UNE MESURE, UN CALAME D'OR, POUR QU'IL MESURE LA VILLE, SES PORTES ET SA MURAILLE.
16 ET LA VILLE EST BÂTIE EN Carré, SA LONGUEUR était AUTANT QUE SA LARGEUR. ET IL MESURA LA VILLE AVEC LE CALAME : DOUZE MILLE STADES, SA LONGUEUR, SA LARGEUR ET SA HAUTEUR étaient égales. (ZACHARIYAH chap 2)
17 IL MESURA AUSSI SA MURAILLE, 144 coudées, SELON LA MESURE HUMAINE, LAQUELLE UTILISAIT L'ANGE.
18 SA MURAILLE était BÂTIE DE JASPE ET LA VILLE D'OR PUR, QUI BRILLAIT COMME DU VERRE PROPRE.
19 LES FONDATIONS DE LA MURAILLE étaient ornées DE CHAQUE SORTE DE PIERRE Précieuse.
L1 1ère PIERRE DE FONDATION était DE JASPE, LE 2ème DE SAPHIR, LA 3ème DE calcédoine, LA 4ème D'émeraude, 20 LA 5ème DE SARDOINE, LA 6ème DE CORENALINE, LA 7ème DE CHRYSOLITHE, LA 8ème DE béryl, LA 9ème DE TOPAZE, LA 10ème DE CHRYSOPRASE, LA 11ème DE HYACINTHE, LA 12ème D'améthyste.
21 LES DOUZE PORTES SONT DOUZE PERLES; CHAQUE PORTE était faite D'UNE SEULE PERLE.
LA PLACE DE LA VILLE EST D'OR PUR, TRANSPARENT COMME DU VERRE.
22 DE TEMPLE JE N'EN AI PAS VU DANS LA VILLE, CAR SON TEMPLE EST LE SEIGNEUR ILOHIM LE PANTOKRATOR ET L'AGNEAU. 23 ET LA VILLE N'A PAS BESOIN DU SOLEIL NI DE LA LUNE POUR QU'ILS L'éclairent, CAR LA GLOIRE DE ILOHIM EST SA Lumière ET SA LAMPE EST L'AGNEAU. (ISSAYAH chap 46:13, chap 49:6, chap 59:13, chap 60, chap 61, chap 62, chap 54, chap 55; APOC DE JEAN chap 12:1-2; MALACHIYAH chap 3: LE SOLEIL DE LA JUSTICE)
24 AVEC SA Lumière VONT MARCHER LES NATIONS, ET LES ROIS DE LA TERRE APPORTERONT LEUR GLOIRE ET LEUR HONNEUR à ELLE.
25 SES PORTES NE FERMERONT JAMAIS LE JOUR, DE NUIT là IL N'Y EN AURA PAS. 26 ET ILS APPORTERONT à ELLE LA GLOIRE ET L'HONNEUR DES NATIONS;
27 MAIS IL NE RENTRERA EN ELLE RIEN DE souillé, NI QUELQU'UN QUI COMETTE DES CHOSES ABOMINABLES ET Mensongères, MAIS SEULEMENT CEUX QUI SONT écrits DANS LE LIVRE DE VIE DE L'AGNEAU. (ISSAYAH chap 2, chap 3, CHAP 4 ET CHAP 5:1, chap 52, chap 63, chap 54, chap 55, chap 55:12; chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 2:8, chap 3, chap 4 et chap 5, chap 10, chap 7, chap 12:1-2, chap 14, chap 15; DANIEL chap 12, chap 7, chap 9, chap 10, PSAUME 87; LIVRE D'HENOCH, SOURATE AL MAÏDA / DE LA TABLE; SOURATES : LA CHAMELLE D'ALLAH QU'ALLAH LEUR ENVOYA COMME SIGNE, MAIS ILS L'égorgèrent ! LA CHAMELLE D'ALLAH ET L'EAU POUR BOIRE ! )
PSAUME 87
87:1 DES FILS DE Coré. PSAUME. CANTIQUE.
LA VILLE fondée SUR LES SAINTES MONTAGNES est aimée DE YAHWEH, LES PORTES DE SION PLUS QUE TOUTES LES TENTES DE JACOB.
3 ON DIT SUR TOI DES CHOSES GLORIEUSES, VILLE DE YAHWEH ! - Séla.
4 "JE RECENSERAI DE RAHAB / D'EGYPTE ET DE BABYLONE PARMI MES ADORATEURS.
VOICI LA PHILISTIE ET TYR, AVEC L'ETHIOPIE : CEUX-CI SONT nés là.
5 ON DIRA DE SION : TOUT HOMME Y est né, ET C'EST LE Très-Haut QUI L'a fondée". (ISSAYAH chap 2, chap 14:29, chap 65, chap 66, MICHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 12:1-2, chap 14, chap 15, chap 21 et chap 22)
6 YAHWEH INSCRIRA SUR LE REGISTRE DES PEUPLES : "CEUX-CI SONT nés là". - Séla.
7 ET ON CHANTERA TOUT EN DANSANT : " TOUTES MES SOURCES SONT EN TOI".
SUITE APOC DE JEAN chap 22
ENSUITE IL ME MONTRA LE FLEUVE DE L'EAU DE LA VIE, QUI BRILLAIT COMME DU CRISTAL ET LEQUEL PRENAIT SA SOURCE DU TRÔNE DE ILOHIM ET DE L'AGNEAU. (PSAUMES 1, 2, 110, 23, 50, 45, 91, 89, 87; ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12; JOËL chap 4:15, EZECHIEL chap 47, ZACHARIYAH chap 13, chap 14:7-9, APOC DE JEAN chap 21, chap 7:17; chap 22:17; SOURATES : LA CHAMELLE D'ALLAH ET L'EAU POUR BOIRE ! SOURATE MARYAM, SOEUR D'AARON, AVEC LE bébé QUI PARLE DANS SON BERCEAU COMME à L'ÂGE ADULTE, UNE SOURCE à SES PIEDS ! SOURATES : VOUS HABITEREZ POUR L'éternité DANS LES JARDINS où COULENT DES Rivières D'EAU ! )
2 AU MILIEU DE SA PLACE, ET D'UN côté DU FLEUVE ET DE L'AUTRE, IL Y AVAIT L'ARBRE DE VIE, LEQUEL DONNE DES FRUITS DOUZE FOIS, UNE CHAQUE MOIS, ET LES FEUILLES DE L'ARBRE SERVENT POUR LA Guérison DES NATIONS. (MALACHIYAH chap 3 : LE SOLEIL DE LA JUSTICE PORTANT LA Guérison DANS SES AILES; LIVRE D'HENOCH, PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, EZECHIEL chap 47)
3 IL N'Y AURA PLUS désormais DE Malédiction. (GENESE chap 3, DANIEL chap 9; ISSAYAH chap 24, chap 25; APOC DE JEAN chap 7, chap 21)
LE TRÔNE DE ILOHIM ET DE L'AGNEAU SERONT là, ET SES SERVITEURS L'ADORERONT, 4 ILS VERRONT SON VISAGE ET SON NOM SERA SUR LEURS FRONTS. (NOMBRES chap 6, ZACHARIYAH chap 3:8, EZECHIEL chap 9, ISSAYAH chap 4 et chap 5:1, APOC DE JEAN chap 7, chap 14, chap 15)
5 DE NUIT IL N'Y EN AURA PLUS désormais ET IL N'Y AURA PAS BESOIN DE LA lampe ET DE LA lumière DU soleil, CAR LE SEIGNEUR LE ILOHIM VA LES éclairer ET ILS régneront DANS LES Siècles DES Siècles.
6 ENSUITE IL ME DIT : "CES PAROLES SONT DIGNES DE FOI ET Véridiques. LE SEIGNEUR ILOHIM DES esprits DES Prophètes a envoyé SON ANGE POUR QU'IL MONTRE à SES SERVITEURS TOUT CELA QUI DOIVENT SE FAIRE VITE. 7 ET VOICI, JE VIENS VITE. BIENHEUREUX CELUI QUI GARDE LES PAROLES DE LA Prophétie DE CE LIVRE-CI. (LIVRE D'HENOCH)
9 DEVANT ILOHIM QUE TU DOIS TE PROSTERNER
12 VOICI JE VIENS VITE, ET J'APPORTE AVEC MOI MA Rétribution, POUR QUE JE RENDE à CHACUN SELON SON OEUVRE. (ISSAYAH chap 40:9-10, chap 62, chap 62:11, chap 65, chap 66)
13 MOI JE SUIS LE ALEPH ET LE TAW, LE PREMIER ET LE DERNIER, LE COMMENCEMENT ET LA FIN".
14 BIENHEUREUX CEUX QUI ACCOMPLISSENT SES COMMANDEMENTS, POUR QU'ILS AIENT LE DROIT à L'ARBRE DE VIE ET QU'ILS ENTRENT DANS LA VILLE PAR LES PORTES.
15 DEHORS LES CHIENS, LES EMPOISONNEURS ET LES prostitués, LES MEURTRIERS ET LES IDOLÂTRES ET CHACUN QUI AIME ET QUI COMMET LE MENSONGE.
16 MOI YECHOUAH J'ai envoyé MON ANGE à VOUS AVEC CE Témoignage-ci POUR LES EGLISES. MOI JE SUIS LA RACINE ET LA RACE DE DAVID, L'étoile BRILLANTE DU MATIN". (ZACHARIYAH chap 2, chap 3, chap 4, chap 6, ISSAYAH chap 3:6, chap 5:2, chap 14, chap 28, MALACHIYAH chap 2, MICHEYAH chap 4, EZECHIEL chap 28:11, PSAUME 89, DANIEL chap 9, SOURATE AL-KAHF / LA CAVERNE)
17 ET L'ESPRIT ET LA Mariée DISENT : "VIENS".
ET CELUI QUI ENTEND, QU'IL DISE : "VIENS".
ET CELUI QUI A SOIF QU'IL VIENNE, ET CELUI QUI LE désire, QU'IL PRENNE DE L'EAU DE LA VIE GRATUITEMENT. (ISSAYAH chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12)
18 MOI JE CERTIFIE à CHACUN QUI ENTEND LES PAROLES DE LA Prophétie DE CE LIVRE-CI, QUE SI QUELQU'UN AJOUTE à CELLES-là, ILOHIM LUI AJOUTERA LES PLAIES QUI SONT écrites DANS CE LIVRE-CI; 19 SI QUELQU'UN SUPPRIME DES PAROLES DU LIVRE DE CETTE Prophétie, ILOHIM LUI SUPPRIMERA SA PART DE L'ARBRE DE VIE ET DE LA VILLE SAINTE, QUI sont écrites DANS CE LIVRE-CI. 20 CELUI QUI témoigne DE TOUT CELA, DIT : "OUI, JE VIENS VITE".
EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 8, chap 9, chap 10, chap 47
1:26 ET PLUS EN HAUT DU FIRMAMENT, QUI était SUR LEURS TÊTES, QUI était PLUS HAUT DE LEURS TÊTES, APPARAISSAIT UNE RESSEMBLANCE DE TRÔNE, COMME UNE VUE DE PIERRE DE SAPHIR, ET AU-DESSUS DE LA RESSEMBLANCE DU TRÔNE était UNE RESSEMBLANCE COMME UNE VUE D'HOMME, QUI était ASSIS AU-DESSUS DE LUI PAR AU-DESSUS.
27 A L'intérieur ET AU DEHORS, JE VIS COMME DU métal BRILLANT, SEMBLANT DU FEU, DEPUIS CE QUI PARAISSAIT SES REINS ET AU-DESSUS, ET DEPUIS CE QUI PARAISSAIT SES REINS ET AU-DESSOUS, JE VIS COMME UN SEMBLANT DE FEU TOUT RESPLENDISSANT TOUT AUTOUR DE LUI. 28 TEL L'ARC DANS LA Nuée EN UN JOUR DE PLUIE, TEL APPARAISSAIT L'éclat DONT IL RESSEMBLAIT.
TELLE APPARAISSAIT LA RESSEMBLANCE DE LA GLOIRE DE YAHWEH.
A CETTE VUE, JE TOMBAI SUR MA FACE, ET J'ENTENDIS LA VOIX DE QUELQU'UN QUI PARLAIT.
2:1 IL ME DIT : "FILS D'HOMME, TIENS-TOI SUR TES JAMBES, ET JE TE PARLERAI".
2 ET COMME IL ME PARLAIT, L'ESPRIT ENTRA EN MOI ET ME DRESSA SUR MES JAMBES, ET J'ENTENDIS CELUI QUI ME PARLAIT.
3 IL ME DIT : "FILS D'HOMME, JE T'ENVOIE VERS LES ENFANTS D'ISRAËL (ISSAYAH chap 8 : LES DEUX MAISONS D'ISRAËL)
VERS DES PEUPLES REBELLES QUI se sont révoltés CONTRE MOI; EUX ET LEURS pères M'ont été infidèles JUSQU'AU présent JOUR.
4 CES FILS AU RUDE VISAGE ET AU COEUR ENDURCI, C'EST VERS EUX QUE JE T'ENVOIE. ET TU LEUR DIRAS : AINSI PARLE LE SEIGNEUR YAHWEH. 5 POUR EUX, QU'ILS ACCEPTENT OU REFUSENT d'écouter, - CAR C'EST UNE MAISON DE REBELLES, - ILS SAURONT QU'IL Y A UN Prophète CHEZ EUX. ET TOI, FILS D'HOMME, NE LES CRAINS PAS ET NE CRAINS PAS LEURS PAROLES, CAR TU ES AVEC DES CHARDONS ET DES épines, ET TU HABITES AVEC DES SCORPIONS. N'AIE PAS PEUR DE LEURS PAROLES ET NE REDOUTE PAS LEURS FACES, CAR C'EST UNE MAISON DE REBELLES.
7 ET TU LEUR DIRAS MES PAROLES, QU'ILS ACCEPTENT OU REFUSENT Découter, CAR CE SONT DES REBELLES.
8 ET TOI, FILS D'HOMME, écoute CE QUE JE TE DIS : NE SOIS PAS REBELLE COMME LA MAISON REBELLE
OUVRE TA BOUCHE ET MANGE CE QUE JE TE DONNE". 9 JE REGARDAI, ET VOICI QU'UNE MAIN était TENDUE VERS MOI, ET VOICI QU'ELLE TENAIT UN LIVRE roulé. 10 ET IL LE déroula DEVANT MOI, ET IL était écrit EN DEDANS ET EN DEHORS, ET IL Y était écrit DES DISCOURS DE DEUIL, DE LAMENTATION ET DE MALHEUR. (DANIEL chap 10, APOC DE JEAN chap 4 et chap 5, chap 10; SOURATES : LE LIVRE QU'ALLAH T'a révélé ! )
3:1 ET IL ME DIT : "FILS D'HOMME, CE QUE TU TROUVES là, MANGE-LE; MANGE CE ROULEAU; PUIS VA, PARLE à LA MAISON D'ISRAËL".
2 J'OUVRIS LA BOUCHE ET ME FIT MANGER CE ROULEAU; 3 ET IL ME DIT : "FILS D'HOMME, NOURRIS TON VENTRE ET REMPLIS TES ENTRAILLES DE CE ROULEAU QUE JE TE DONNE". JE LE MANGEAI, ET IL FUT DANS MA BOUCHE DOUX COMME DU MIEL.
4 ET IL ME DIT : "FILS D'HOMME, VA VERS LA MAISON D'ISRAËL, ET TU LEUR DIRAS MES PAROLES. 5 CAR CE N'EST PAS à UN PEUPLE AU PARLER impénétrable ET à LA LANGUE LOURDE QUE TU es envoyé, MAIS à LA MAISON D'ISRAËL. CE N'EST PAS à DES PEUPLES NOMBREUX AU PARLER impénétrable ET à LA LANGUE LOURDE, 6 DONT TU NE COMPRENDRAIS PAS LES PAROLES, NON, CE N'EST PAS à EUX QUE JE T'ENVOIE; EUX T'écouteraient.
7 MAIS LA MAISON D'ISRAËL NE VOUDRA PAS T'écouter, PARCE QU'ILS NE VEULENT PAS Mécouter; CAR TOUTE LA MAISON D'ISRAËL A LE FRONT ENDURCI ETLE COEUR RUDE.
8 MAIS VOICI QUE JE FAIS TA FACE DURE COMME LEUR FACE, ET TON FRONT DUR COMME LEUR FRONT. 9 J'AI FAIT TON FRONT COMME LE DIAMANT, PLUS DUR QUE LE ROC. NE LES CRAINS PAS, ET NE TREMBLE PAS DEVANT EUX, CAR C'EST UNE MAISON REBELLE.
10 ET IL ME DIT : "FILS D'HOMME, TOUTES LES PAROLES QUE JE TE DIRAI, reçois-les DANS TON COEUR ET écoute-les DE TES OREILLES. 11 ET VA, ENTRE AU MILIEU DE CEUX QUI ont été emprisonnés, AUX ENFANTS DE TON PEUPLE, ET PARLE-LEUR EN LEUR DISANT : AINSI PARLE LE SEIGNEUR YAHWEH", QU'ILS ACCEPTENT OU REFUSENT D'écouter.
12 L'ESPRIT ME LEVA, ET derrière MOI J'ENTENDU UNE VOIX DE GRANDE émotion, QUI DISAIENT: "Bénie SOIT LA GLOIRE DE YAHWEH EN SON LIEU" !
13 ET J'ENTENDIS L'écho DES AILES DES ANIMAUX, QUI SE TOUCHAIENT L'UN AVEC L'AUTRE, ET L'écho DES ROUES EN FACE D'EUX, ET UNE VOIX DE GRANDE émotion.
14 ET L'ESPRIT M'éleva, ET IL ME PRIT, ET JE SUIS allé AVEC AMERTUME ET AVEC Exaspération DE MON esprit, MAIS LA MAIN DE YAHWEH était SUR MOI FERME.
15 ET JE SUIS VENU CHEZ CEUX, QUI avaient émigré à TEL AVIV, CEUX QUI HABITAIENT près DU FLEUVE KEBAR, ET JE M'ASSIS où ILS étaient assis EUX AUSSI, ET JE RESTAI là PARMI EUX SEPT JOURS EXTATIQUE;
16 ET après LES SEPT JOURS, LA PAROLE DE YAHWEH ME FUT FAITE, DISANT : 17 FILS D'HOMME, JE T'ai constitué LE GARDIEN SUR LA MAISON D'ISRAÏL, ECOUTE, DONC, LA PAROLE DE MA BOUCHE, ET QUE TU LES AVERTISSES DE MA PART.
18 QUAND JE DIS à L'IMPIE : CERTAINEMENT TU SERAS MIS à MORT, ET TOI TU NE L'AVERTIS PAS, ET QUE TU NE LUI ADRESSES PAS D'AVERTISSEMENT POUR QUE TU détournes L'IMPIE DE SA VOIE IMPIE, DE SORTE QUE TU SAUVES SA VIE, LUI DONC L'IMPIE VA MOURIR DANS SON Impiété; MAIS DE TA MAIN, JE DEMANDERAI SON SANG.
19 MAIS SI TOI TU AS AVERTIS DONC L'IMPIE, MAIS LUI ne se détourne pas DE SON Impiété, ET DE SA VOIE IMPIE, LUI VA MOURIR DONC DANS SON Impiété, MAIS TOI TU SERAS SAUF.
20 ENCORE, SI LE JUSTE dévie DE SA JUSTICE, ET QU'IL COMMET UNE Impiété, ET QUE MOI JE LE FASSE ACHOPPER, IL MOURRA; PARCE QUE TU NE L'AURAS PAS AVERTI, IL MOURRA DANS SON Péché; ON NE SE SOUVIENDRA PLUS DE SES OEUVRES DE JUSTICE QU'IL AURA FAITES; MAIS C'EST à TOI QUE JE DEMANDERAI COMPTE DE SON SANG.
21 MAIS SI TU AS AVERTI UN JUSTE POUR QUE CE JUSTE NE pèche PAS, ET QU'IL n''ait pas péché, IL VIVRA CERTAINEMENT, PARCE QU'IL AURA été AVERTI; ET TOI TU SERAS SAUF.
33:1 LA PAROLE DE YAHWEH ME fut adressée EN CES TERMES : 2 "FILS D'HOMME, PARLE AUX ENFANTS DE TON PEUPLE, ET DIS-LEUR :
QUAND J'amène LE GLAIVE SUR UNE CERTAINE TERRE, ET LE PEUPLE PREND L'UN D'EUX, LE CONSTITUENT LE GARDIEN,
3 SI CELUI-CI VOYANT LE GLAIVE VENIR CONTRE LE PAYS, SONNE DE LA TROMPETTE ET AVERTIT LE PEUPLE, (ISSAYAH chap 66)
4 SI CELUI QUI ENTEND LE SON DE LA TROMPETTE NE SE LAISSE PAS AVERTIR ET QUE LE GLAIVE SURVIENNE ET L'enlève, SON SANG SERA SUR SA TÊTE :
5 IL A ENTENDU LE SON DE LA TROMPETTE ET ne s'est pas laissé AVERTIR; SON SANG SERA SUR LUI; MAIS S'IL s'est laissé AVERTIR, IL aura sauvé SA VIE.
6 QUE SI LE GARDIEN, VOYANT VENIR LE GLAIVE, NE SONNE PAS DE LA TROMPETTE POUR AVERTIR LE PEUPLE, ET QUE LE GLAIVE SURVIENNE ET enlève LA VIE DE L'UN D'ENTRE EUX, CELUI-CI a été enlevé à CAUSE DE SON Péché, MAIS JE DEMANDERAI COMPTE DE SON SANG AU GARDIEN.
7 ET TOI, FILS D'HOMME, MOI JE T'ai constitué GARDIEN SUR LA MAISON D'ISRAÏL :
QUAND TU ENTENDRAS DE MA BOUCHE UNE PAROLE, TU LES AVERTIRAS DE MA PART.
8 QUAND JE DIS à L'IMPIE : "IMPIE, TU MOURRAS CERTAINEMENT"; SI TU NE PARLES PAS POUR AVERTIR L'IMPIE DE QUITTER SA VOIE, LUI, L'IMPIE MOURRA POUR SON Péché; MAIS JE TE DEMANDERAI COMPTE DE SON SANG.
9 MAIS SI TU AVERTIS L'IMPIE AFIN QU'IL se détourne DE SA VOIE, ET QU'IL ne se détourne pas DE SA VOIE, IL MOURRA POUR SON Péché; MAIS TOI, TU auras libéré TON ÂME.
10 ET TOI, FILS D'HOMME, DIS à LA MAISON D'ISRAËL : VOICI QUE VOUS PARLEZ EN CES TERMES :
"NOS TRANSGRESSIONS ET NOS Péchés SONT SUR NOUS, ET C'EST à CAUSE D'EUX QUE NOUS dépérissons; COMMENT POURRIONS-NOUS VIVRE"?
11 DIS-LEUR : PAR MA VIE ! - ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH : - JE NE VEUX PAS LA MORT DE L'IMPIE, MAIS QUE L'IMPIE se détourne DE SA VOIE ET QU'IL VIVE. CONVERTISSEZ-VOUS, CONVERTISSEZ-VOUS DE VOS VOIES MALIGNES, POURQUOI MOURRIEZ-VOUS, MAISON D'ISRAËL ?
12 ET TOI, FILS D'HOMME, DIS AUX ENFANTS DE TON PEUPLE :
LA JUSTICE DU JUSTE NE LE SAUVERA POINT AU JOUR DE SA TRANSGRESSION; ET L'IMPIE NE TOMBERA PAS POUR SON Impiété LE JOUR où IL SE CONVERTIRA DE SON Impiété, DE MÊME QUE LE JUSTE NE POURRA PAS VIVRE PAR SA JUSTICE LE JOUR où IL péchera.
13 QUAND JE DIS AU JUSTE QU'IL VIVRA CERTAINEMENT, SI, LUI SE CONFIANT DANS SA JUSTICE, IL COMMET L'Iniquité, ON NE SE RAPPELLERA PLUS TOUTES SES OEUVRES JUSTES, ET, à CAUSE DE L'Iniquité QU'IL AURA COMMISE, POUR CELA IL MOURRA.
14 ET QUAND JE DIS à L'IMPIE : "TU MOURRAS CERTAINEMENT", S'IL SE CONVERTIT DE SON Péché ET AGIT AVEC DROITURE ET JUSTICE; 15 SI L'IMPIE REND LE GAGE, S'IL RESTITUE LES RAPINES, S'IL MARCHE DANS LES COMMANDEMENTS DE VIE, SANS COMMETTRE D'Impiété, CERTAINEMENT IL VIVRA, IL NE MOURRA PAS. 16 ON NE SE RAPPELERA PLUS désormais AUCUN DES Péchés QU'IL A COMMIS; IL A FAIT CE QUI EST DROIT ET JUSTICE; IL VIVRA CERTAINEMENT.
17 CEPENDANT LES ENFANTS DE TON PEUPLE, DISENT : LES VOIES DU SEIGNEUR NE SONT PAS DROITES.
C'EST LEUR VOIE à EUX QUI N'EST PAS DROITE. 18 QUAND UN JUSTE se détourne DE SA JUSTICE ET COMMET L'Impiété, IL MEURT à CAUSE DE CELA;
19 ET QUAND UN IMPIE SE CONVERTIT DE SON Impiété ET FAIT CE QUI EST DROIT ET JUSTICE, à CAUSE DE CELA IL VIT.
20 ET VOUS DITES : "LA VOIE DE YAHWEH N'EST PAS DROITE".
JE VOUS JUGERAI CHACUN SELON VOS VOIES, MAISON D'ISRAÏL"!
18:1 LA PAROLE DE YAHWEH ME fut adressée EN CES TERMES :
2 POURQUOI DONC proférez-vous CE PROVERBE DANS LE PAYS D'ISRAÏL : " LES pères MANGENT DU VERJUS, ET LES DENTS DES FILS EN SONT agacées"?
3 PAR MA VIE ! -ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH : VOUS N'AUREZ PLUS à proférer CE PROVERBE EN ISRAÏL.
4 VOICI QUE TOUTES LES PERSONNES SONT à MOI : LA PERSONNE DU FILS, COMME LA PERSONNE du père, EST à MOI; LA PERSONNE QUI pèche, C'EST ELLE QUI MOURRA.
5 SI UN HOMME EST JUSTE ET PRATIQUE LE DROIT ET LA JUSTICE, S'IL NE MANGE PAS SUR LES MONTAGNES ET NE lève PAS LES YEUX VERS LES IDOLES DE LA MAISON D'ISRAËL, S'IL NE SOUILLE PAS LA FEMME DE SON PROCHAIN ET N'A PAS DE RAPPORTS AVEC UNE FEMME PENDANT SA SOUILLURE MENSTRUELLE; S'IL N'OPPRIME PERSONNE, S'IL REND AU débiteur SON GAGE, S'IL NE COMMET PAS DE RAPINES, S'IL DONNE SON PAIN à CELUI QUI A FAIM ET COUVRE D'UN VÊTEMENT CELUI QUI EST NU; S'IL NE PRÊTE PAS à USURE ET NE PREND PAS d'intérêt, S'IL détourne SA MAIN DE L'Impiété, S'IL JUGE LES HOMMES SELON LA Vérité, S'IL SUIT MES COMMANDEMENTS ET OBSERVE MES LOIS, EN AGISSANT AVEC fidélité, CELUI-là EST JUSTE : IL VIVRA, - ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH.
10 MAIS SI CELUI-CI ENGENDRE UN FILS VIOLENT, QUI VERSE LE SANG ET QUI FAIT à SON frère QUELQU'UNE DE CES CHOSES, - ALORS QUE LUI-MÊME N'A PAS FAIT TOUTES CES CHOSES; - QUI MANGE SUR LES MONTAGNES, SOUILLE LA FEMME DE SON PROCHAIN, OPPRIME LE PAUVRE ET LE MALHEUREUX, QUI COMMET DES RAPINES, NE REND PAS LE GAGE, lève LES YEUX VERS LES IDOLES, COMMET UNE ABOMINATION, QUI PRÊTE à USURE ET PREND UN intérêt, ET IL VIVRAIT ? IL NE VIVRA PAS, IL A COMMIS TOUTES CES ABOMINATIONS, IL DOIT MOURIR, SON SANG SERA SUR LUI.
14 MAIS VOICI QUE CELUI-CI a engendré UN FILS, QUI A VU TOUS LES péchés QU'A COMMIS son père, MAIS, PRENANT PEUR, IL NE FAIT RIEN DE SEMBLABLE. 15 IL n'a pas mangé SUR LES MONTAGNES, IL N'A PAS levé LES YEUX VERS LES IDOLES DE LA MAISON D'ISRAËL, IL n'a pas souillé LA FEMME DE SON PROCHAIN, IL n'a opprimé PERSONNE ET N'A PAS PRIS DE GAGE, IL N'A PAS COMMIS DE RAPINES, IL a donné SON PAIN à l'affamé, IL A COUVERT D'UN VÊTEMENT CELUI QUI était NU, IL N'A PAS FAIT PESER SA MAIN SUR LE PAUVRE, IL N' A PAS PRIS NI USURE, NI intérêt, IL a observé MES LOIS ET SUIVI MES COMMANDEMENTS, - CELUI-là NE MOURRA PAS POUR LES péchés DE SON père, IL VIVRA CERTAINEMENT.
18 MAIS son père, PARCE QU'IL a multiplié LES EXTORSIONS, pratiqué LA RAPINE ENVERS SON frère ET FAIT CE QUI N'EST PAS BIEN à SON PEUPLE, C'EST LUI QUI MOURRA POUR SES péchés.
19 ET VOUS DITES : "POURQUOI LE FILS NE PORTE-T-IL PAS LES FAUTES DE SON père" ? MAIS LE FILS A AGI SUIVANT LE DROIT ET LA JUSTICE, IL a gardé MES COMMANDEMENTS ET LES a pratiqués : IL VIVRA CERTAINEMENT. 20 LA PERSONNE QUI pèche, C'EST ELLE QUI MOURRA, LE FILS NE PORTERA PAS LES FAUTES DU père, ET le père NE PORTERA PAS LES FAUTES DU FILS : LA JUSTICE DU JUSTE SERA SUR LUI, ET L'impiété DE L'IMPIE SERA SUR LUI.
21 QUANT à L'IMPIE, S'IL SE CONVERTIT DE TOUS SES péchés QU'IL A COMMIS, S'IL GARDE TOUS MES COMMANDEMENTS ET AGIT SELON LE DROIT ET LA JUSTICE, IL VIVRA, IL NE MOURRA PAS. DE TOUTES LES Impiétés QU'IL A COMMISES, ON NE LUI TIENDRA PAS COMPTE, à CAUSE DE LA JUSTICE QU'IL a pratiquée IL VIVRA.
23 EST-CE QUE JE VEUX LA MORT DE L'IMPIE ? - ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH, - MAIS BIEN PLUTÔT QU'IL SE CONVERTISSE DE SA CONDUITE ET QU'IL VIVE.
24 ET SI LE JUSTE RENONCE à SA JUSTICE ET QU'IL COMMETTE L'Impiété, AVEC TOUTES LES ABOMINATIONS QUE L'IMPIE COMMET, - IL LES FERAIT ET IL VIVRAIT ! ?....- DE TOUTES SES OEUVRES DE JUSTICE QU'IL a pratiquées ON NE TIENDRA PAS COMPTE, à CAUSE DE L'Impiété ET DES TRANSGRESSIONS DE LA LOI DONT IL S'EST RENDU COUPABLE : - à CAUSE DE CELA IL MOURRA.
25 ET VOUS DITES : "LA VOIE DU SEIGNEUR N'EST PAS DROITE" ! ECOUTEZ DONC, MAISON D'ISRAËL : EST-CE MA VOIE QUI N'EST PAS DROITE ? NE SONT-CE PAS VOS VOIES QUI NE SONT PAS DROITES ? 26 QUAND LE JUSTE RENONCE à SA JUSTICE ET COMMET L'Impiété, ET QU'à CAUSE DE CELA, IL MEURT, C'EST à CAUSE DE L'Impiété QU'IL A COMMISE QU'IL MEURT. 27 ET SI L'IMPIE SE CONVERTIT DE SON impiété QU'IL A COMMISE ET QU'IL PRATIQUE LE DROIT ET LA JUSTICE, IL SE DONNERA LA VIE. 28 S'IL OUVRE LES YEUX ET SE CONVERTIT DE TOUTES SES TRANSGRESSIONS DE LA LOI QU'IL A COMMISES, IL VIVRA CERTAINEMENT ET IL NE MOURRA PAS.
29 MAIS LA MAISON D'ISRAËL DIT : "LA VOIE DU SEIGNEUR N'EST PAS DROITE".
SONT-CE MES VOIES QUI NE SONT PAS DROITES, MAISON D'ISRAËL ? NE SONT-CE PAS VOS VOIES QUI NE SONT PAS DROITES ?
30 C'EST POURQUOI JE VOUS JUGERAI CHACUN SELON SES VOIES, MAISON D'ISRAËL, - ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH. CONVERTISSEZ-VOUS EN renonçant à TOUTES VOS TRANSGRESSIONS DE LA LOI, ET QUE RIEN NE VOUS FASSE TOMBER DANS LE péché. 31 REJETEZ LOIN DE VOUS TOUTES LES TRANSGRESSIONS DE LA LOI QUE VOUS AVEZ COMMISES, FAITES-VOUS UN COEUR NOUVEAU ET un esprit NOUVEAU. POURQUOI MOURRIEZ-VOUS, MAISON D'ISRAËL ? 32 CAR JE NE VEUX PAS LA MORT DE CELUI QUI MEURT, - ORACLE DU SEIGNEUR YAHWEH. CONVERTISSEZ-VOUS DONC ET VIVEZ".
2ème LIVRE DES Machabées
2:1 "ON TROUVE DANS LES DOCUMENTS QUE LE Prophète JEREMIYAH ORDONNA à CEUX QU'ON déportait DE PRENDRE DU FEU, AINSI QU'IL a été indiqué; ET COMMENT LE Prophète FIT DES RECOMMANDATIONS AUX Déportés, 2 EN LEUR REMETTANT LA LOI, AFIN QU'ILS N'OUBLIENT PAS LES COMMANDEMENTS DU SEIGNEUR, ET QU'ILS ne s'égarent pas DANS LEURS pensées, EN VOYANT DES IDOLES D'OR ET D'ARGENT ET LEURS BEAUX ORNEMENTS.
3 ENTRE AUTRES DISCOURS DE CE GENRE QU'IL LEUR TINT, IL LES EXHORTAIT à NE LAISSER JAMAIS LA LOI s'éloigner DE LEUR COEUR.
4 ON LISAIT DANS LES MÊMES écrits COMMENT LE Prophète, SUR UN ORDRE reçut, FIT TRANSPORTER AVEC LUI LE TABERNACLE ET L'ARCHE, ET QU'IL SE RENDIT AUSSI à LA MONTAGNE DU HAUT DE LAQUELLE MOÏSE CONTEMPLA L'Héritage DE ILOHIM.
5 Arrivé là, JEREMIYAH TROUVA UNE HABITATION EN FORME D'ANTRE, ET IL Y déposa LE TABERNACLE ET L'ARCHE, AINSI QUE L'AUTEL DES PARFUMS, ET IL EN BOUCHA L'entrée. 6 QUELQUES-UNS DE SES COMPAGNONS étant VENUS ENSUITE POUR MARQUER LE CHEMIN PAR DES SIGNES, ILS NE PURENT LE TROUVER.
7 JEREMIYAH LE SUT ET IL LES BLÂMA : "CE LIEU, LEUR DIT-IL, RESTERA caché JUSQU'AU TEMPS où ILOHIM RASSEMBLERA LE RASSEMBLEMENT DE SON PEUPLE ET SE MONTRERA Miséricordieux. 8 ALORS LE SEIGNEUR MONTRERA CES CHOSES, LA GLOIRE DU SEIGNEUR APPARAÎTRA, AINSI QUE LA Nuée, DE MÊME AU TEMPS DE MOÏSE, IL SE MANIFESTA, ET DE MÊME AUSSI SALOMON DEMANDA QUE LE LIEU fût MAGNIFIQUEMENT sanctifié".
9 IL était ENCORE raconté QUE CE ROI, possédant LA SAGESSE, OFFRIT LE SACRIFICE DE LA Dédicace ET DE L'Achèvement DU SANCTUAIRE.
10 ET QUE DE MÊME QUE MOÏSE ayant prié LE SEIGNEUR, UN FEU DESCENDIT DU CIEL ET CONSUMA LE SACRIFICE, AINSI SALOMON PRIA, ET LE FEU DESCENDIT ET dévora LES HOLOCAUSTES.
11 MOÏSE DIT : "C'EST PARCE QUE LA VICTIME DU Péché n'est pas mangée QU'ELLE a été consumée".
12 ET SALOMON célébra PAREILLEMENT LES HUITS JOURS DE LA Dédacace.
DEUTERONOME chap 18
18:15 YAHWEH, TON ILOHIM, TE SUSCITERA DU MILIEU DE TOI, D'ENTRE TES frères, UN Prophète TEL QUE MOI (MOÏSE) : VOUS L'écouterez.
16 C'EST CE QUE TU as demandé à YAHWEH, TON ILOHIM, EN HOREB, LE JOUR DE L'Assemblée, EN DISANT : "JE NE VEUX PLUS ENTENDRE LA VOIX DE YAHWEH, MON ILOHIM, ET JE NE VEUX PLUS VOIR CE GRAND FEU, DE PEUR DE MOURIR".
17 YAHWEH ME DIT : "CE QU'ILS ONT DIT EST BIEN. 18 JE LEUR SUSCITERAI D'ENTRE LEURS frères UN Prophète TEL QUE TOI; JE METTRAI MES PAROLES DANS SA BOUCHE, ET IL LEUR DIRA TOUT CE QUE JE LUI COMMANDERAI. 19 ET SI QUELQU'UN n'écoute pas MES PAROLES QU'IL DIRA EN MON NOM, C'EST MOI QUI LUI EN DEMANDERAI COMPTE. (ISSAYAH chap 2, MICHEYAH chap 4, JEREMIYAH chap 1, JOËL chap 4:12, PSAUME 50, ZACHARIYAH chap 2, MALACHIYAH chap 2 et chap 3, APOC DE JEAN chap 10, chap 14:14 et chap 19:11, chap 18, chap 21 et chap 22)
JEREMIYAH chap 31
31:22 CAR YAHWEH a créé UNE CHOSE NOUVELLE SUR LA TERRE : UNE FEMME RECHERCHANT SON MARI. (ISSAYAH chap 65, chap 66, chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, APOC DE JEAN chap 12:1-2, chap 19, chap 21 et chap 22)
23 AINSI PARLE YAHWEH DES Armées, ILOHIM D'ISRAÏL : ON DIRA ENCORE CETTE PAROLE DANS LA TERRE DE JUDA ET DANS SES VILLES, QUAND JE CHANGERAI LEUR SORT : "QUE YAHWEH TE bénisse, DEMEURE DE LA JUSTICE, MONTAGNE SAINTE" !
24 Là HABITERONT PAREILLEMENT JUDA ET TOUTES SES VILLES, LES LABOUREURS ET CEUX QUI CONDUISENT LES TROUPEAUX.
25 CAR J'ABREUVERAI, L'ÂME altérée, ET JE COMBLERAI L'ÂME LANGUISSANTE. 26 SUR CELA JE ME suis réveillé, ET J'AI VU QUE MON SOMMEIL avait été doux.
27 DES JOURS VIENNENT, -ORACLE DE YAHWEH, - où J'ENSEMENCERAI LA MAISON D'ISRAÏL ET LA MAISON DE JUDA D'UNE SEMENCE D'HOMME ET D'UNE SEMENCE D'ANIMAUX. 28 ET IL ARRIVERA : COMME J'ai veillé SUR EUX POUR RENVERSER ET POUR ABATTRE, POUR RUINER, POUR détruire ET POUR FAIRE DU MAL, AINSI JE VEILLERAI SUR EUX POUR BÂTIR ET PLANTER, - ORACLE DE YAHWEH. (ZACHARIYAH chap 3, chap 3:8, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, EZECHIEL chap 28:11, MALACHIYAH chap 2 et chap 3; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 21 et chap 22)
29 EN CES JOURS-là, ON NE DIRA PLUS : "LES pères ont mangé DES RAISINS VERTS, ET LES DENTS DES FILS EN sont agacées."
30 MAIS CHACUN MOURRA POUR SA FAUTE; TOUT HOMME QUI MANGERA DES RAISINS VERTS, SES DENTS en seront agacées.
31 VOICI QUE DES JOURS VIENNENT, - ORACLE DE YAHWEH, - où JE CONCLURAI AVEC LA MAISON D'ISRAÏL ET AVEC LA MAISON DE JUDA UNE ALLIANCE NOUVELLE, 32 NON COMME L'ALLIANCE QUE JE CONCLUS AVEC LEURS pères LE JOUR où JE LES SAISIS PAR LA MAIN POUR LES FAIRE SORTIR DU PAYS D'EGYPTE, ET EUX ONT ROMPU MON ALLIANCE à MOI, à MOI QUI M'étais unis à EUX, - ORACLE DE YAHWEH.
33 OUI ! VOICI L'ALLIANCE QUE JE CONCLURAI AVEC LA MAISON D'ISRAÏL après CES JOURS-là, - ORACLE DE YAHWEH : - JE METTRAI MA LOI DANS LEUR INTIME, ET SUR LEUR COEUR JE L'écrirai; ET JE SERAI LEUR ILOHIM, ET ILS SERONT MON PEUPLE. (PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, 45, 23, 87; ISSAYAH chap 51:15, chap 54, chap 55, chap 2 et chap 3 et chap 4 et chap 5:1, chap 65, chap 66; MICHEYAH chap 4, MALACHIYAH chap 2 ET chap 3; APOC DE JEAN chap 7, chap 14, chap 15, chap 21 et chap 22)
34 ON N'AURA PLUS à S'INSTRUIRE L'UN L'AUTRE, le frère son frère, EN DISANT : "CONNAISSEZ YAHWEH" ! CAR ILS ME CONNAÎTRONT TOUS, PETITS ET GRANDS, - ORACLE DE YAHWEH. - CAR JE PARDONNERAI LEUR FAUTE, ET JE NE ME SOUVIENDRAI PLUS DE LEUR péché.
EXODE chap 19
NOUVELLE ALLIANCE ETERNELLE DE PAIX DE YAHWEH DES Armées, LE Créateur, LE ILOHIM, L'UNIQUE AVEC SON épouse SION, LA NOUVELLE JERUSALEM, MIRSINI NOËLLA : Jeremiyah chap 31:22-34; Issayah chap 51:15; chap 65:20; chap 54; chap 55:3, chap 55:12; chap 65, chap 66; chap 2; Micheyah chap 4; MALACHIYAH chap 2 et chap 3; Apocalypse de Jean chap 21 et 22
3 MOÏSE MONTA VERS ILOHIM, (DEUTERONOME chap 18:15-18; APOC DE JEAN chap 10, chap 11, chap 12:1-2, chap 15)
ET YAHWEH L'APPELA DU HAUT DE LA SAINTE MONTAGNE, EN DISANT :
"TU PARLERAS AINSI à LA MAISON D'ISRAÏL ET TU déclareras AUX ENFANTS D'ISRAÏL : VOUS AVEZ VU CE JE J'AI FAIT à L'EGYPTE ET à SON PEUPLE ET à SES DIEUX, ET COMMENT JE VOUS AI portés SUR DES AILES D'AIGLE ET VOUS AI amenés VERS MOI.
MAINTENANT, SI VOUS VOULEZ écouter MA VOIX ET SI VOUS GARDEZ MON ALLIANCE, VOUS SEREZ MON DOMAINE PROPRE, CAR TOUTE LA TERRE, TOUT L'UNIVERS EST à MOI; MAIS VOUS, VOUS ME DEVIENDREZ UN ROYAUME ET DES PRÊTRES ET UNE NATION SAINTE. TELLES SONT LES PAROLES QUE TU DIRAS AUX ENFANTS D'ISRAÏL. (APOC DE JEAN chap 4 et chap 5, chap 21)
MOÏSE VINT APPELER LES ANCIENS DU PEUPLE, ET IL LEUR EXPOSA TOUTES CES PAROLES, COMME YAHWEH LE LUI avait commandé. LE PEUPLE répondit UNANIMEMENT : "NOUS FERONS TOUT CE QU'A DIT YAHWEH".
MOÏSE RAPPORTA à YAHWEH LES PAROLES DU PEUPLE, ET YAHWEH DIT à MOÏSE :
"VOICI QUE JE VAIS VENIR VERS TOI DANS UNE Nuée épaisse, AFIN QUE LE PEUPLE ENTENDE QUAND JE PARLERAI AVEC TOI, ET QU'EN TOI AUSSI IL AIT FOI à JAMAIS". (ISSAYAH chap 4 et chap 5:1 et chap 60; APOC DE JEAN chap 10, chap 12:1-2, chap 21, chap 21:22; 2ème Livre des Machabées chap 2)
ET YAHWEH DIT à MOÏSE : "VA VERS LE PEUPLE, ET SANCTIFIE-LES AUJOURD'HUI ET DEMAIN, ET QU'ILS LAVENT LEURS VÊTEMENTS.DANS LE SANG DE LA FEMME DE L'AGNEAU. (ISSAYAH chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 25, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 2:8, chap 4 et chap 5, chap 7; chap 10, chap 22:12-15; SOURATES : LA CHAMELLE D'ALLAH QU'ALLAH LEUR ENVOYA COMME SIGNE, MAIS ILS L'égorgèrent ! PSAUME 50)
QU'ILS SOIENT PRÊTS POUR LE troisième JOUR; CAR LE troisième JOUR YAHWEH DESCENDRA, AUX YEUX DE TOUT LE PEUPLE SUR SA SAINTE MONTAGNE. (PSAUMES 1, 2, 110, 50, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 60, JOËL chap 2 et chap 3, chap 4:16-21, APOC DE JEAN chap 21)
MOÏSE SANCTIFIA LE PEUPLE, ET ILS lavèrent LEURS VÊTEMENTS. (APOC DE JEAN chap 1:10, chap 3, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 22:14, ISSAYAH chap 4 et chap 5:1, chap 25; )
QUAND LA CORNE SONNERA, ILS MONTERONT VERS LA MONTAGNE. (JOËL chap 2:1; chap 2:15: SONNEZ DE LA TROMPETTE EN SION; ISSAYAH chap 27:12-13, chap 52, chap 58, APOC DE JEAN chap 1:10; chap 10; chap 11:15; LE CORAN : ON SONNERA DANS LA TROMPE; EZECHIEL chap 3, chap 33)
PUIS IL DIT AU PEUPLE : "SOYEZ PRÊTS DANS TROIS JOURS; NE VOUS APPROCHEZ PAS DES FEMMES. (APOCALYPSE DE JEAN chap 17, chap 14)
LE Troisième JOUR AU MATIN, IL Y EUT DES TONNERRES, DES éclairs, UNE Nuée épaisse SUR LA SAINTE MONTAGNE ET DES SONNERIES DE TROMPETTE très éclatantes, ET TOUT LE PEUPLE QUI était SUR LA TERRE TREMBLA.
MOÏSE FIT SORTIR LE PEUPLE à LA RENCONTRE DE ILOHIM, ET ILS SE TENAIENT AU PIED DE LA SAINTE MONTAGNE.
LA SAINTE MONTAGNE était TOUTE FUMANTE, PARCE QUE YAHWEH Y était DESCENDU DANS LE FEU, ET SA fumée s'élevait COMME LA fumée D'UNE FOURNAISE, ET TOUTE LA SAINTE MONTAGNE TREMBLAIT FORT. LES SONNERIES DE LA TROMPETTE DEVENAIENT DE PLUS EN PLUS éclatantes.
MOÏSE PARLA, ET ILOHIM LUI répondit PAR SEPT TONNERRES. YAHWEH DESCENDIT SUR SA SAINTE MONTAGNE, ET YAHWEH APPELA MOÏSE ET MOÏSE SE TINT PRÊT. (ISSAYAH chap 52:8-15; APOCALYPSE DE JEAN chap 10:3; chap 15)
YAHWEH DIT à MOÏSE : "FIXE DES LIMITES AUTOUR DE LA SAINTE MONTAGNE ET SANCTIFIE-LA".
YAHWEH LUI DIT ET MOÏSE ALLA VERS LE PEUPLE ET LEUR PARLA.
20:1 ET ILOHIM prononça TOUTES CES PAROLES-CI :
"JE SUIS YAHWEH, TON ILOHIM, QUI T'AI tiré DU PAYS D'EGYPTE, DE LA MAISON DE L'ESCLAVAGE.
TU N'AURAS PAS D'AUTRES DIEUX DEVANT MOI.
TU NE TE FERAS PAS D'IMAGE taillée, NI AUCUNE IMAGE DE CE QUI EST EN HAUT DANS LE CIEL, OU DE CE QUI EST EN BAS SUR LA TERRE, OU DE CE QUI EST DANS LES EAUX AU-DESSOUS DE LA TERRE. TU NE TE PROSTERNERAS PAS DEVANT ELLES ET TU NE LES SERVIRAS PAS.
CAR MOI YAHWEH, TON ILOHIM, JE SUIS UN ILOHIM JALOUX, QUI PUNIS LA FAUTE DU Pécheur PAR LA Malédiction ET témoigne DE LA Bonté JUSQU'à MILLE Générations de Générations, à CEUX QUI M'AIMENT ET QUI GARDENT MES COMMANDEMENTS.
TU NE PRENDRAS PAS LE NOM DE YAHWEH, TON ILOHIM, POUR TROMPER, CAR YAHWEH NE LAISSERA PAS IMPUNI CELUI QUI PRENDRA SON NOM POUR TROMPER.
SOUVIENS-TOI DU JOUR DU SABBAT POUR LE SANCTIFIER. PENDANT SIX JOURS TU TRAVAILLERAS, ET TU FERAS TOUS TES TRAVAUX. MAIS LE Septième JOUR EST UN SABBAT QUI APPARTIENT à YAHWEH, TON ILOHIM : TU NE FERAS AUCUN TRAVAIL, NI TOI, NI TON FILS, NI TA FILLE, NI TON bétail, NI TON HÔTE. CAR PENDANT SIX JOURS YAHWEH A FAIT LE CIEL, LA TERRE, LA MER ET TOUT CE QU'ILS CONTIENNENT, ET IL S'EST reposé LE Septième JOUR : C'EST POURQUOI YAHWEH a béni LE JOUR DU SABBAT ET L'A consacré. TU GARDERAS LE JOUR DU SABBAT ET TU GARDERAS TA MAIN ET TA BOUCHE POUR NE FAIRE AUCUN MAL.
HONORE TON Père ET TA Mère, AFIN QUE TES JOURS SE PROLONGENT éternellement DANS LE PAYS QUE YAHWEH, TON ILOHIM, TE DONNE. (ISSAYAH chap 66, chap 65, chap 49:17, chap 49:21, chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 4 et chap 5:1, chap 2 et chap 3, PSAUME 50, MICHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 12, chap 14, chap 15, chap 21 et chap 22; ZACHARIYAH chap 13, PSAUME 87)
SI LE GARDIEN T'AVERTIT, écoute-le, CAR C'EST MOI QUI L'ai institué POUR TE GARDER SUR LA VOIE DROITE UNIVERSELLE DE TON Créateur, TON ILOHIM, L'UNIQUE, TON Père, LE TOUT-PUISSANT, LE SAGE, LE JUSTE ET LE SAINT D'ISRAÏL, YAHWEH DES Armées, YAHWEH SABAOTH, TON GRAND ROI.
HONORE ton père et ta mère, DES JUSTES DU PEUPLE DE YAHWEH, AFIN QUE TES JOURS SE PROLONGENT DANS LE PAYS QUE YAHWEH, TON ILOHIM, TE DONNE.
TU NE COMMETTRAS PAS DE MEURTRE.
TU NE COMMETTRAS PAS D'adultère NI PHYSIQUE, NI SPIRITUEL EN TE PROSTITUANT à D'AUTRES DIEUX, CAR CETTE VOIE mène à LA PERDITION.
TU NE VOLERAS PAS.
TU NE PORTERAS PAS DE FAUX témoignage CONTRE TON COMPAGNON ET TU JURERAS AU NOM DE YAHWEH QUE TU DIS LA vérité, CAR YAHWEH NE LAISSERA PAS IMPUNI CELUI QUI PREND SON NOM POUR MENTIR ET FAIRE LE MAL.
TU NE CONVOITERAS PAS LA MAISON DE TON COMPAGNON; TU NE CONVOITERAS PAS LA FEMME DE TON COMPAGNON, TU NE CONVOITERAS PAS L'ENFANT DE TON COMPAGNON, NI RIEN DE CE QUI APPARTIENT à TON COMPAGNON.
TOUT LE PEUPLE PERCEVAIT LES TONNERRES, LES FLAMMES ET LE SON DE LA TROMPETTE AINSI QUE LA SAINTE MONTAGNE FUMANTE;
à CE SPECTACLE, IL FRISSONNAIT ET SE TENAIT à DISTANCE. ILS DIRENT à MOÏSE : "PARLE-NOUS, TOI, ET NOUS écouterons; MAIS QUE ILOHIM NE NOUS PARLE PAS, DE PEUR QUE NOUS NE MOURIONS".
YAHWEH PARLA à MOÏSE ET MOÏSE DIT LES PAROLES DE YAHWEH AU PEUPLE : MAIS YAHWEH répandra SON ESPRIT SUR TOUTE CHAIR, SUR TOUS LES ENFANTS DE SION, SUR TOUT SON PEUPLE, SUR TOUS SES ENFANTS, ILS prophétiseront, ILS AURONT DES SONGES ET DES VISIONS. (JOËL chap 2:23-27 et chap 3:1-5; ISSAYAH chap 44)
MOÏSE répondit AU PEUPLE : "NE CRAIGNEZ PAS, CAR C'EST POUR VOUS METTRE à L'épreuve QUE ILOHIM EST VENU, AFIN QUE VOUS NE péchiez PAS ET AYEZ LA VIE éternelle ET QU'IL SOIT PARMI NOUS POUR ESSUYER TOUTES LARMES DE VOS YEUX ET QUE LA MORT NE SOIT PLUS, NI DEUIL NI CRI DE SOUFFRANCE NI DOULEUR, ET METTRE FIN à CE QUI était AUPARAVANT, POUR créer UNE NOUVELLE TERRE ET DE NOUVEAUX CIEUX ET UNE JERUSALEM DE JOIE POUR SON PEUPLE POUR TOUTES LES Générations DE Générations POUR VOUS ET POUR VOS ENFANTS". (ISSAYAH chap 25, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 7 et chap 21et chap 22)
EXODE chap 23
23:20 VOICI QUE J'ENVOIE UN ANGE DEVANT TOI, POUR TE GARDER DANS LA VOIE ET POUR T'INTRODUIRE AU LIEU QUE J'ai préparé. (ZACHARIYAH CHAP 1, chap 2, chap 3, CHAP 3:8, chap 4, chap 6, chap 12:8, chap 13, chap 14; MALACHIYAH chap 2: et chap 3, ISSAYAH chap 2 et chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 13, chap 25, chap 54 et chap 55, chap 55:12, MICHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 1:10, chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 18, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22, CHAP 22:6;
SOURATE AL-ANAM 6:7 : MÊME SI NOUS AVIONS FAIT DESCENDRE SUR TOI UN LIVRE écrit SUR PARCHEMIN ET QUE LES Négateurs L'avaient touché DE LEURS PROPRES MAINS, ILS se seraient écriés : "CE N'EST là QUE DE LA MAGIE FLAGRANTE !" (EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, DANIEL chap 10, chap 12, chap 9, chap 7, MALACHIYAH chap 3, ZACHARIYAH chap 5; APOC DE JEAN chap 4 et chap 5, chap 10)
8 "QUE N'A-T-ON FAIT DESCENDRE UN ANGE POUR L'ASSISTER ?", DISENT-ILS.
OR, SI NOUS LUI AVIONS ADJOINT UN ANGE, LEUR SORT aurait déjà été réglé ET PLUS AUCUN Répit ne LEUR aurait été accordé. (ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 6, chap 12:8, chap 14; ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 11, CHAP 13, CHAP 24, CHAP 27, CHAP 28, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; DANIEL CHAP 7, chap 10, chap 12, chap 9, EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 33, chap 18, chap 9, chap 10, JEREMIYAH chap 1, chap 3:17, APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, 14:14, chap 19:11, chap 18, chap 14:6, chap 21 et chap 22; LIVRE D'HENOCH; SOURATES : ALLAH ET SES TROUPES; PSAUMES 50, 91, JOËL chap 2, chap 4:12; MALACHIYAH chap 3; MICHEYAH chap 4)
9 ET à SUPPOSER MÊME QUE NOUS LEUR ayons envoyé UN ANGE COMME Prophète, NOUS LUI aurions donné FORME HUMAINE ET ILS auraient été victimes de la même méprise QU'ILS ONT COMMIS. 10 CERTES, D'AUTRES Prophètes, AVANT TOI, ont été tournés en dérision : MAIS LES RAILLEURS FURENT ASSAILLIS DE TOUTES PARTS PAR LES CHÂTIMENTS MÊMES DONT ILS SE MOQUAIENT. 11 DIS : "ALLEZ DE PAR LE MONDE ET VOYEZ QUELLE a été LA FIN DES Négateurs !"
12 DIS : "A QUI APPARTIENT CE QUI EST DANS LES CIEUX ET SUR LA TERRE ? " Réponds : "A ALLAH QUI S'EST PRESCRIT à LUI-MÊME D'ÊTRE Miséricordieux ET QUI VOUS RASSEMBLERA SANS NUL DOUTE AU JOUR DE LA Résurrection. ET, CE JOUR-là, CEUX QUI PERDRONT LEUR ÂME SONT CEUX-là MÊMES QUI N'AURONT PAS CRU.
ISSAYAH chap 52:1 Réveille-toi, réveille-toi, REVÊTS TA FORCE SION, REVÊTS LES VÊTEMENTS DE TA GRANDEUR, JERUSALEM, VILLE SAINTE, CAR, DU RESTE L'INCIRCONCIS ET L'IMPUR NE RENTRERA PLUS DE NOUVEAU CHEZ TOI. (ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, JEREMIYAH chap 1, chap 3:17, ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 6, chap 12:8, chap 14, JOËL chap 2, chap 4:12, PSAUMES 50, 91, 87, APOC DE JEAN chap 21 et chap 22) 5 ET MON NOM est blasphémé TOUJOURS, CHAQUE JOUR. 6 POUR CELA, MON PEUPLE CONNAÎTRA MON NOM, POUR CELA, EN CE JOUR-là, IL CONNAÎTRA QUE C'EST MOI QUI DIS : "ME VOICI" ! 7 QU'ILS SONT BEAUX LES PIEDS SUR LES MONTAGNES DE CELUI QUI ANNONCE LA BONNE NOUVELLE, CELUI QUI PROCLAME LA PAIX ! CELUI QUI ANNONCE DES BIENS, CELUI QUI PROCLAME LE SALUT, CELUI QUI DIT à SION : TON ILOHIM règne ! (ZACHARIYAH chap 12, DANIEL chap 7, APOC DE JEAN chap 11:15, chap 19) 8 ENTENDS TES GUARDIENS ! ILS élèvent LA VOIX, ILS POUSSENT TOUS DES CRIS D'Allégresse, CAR ILS VOIENT DE LEURS YEUX LE RETOUR DE YAHWEH EN SION. (ZACHARIYAH chap 1, chap 2; ISSAYAH chap 2 et chap 3, chap 4 et chap 5, PSAUME 50, JOËL chap 2, chap 4:12; MALACHIYAH chap 2 et chap 3, EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3) 9 ECLATEZ ENSEMBLE EN CRIS DE JOIE, RUINES DE JERUSALEM ! CAR YAHWEH a consolé SON PEUPLE, IL a racheté JERUSALEM. (MICHEYAH chap 4) 10 YAHWEH a révélé LE BRAS DE SA Sainteté AUX YEUX DE TOUTES LES NATIONS, ET TOUTES LES Extrémités DE LA TERRE VOIENT LE SALUT DE NOTRE ILOHIM. 11 PARTEZ, PARTEZ, SORTEZ de là; NE TOUCHEZ RIEN D'IMPUR ! SORTEZ-EN; PURIFIEZ-VOUS, VOUS QUI PORTEZ LES VASES DE YAHWEH ! 12 CERTES CE N'EST PAS HÂTIVEMENT QUE VOUS SORTIREZ, NI EN FUGITIFS QUE VOUS MARCHEREZ; CAR YAHWEH MARCHE DEVANT VOUS, ET VOTRE Arrière-garde EST LE ILOHIM D'ISRAÏL ! (APOC DE JEAN chap 13, chap 17, chap 18, chap 14:6; ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 13, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 6, chap 12:8, chap 14, PSAUMES 50, 91, DANIEL chap 7, JOËL chap 4:12, MALACHIYAH chap 3; APOC DE JEAN chap 10, chap 12:1-2, chap 14:14, chap 19:11) 13 VOICI QUE MON SERVITEUR TROUVERA LE Succès; IL MONTERA, s'élèvera ET sera exalté à L'EXTRÊME. (ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 6, chap 12:8, chap 14) 53:1 QUI A CRU CE QUE NOUS AVONS APPRIS, ET LE BRAS DE YAHWEH à QUI s'est-il révélé ? 10 S'IL LIVRE SA VIE EN SACRIFICE EXPIATOIRE, IL VERRA UNE Postérité, IL PROLONGERA SES JOURS, ET LE DESSEIN DE YAHWEH PAR LUI, TROUVERA LE Succès. 13 A CAUSE DE SA PROPRE PEINE IL VERRA, ET SA CONNAISSANCE LE COMBLERA. LE JUSTE, MON SERVITEUR, RENDRA JUSTES DES MULTITUDES ET LUI-MÊME SE CHARGERA DE LEURS FAUTES. 12 C'EST POURQUOI JE METTRAI SA PART PARMI LES GRANDS; IL PARTAGERA LE BUTIN AVEC LES FORTS. PARCE QU'IL s'est livré à LA MORT ET QU'IL a été compté PARMI LES MALFAITEURS, ET QUE LUI-MÊME a levé LES Péchés DE BEAUCOUP, ET QU'IL a intercédé POUR LES IMPIES. (DANIEL chap 12, APOC DE JEAN chap 1, chap 2:8, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 19:11, chap 21 et chap 22; ISSAYAH chap 61, chap 66; PSAUMES 50, 91) 54:1 POUSSE DES CRIS DE JOIE, stérile, QUI N'ENFANTAIS PAS, éclate DE JOIE ET D'allégresse, TOI QUI n'as pas été en travail d'accouchement, CAR PLUS NOMBREUX SONT LES ENFANTS DE LA Délaissée, QUE LES ENFANTS DE CELLE QUI AVAIT UN MARI, DIT YAHWEH. 2 ELARGIS L'ESPACE DE LA TENTE; QUE S'AGRANDISSENT LES PIEUX QUI COMPOSENT TA DEMEURE; SANS réserve, ALLONGE TES CORDES, ET AFFERMIS TES PIEUX ! 3 CAR à DROITE ET à GAUCHE TU T'étendras, ET TON SPERME / TA RACE CONQUERRA LES NATIONS ET PEUPLERA LES VILLES désertes. 4 NE CRAINS PAS, CAR TU N'AURAS PAS à ROUGIR; N'AIE PAS HONTE, CAR TU NE SERAS PAS déshonorée; CAR TU OUBLIERAS LA HONTE DE TA JEUNESSE, ET TU NE TE SOUVIENDRAS PLUS DES AFFRONTS DE TON VEUVAGE. (ISSAYAH chap 60, chap 60:19-22, chap 61, chap 62) 6 CAR TON EPOUX, C'EST TON Créateur, YAHWEH DES Armées EST SON NOM; ET TON Rédempteur EST LE SAINT D'ISRAÏL, IL S'APPELLE LE ILOHIM DE TOUTE LA TERRE. 6 CAR COMME UNE FEMME Délaissée ET Affligée, YAHWEH T'a appelée, ET L'EPOUSE DE LA JEUNESSE QUI a été rejetée, DIT TON ILOHIM. (ISSAYAH chap 3:6, MALACHIYAH chap 2, EZECHIEL chap 28:11; MICHEYAH chap 4:9; DANIEL chap 9, PSAUME 89, SOURATE AL-KAHF / LA CAVERNE; ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62; OSHEYAH chap 2:16, JOËL chap 2:15-16; APOC DE JEAN chap 18:21-24, chap 19, chap 21; PSAUMES 110 ET 45, 50, 91, 1, 2, 23) 10 QUE LES MONTAGNES SE RETIRENT, ET QUE LES COLLINES soient ébranlées, MON AMOUR NE SE RETIRERA PAS DE TOI, ET MON ALLIANCE DE PAIX ne sera pas ébranlée, DIT CELUI QUI a pitié DE TOI, YAHWEH. (MALACHIYAH chap 2, chap 3, ISSAYAH chap 2, chap 51:15; MICHEYAH chap 4) 11 MALHEUREUSE, BATTUE PAR LA TEMPÊTE, inconsolée, VOICI QUE JE COUCHERAI TES PIERRES DANS L'ANTIMOINE, ET QUE JE TE FONDERAI SUR DES SAPHIRS; 12 JE FERAI TES FRONTONS DE RUBIS, TES PORTES D'ESCARBOUCLES, ET TOUTE TON ENCEINTE DE PIERRES précieuses. 13 TOUS TES ENFANTS SERONT DISCIPLES DE YAHWEH, TES ENFANTS JOUIRONT D'UNE GRANDE PAIX. (ISSAYAH chap 2, chap 65, chap 66, chap 9; MICHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 21 et chap 22) 55:1 Ô VOUS TOUS QUI AVEZ SOIF, VENEZ AUX EAUX, ECOUTEZ-MOI DONC ET MANGEZ CE QUI EST BON, ET délectez-vous DE METS SUCCULENTS. 3 PRÊTEZ L'OREILLE ET VENEZ à MOI; écoutez, ET QUE VOTRE ÂME VIVE; ET JE CONCLURAI AVEC VOUS UNE ALLIANCE éternelle : CE SONT LES GRÂCES DURABLES assurées à DAVID. 4 VOICI QUE JE L'ai établi Témoin auprès DES PEUPLES, SOUVERAIN GOUVERNANT LES PEUPLES. 5 VOICI QUE TU APPELLERAS LA NATION QUE TU NE CONNAISSAIS PAS, ET LES NATIONS QUI NE TE CONNAISSAIENT PAS ACCOURRONT à TOI, à CAUSE DE YAHWEH, TON ILOHIM, ET DU SAINT D'ISRAÏL, PARCE QU'IL T'a glorifié ! (PSAUMES 1, 2, 110, 45, 23, 50, 91, 89, 87; ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, chap 25, chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 7, chap 8, chap 9, chap 11, chap 13, chap 14, chap 14:29, chap 24, chap 28, chap 33, chap 42, chap 49, chap 52, chap 58; APOC DE JEAN chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22, chap 22:17) 12 PARCE QUE, VOUS SORTIREZ DANS LA JOIE,, ET VOUS SEREZ CONDUITS AVEC PAIX; LES MONTAGNES ET LES COLLINES VOUS ACCLAMERONT, ET TOUS LES ARBRES DU CHAMP APPLAUDIRONT. 13 AU LIEU DES épines s'élèvera LE Cyprès, ET AU LIEU DES ORTIES s'élèvera MIRSINI / MYRTE, ET CELA SERA POUR YAHWEH POUR UN NOM, UN SIGNE éternel, QUI NE DISAPARAÎTRA PAS. (ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:6; chap 6, chap 12:8, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 25, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 7, chap 7:14-17, chap 21 et chap 22; JEAN DE JERUSALEM; SOURATES : LA CHAMELLE QU'ALLAH VOUS a envoyé COMME SIGNE POUR VOUS éprouver, MAIS ILS L'égorgèrent ! LA CHAMELLE ET L'EAU POUR BOIRE, ELLE BOIRA UNE FOIS ELLE ET UNE FOIS VOUS ! LE PASTEUR D'HERMAS )
23:20 VOICI QUE J'ENVOIE UN ANGE DEVANT TOI, POUR TE GARDER DANS LA VOIE ET POUR TE CONDUIRE AU LIEU QUE J'ai préparé.
21 FAIS ATTENTION à LUI ET écoute SA VOIX; NE LUI SOIS PAS REBELLE, CAR IL NE PARDONNERAIT PAS VOS TRANGRESSIONS, PARCE QUE MON NOM EST EN LUI.
22 MAIS SI TU VEUX écouter SA VOIX, ET SI TU FAIS TOUT CE QUE JE DIRAI, ALORS JE ME FERAI L'ENNEMI DE TES ENNEMIS ET L'ADVERSAIRE DE TES ADVERSAIRES.
23 CAR MON ANGE MARCHERA DEVANT TOI ET TE CONDUIRA VERS LES Amorréhens, LES HITTITES, LES PERIZZITES, LES Chananéens, LES HIWWITES ET LES Jébuséens, ET JE LES EXTERMINERAI.
24 TU NE TE PROSTERNERAS PAS DEVANT LEURS DIEUX ET TU NE LES ADORERAS PAS; TU NE FERAS PAS COMME ILS FONT, MAIS TU LES RENVERSERAS ET TU BRISERAS LEURS IDOLES. (GENESE chap 3, ISSAYAH chap 2 et chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 11:8, chap 14:29, DANIEL chap 2:30, chap 7, chap 10, chap 9, chap 12; PSAUMES 50, 91; 1, 2, 110, 45, 89; SOURATE AL-KAHF/ LA CAVERNE; LIVRE D'HENOCH)
25 ET VOUS ADOREREZ YAHWEH, VOTRE ILOHIM, ET LUI bénira TON PAIN ET TON EAU, ET IL éloignera DE TOI CHAQUE MALADIE D'AU MILIEU DE TOI. (ISSAYAH chap 28, chap 33, chap 25, chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12; ZACHARIYAH chap 13, chap 14, JOËL chap 4:15; PSAUMES 50, 23, 110, 45, 1, 2, 91, EZECHIEL chap 47, APOC DE JEAN chap 7, chap 21 et chap 22, chap 22:17)
26 IL N'Y AURA DANS TA TERRE NI FEMME QUI AVORTE, NI FEMME stérile; ET LE NOMBRE DE TES JOURS JE LES FERAI COMPLET. (ISSAYAH chép 25, chap 52, chap 53, chap 54, chap 55:12; chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 1:10, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 14, chap 15, chap 21 et chap 22; PSAUME 50)
27 J'ENVERRAI DEVANT TOI MA TERREUR, ET JE détruirai CHAQUE PEUPLE VERS LEQUEL TU ARRIVERAS, ET JE FERAI TOURNER LE DOS DEVANT TOI à TOUS TES ENNEMIS. (ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 28, chap 33, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 91, 89, 109)
28 J'ENVERRAI DEVANT TOI LES GUÊPES, ET ELLES CHASSERONT LES HIWWITES, LES Chananéens ET LES HITTITES, DE DEVANT TOI.
29 JE NE LES CHASSERAI PAS DE DEVANT TOI EN UNE SEULE Année, POUR QUE LA TERRE NE DEVIENNE PAS UN Désert, ET QUE SE MULTIPLIENT LES BÊTES SAUVAGES CONTRE TOI.
30 JE LES CHASSERAI PEU à PEU DE DEVANT TOI, JUSQU'à CE QUE TU T'ACCROISSES ET QUE TU CONQUIERS LA TERRE. (ISSAYAH chap 52, chap 53, CHAP 54 et chap 55, chap 55:3, chap 55:12, chap 25; PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 91, 23)
31 J'établirai TON TERRITOIRE SUR TOUTE LA TERRE JUSQU'à SES Extrémités; CAR, DANS VOS MAINS, JE LIVRERAI LES HABITANTS DE LA TERRE, ET TU LES CHASSERAS DE DEVANT TOI. (PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 91, 23, 89, 109; APOC DE JEAN chap 3, chap 14:6, chap 16, chap 18, chap 14:14, chap 19:11, chap 20:15, JOËL chap 4:12, MICHEYAH chap 4, ISSAYAH chap 2 et chap 3, chap 4 et chap 5:1,chap 54 et chap 55, chap 55:12, chap 65, chap 66; MALACHIYAH chap 3)
22 TU NE FERAS PAS ALLIANCE AVEC EUX, NI AVEC LEURS DIEUX. 33 ILS N'HABITERONT PAS DANS TA TERRE, DE PEUR QU'ILS NE TE FASSENT pécher CONTRE MOI; PARCE QUE SI TU ADORES LEURS DIEUX, CELA DEVIENDRAIT POUR TOI UN Piège, CERTAINEMENT. (ISSAYAH chap 14, chap 14:29, chap 28, chap 57, chap 59, chap 65, chap 66; APOC DE JEAN chap 9:20, chap 13, chap 17, chap 14:6, chap 18, chap 16)
DEUTERONOME
12:1 "VOICI LES LOIS ET LES COMMANDEMENTS QUE VOUS GARDEREZ ET PRATIQUEREZ DANS LA TERRE QUE YAHWEH, LE ILOHIM DE VOS pères, TE DONNE POUR QUE TU EN hérites, TOUS LES JOURS QUE VOUS VIVEZ SUR LA TERRE.
2 VOUS détruirez entièrement TOUS LES LIEUX où LES NATIONS QUE VOUS ALLEZ CHASSER, ADORAIENT LEURS DIEUX, SUR LES HAUTES MONTAGNES, SUR LES COLLINES ET SOUS TOUT ARBRE VERT. 3 VOUS RENVERSEREZ LEURS AUTELS, VOUS BRISEREZ LEURS PIERRES levées, ET VOUS BRÛLEREZ LEURS ACHERIM, ET VOUS BRÛLEREZ LES IDOLES DE LEURS DIEUX ET VOUS FEREZ DISPARAÎTRE LEURS NOMS DE CES LIEUX. (ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 3:6, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 11, chap 11:8, chap 14, chap 14:29, chap 57, chap 59, chap 65, chap 66, ZACHARIYAH chap 13, OSHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 9:20, chap 12:3-4, chap 13, chap 17, chap 14:6, chap 18, chap 16, DANIEL chap 2:30, chap 7, chap 9, chap 10, chap 12)
4 VOUS NE FEREZ PAS AINSI à L'égard DE YAHWEH, VOTRE ILOHIM. 5 MAIS C'EST AU LIEU QUE YAHWEH, VOTRE ILOHIM, CHOISIRA D'ENTRE TOUTES VOS TRIBUS POUR Y METTRE SON NOM ET EN FAIRE SA DEMEURE, ET C'EST là QUE VOUS LE CHERCHEREZ ET QUE VOUS IREZ. (ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 13, chap 25, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3, CHAP 3:8, chap 4, chap 6, chap 12:8, chap 13, chap 14; PSAUMES 50, 91, JOËL chap 2, chap 4:12, MALACHIYAH chap 2 et chap 3; APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 14:14, chap 19:11, chap 21 et chap 22)
6 C'EST là QUE VOUS APPORTEREZ VOS OFFRANDES ET VOS SACRIFICES, VOS DÎMES ET CE QUE VOTRE MAIN aura prélevé, VOS VOEUX ET VOS OFFRANDES VOLONTAIRES. 7 C'EST là QUE VOUS EN MANGEREZ DEVANT YAHWEH, VOTRE ILOHIM, ET QUE VOUS VOUS réjouirez, VOUS ET VOS FAMILLES, DE TOUS LES BIENS QUE VOTRE MAIN AURA ACQUIS ET PARCE QUE YAHWEH, TON ILOHIM, T'aura béni.
8 VOUS NE FEREZ PAS, SELON TOUT CE QUE NOUS FAISONS MAINTENANT ICI, CHACUN FAISANT CE QUE BON LUI SEMBLE, 9 PARCE QUE VOUS n'êtes pas encore arrivés AU REPOS ET AU DOMAINE QUE TE DONNE YAHWEH TON ILOHIM. (PSAUMES 1, 2, 110, 23, 50, 91, 45, 89, 87, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 25, chap 28, chap 33, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 7, chap 14, chap 15, chap 21 et chap 22)
10 MAIS VOUS PASSEREZ LE JOURDAIN ET VOUS HABITEREZ LA TERRE DONT YAHWEH, VOTRE ILOHIM, VOUS DONNERA LA propriété, ET IL VOUS DONNERA DU REPOS, EN VOUS délivrant DE TOUS LES ENNEMIS QUI VOUS ENTOURENT, ET VOUS HABITEREZ EN Sécurité. (PSAUMES 1, 2, 110, 91, 50, 23, 89, 87, 45; DANIEL chap 7, chap 9, chap 10, chap 12, chap 2:30, ISSAYAH chap 52, chap 52:11, chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 13, chap 25, chap 54, chap 55, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; MALACHIYAH chap 2 et chap 3, APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 19:11, chap 21 et chap 22)
11 ALORS, DANS LE LIEU QUE YAHWEH, VOTRE ILOHIM, CHOISIRA POUR Y FAIRE HABITER SON NOM, C'EST là QUE VOUS APPORTEREZ TOUT CE QUE JE VOUS COMMANDE, VOS OFFRANDES ET VOS SACRIFICES, VOS DÎMES ET CE QUE VOTRE MAIN aura prélevé, ET TOUTES LES OFFRANDES DE CHOIX QUE VOUS aurez vouées à YAHWEH. 12 ET VOUS VOUS réjouirez DEVANT YAHWEH, VOTRE ILOHIM, VOUS, VOS FILS ET VOS FILLES, ET LE Lévite QUI SERA DANS VOS PORTES. (PSAUMES 50, 91, ZACHARIYAH chap 3:8, chap 6, chap 14, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 ET chap 5:1, chap 25, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, MALACHIYAH chap 2 et chap 3)
13 GARDE-TOI D'OFFRIR TES OFFRANDES DANS TOUS LES LIEUX QUE TU DISTINGUERAS; 14 MAIS C'EST UNIQUEMENT AU LIEU QUE YAHWEH AURA CHOISI DANS L'UNE DE TES TRIBUS, QUE TU OFFRIRAS TES OFFRANDES, ET là QUE TU FERAS TOUT CE QUE JE TE COMMANDE.
15 CEPENDANT, TANT QUE TU LE désireras, TU POURRAS IMMOLER ET MANGER DE LA VIANDE DANS TOUTES TES PORTES, SELON LES Bénédictions QUE T'ACCORDERA YAHWEH, TON ILOHIM; L'HOMME IMPUR ET L'HOMME PUR POURRONT EN MANGER, COMME DE LA GAZELLE ET DU CERF. (ZACHARIYAH chap 12:8, chap 13, APOC DE JEAN chap 21 et chap 22)
16 MAIS VOUS NE MANGEREZ PAS LE SANG : TU LE répandras SUR LA TERRE, COMME DE L'EAU.
17 TU NE POURRAS PAS MANGER DANS TES PORTES LA DÎME DE TON blé, DE TON VIN NOUVEAU ET DE TON HUILE, NI LES premiers-nés DE TES BOEUFS ET DE TES BREBIS, NI AUCUNE DES OFFRANDES QUE TU auras vouées, NI TES OFFRANDES VOLONTAIRES, NI CE QUE TA MAIN aura prélevé.
18 C'EST SEULEMENT DEVANT YAHWEH, TON ILOHIM, DANS LE LIEU QUE YAHWEH, TON ILOHIM, AURA CHOISI, QUE TU LES MANGERAS, TOI, TON FILS ET TA FILLE, ET LE Lévite QUI SERA DANS TES PORTES; TU TE réjouiras DEVANT YAHWEH, TON ILOHIM, DE TOUS LES BIENS QUE TA MAIN AURA ACQUIS.
19 GARDE-TOI DE délaisser LE Lévite, AUSSI LONGTEMPS QUE TU VIVRAS SUR TA TERRE. (MALACHIYAH chap 2 et chap 3, EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 18, chap 33, chap 9, chap 10, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 25, chap 49, chap 51:16, chap 54 et chap 55, chap 55:12, chap 59:20, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, MICHEYAH chap 4, DEUTERONOME chap 18:15, EXODE chap 23:20, ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3, chap 3:8, chap 4, chap 6, chap 12:8, chap 13, chap 14, APOC DE JEAN chap 1:8, chap 3, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 14, chap 15, chap 14:14; chap 19:11, chap 21 et chap 22, PSAUMES 50, 91, 1, 2, 110, 45, 23, 89, 87
MALACHIYAH
1:11 CAR, DU LEVER DU SOLEIL à SON COUCHER, MON NOM EST GRAND PARMI LES NATIONS, ET EN TOUT LIEU ON OFFRE à MON NOM DE L'ENCENS FUMANT ET UN SACRIFICE PUR, CAR MON NOM EST GRAND PARMI LES NATIONS, DIT YAHWEH DES Armées.
12 ET VOUS, VOUS LE PROFANEZ QUAND VOUS DITES : "LA TABLE DU SEIGNEUR est souillée, ET SES FRUITS SONT UNE Méprisable NOURRITURE". 13 ET VOUS DITES ENCORE : "VOICI ! QUEL Dérangement" ! ET VOUS LA méprisez, DIT YAHWEH DES Armées. ET VOUS présentez CE QUI est dérobé, CE QUI EST BOITEUX ET CE QUI EST MALADE, ET VOUS présentez CETTE OFFRANDE !
PUIS-JE L'agréer DE VOTRE PART ? DIT YAHWEH DES Armées. 14 POUR CELA, MAUDIT SOIT LE TROMPEUR, CELUI QUI, AYANT DANS SON TROUPEAU UN MÂLE, FAIT UN VOEU, ET SACRIFIE AU SEIGNEUR UNE CHOSE CORROMPUE, PARCE QUE JE SUIS UN GRAND ROI, DIT YAHWEH DES Armées, ET MON NOM est redouté PARMI LES NATIONS. (ISSAYAH chap 66, chap 7, chap 8, chap 9, chap 11, chap 13, chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5:2, APOC DE JEAN chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 12:4-5, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22; DANIEL chap 7, PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, 23, 45, 87, 109)
2:1 MAINTENANT DONC, C'EST POUR VOUS QU'EST CE COMMANDEMENT, Ô PRÊTRES.
2 SI VOUS n'écoutez pas ET VOUS NE PRENEZ PAS à COEUR DE DONNER GLOIRE à MON NOM, DIT YAHWEH DES Armées, J'ENVERRAI SUR VOUS LA Malédiction, ET JE MAUDIRAI VOS bénédictions; - ET déjà JE LES AI MAUDITES, PARCE QUE VOUS N'AVEZ PAS PRIS à COEUR !
3 VOICI, MOI JE VAIS REJETER VOS SPERMES, ET JE répandrai DU FUMIER SUR VOS VISAGES, LE FUMIER DE VOS FÊTES, ET JE VOUS EMPORTERAI AVEC LUI. 4 ET VOUS CONNAÎTREZ QUE MOI JE VOUS ai envoyé CE COMMANDEMENT-CI, POUR QUE SOIT MON ALLIANCE AVEC LEVI, DIT YAHWEH DES Armées. (MOÏSE était DE LA TRIBU DE LEVI : DEUTERONOME chap 18:15, EXODE chap 23:20)
5 MON ALLIANCE DE VIE ET DE PAIX était AVEC LUI ET JE LES ai donnés à LUI POUR LA RAISON DE LA CRAINTE AVEC LAQUELLE IL ME CRAIGNAIT, ET IL RESPECTAIT MON NOM. 6 LA LOI DE LA Vérité était DANS SA BOUCHE, ET D'Impiété n'a pas été trouvée SUR SES lèvres, IL MARCHAIT AVEC MOI AVEC PAIX ET DROITURE, ET NOMBREUX SONT CEUX QU'IL RAMENA DE L'Impiété.
7 PARCE QUE, LES lèvres DU PRÊTRE GARDERONT LA CONNAISSANCE, ET DE SA BOUCHE ILS DEMANDERONT LA LOI, PARCE QUE, LUI EST L'ANGE DE YAHWEH DES Armées. (PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, 45, 23, 87; ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 11, chap 13, chap 25, chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; MICHEYAH chap 4, ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3:8, chap 4, chap 6, chap 12, chap 12:8, chap 13, chap 14, JOËL chap 2, chap 4:12; APOC DE JEAN chap 1:10, chap 3, chap 4 et chap 5, chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 12:5, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22; EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 18, chap 33, chap 28:11; JEREMIYAH chap 1, chap 3:17, SOURATE : Obéir AU Prophète, C'EST obéir à ALLAH !; LIVRE D'HENOCH, JEAN DE JERUSALEM, LE PASTEUR D'HERMAS, LE LIVRE DE LA SAGESSE)
8 MAIS VOUS VOUS VOUS êtes éloignés DE LA VOIE, VOUS AVEZ FAIT QUE BEAUCOUP trébuchent DANS LA LOI, VOUS AVEZ CORROMPU L'ALLIANCE DE LEVI, DIT YAHWEH DES Armées. 9 POUR CELA, MOI AUSSI JE VOUS AI RENDU DIGNES DE Mépris ET humiliés DEVANT LE PEUPLE TOUT ENTIER, PARCE QUE VOUS n'avez pas gardé MES VOIES, ET QUE VOUS avez égard AUX PERSONNES DANS LES Décisions.
10 N'AVONS-NOUS PAS TOUS UN MÊME Père ? N'EST-CE PAS LE MÊME ILOHIM QUI NOUS a créés ? POURQUOI SOMMES-NOUS infidèles L'UN ENVERS L'AUTRE, PROFANANT L'ALLIANCE DE NOS pères ? .............................................
17 VOUS avez lassé YAHWEH PAR VOS PAROLES. ET VOUS DITES : "EN QUOI L'avons-nous lassé" ?
- EN DISANT : "QUICONQUE FAIT LE MAL EST BON AUX YEUX DE YAHWEH, ET EN CES GENS-là IL PREND PLAISIR" !
OU BIEN : "Où EST-IL LE ILOHIM DE LA JUSTICE"? (PSAUMES 50, 91, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5:2; chap 11, chap 13, chap 24, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66; JOËL chap 2, chap 4:12, APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22)
3:1 VOICI, MOI J'ENVOIE MON ANGE, ET IL préparera LE CHEMIN DEVANT MOI, ET SOUDAIN VIENDRA DANS SON TEMPLE, LE SEIGNEUR QUE VOUS CHERCHEZ,
OUI, L'ANGE DE L'ALLIANCE QUE VOUS désirez. VOICI QU'IL VIENT, DIT YAHWEH DES Armées. 2 MAIS QUI POURRA SUPPORTER LE JOUR DE SA VENUE ? ET QUI POURRA SE TENIR EN SA Présence ?
PARCE QUE, LUI EST COMME LE FEU DU FONDEUR, COMME LA POTASSE DES FOULONS.
3 IL S'ASSOIERA ET SE METTRA à FONDRE ET PURIFIER L'ARGENTERIE; IL PURIFIERA LES FILS DE LEVI ET LES épurera COMME L'OR ET L'ARGENTERIE,
ET ILS POURRONT OFFRIR à YAHWEH L'OBLATION SELON LA JUSTICE. 4 ALORS, L'OBLATION DE JUDA ET DE JERUSALEM sera agréable à YAHWEH COMME AUX ANCIENS JOURS, COMME DANS LES Années D'AVANT.
5 ET JE VIENDRAI CHEZ VOUS POUR LE JUGEMENT, ET JE SERAI UN Témoin PROMPT CONTRE LES MAGICIENS, ET CONTRE CEUX QUI COMMETTENT L'Adultère, ET CONTRE LES PARJURES, ET CONTRE CEUX QUI PRIVENT L'OUVRIER DE SON SALAIRE, QUI OPPRIMENT LA VEUVE ET L'ORPHELIN, ET CEUX QUI SONT INJUSTES AVEC L'étranger, ET CEUX QUI NE ME CRAIGNENT PAS, DIT YAHWEH DES Armées....................
16 ALORS, CEUX QUI CRAIGNENT YAHWEH PARLAIENT ENTRE EUX ET YAHWEH était ATTENTIF, ET IL écoutait, ET UN LIVRE DE RAPPEL a été écrit DEVANT LUI, POUR CEUX QUI CRAIGNENT YAHWEH, ET QUI ESTIMENT SON NOM, 17 ET ILS SERONT MIENS, DIT YAHWEH DES Armées, DANS CE JOUR-là, QUAND J'AGIRAI, ILS SERONT POUR MOI UN BIEN PARTICULIER, ET JE SERAI POUR EUX PLEIN D'INDULGENCE, COMME UN HOMME EST PLEIN D'INDULGENCE POUR SON FILS QUI LE SERT. 18 ET, VOUS CONVERTISSANT, VOUS DISCERNEREZ LA Différence ENTRE LE JUSTE ET L'IMPIE, ENTRE CELUI QUI SERT ILOHIM ET CELUI QUI NE LE SERT PAS.
19 CAR VOICI QUE LE JOUR VIENT, INCANDESCENT COMME UNE FOURNAISE. TOUS LES IMPIES, TOUS CEUX QUI FONT LE MAL SERONT DU CHAUME, ET LE JOUR QUI VIENT LES BRÛLERA, DIT YAHWEH DES Armées, NE LEUR LAISSANT NI RACINES NI RAMEAUX.
20 MAIS POUR VOUS QUI CRAIGNEZ MON NOM, se lèvera LE SOLEIL DE LA JUSTICE, PORTANT LA Guérison DANS SES AILES; (ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, APOC DE JEAN chap 1:10, chap 7, chap 10, chap 12:1-2, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22)
22 SOUVENEZ-VOUS DE LA LOI DE MOÏSE, MON SERVITEUR, à QUI J'avais commandé EN HOREB POUR TOUT ISRAËL, LES COMMANDEMENTS ET LES ORDONNANCES.
23 VOICI QUE JE VOUS ENVOIE ELIYAH, LE Prophète, AVANT QUE VIENNE LE JOUR DE YAHWEH, GRAND ET REDOUTABLE. 24 IL ramènera LE COEUR DES pères VERS LES ENFANTS, ET LE COEUR DES ENFANTS VERS LEURS pères, DE PEUR QUE JE VIENNE ET QUE JE FRAPPE LA TERRE DE LA Malédiction. (ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 11, chap 13, CHAP 24; chap 65, chap 66, CHAP 51:15; APOC DE JEAN chap 21))))
20 LORSQUE YAHWEH, TON ILOHIM, aura élargi TON TERRITOIRE, COMME IL TE L'A DIT, ET QUE TU DIRAS : "JE VEUX MANGER DE LA VIANDE", PARCE QUE TU désires MANGER DE LA VIANDE, TU POURRAS MANGER DE LA VIANDE AUTANT QUE TU désireras; 21 SI LE LIEU QUE YAHWEH, TON ILOHIM, CHOISIRA POUR Y METTRE SON NOM est éloigné DE TOI, TU POURRAS IMMOLER DE TES BOEUFS ET DE TES BREBIS QUE YAHWEH T'a donnés, SELON QUE JE TE L'AI PRESCRIT, ET TU EN MANGERAS DANS TES PORTES, SUIVANT TON désir.
22 TU EN MANGERAS COMME ON MANGE DE LA GAZELLE OU DU CEERF : L'HOMME PUR OU L'HOMME IMPUR EN MANGERONT également.
23 SEULEMENT TIENS FERME à NE PAS MANGER LE SANG, CAR LE SANG, C'EST L'ÂME, ET TU NE MANGERAS PAS L'ÂME AVEC LA CHAIR. 24 TU NE LE MANGERAS PAS; TU LE répandras SUR LA TERRE, COMME DE L'EAU. 25 TU NE LE MANGERAS PAS, AFIN QUE TU SOIS HEUREUX, TOI ET TES ENFANTS, PARCE QUE TU AURAS FAIT CE QUI EST DROIT AUX YEUX DE YAHWEH.
26 C'EST SEULEMENT LES CHOSES Sacrées QUI TE sont imposées ET CELLES QUE TU as vouées, QUE TU PRENDRAS POUR ALLER AU LIEU QUE YAHWEH AURA CHOISI, 27 ET TU CONSUMERAS TES OFFRANDES, LA CHAIR ET LE SANG, SUR L'AUTEL DE YAHWEH, TON ILOHIM; QUANT AU SANG DES SACRIFICES, IL sera répandu SUR L'AUTEL DE YAHWEH, TON ILOHIM, ET TU MANGERAS LA CHAIR. 28 OBSERVE ET écoute TOUTES CES CHOSES QUE JE TE COMMANDE, AFIN QUE TU SOIS HEUREUX, TOI ET TES ENFANTS, à JAMAIS, PARCE QUE TU AURAS FAIT CE QUI EST BIEN ET DROIT AUX YEUX DE YAHWEH. (ISSAYAH chap 65, chap 66, ZACHARIYAH chap 13, chap 14)
29 LORSQUE YAHWEH, TON ILOHIM, aura exterminé LES NATIONS DANS LESQUELLES TU TE RENDS POUR LES CHASSER DEVANT TOI, QUE TU LES auras chassées ET QUE TU HABITERAS DANS LEUR PAYS, 30 PRENDS GARDE à N'ÊTRE PAS PRIS AU Piège DE LEUR IMITATION, après QU'ELLES auront été détruites PAR TOI OU DE T'enquérir DE LEURS DIEUX, EN DISANT : "COMMENT CES NATIONS SERVAIENTS-ELLES LEUR DIEUX ? JE VEUX FAIRE DE MÊME, MOI AUSSI". (PSAUMES, 50, 91, 109, 1, 2, 110, 45, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 11, chap 11:8, chap 13, chap 24, chap 14, chap 14:29, chap 28, chap 33, chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 3, chap 9:20, chap 12:3-4, chap 13, chap 17, chap 14:6, chap 14:14, chap 19:11, chap 18, chap 16; MALACHIYAH chap 3; JOËL chap 2, chap 4:12)
31 TU N'AGIRAS PAS AINSI à L'égard DE YAHWEH, TON ILOHIM; CAR ELLES FAISAIENT POUR LEURS DIEUX TOUTES LES ABOMINATIONS QUE déteste YAHWEH, ET MÊME JUSQU'à CONSUMER PAR LE FEU LEURS FILS ET LEURS FILLES EN L'HONNEUR DE LEURS DIEUX. (ISSAYAH chap 2 et chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5, chap 14, chap 14:29, chap 28, chap 33, chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 13:11, chap 17, chap 18, chap 14:6)
13:1 TOUT CE QUE JE VOUS COMMANDE, VOUS L'OBSERVEREZ ET LE PRATIQUEREZ, SANS Y RIEN AJOUTER ET SANS EN RIEN RETRANCHER.
2 S'IL SURGIT CHEZ TOI UN Prophète OU UN SONGEUR DE SONGES QUI TE PROPOSE UN SIGNE OU UN PRODIGE, - 3 ET QUE S'ACCOMPLISSE LE SIGNE OU LE PRODIGE DONT IL T'a parlé, - EN DISANT : "ALLONS après D'AUTRES DIEUX, - QUE TU NE CONNAIS PAS ! - ET SERVONS-LES", (ZACHARIYAH chap 13, OSHEYAH chap 4, APOC DE JEAN chap 9:20, chap 12:3-4, chap 13, chap 13:11, chap 17, chap 18, chap 14:6, chap 16, chap 16:13)
4 TU n'écouteras pas LES PAROLES DE CE Prophète OU DE CE SONGEUR DE SONGES; CAR YAHWEH, VOTRE ILOHIM, VOUS éprouve POUR SAVOIR SI VOUS AIMEZ YAHWEH, VOTRE ILOHIM, DE TOUT VOTRE COEUR ET DE TOUTE VOTRE ÂME. 5 C'EST YAHWEH, VOTRE ILOHIM, QUE VOUS SUIVREZ, LUI QUE VOUS CRAINDREZ, CE SONT SES COMMANDEMENTS QUE VOUS GARDEREZ, C'EST à SA VOIX QUE VOUS obéirez, LUI QUE VOUS SERVIREZ ET à LUI QUE VOUS VOUS ATTACHEREZ.
6 ET CE Prophète OU CE SONGEUR DE SONGES SERAS MIS à MORT, PARCE QU'IL a prêché LA Révolte CONTRE YAHWEH, TON ILOHIM, QUI T'a tiré DE LA TERRE D'EGYPTE ET T'a délivré DE LA MAISON DE SERVITUDE, POUR TE REPOUSSER DE LA VOIE DANS LAQUELLE YAHWEH, TON ILOHIM, T'a commandé DE MARCHER, après QUE LE GARDIEN QUE YAHWEH as établi SUR LA TERRE, L'a prévenu, ET QU'IL N'A PAS VOULU SE LAISSER AVERTIR ET obéir ! TU SUPPRIMERAS AINSI LE MAL CHEZ TOI. (PSAUMES 50, 91, 109, 1, 2, 110, 45, 23, 89, 87; ZACHARIYAH chap 13, OSHEYAH chap 4, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 5:2, chap 11, chap 14:29, chap 49, MICHEYAH chap 4, JOËL chap 2, chap 4:12; APOC DE JEAN chap 3, chap 10, chap 12:1-2, chap 14:6, chap 14:14, chap 19:11, chap 21 et chap 22)
7 SI TON frère, FILS DE TA mère, OU TON FILS, OU TA FILLE, OU LA FEMME DE TON COEUR, OU TON AMI QUI EST COMME TA PROPRE ÂME, T'INCITE EN SECRET, EN DISANT : "ALLONS, ET SERVONS D'AUTRES DIEUX", - QUE N'ONT CONNUS NI TOI NI TES pères, 8 D'ENTRE LES DIEUX DES PEUPLES QUI VOUS ENTOURENT, OU PROCHES OU éloignés, D'UN BOUT DE LA TERRE à L'AUTRE, après QUE LE GARDIEN QUE YAHWEH as établi SUR LA TERRE, L'a prévenu, ET QU'IL N'A PAS VOULU SE LAISSER AVERTIR ET obéir ! - 9 TU NE LUI céderas PAS ET TU ne l'écouteras pas; TON OEIL SERA SANS pitié POUR LUI : TU NE L'épargneras pas ET TU NE LE COUVRIRAS PAS; 10 MAIS TU LE FERAS MOURIR, TA MAIN se lèvera LA Première CONTRE LUI POUR LE METTRE à MORT, ET LA MAIN DE TOUT LE PEUPLE ENSUITE; 11 TU LE FERAS MOURIR EN LE FRAPPANT PAR LE SOUFFLE ET LE GLAIVE AIGU QUI SORTENT DE TA BOUCHE, ET PAR LA Malédiction DE YAHWEH, TON ILOHIM, ET DE L'OINT, JUSQU'à CE QU'IL MEURE, PARCE QU'IL a cherché à TE REPOUSSER LOIN DE YAHWEH, TON ILOHIM, QUI T'a tiré DE LA TERRE D'EGYPTE, DE LA MAISON DE SERVITUDE. (JOËL chap 4:12, APOC DE JEAN chap 10 et chap 11 et chap 12:1-2; chap 13, chap 17, chap 18, chap 14:6, chap 16; ZACHARIYAH chap 13)
13 SI TU APPRENDS QUE DANS UNE DES VILLES QUE YAHWEH, TON ILOHIM, T'a données POUR DEMEURE (PSAUMES 1, 2, 110, 50, 91, 45, 23, 87)
ON DIT : 14 " DES GENS DE LA RACE DE BELIAL, ISSUS DE TOI, ONT PERVERTI LES HABITANTS DE LEUR VILLE, EN DISANT : ALLONS ET SERVONS D'AUTRES DIEUX", - QUE VOUS NE CONNAISSEZ PAS ! -
15 TU FERAS UNE ENQUÊTE, TU EXAMINERAS, TU INTERROGERAS AVEC SOIN.
SI LE FAIT EST VRAI ET BIEN établi; SI CETTE ABOMINATION a été commise CHEZ TOI, ALORS QUE, EN TANT QUE LE GARDIEN établi PAR YAHWEH, LEUR ILOHIM, TU LES avais déjà avertis, ET QU'ILS n'ont pas voulu T'écouter ET QU'ILS N'ONT PAS VOULU SE LAISSER AVERTIR ET obéir, ALORS TU NE MANQUERAS PAS DE FRAPPER DE TON SOUFFLE ET DU GLAIVE QUI SORT DE TA BOUCHE ET DE LA Malédiction DE YAHWEH ET DE L'OINT TOUS CEUX QUI ONT COMMIS CETTE ABOMINATION DANS CETTE VILLE ! (ZACHARIYAH chap 13, OSHEYAH chap 4, ISSAYAH chap 11, chap 11:8, chap 13, chap 14, chap 14:29, CHAP 24, chap 28, chap 33, chap 65, chap 66; PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 91, 109, APOC DE JEAN chap 3, chap 14:6, chap 14:14, chap 19:11, chap 21 et chap 22)
18 RIEN DE CE QUI aura été frappé DE LA Malédiction NE S'ATTACHERA à TA MAIN, AFIN QUE YAHWEH REVIENNE DE L'ARDEUR DE SA Colère, QU'IL TE FASSE Miséricorde, QU'IL ait pitié DE TOI ET QU'IL TE MULTIPLIE, COMME IL L'a juré à TES pères, POURVU QUE TU obéisses à LA VOIX DE YAHWEH, TON ILOHIM, 19 EN GARDANT TOUS SES COMMANDEMENTS QUE JE TE COMMANDE AUJOURD'HUI, ET EN FAISANT CE QUI EST DROIT AUX YEUX DE YAHWEH, TON ILOHIM". (MICHEYAH chap 4 : 13 DEBOUT ! ET FOULE, FILLE SION ! CAR TA CORNE, JE LA FERAI DE FER, ET TES SABOTS, JE LES FERAI D'AIRAIN, ET TU BROIERAS DES PEUPLES NOMBREUX, ET TU CONSACRERAS LEURS GAINS à YAHWEH, ET LEURS RICHESSES AU SEIGNEUR DE TOUTE LA TERRE. (DANIEL chap 7, chap 9, chap 10, chap 12, ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, APOC DE JEAN chap 1:8, chap 12:1-2, chap 14:14 et chap 19:11, chap 21 et chap 22)
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LES CHANSONS DE YAHWEH DEVANT SON TRÔNE, POUR SA VIGNE, POUR SON bien-aimé, AVEC LA GLOIRE DE YAHWEH ET SA MANIFESTATION SUR LES Nuées : ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5:1, chap 24:15, chap 52, chap 53, chap 54, chap 55, chap 55:3, chap 55:12; EZECHIEL chap 33:32; APOC DE JEAN chap 7, chap 10, chap 11:15, chap 12:1-2, chap 14, chap 15, chap 14:14 et chap 19:11, chap 19, chap 21 et chap 22
Giorgos Dalaras - Tora pou tha figeis
Giorgos Dalaras - Tora pou tha figeis
MAINTENANT QUE TU VAS PARTIR
MAINTENANT QUE TU VAS PARTIR
PRENDS AVEC TOI POUR PROTECTION
DE LA MYRTE ET DU LAURIER AMER
ET DE FRAGKOGIANNOUS LES SOUFFRANCES !
ET DRESSE TA VIE
AVEC VIGILANCE ET AMERTUME
POUR LE FROID DU TEMPS
ET POUR TA Récompense
DE L'EAU DU PARADIS JE VAIS DEVENIR !
MAINTENANT QUE TU VAS PARTIR
PRENDS AVEC TOI L'OINT AUSSI !
Dalaras - Stin alana (live, 2002)
Dalaras - Stin alana (live, 2002)
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET TU étais UN JEUNE BRAVE
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET ILS étaient QUATRE SOLDATS
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET ILS VISAIENT TON COEUR
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET C'était LE MATIN ET LE FROID !
T'ATTENDAIENT LA VIE ET UNE Mère SERVITEUR
ET TU ES DEVENU CE MATIN-là UN LYS ROUGE DANS LA PLAINE !
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET PLEURAIT TA Destinée PLUS LOIN
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET LE DIABLE AUSSI AVAIT UN FUSIL
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET TU LES REGARDAIS ET TU RIAIS
ILS T'ont piégé DANS UN COIN ET C'était LE MATIN ET LE FROID !
T'ATTENDAIENT LA VIE ET UNE Mère SERVITEUR
ET TU ES DEVENU CE MATIN-là UN LYS ROUGE DANS LA PLAINE !
Hugues Aufray " tchin tchin tchin ... "
Hugues Aufray " tchin tchin tchin ... " - YouTube
À tous ceux qui partent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui restent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui tombent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui sombrent
Tchin tchin tchin
Je lève mon verre
Tchin tchin tchin
À vous tous mes frères
Tchin tchin tchin
Je veux chanter pour vous
Tchin tchin tchin
Et vous saluer debout
Tchin tchin tchin
Toi qui ce soir as perdu
Toi qui ce soir es battu
Je veux croire Mon Frère
En levant ce verre
Je veux croire encore à ton espoir
Toi qui n'as plus de Maison
Toi qui n'as plus de raison
Je veux croire Mon Frère
En levant ce verre
Je veux croire encore à ton espoir
À tous ceux qui partent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui restent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui tombent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui sombrent
Tchin tchin tchin
Toi qui pleures ta liberté
Toi qui encore es tombé
Je veux croire Mon Frère
En levant ce verre
Je veux croire encore à ton espoir
Toi qui es seul sans ami
Toi qui cherches dans la nuit
Je veux croire Mon Frère
En levant ce verre
Je veux croire encore à ton espoir
À tous ceux qui partent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui restent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui tombent
Tchin tchin tchin
À tous ceux qui sombrent
Tchin tchin tchin
Au blé qui se lève
Tchin tchin tchin
À la Prison qui s'ouvre
Tchin tchin tchin
À l'Enfant qui pleure
Tchin tchin tchin
À l'Oiseau qui vole
Tchin tchin tchin
Je lève mon verre
Tchin tchin tchin
À vous tous Mes frères
Tchin tchin tchin
Je veux chanter pour vous
Tchin tchin tchin
Et vous saluer debout
Tchin tchin tchin
Giorgos Dalaras - Ola kala ki ola orea (live, 2000)
Giorgos Dalaras - Ola kala ki ola orea (live, 2000) - YouTube
TOUT EST BIEN ET TOUT EST BEAU
HIER TU étais AVEC UN AUTRE EN COMPAGNIE
ET où SENTIER POUR QUE TU CHANTES
LES SOUVENIRS NE SONT PAS PERMIS !
PARLE PLUS BAS ET NE CRIE PAS
JE SUIS STUPIDE ET TU ME FAIS PEUR
JE NE VEUX PAS DE MONDE ET DE DISPUTES
DEMAIN J'ENTRE EN Grève !
J'AI UN COEUR JE N'AI PAS UN ROC
A NOUVEAU TU M'a laissé TOUT SEUL
ET UN DRAPEAU SUR UN BALCON
CHANGE DE COULEURS ET ME TUE !
TOUT EST BIEN ET TOUT EST BEAU
HIER TU étais AVEC UN AUTRE EN COMPAGNIE
ET où SENTIER POUR QUE TU CHANTES
LES SOUVENIRS NE SONT PAS PERMIS !
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ΤΟΥ ΚΑΤΩ ΚΟΣΜΟΥ ΤΑ ΠΟΥΛΙΑ - Γιώργος Νταλάρας
LES OISEAUX DU MONDE D'EN BAS
ΤΟΥ ΚΑΤΩ ΚΟΣΜΟΥ ΤΑ ΠΟΥΛΙΑ - Γιώργος Νταλάρας
LES OISEAUX DU MONDE D'EN BAS - 1974 - DISQUE : PETITES VILLES
Empoisonné LE TEMPS RÔDE,
ET TREIZE Siècles AU CHÔMAGE IL CHERCHE
TON ARCHE ET LE SANG POUR QU'IL TE LE BOIVE
TON ARCHE ET LE SANG POUR QU'IL TE LE BOIVE !
T'ATTENDENT DES COUPS DE FOUETS ET DES OBSTACLES
DANS LES OR UNE Mariée VEILLE
ET ELLE A à SES OREILLES SUSPENDUS DES ANNEAUX
ET SON LIT EST LE REPAIRE DU MEURTRIER
ET SON LIT EST LE REPAIRE DU MEURTRIER !
Secrètes LES PAROLES amères DANS LE COQUILLAGE
SECRETS DE LA MER LES MAGIES AU VENT
ELLEL s'éteindra UN JOUR DANS LA DEMEURE LA LAMPE
ET NI DE PORTE TU NE TROUVERAS NI DE SERRURE !
ET NI DE PORTE TU NE TROUVERAS NI DE SERRURE !
LES OISEAUX DU MONDE D'EN BAS ET LES PAONS
AVEC Lumière ET DE NUIT TE BRODENT UN VÊTEMENT
DES GENS GRINCENT ET AFFÛTENT LEURS MÂCHOIRES
ILS SAUTENT ET COURENT ET T'ATTEIGNENT à LA Moité !
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Giannis Kotsiras - O filakas o aggelos sou
LE GARDIEN TON ANGE
Giannis Kotsiras - O filakas o aggelos sou
LE GARDIEN TON ANGE, SORTI EN 1999
QUAND TU SENTIRAS LA SOLITUDE
QUAND LA MAISON SERA VIDE
TU M'AURAS MOI COMME COMPAGNIE
ET JE TE DONNERAI MOI DU COURAGE !
QUAND LE CIEL SE NOIRCIT
QUAND TES BRAS gèlent
ET QUAND TE SUBMERGE UN SANGLOT
MOI JE VIENRAI près DE TOI !
SEULEMENT TOI QUE TU SOIS BIEN
QUE JE NE VOIE PAS DANS TES YEUX PAS MÊME UNE LARME
PEUT-ÊTRE QUE NOUS VIVONS séparément
MAIS ALORS NOUS avons vécu UN AMOUR !
QUE TU SOIS BIEN MA FILLE
ET QUAND TU DEMANDES TON COMPAGNON
JE SERAI là QUELQUE PART TOUT près !
S'IL TE BRISE LE COEUR
ET SI TOUTE SEULE IL VEUT TE LAISSER
DIS-LUI QUE QUELQU'UN UNE FOIS
Véridiquement T'avait aimée !
SEULEMENT TOI QUE TU SOIS BIEN
QUE JE NE VOIE PAS DANS TES YEUX PAS MÊME UNE LARME
PEUT-ÊTRE QUE NOUS VIVONS séparément
MAIS ALORS NOUS avons vécu UN AMOUR !
QUE TU SOIS BIEN MA FILLE,
ET QUAND TU CHERCHES TON COMPAGNON
JE SERAI QUELQUE PART là TOUT près
LE GARDIEN TON ANGE.
ola dika sou matia mou_ta hsyxa vradia-giannis kotsiras
TOUT EST à TOI MES YEUX
ola dika sou matia mou_ta hsyxa vradia-giannis kotsiras
TOUT EST à TOI MES YEUX, SORTI EN 1969
TU AS SOMMEIL, MON étoile, MA LUNE
DANS MES BRAS, ENDORS-TOI
TU T'es réveillé, MON SOLEIL, ABRI DE PLUIE,
PRENDS MON RIRE ET LAVE-TOI !
TOUT EST à TOI MES YEUX
ET TA SOUFFRANCE EST MIENNE
MES YEUX ONT VU BEAUCOUP DE CHOSES
DANS LES VOISINAGES DU MONDE !
TU AS SOIF, MA BLANCHE, TU T'es fatiguée
JETTE TES RACINES EN MOI
LE VENT EST VENU ET T'a entremêlé LES CHEVEUX
PRENDS MON PETIT COEUR POUR PEIGNE !
TOUT EST à TOI MES YEUX
ET TA SOUFFRANCE EST MIENNE
MES YEUX ONT VU BEAUCOUP DE CHOSES
DANS LES VOISINAGES DU MONDE !
Giorgos Dalaras - Tha pio apopse to feggari
Giorgos Dalaras - Tha pio apopse to feggari
JE VAIS BOIRE AUJOURD'HUI LA LUNE, SORTI EN 1968
JE VAIS BOIRE AUJOURD'HUI LA LUNE
ET JE VAIS M'ENNIVRER ET JE VAIS DIRE
PUISQUE TU AS MAL POUR QUELQU'UN D'AUTRE
JETTE LE COÛTEAU QUE JE ME COUPE !
ET QUAND LE COÛTEAU M'aura coupé
EN REGRETTANT TU ME DIRAS
PRENDS LA LARME DE LA LUNE
ET DU SANG QUE TU TE LAVES !
PRENDS LA LARME DE LA LUNE
ET DU SANG QUE TU TE LAVES !
ET MOI JE VAIS COUPER LA LUNE
JE VAIS TE L'ACCROCHER DANS LES CHEVEUX
ET QUAND NOUS NOUS COUCHERONS J'AURAI
LE CIEL DANS LES BRAS !
ET QUAND NOUS NOUS COUCHERONS J'AURAI
LE CIEL DANS LES BRAS !
ET QUAND NOUS NOUS réveillerons ET QUE NOUS IRONS
DE NOUVEAU DANS LES ANCIENS LIEUX DE RENCONTRE,
PENSE COMBIEN BELLE TU SERAS
AVEC LA LUNE DANS LES CHEVEUX !
Χάρις Αλεξίου - Το μινόρε της αυγής
Χάρις Αλεξίου - Το μινόρε της αυγής
LE CHANT DE L'AURORE DE GRÂCE ALEXIOU, CHANSON SORTIE EN 1946
Réveille-toi MON PETIT ET écoute
ECOUTE LE CHANT DE L'AURORE
POUR TOI IL est écrit
POUR TOI IL est écrit
PAR LE PLEURS D'UNE CERTAINE ÂME
PAR LE PLEURS D'UNE CERTAINE ÂME !
TA FENÊTRE OUVRE
JETTE-MOI UN REGAD DOUX
ET QUE JE M'éteignes ALORS MON PETIT
DEVANT TA MAISON DANS UN COIN
ET QUE JE M'éteigne ALORS MON PETIT
DEVANT TA MAISON DANS UN COIN
Χάρις Αλεξίου - 13 Φωτιές (Ένα φιλί του κόσμου Live)
Χάρις Αλεξίου - 13 Φωτιές (Ένα φιλί του κόσμου Live)
TITRE : 13 FEUX (UN BAISER DU MONDE LIVE) DE GRÂCE ALEXIOU
JE VAIS ALLUMER TREIZE FEUX
PUISQUE, N'EST PAS APPARUE AUJOURD'HUI LA LUNE
ET MON PLUS ANCIEN CHANT
DE TON PROFOND SOMMEIL IL VA VENIR TE PRENDRE !
ET DANS LE Douzième FEU
TOUS LES VÊTEMENTS QUE TU PORTES JE VAIS LES BRÛLER MA Lumière
ET DE MA POITRINE EN PROFONDEUR
VA SORTIR UN SOUPIR POUR ALLUMER
LES FEUX DU MONDE !
NE TARDE PAS
ET QUAND TU TE réveilleras
LA FLAMME DU COEUR, VIENS L'éteindre !
NE TARDE PAS
ET QUAND TU ME LAISSERAS
QUE TU PROMETTES AU FEU QUE TU REVIENDRAS !
JE VAIS ALLUMER TREIZE FEUX
ET JE VAIS CHOISIR L'étoile QUI TE RESSEMBLE
JE DIRAI DANS LA NUIT TROIS FOIS
TON NOM AVEC PLAINTE ET ENJOUEMENT !
ET DE TON SOMMEIL TU SORTIRAS
TU SUIVRAS LA CHANSON DE MON ÂME
DANS UN AUTRE RÊVE TU ENTRERAS
CELUI QU'A CHOISI LE VENT DU SUD ET MON CORPS !
Γ. ΝΤΑΛΑΡΑΣ - ΞΗΜΕΡΩΝΕΙ (Μονή Λαζαριστών, 16/7/2014)
Γ. ΝΤΑΛΑΡΑΣ - ΞΗΜΕΡΩΝΕΙ (Μονή Λαζαριστών, 16/7/2014)
LE JOUR se lève
LA NOIRCEUR DE LA CHAMBRE
VIENDRA AVEC TOI
HABILLE-TOI, HABILLE-TOI, HABILLE-TOI
ET CETTE NUIT QUE TU as gardée EST TIENNE
HABILLE-TOI, HABILLE-TOI !
LE MONDE se lève à L'AURORE
LE MONDE se lève à L'AURORE
AVEC LES BAISERS QUE J'ai plantés
ICI profondément EN TOI
HÂTE-TOI, HÂTE-TOI, HÂTE-TOI
ET TOUT CELA QU'AUJOURD'HUI TU as gagné SONT TIENS !
HÂTE-TOI, HÂTE-TOI !
LE MONDE se lève à L'AURORE !
LE MONDE se lève à L'AURORE !
Γ ΝΤΑΛΑΡΑΣ. φερτε μου νερο να ξεδιψασω
APPORTEZ-MOI DE L'EAU POUR QUE J'étanche MA SOIF
Γ ΝΤΑΛΑΡΑΣ. φερτε μου νερο να ξεδιψασω
APPORTEZ-MOI DE L'EAU POUR QUE J'étanche MA SOIF - 1972 - ALBUM : MICRA ASIA
QUAND J'étais ENFANT MOI AUSSI
J'ai frétillé DES AILES dès LE BERCEAU
MAIS DES COÛTEAUX JE VOYAIS
DANS LES SENTIERS DE LA Cité !
Pourchassé UNE AURORE
J'AI PARCOURU LES CHEMINS
DU FEU à MES PIEDS était LA TERRE
ET LA SOLITUDE SUR LES épaules !
APPORTEZ-MOI DE L'EAU POUR QUE J'étanche MA SOIF
ET UNE PIERRE POUR QUE JE ME REPOSE
QUE DOIS-JE ME SOUVENIR QUE DOIS-JE OUBLIER
DE TOUT CE QUE J'ai vécu !
Γιώργος Νταλάρας - Δίψασα στην πόρτα σου (Στην υγειά μας) {28.10.2017}
Γιώργος Νταλάρας - Δίψασα στην πόρτα σου (Στην υγειά μας) {28.10.2017}
J'AI EU SOIF à TA PORTE POUR DE L'AMOUR, SORTI EN 1974
J'AI EU SOIF à TA PORTE POUR DE L'AMOUR
ET JE ME suis tourné TENDREMENT POUR QUE JE M'ENDORME
ANNEAU NOIR LA LUNE
PROMESSE à UNE PETITE église LOINTAINE !
ANNEAU NOIR LA LUNE
PROMESSE à UNE PETITE église LOINTAINE !
J'ai attaché AVEC UN NOEUD TA VOIX
BRANCHE RAFRAÎCHISSANTE DE LA COUR
ARBRE SECRET DU PARADIS
BALCONNET DE LA PETITE VIE
ARBRE SECRET DU PARADIS
BALCONNET DE LA PETITE VIE !
Αυτός που θα φανερωθεί - Γιώργος Νταλάρας (στίχοι)
Αυτός που θα φανερωθεί - Γιώργος Νταλάρας (στίχοι)
CELUI QUI VA se révéler, SORTI EN 1973
QUI EST LA FIN ? CELUI-CI LE SEUL, LE VRAI
CELUI QUI VA se révéler
DANS UNE Lumière ET IL VA EXISTER
L'Intègre, L'Irremplaçable
CELUI QUI ACCUEILLERA LA MORT ET IL MOURRA
AVEC CES paupières SUR LES YEUX
AVEC CES MAINS SUR LA POITRINE !
QUI EST LA FIN ?, CELUI-CI LE SEUL, LE VRAI
CELUI QUI VA se révéler
DANS UNE Lumière ET IL VA EXISTER
L'Intègre, L'Irremplaçable !
AVEC CES paupières SUR LES YEUX
ET AVEC CES MAINS SUR LA POITRINE !
QUI EST LA FIN ? CELUI-CI LE SEUL, LE VRAI
CELUI QUI VA se révéler
DANS UNE Lumière ET IL VA EXISTER
L'Intègre, L'Irremplaçable !
Ta Prota Logia (The first words) - G. Dalaras (Live)
LES Premières PAROLES
Ta Prota Logia (The first words) - G. Dalaras (Live) - Vidéo Dailymotion
LES Premières PAROLES
LES Premières PAROLES DE L'OINT
Près DU JOURDAIN
JE T'AI MIS LA COURONNE
ET LES ANGES LES GARDENT
JE T'AI MIS LA COURONNE
ET LES ANGES LES GARDENT !
JE T'AI PRIS UNE FOIS, ILS T'ONT PRIS DEUX FOIS
ET AVEC DES YEUX bandés
MAIS MOI DANS LES ESCALIERS
DU MONDE JE TE CHERCHE
MAIS MOI DANS LES ESCALIERS
DU MONDE JE TE CHERCHE !
ET LE MONDE était LA BOUGIE
ET LES QUATRE VENTS
MOI LA Lumière QUI TREMBLE
ET TOI LE ROSIER PETIT
MOI LA Lumière QUI TREMBLE
ET TOI LE ROSIER PETIT !
ΑΓΓΕΛΟΣ ΔΙΟΝΥΣΙΟΥ-ΠΑΡΑΠΟΝΟ ΜΟΥ
ΑΓΓΕΛΟΣ ΔΙΟΝΥΣΙΟΥ-ΠΑΡΑΠΟΝΟ ΜΟΥ
MA PLAINTE - CHANSON DANS LE FILM AVEC LE TITRE : "LA GRANDE FEMME DE KILKIS"
MA PLAINTE, MA PLAINTE
SUR MON VISAGE UNE BALAFRE
UNE CHOSE JE TE DIS, MA PLAINTE
NE REPARS JAMAIS !
MON VISAGE CHANGE DE COULEURS
MA PLAINTE, QUAND TU ME SOURIS
JE PERDS LE MONDE DE DEVANT MOI
QUAND TU NE M'AIMES PAS !
MA PLAINTE, MA PLAINTE
MON LYS ET MA ROSE
CADEAU JE TE FAIS DE MA PERSONNE
TU AS MA PAROLE
QUE JE NE TE PERDES PAS, MA PLAINTE
JE TREMBLE DE MA CRAINTE !
MA PLAINTE, MA PLAINTE,
SUR MON VISAGE UNE BALAFRE
UNE CHOSE JE TE DIS, MA PLAINTE
NE REPARS JAMAIS !
Où PUIS-JE APPUYER MON RÊVE
MA PLAINTE, LE PLUS DOUX
TU PARS ET JE PERDS TOUT QUI EST MIEN
ET où ME TENIR ?
MA PLAINTE, MA PLAINTE
MON LYS ET MA ROSE
CADEAU JE TE FAIS DE MA PERSONNE
TU AS MA PAROLE
QUE JE NE TE PERDES PAS, MA PLAINTE
JE TREMBLE DE MA CRAINTE !
MA PLAINTE, MA PLAINTE,
SUR MON VISAGE UNE BALAFRE
UNE CHOSE JE TE DIS, MA PLAINTE
NE REPARS JAMAIS !
Thessaloniki Mou
MA THESSALONGIQUE, GRANDE Mère PAUVRE, SORTI EN 1955
MA THESSALONIQUE GRANDE Mère PAUVRE
TOI QUI SORS LES MEILLEURS ENFANTS
MA THESSALONIQUE GRANDE Mère PAUVRE
Où QUE J'AILLE JE T'AI TOUJOURS DANS MON COEUR !
MA THESSALONIQUE, JAMAIS JE NE TE RENIE
TU ES MA PATRIE, JE LE DIS ET JE M'EN VANTE !
THESSALONIQUE AVEC TES TELLEMENT NOMBREUSES CHOSES QUE TU AIMES
TU SORS LES PLUS BELLES FILLES DU MONDE
DES soirées bohèmes, DES CHANSONS DANS LES SENTIERS
DES FÊTES, DES veillées DE NUIT DANS CHAQUE VOISINAGE !
MA THESSALONIQUE JAMAIS JE NE TE RENIE
TU ES MA PATRIE, JE LE DIS ET JE M'EN VANTE !
MA THESSALONIIQUE ET MÊME SI JE SUIS LOIN DE TOI
TOUJOURS JE ME SOUVIENS DE TON NOM DOUX
AH, COMME J'AI LA NOSTALGIE QUE JE REVIENNE près DE TOI
ET QUE JE RENDE L'ÂME DEVANT LA TOUR BLANCHE.
MA THESSALONIQUE JAMAIS JE NE TE RENIE
TU ES MA PATRIE, JE LE DIS ET JE M'EN VANTE..
Γιώργος Νταλάρας - Όμορφη Πόλη | George Dalaras - Beautiful City (Mikis Theodorakis)
BELLE VILLE
Γιώργος Νταλάρας - Όμορφη Πόλη | George Dalaras - Beautiful City (Mikis Theodorakis)
BELLE VILLE, SORTI EN 1966
BELLE VILLE, DES VOIX DES MUSIQUES
DES VOIES SANS FIN, DES REGARDS volés
LE SOLEIL DEVIENT OR, DES MAINS germées
DES MONTAGNES ET DES COLLINES, DES Océans étendus !
TU DEVIENDRAS MIENNE AVANT QUE LA NUIT ARRIVE
LES lumières PÂLES AVANT QU'ELLES NE JETTENT LES FILETS
TU DEVIENDRAS MIENNE !
TU DEVIENDRAS MIENNE AVANT QUE LA NUIT VIENNE
LES lumières PÂLES AVANT QU'ELLES NE JETTENT LES FILETS
TU DEVIENDRAS MIENNE !
LA NUIT est arrivée, LES FENÊTRES se sont fermées
LA NUIT est tombée, LES ROUTES SE SONT PERDUES !
KINGS & Θέμης Αδαμαντίδης - Βασιλιάς - Official Music Video
ROI
KINGS & Θέμης Αδαμαντίδης - Βασιλιάς - Official Music Video - YouTube
ROI, SORTI LE 18 AVRIL 2019; DIGITAL SINLE : HEAVEN MUSIC
UN ROI.... NE PEUT ÊTRE ROI SANS LA FORCE DE SA REINE
QUAND UNE REINE a trouvé SON ROI, ELLE SE TIENT près DE LUI... L'AIME, SE BAT POUR LUI ET JAMAIS NE LE LAISSE ALLER AU TRAVERS QUELQUE CHOSE SEUL.
QUAND UN ROI a trouvé SA REINE, ELLE DEVIENT ....TOUTE CHOSE !
LE Marié : TU M'AS HAUT, MAIS CELA à MOI NE ME SUFFIT PAS,
TU M'AIMES... MAIS CELA N'EST PAS SUFFISANT.
ENTENDS MON PETIT COEUR POUR TOI COMMENT IL FAIT
ENTENDS CE QUE JE VEUX.... UNE FAVEUR JE TE DEMANDE !
JE VEUX QUE TU M'AIES TON ROI, QUE TON COEUR M'APPARTIENNE,
TON ALPHA ET TON OMEGA QUE JE SOIS MOI !
QUE TU SOIS TOI AUSSI MA REINE, QUE MON COEUR T'APPARTIENNE,
ET DANS LE PALAIS DE TON esprit, QUE JE VIVE SEULEMENT MOI !
J'AI TOUT RESSENTI QUAND JE T'ai embrassé LA Première FOIS,
QUE MON COEUR VA BATTRE POUR UNE REINE !
QUAND J'AI VU TES YEUX,
JE ME SUIS BATTU AVEC DES DRAKONS ET JE LES AI VAINCUS !
MOI JE suis né POUR TOI, où QUE TU ME mènes.... ALLONS,
NOTRE AMOUR ARGENTERIE ET OR.... IL SERA.
JUSQU'à LA FIN, QUE TU LE SACHES... AVEC TOI JE SERAI,
MON PREMIER BAISER ENCORE JE M'EN SOUVIENS !
LA Mariée : NE L'OUBLIE PAS, MOI JE suis né POUR TOI,
ET SI TU ME DEMANDES ....JUSQU'à LA FIN JE SERAI ICI.
MES SENTIMENTS DEVANT TOI exposés,
ET TOUT CE QUE TU DEMANDERAS... TOUT CE QUE TU VEUX, JE LE PEUX !
LE Marié : JE VEUX QUE TU M'AIES TON ROI, ET QUE TON COEUR M'APPARTIENNE
TON ALPHA ET TON OMEGA QUE JE SOIS MOI !
ET QUE TU SOIS TOI AUSSI MA REINE,
ET SI TES BRAS NE ME SUFFISENT PAS, IMAGINE-TOI, QUE MON COEUR T'APPARTIENNE,
ET DANS LE PALAIS DE TON esprit, QUE JE VIVE SEULEMENT MOI !
JE VEUX QUE TOUTE CHOSE ET POUR TOUJOURS TOUT SONT à TOI !
MON COEUR QU'IL BATTE SUR TON COEUR,
ET DANS TES PALAIS QUE TU M'AIES TON ROI !
JE VEUX QUE TU M'AIES TON ROI, QUE TON COEUR M'APPARTIENNE,
TON ALPHA ET TON OMEGA QUE JE SOIS MOI.
QUE TU SOIS TOI AUSSI MA REINE, QUE MON COEUR T'APPARTIENNE,
ET DANS LE PALAIS DE TON esprit, QUE JE VIVE SEULEMENT MOI !
ET DANS LE PALAIS DE TON esprit, QUE JE VIVE SEULEMENT MOI !
To Proto Peristeri (Live)
LA Première COLOMBE
LA Première COLOMBE - 1983
QUE LE COÛTEAU TRANCHANT AILLE EN PROFONDEUR
DANS MA POITRINE
LE PREMIER SOLEIL QU'IL APPARAISSE
LA Première COLOMBE !
SE TIENT LA ROSE INTOUCHABLE
DEVANT LA GRÂCE DU CIEL
PREMIER REGARD, PREMIER BAISER
DANS L'HERBE éternel !
A TRAVERS DES SOLEILS ET DES CIEUX
JE TE VOIS EN PLEURS
COMME UN ASTRE QUI a été assombri
PAR UNE PEINE ennuagée !
DES Océans, DES FORÊTS ET DES MONTAGNES
JE PASSE COMME UNE HIRONDELLE
QUELLE Séparation NOUS a séparé
QUELLE Destinée NOUS UNIT !
Παναγιώτης Ψάλτης - Άγγελέ μου | Panos Psaltis - Aggele mou - Video Clip
LETOUTSAINT PSALMISTE - MON ANGE
Παναγιώτης Ψάλτης - Άγγελέ μου | Panos Psaltis - Aggele mou - Video Clip - YouTube
ΠΑΝΑΓΙΩΤΗΣ ΨΑΛΤΗΣ SIGNIFIE LE TOUT SAINT PSALMISTE : PAROLES, MUSIQUE : LE TOUT SAINT PSALMISTE
MON ANGE
MON ANGE, SI TU DESCENDS VERS LA TERRE
JE VEUX QUE TU VIENNES POUR QUE NOUS PARLIONS ENSEMBLE
J'ATTENDS QUE TU ME DONNES CONSEIL
COMMENT PUIS-JE guérir UN COEUR QUI SAIGNE !
MON ANGE, IL A UNE PLAIE inguérissable,
PAR MIRACLE IL EST ENCORE VIVANT
IL A UNE BLESSURE PROFONDE ET LA LAME LA TRANCHANTE
AVAIT DU POISON ET BEAUCOUP D'AMOUR !
MON ANGE, UNE FAVEUR JE TE DEMANDE
A MON RÊVE, UNE SOLUTION à L'énigme QUE JE TROUVE
MON COEUR, guéris-le SI TU PEUX,
AVEC UNE LARME DES PROFONDEURS DE L'ÂME,
ET SI TU LE SAUVES JE VAIS TE PROMETTRE UNE Prière
à MON ILOHIM, POUR QU'IL TE DONNE LA Bénédiction
POUR QUE TU DEVIENNES LE CHEF DES ANGES.
ET UN TRÔNE AU PARADIS QUE TU TROUVES !
Julie Pietri - Eve lève toi (Clip Officiel - avec paroles)
Julie Pietri - Eve lève toi (Clip Officiel - avec paroles)
Oh Femme Unique,
Péché, désir
Pour un Serpent de Bible
A brisé son empire
Bleu de l´Enfer
Couleur Amour
Dessine sur la Pierre
Les Mots du Premier Jour
Saveur amère d´Homme interdit
A goûté les plaisirs
Que Dieu punit
Oh! Cœur mortel
Eve aux yeux pâles
Délaissée par le Ciel elle a mal
Eve lève-toi et danse avec la Vie
L´écho de ta voix est venu jusqu´à Moi
Eve lève-toi tes enfants ont grandi
En donnant la Vie Je serai comme toi
Eve en Musique
Fille en délire
Pour un enfant d´Afrique
A perdu le sourire
Eve en velours
Chagrin d´amour
Chemin du petit jour
N’aime plus rien
Oh! Femme Future
Sur Ses Trésors
Le corps en aventure
Elle s´endort
Eve lève-toi et danse avec la Vie
L´écho de ta voix est venu jusqu´à Moi
Eve lève-toi tes enfants ont grandi
En donnant la Vie Je serai comme toi
Ne pleure pas
Ton histoire est là
Regarde-Moi
Ta vie est en Moi
Le Temps s´efface
Eve
lève-toi et danse avec la Vie
L´écho de ta voix est venu jusqu´à Moi
Eve lève-toi tes enfants ont grandi
En donnant la Vie Je serai comme toi
Eve lève-toi et danse avec la Vie
L´écho de ta voix est venu jusqu´à Moi.
Γιώργος Νταλάρας ~ Ποιος δε μιλά για τη λαμπρή~ ΗΡΩΔΕΙΟ 1995
QUI NE PARLE PAS DE LA FÊTE LUMINEUSE DU RENOUVEAU
Γιώργος Νταλάρας ~ Ποιος δε μιλά για τη λαμπρή~ ΗΡΩΔΕΙΟ 1995 - YouTube
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