16/6/2025 LES VISIONS DE L'ESPRIT IMPUR AUJOURD'HUI, DE JESUS CHRISTOS LE DIEU FAIT HOMME DE LA Sainte Trinité ! L'ENNEMI, LE DIABLE QUI a semé LES IVRAIES PARMI LES blés IL Y A 2.000 ANS

EVANGILE SELON MATTHIEU

13:18 "VOUS DONC, écoutez LA PARABOLE DE LA SEMENCE. A CHAQUE HOMME, LEQUEL ENTEND LA PAROLE à PROPOS DU ROYAUME ET QUI NE SE REPENT PAS, LE MALIN VIENT ET EMPORTE CE QUI était semé DANS SAN COEUR. CELA EST LA SEMENCE QUI a été semée près DE LA ROUTE.

20 LA SEMENCE, QUI a été semée SUR DES ENDROITS PIERREUX, CELA EST L'HOMME, QUI ENTEND LA PAROLE ET DE SUITE AVEC JOIE IL LA PREND. 21 MAIS IL N'A PAS DE RACINE à l'intérieur DE LUI, MAIS ELLE EST TEMPORAIRE, ET QUAND VIENT UN MALHEUR OU UNE Persécution à CAUSE DE LA PAROLE, DE SUITE IL trébuche.

22 LA SEMENCE, DONC, QUI a été semée PARMI LES épines, CELUI-CI EST L'HOMME QUI ENTEND LA PAROLE MAIS LES Préocupations MONDAINES ET L'égarement DE LA RICHESSE NOIENT LA PAROLE ET IL DEVIENT SANS FRUITS.

23 CELUI DONC, QUE LA SEMENCE a été semée DANS LA BONNE TERRE, CELUI-CI EST L'HOMME, QUI ENTEND LA PAROLE ET LA COMPREND; ET LEQUEL véritablement FRUCTIFIE ET DONNE L'UN CENT, L'AUTRE SOIXANTE, ET L'AUTRE TRENTE FOIS PLUS".

24 IL LEUR présenta UNE AUTRE PARABOLE ET IL LEUR DISAIT : "LE ROYAUME DES CIEUX RESSEMBLE à UN HOMME, LEQUEL a semé DANS SON CHAMP DE LA BONNE SEMENCE.

25 MAIS QUAND LES HOMMES DORMAIENT, SON ENNEMI VINT ET a semé LES MAUVAISES HERBES PARMI LE blé ET IL PARTIT.

26 QUAND DONC LA SEMENCE a germé ET a fructifié, ALORS SONT APPARUES LES MAUVAIES HERBES AUSSI.

27 ET LES SERVITEURS DE MAÎTRE DE MAISON SONT VENUS ET LUI DIRENT : "SEIGNEUR, n'as-Tu pas semé DE LA BONNE SEMENCE DANS TON CHAMP ? COMMENT ALORS A-T-IL DES MAUVAISES HERBES ?

28 LUI, DONC LEUR DIT : "UN ENNEMI HUMAIN L'A FAIT".

ALORS LES SERVITEURS LUI DIRENT : "VEUX-TU QUE NOUS ALLIONS LES RAMASSER ?"

29 ET LUI DONC DIT : "NON, PEUT-ÊTRE, QUAND VOUS RAMASSERIEZ LES MAUVAISES HERBES, VOUS déracineriez AVEC ELLES LE Blé AUSSI. LAISSEZ-LES GRANDIR QU'ILS GRANDISSENT TOUS LES DEUX, JUSQU'à CE QUE VIENNENT LA MOISSON, ET VERS LE TEMPS DE LA MOISSON JE DIRAI AUX MOISSONNEURS : "RAMASSEZ EN PREMIER LES MAUVAISES HERBES ET LIEZ-LES EN BOTTES, POUR QUE VOUS LES BRÛLIEZ ; LE Blé DONC RAMASSEZ-LE DANS MON GRENIER".7

33 IL LEUR DIT UNE AUTRE PARABOLE : "LE ROYAUME DES CIEUX RESSEMBLE à DU LEVAIN, LEQUEL UNE FEMME A PRIS ET ELLE LE mélangea AVEC TROIS MESURES DE FARINE, JUSQU'à CE QUE LE TOUT soit pétri".

34 TOUT CELA YECHOUAH LES DIT EN PARABOLES AUX FOULES, ET IL NE LEUR DISAIT RIEN SANS PARABOLE, POUR QUE S'ACCOMPLISSE CECI, LEQUEL AVAIT été DIT PAR LE Prophète : JE COMMENCERAI EN PARLANT AVEC DES PARABOLES ET JE DIRAI DES CHOSES cachées DEPUIS LE TEMPS DE LA Création DU MONDE.

36 ALORS IL LAISSA LES FOULES ET IL VINT DANS SA MAISON. 36 ET SES DISCIPLES VINRENT ET LUI DIRENT : "EXPLIQUE-NOUS LA PARABOLE AVEC LES MAUVAISES HERBES DU CHAMP".

37 ALORS LUI LEUR répondit : "CELUI QUI sème LA BONNE SEMENCE, EST LE FILS DE L'HOMME 38 LE CHAMP DONC EST LE MONDE, LA BONNE SEMENCE SONT LES FILS DU ROYAUME, LES MAUVAISES HERBES DONC SONT LES FILS DU MALIN; L'ENNEMI, QUI LES a semées, EST LE DIABLE, 39 LA MOISSON DONC EST LA FIN DU MONDE, ET LES MOISSONNEURS SONT LES ANGES.

40 COMME DONC sont ramassées LES MAUVAISES HERBES ET ELLES sont brûlées, AINSI IL SERA FAIT AUSSI à LA FIN DE CE MONDE-CI. 41 IL ENVERRA, C'EST-à-DIRE, LE FILS DE L'HOMME, SES ANGES ET ILS RAMASSERONT DE SON ROYAUME TOUS CEUX QUI PROVOQUENT LES SCANDALES ET TOUS CEUX QUI COMMETTENT L'Impiété, ET ILS LES JETTERONT DANS LA FOURNAISE QUI BRÛLE. 42 Là SERONT LES PLEURS ET LE GRINCEMENT DES DENTS.

43 ALORS LES JUSTES VONT BRILLER COMME LE SOLEIL DANS LE ROYAUME DE LEUR Père, CELUI QUI A DES OREILLES, POUR QU'IL ENTENDE, QU'IL ENTENDE".

A LA FIN DES TEMPS, AU TEMPS DE LA MOISSON

ZACHARIYAH chap 1, chap 2, chap 3, chap 4, chap 5, chap 6, chap 14

EZECHIEL chap 1, chap 2, chap 3, chap 8, chap 9, chap 10, chap 33, chap 47

DANIEL chap 2:30, chap 7, chap 8, chap 9, chap 10, chap 12

JOËL : chap 2, chap 4:8

ISSAYAH chap 1, chap 2, chap 3, chap 4, chap 5, chap 7, chap 8, chap 9, chap 10, chap 11, jusqu'à chap 66

MALACHIYAH chap 2, chap 3

PSAUMES 1, 2, 110, 45, 23, 50, 91, 87, 89, 109

APOCALYPSE DE JEAN chap 1:8, chap 2, chap 3, chap 4 et chap 5, chap 6, chap 7, chap 8, chap 9, chapitre 10, chapitre 11, chapitre 12, chap 13, chap 17, chapitre 18, chapitre 9:20, chapitre 14:6, chapitre 14:14, chap 14, chap 15, chap 16, chapitre 19, chap 20, chap 21 et chap 22

APOCALYPSE DE JEAN

15:1 ENSUITE J'AI VU UN AUTRE SIGNE DANS LE CIEL, GRAND ET ADMIRABLE : SEPT ANGES, LESQUELS AVAIENT LES SEPT PLAIES LES Dernières, PARCE QUE AVEC ELLES EST AU COMPLET LA Colère DE ILOHIM.

2 ET J'AI VU UNE MER DE VERRE mélangée à DU FEU, ET CEUX QUI AVAIENT VAINCU LA BÊTE ET SA STATUE ET LE CHIFFRE DE SON NOM (666), QUI SE TENAIENT SUR LA MER DE VERRE AVEC DES GUITARES DE ILOHIM.

3 ET ILS CHANTAIENT LA CHANSON DE MOÏSE, DU SERVITEUR DE ILOHIM, ET LA CHANSON DE L'AGNEAU ET ILS DISAIENT :

"GRANDES ET ADMIRABLES SONT TES OEUVRES, SEIGNEUR ILOHIM ROI DE TOUTES LES NATIONS / PANTOKRATOR. JUSTES ET VRAIES SONT TES VOIES, ROI DES NATIONS. 4 QUI NE CRAINDRAIT, SEIGNEUR, ET NE GLORIFIERAIT PAS TON NOM ? PARCE QUE TOI SEUL EST SAINT. TOUTES LES NATIONS VONT VENIR POUR QU'ELLES SE PROSTERNENT DEVANT TOI, PARCE QUE TES ACTES JUSTES se sont manifestées".

5 A LA SUITE DE TOUT CELA, j'ai regardé ET LE TEMPLE DE LA TENTE DU Témoignage DANS LE CIEL, S'EST OUVERT, ET DU TEMPLE SORTIRENT LES SEPT ANGES QUI AVAIENT LES SEPT PLAIES, VÊTUS AVEC UN LIN PROPRE QUI étincelait, ET ILS AVAIENT LEUR POITRINE CEINTE AVEC DES CEINTURES D'OR.

J7 ET L'UN DES QUATRE ANIMAUX VIVANTS DONNA AUX SEPT ANGES SEPT COUPES EN OR PLEINES DE LA Colère DU ILOHIM QUI VIT DANS LES Siècles DES Siècles.

8 ET LE TEMPLE S'EST REMPLI DE LA Fumée DE LA GLOIRE DE ILOHIM ET DE SA PUISSANCE, DE SORTE QUE PERSONNE NE POUVAIT ENTRER DANS LE TEMPLE AVANT QUE ne soient complétées LES SEPT PLAIES DES SEPT ANGES.

16 ENSUITE j'ai entendu UNE FORTE VOIX DU TEMPLE QUI DISAIT AUX SEPT ANGES : "ALLEZ ET VERSEZ LES SEPT COUPES DE LA Colère DE ILOHIM SUR LA TERRE".

2 ET LE PREMIER ANGE PARTIT ET VERSA SA COUPE SUR LA TERRE, ALORS VINT UNE LAIDE ET PLAIE MALIGNE SUR LES HOMMES QUI AVAIENT LE SIGNE DE LA BÊTE ET QUI SE PROSTERNAIENT DEVANT SA STATUE / SON ICÔNE / SON IMAGE.

3 LE Deuxième ANGE VERSA SA COUPE DANS LA MER ET ELLE DEVINT COMME LE SANG D'UN HOMME MORT, ET CHAQUE créature VIVANTE DANS LA MER MOURUT.

4 LE Troisième ANGE VERSA SA COUPE DANS LES FLEUVES ET DANS LES SOURCES DES EAUX ET ELLES DEVINRENT DU SANG. 5 ET J'ENTENDIS L'ANGE DES EAUX QUI DISAIENT : "TU ES JUSTE DANS TES JUGEMENTS, TOI LE SAINT QUI EST ET QUI était, PARCE QUE DU SANG DE SAINTS ET DE Prophètes ILS ont versé, ET DU SANG TU LEUR as donné à BOIRE, ILS LE méritent".

7 ET J'ENTENDIS L'AUTEL QUI DISAIT : "OUI, SEIGNEUR ILOHIM PANTOKRATOR / ROI DE TOUTES LES NATIONS, VRAIES ET JUSTES SONT TES JUGEMENTS".

8 LE Quatrième ANGE VERSA SA COUPE SUR LE SOLEIL ET IL LUI FUT PERMIS QU'IL BRÛLE LES HOMMES PAR LA CHALEUR. 9 ET LES HOMMES furent brûlés PAR LA GRANDE CHALEUR ET ILS blasphémèrent LE NOM DE ILOHIM QUI AVAIT POUVOIR SUR CES PLAIES-CI, ET ILS NE SE REPENTIRENT PAS POUR QU'ILS LE GLORIFIENT.

10 LE Cinquième ANGE VERSA SA COUPE SUR LE TRÔNE DE LA BÊTE ET SON ROYAUME S'EST OBSCURCI, LES HOMMES SE MORDAIENT LEUR LANGUE DE LA DOULEUR ET DE LEURS Ulcères, MAIS ILS NE SE REPENTIRENT PAS DE LEURS OEUVRES.

12 LE Sixième ANGE VERSA SA COUPE SUR LE FLEUVE LE GRAND, L'EUPHRATE ET SES EAUX s'asséchèrent, POUR QUE SOIT préparé LE CHEMIN POUR LES ROIS, CEUX DU LEVER DU SOLEIL. (DE L'ORIENT DU SOLEIL)

13 ENSUITE JE VIS QUI SORTAIENT DE LA BOUCHE DU DRAKON / DU SERPENT ANTIQUE, DU DIABLE, SATAN, ET DE LA BOUCHE DE LA BÊTE ET DE LA BOUCHE DU PSEUDO-Prophète : TROIS ESPRITS IMPURS, QUI étaient COMME DES GRENOUILLES. 14 CEUX-là SONT DES ESPRITS Démoniaques QUI FONT DES SIGNES, ET ILS VONT CHEZ LES ROIS DE TOUT L''UNIVERS POUR QU'ILS LES RASSEMBLENT à LA GUERRE, DANS CE GRAND JOUR-CI DE ILOHIM LE PANTOKRATOR / LE ROI DE TOUTES LES NATIONS. 16 (ICI, JE VIENS COMME LE VOLEUR, BIENHEUREUX CELUI QUI VEILLE ET QUI A SES VÊTEMENTS, POUR NE PAS QU'IL MARCHE NU ET QU'ILS VOIENT SA LAIDEUR).

16 ET ILS LES rassemblèrent DANS LE LIEU, LEQUEL est appelé EN Hébreu : ARMAGEDON.

17 LE Septième ANGE VERSA SA COUPE DANS LES AIRS, ET DU TEMPLE DU CIEL SORTIT UNE VOIX FORTE DU TRÔNE, LAQUELLE A DIT : "C'EST FINI". 18 ET IL S'EST FAIT DES éclairs, DES VOIX, DES TONNERRES ET UN GRAND TREMBLEMENT DE TERRE, UN TEL QUI N'A JAMAIS EU LIEU DEPUIS QUE LES HOMMES EXISTENT SUR LA TERRE, TELLEMENT GRAND était CE TREMBLEMENT DE TERRE-là. (DANIEL chap 12, ISSAYAH chap 24)

19 ET LA Cité LA GRANDE se sépara EN TROIS PARTIES ET LES cités DES NATIONS sont tombées.

ET ILOHIM s'est rappelé DE BABYLONE LA GRANDE POUR QU'IL LUI DONNE QU'ELLE BOIVE LA COUPE AVEC LE VIN DE SA GRANDE Colère.

20 LES ÎLES FURENT PERDUES ET LES MONTAGNES DISPARURENT.

21 ET DE GRANDES GRÊLES, DE POIDS D'ENVIRON UN TALENT, TOMBAIENT DU CIEL SUR LES HOMMES ET LES HOMMES blasphémaient ILOHIM à CAUSE DE LA PLAIE DE LA GRÊLE, PARCE QUE CELA était UNE très GRANDE PLAIE CETTE PLAIE-CI.

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2 CORINTHIENS 11:14

1:1 PAUL, APÔTRE DE JESUS CHRISTOS PAR LA Volonté DE DIEU ET Timothée, SON frère, VERS L'EGLISE DE DIEU, LAQUELLE EST EN CORINTHE (EN Grèce), ET VERS TOUS LES SAINTS, QUI SONT DANS TOUTE L'ACHAÏE, QUE LA GRÂCE SOIT AVEC VOUS ET LA PAIX DE DIEU NOTRE Père ET PAR LE SEIGNEUR JESUS CHRISTOS. 3 QUE béni SOIT LE DIEU ET Père DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRISTOS, LE Père Miséricordieux ET DIEU DE TOUTE CONSOLATION, LEQUEL NOUS CONSOLE à CHAQUE MALHEUR, DE SORTE QUE NOUS PUISSIONS NOUS AUSSI QUE NOUS CONSOLIONS LES AUTRES EN N'IMPORTE QUEL DE LEUR MALHEUR, AVEC LA CONSOLATION, AVEC LAQUELLE NOUS-MÊMES NOUS avons été consolé PAR DIEU. (APOC DE JEAN chap 2:1-2 : JE CONNAIS TES OEUVRES ET TOUS TES EFFORTS ET TA PATIENCE ET QUE TU NE PEUX SUPPORTER LES Méchants, ET QUE TU as éprouvé CEUX QUI DISENT DE LEUR PERSONNE QU'ILS SONT APÔTRES, ALORS QU'ILS NE LE SONT PAS, ET QUE TU LES as trouvés MENTEURS.)

11:11 DIEU SAIT QUE JE VOUS AIME. MAIS CE QUE JE FAIS JE VAIS CONTINUER à LE FAIRE, POUR QUE JE SUPPRIME L'OCCASION DE CEUX QUI CHERCHENT OCCASION POUR QU'ILS PARAISSENT QU'ILS SONT COMME NOUS DANS L'OEUVRE, POUR LAQUELLE ILS SE VANTENT. 13 DE TELS HOMMES SONT DES PSEUDO-APÔTRES, DES OUVRIERS TROMPEURS, QUI se déguisent EN APÔTRES DE CHRISTOS. 14 ET CELA N'EST PAS étonnant, PARCE QUE SATAN LUI-MÊME se déguise EN ANGE LUMINEUX. 15 CE N'EST DONC PAS UNE GRANDE CHOSE, SI SES SERVITEURS AUSSI se déguisent EN SERVITEURS DE JUSTICE, LESQUELS LEUR FIN SERA EN FONCTION DE LEURS OEUVRES.

12:1 LE FAIT QUE JE ME VANTE DONC NE M'EST PAS AVANTAGEUX, MAIS JE VAIS VENIR DANS LES VISIONS ET LES Révélations DU SEIGNEUR.

2 JE CONNAIS UN HOMME Chrétien, LEQUEL, IL Y A QUATORZE ANS, - SOIT AVEC LE CORPS, JE NE SAIS PAS, SOIT HORS DU CORPS, JE NE SAIS PAS, DIEU SAIT - a été enlevé JUSQU'AU Troisième CIEL. 3 ET JE SAIS QUE CETTE PERSONNE, SOIT AVEC LE CORPS SOIT HORS DU CORPS, JE NE SAIS PAS, DIEU SAIT - IL a été enlevé AU PARADIS ET IL A ENTENDU DES PAROLES INEXPRESSIBLES, LESQUELLES IL N'EST PAS PERMIS QU'UN HOMME LES répètent.

5 POUR UNE TELLE PERSONNE JE VAIS ME VANTER, MAIS POUR MA PERSONNE JE NE ME VANTERAI PAS, MAIS SEULEMENT DE MES FAIBLESSES.

6 MAIS SI AUSSI JE VOULAIS ME VANTER, JE NE SERAI PAS insensé, PARCE QUE JE VAIS DIRE LA Vérité, MAIS JE L'évite DE PEUR QUE QUELQU'UN ME considère supérieur DE CE QU'IL VOIT EN MOI OU ENTEND DE MOI.

7 ET POUR NE PAS QUE JE M'ONORGUEILLISE POUR LES NOMBREUSES Révélations, IL M'a été donné UNE épine DANS LE CORPS, UN ANGE DE SATAN, POUR QU'IL ME FRAPPE, POUR QUE JE NE M'ENORGUELLISE PAS.

8 PAR TROIS FOIS J'ai supplié LE SEIGNEUR POUR CELA, POUR QU'IL PARTE DE MOI.

9 ET IL M'A DIT : "MA GRÂCE T'EST SUFFISANTE, PARCE QUE MA FORCE SE MANIFESTE PARFAITEMENT là où IL Y A DE LA FAIBLESSE".

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LES VISIONS D'AUJOURD'HUI DE L'ESPRIT IMPUR, DE L'APPARITION DE JESUS CHRISTOS, LE DIEU FAIT HOMME DE LA Sainte Trinité !

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CONTENU DE PARTIES DE LA VIDEO :

UN éclair a déchiré LE CIEL ALORS QU'ELIE ABRAHAM, 16 ANS, RENTRAIT DE L'école EN TITUBANT, SOUS L'ORAGE QI EXPLOSAIT AU-DESSUS DE SA TÊTE ! DANS UN éclair DE FEU BLANC, SON CORPS s'est effondré, SANS VIE AU MILIEU DE LA RUE ! MAIS L'HISTOIRE D'ELIE ne s'est pas arrêtée là, ELLE a commencé !

CE QU'IL A VU après SA MORT, ALLAIT ébranler LE COEUR MÊME DE SES CROYANCES, DES VISIONS DE L'AVENIR D'ISRAËL ! UN HOMME RAYONNANT nommé JESUS, UN MESSAGE POUR LE MONDE !

C'EST LE Témoignage D'UNE MORT IMMINENTE QUE PERSONNE N'ATTENDAIT ET QUE VOUS N'OUBLIEREZ JAMAIS !

JE M'APPELLE ELIE RIMMER, J'AI 16 ANS ET J'HABITE à CHERYL DANS LE NEW JERSEY, JE fréquente UN Lycée JUIF à QUELQUES kilomètres DE CHEZ MOI, LA VIE était PLUTÔT NORMALE, L'école, LES DEVOIRS, LA SYNAGOGUE LE WEEK-END ! JE NE PENSAIS JAMAIS VRAIMENT à LA MORT, NI à QUOI QUE CE SOI au-delà DE CE QUE JE POUVAIS VOIR, C'EST arrivé UN JEUDI !

LE CIEL était dégagé QUAND JE SUIS PARTI à L'école, MAIS à LA FIN DES COURS, D'épais NUAGES s'étaient installés. J'étais à MI-CHEMIN QUAND LE VENT s'est levé, c'était COMME SI L'AIR était SOUDAIN DEVENU VIF, VIF ET agité, J'ENTENDAIS LE TONNERRE AU LOIN, MAIS JE PENSAIS POUVOIR ARRIVER AVANT L'ORAGE, J'AVAIS TORT ! LES GOUTTES DE PLUIE SE MIRENT à TOMBER RAPIDEMENT, LOURDEMENT TREMPANT MON SAC-à-DOS ET MES VÊTEMENTS.

JE SUIS passé DEVANT L'épicerie DU COIN, CELLE AVEC UN AUVENT VERT délavé, ET C'EST la dernière CHOSE DONT JE ME SOUVIENS CLAIREMENT. IL N'Y EU AUCUN AVERTISSEMENT, AUCUN éclair, AUCUN BRUIT, JUSTE UNE SENSATION ! UN étrange PICOTEMENT PARCOURU MES JAMBES ET MA POITRINE, J'ai essayé DE BOUGER, DE CRIER PEUT-ÊTRE, MAIS TOUT EXPLOSA ! C'était COMME ÊTRE percuté PAR UN TRAIN DE FEU ET DE BRUIT !

MON CORPS S'ILLUMINA DE L'intérieur, ET PUIS, D'UN SEUL COUP TOUT S'ARRÊTA, NOIRCEUR, SILENCE TOTAL ! MAIS ALORS, QUELQUE CHOSE D'étrange S'EST PRODUIT ! J'AI EU L'IMPRESSION DE FLOTTER, DE M'élever AU -DESSUS DE MOI-MÊME, JE NE RESSENTAIS PLUS DE DOULEUR, SEULEMENT DE LA PESANTEUR ! JE VOYAIS MON CORPS étendu EN BAS SUR LE TROTTOIR, J'AI VU DES GENS COURIR VERS MOI, UNE FEMME CRIAIT DANS SON téléphone, UN HOMME agenouillé à côté DE MOI !

J'AURAIS VOULU CRIER POUR LEUR DIRE QUE J'ALLAIS BIEN, MAIS AUCUN SON NE SORTAIT, JE n'étais plus DANS MON CORPS. J'AVAIS L'IMPRESSION D'ÊTRE tiré VERS LE HAUT, NON PAS PAR LE VENT OU LA gravité, MAIS PAR QUELQUE CHOSE D'AUTRE, FORT COMME SI UNE MAIN INVISIBLE ME GUIDAIT !

LES COULEURS AUTOUR DE MOI ont commencé à CHANGER, LE CIEL n'était plus SEULEMENT GRIS, IL était REMPLI DE Lumière TOURBILLONNANTE, D'UNE DOUCE MUSIQUE INEXPLICABLE ET D'UN PROFOND SENTIMENT DE PAIX ! C'EST DIFFICILE à décrire, MAIS c'était COMME SI TOUTE LA PEUR ET LA CONFUSION s'étaient dissipées ! JE SAVAIS AU FOND DE MOI, QUE JE n'étais plus SUR TERRE ! AU début, J'AI CRU RÊVER où MON CERVEAU LOGIQUE ESSAYAIT SANS CESSE DE L'EXPLIQUER ! PEUT-ÊTRE HALLUCINAIS-JE ? PEUT-ÊTRE étais-je EN TRAIN DE MOURIR ET MON CERVEAU INVENTAIT-IL DES CHOSES ? MAIS CELA NE RESSEMBLAIT PAS à UN RÊVE ! CELA était PLUS réel QUE TOUT CE QUE J'AVAIS CONNU.

A MESURE QUE JE m'éloignais DE MON CORPS, TOUT EN DESSOUS DE MOI DEVENAIT PLUS PETIT, LE MONDE QUE JE CONNAISSAIS DE L'école, MA MAISON, MES PARENTS S'ESTOMPAIENT, ET PUIS IL N'Y EUT QUE LA Lumière...PAS SEULEMENT DE LA luminosité, MAIS QUELQUE CHOSE DE VIVANT...ELLE M'ENVELOPPAIT, CHALEUREUSE ET CALME, COMME SI ELLE ME CONNAISSAIT...COMME SI ELLE M'AVAIT TOUJOURS CONNU ...JE NE SAVAIS PAS où J'ALLAIS MAIS JE N'AVAIS PAS PEUR...

POUR LA 1ère FOIS DE MA VIE, J'AVAIS L'IMPRESSION D'ÊTRE PLEINEMENT VU...COMME SI CHAQUE PARTIE DE MOI était CONNUE ET acceptée ...LE BRUIT DU MONDE AVAIT DISPARU... remplacé PARUN SILENCE INCROYABLE...C'EST là QUE J'AI COMPRIS QUE J'étais MORT !

A CET INSTANT, QUELQUE CHOSE EN MOI a changé, JE N'AVAIS PLUS PEUR...JE n'étais même plus TRISTE...C'EST étrange à DIRE, MAIS JE ME SENTAIS LIBRE, COMME SI JE VENAIS DE ME débarasser D'UN POIDS QUE J'IGNORAIS PORTER ! PUIS, JE L'AI VU, UN TUNNEL S'EST OUVERT DEVANT MOI, CE n'était pas UN VRAI TUNNEL DE PIERRE OU DE TERRE... IL était FAIT DE Lumière, DES COULEURS QUE JE N'AVAIS JAMAIS VU AUPARAVANT, tourbillonnaient AUTOUR DE MOI, DES BLEUS DOUX, DES ORS PROFONDS, DES BLANCS éclatants...ELLES BOUGEAIENT COMME SI ELLES étaient VIVANTES... DANSANT SUR UNE MUSIQUE QUE JE N'ENTENDAIS PAS VRAIMENT, MAIS QUE JE RESSENTAIS EN MOI !

J'étais attiré VERS L'AVANT, NON PAS forcé MAIS GENTIMENT invité...IL N'Y AVAIT AUCUNE PEUR, JUSTE LA PAIX...UNE PAIX SI PROFONDE ET SI complète QUE JE N'AI MÊME PAS pensé à Y résister...JE FLOTTAIS DANS LE TUNNEL, LES COULEURS M'ENVELOPPANT COMME UNE COUVERTURE CHAUDE....JE NE SENTAIS PLUS MON CORPS ! PLUS DE DOULEUR, PLUS DE FROID, PLUS DE VÊTEMENTS mouillés NI DE PEAU brûlée, JUSTE DE LA Lumière, DE LA MUSIQUE, ET LE SENTIMENT D'ALLER VERS UN ENDROIT agréable...LA MUSIQUE, JE NE SAIS MÊME PAS COMMENT LA décrire, ELLE n'était pas FORTE...ELLE NE RESSEMBLAIT à AUCUNE AUTRE MUSIQUE QUE J'AVAIS ENTENDUE... C'était COMME UN BATTEMENT DE COEUR mêlé à DU CHANT MAIS SANS PAROLE... ELLE ME PARLAIT SANS LANGAGE...ELLE ME DISAIT QUE J'étais en sécurité, QUE J'étais aimé, QUE TOUT CE QUI M'AVAIT TOUJOURS inquiété, N'AVAIT PLUS D'IMPORTANCE ICI !

A MESURE QUE J'avançais DANS LE TUNNEL, JE ME SENTAIS DE PLUS EN PLUS MOI-MÊME, MAIS AUSSI QUELQU'UN DE NOUVEAU...C'était COMME SI TOUT LE BRUIT DE LA VIE ET LA PRESSION, LE DOUTE, LES FAUX SEMBLANTS AVAIENT DISPARU ....iIL NE RESTAIT QUE QUELQUE CHOSE DE réel, DE PUR... JE POUVAIS PENSER CLAIREMENT MAIS JE ne réfléchissais pas TROP, JE RESSENTAIS TOUT, MAIS CELA NE ME FAISAIT PAS MAL...

J'ai pensé à MES PARENTS, à MA PETITE SOEUR, à MES AMIS D'école, ILS NE ME MANQAIENT PAS AUTANT QU'ON POURRAIT LE CROIRE...JE LES AIME TOUJOURS profondément, MAIS JE COMPRENAIS MAINTENANT QU'ILS S'EN SORTIRAIENT !

LE TEMPS n'était plus LE MÊME ICI...IL SEMBLAIT à LA FOIS PLUS LENT ET PLUS RAPIDE...COMME SI TOUT était déjà arrivé ET CONTINUAIT à ARRIVER EN MËME TEMPS...C'EST là QUE J'ai réalisé QUE JE n'étais pas SEUL...JE N'AI VU PERSONNE AU début, MAIS J'AI SENTI LA Présence DE QUELQU'UN, QUELQUE CHOSE DE BIEN PLUS GRAND QUE MOI? QUI NE SE CONTENTAIT PAS DE M'OBSERVER MAIS ME GUIDAIT, ME protégeait, M'AIMAIT... JE NE SAVAIS PAS ENCORE COMMENT APPELER CELA... JE SAVAIS JUSTE QUE CELA était BON ! J'AVAIS L'IMPRESSION D'APPARTENIR à CET ENDROIT, COMME SI J'Y AVAIS TOUJOURS APPARTENU, MAIS QUE JE L'avais ouoblié JUSQU'à présent...

LA Lumière AU BOUT DU TUNNEL commençait à BRILLER DAVANTAGE, NI CRUE, NI AVEUGLANTE, JUSTE PURE...JE NE POUVAIS PLUS LA QUITTER DES YEUX...C'était COMME SI TOUT CE QUE J'AVAIS TOUJOURS désiré M'ATTENDAIT là ! TOUTES LES Réponses, TOUS LES ESPOIRS, TOUTES LES JOIES QUE J'AVAIS TOUJOURS recherchées... JE ME SOUVIENS avoir pensé : CE N'EST PAS MON IMAGINATION, J'étais trop éveillé, TROP LUCIDE...LES RÊVES SONT CONFUS ! CE n'était pas LE CAS ! C'était PARFAIT ! C'était plus réel QUE MA VIE NE L'AVAIT JAMAIS été ...PUIS LA MUSIQUE s'est intensifiée, COMME UN COEUR DE VOIX MAIS TOUJOURS SANS PAROLES ...MAIS JE COMPRENAIS ! LE SON était REMPLI D'UNE BIENVENUE, COMME S'ILS étaient HEUREUX QUE JE SOIS VENU....COMME S'ILS M'AVAIENT ATTENDU !

J'avançais PLUS VITE, attiré VERS LA PARTIE LA PLUS LUMINEUSE DU TUNNEL, JE NE SAVAIS TOUJOURS PAS CE QUI M'ATTENDAIT...MAIS JE SAVAIS QUE JE VOULAIS Y ARRIVER ! CHAQUE PARTIE DE MOI Y TENDAIT, NON PAS PARCE QUE JE FUYAIS QUELQUE CHOSE, MAIS PARCE QUE J'étais attiré PAR QUELQUE CHOSE DE MEILLEUR, DE sacré ! ET à CET INSTANT, J'AI SU QUE CE n'était pas LA FIN...C'était LE Début DE QUELQUE CHOSE, DE BIEN PLUS réel QUE TOUT CE QUE J'AVAIS CONNU....

A MESURE QUE JE M'APPROCHAIS DU BOUT DU TUNNEL, LA Lumière DEVENAIT PLUS FORTE, PLUS BRILLANTE, MAIS PAS COMME LE SOLEIL ! CELA NE FAISAIT PAS DE MAL DE LA REGARDER...EN FAIT, J'AVAIS L'IMPRESSION QU'ELLE RECOLAIT CHAQUE PARTIE brisée DE MOI...

PUIS JE L'AI VU... UN HOMME SE TENAIT DANS LA Lumière ! AU Début, JE n'ai pas bien distingué SON VISAGE...IL Y AVAIT QUELQUE CHOSE EN LUI DE PLUS QU'HUMAIN...TOUT SON ÊTRE RAYONNAIT DE CHALEUR ET DE Lumière ....NON SEULEMENT AUTOUR DE LUI MAIS AUSSI EN LUI-MÊME ! C'était COMME SI IL était LA Lumière !

ET POURTANT, dès L'INSTANT où NOS REGARDS se sont croisés, J'AI EU L'IMPRESSION DE LE CONNAÎTRE DEPUIS TOUJOURS...IL n'a pas parlé TOUT DE SUITE, PAS à VOIX HAUTE, MAIS JE L'AI ENTENDU DANS MON esprit, DANS MON COEUR, DANS CHAQUE CELLULE DE MON ÂME...

ELIE, DIT-IL ! IL CONNAISSAIT MON NOM ! CE SEUL MOT M'a brisé COMME JAMAIS AUPARAVANT, NON PAS PAR PEUR, MAIS PAR UN AMOUR SI PROFOND QUE JE NE POUVAIS LE RETENIR...DES LARMES ont coulé DE MES YEUX, MÊME SI JE CROYAIS NE PLUS AVOIR DE CORPS ! J'AVAIS L'IMPRESSION QUE TOUS LES MURS QUE J'AVAIS CONSTRUITS S'EFFONDRAIENT dès QU'IL prononçait MON NOM !!!

IL S'APPROCHA ! JE LE VOYAIS PLUS CLAIREMENT MAINTENANT, SES YEUX, JE N'AVAIS JAMAIS VU DES YEUX PAREILS, ILS étaient SOMBRES ET LUMINEUX à LA FOIS ! IL VOYAIT à TRAVERS MOI, PAS SEULEMENT EN MOI, MAIS à TRAVERS MOI DANS TOUTES MES ERREURS, TOUTES LES CHOSES DONT J'AVAIS HONTE...TOUS LES MOMENTS où J'ai douté, où JE me suis détesté !

IL A TOUT VU ET POURTANT IL N'Y AVAIT AUCUNE colère, SEULEMENT DE L'AMOUR .... UN AMOUR, PUR, HONNÊTE, Immérité ! IL A SOURI, PAS SEULEMENT AVEC SES lèvres, MAIS AVEC TOUT SON VISAGE ...J'AI EU L'IMPRESSION D'ÊTRE ENFIN CHEZ MOI !

IL M'A OUVERT LES BRAS ET JE n'ai même pas hésité ... JE ME SUIS précipité DANS SES BRAS ! AU MOMENT où IL M'a enlacé, J'AI SENTI TOUT EN MOI EXPLOSER DE Lumière...IL N'Y AVAIT NI PEUR NI Culpabilité, NI CONFUSION, JUSTE LA PAIX, JUSTE L'AMOUR !

OUI, J'ai été AVEC TOI TOUTE TA VIE, A-T-IL DIT DOUCEMENT !!! SA VOIX à LA FOIS COMME LE VENT, LE TONNERRE ET L'EAU CALME !!!

MAIS JE NE CROYAIS PAS EN TOI, MURMURAI-JE !

IL HOCHA LA TÊTE : JE SAIS !

JE N'AI MÊME JAMAIS prononcé TON NOM ! JE LUI DIS CHEZ MOI, à L'école, ON NE PARLAIT PAS DE TOI, PAS COMME CELA !

JE SAIS, DIT-IL ET JE NE T'AI JAMAIS quitté !

CES MOTS me touchèrent PLUS FORT QUE TOUT ! JE ME SOUVENAIS DE CHAQUE INSTANT où JE M'étais SENTI SEUL, CHAQUE NUIT, JE PLEURAIS EN SECRET...CHAQUE FOIS QUE JE ME DEMANDAIS SI DIEU EXISTAIT VRAIMENT !!! IL avait été là PENDANT TOUT CE TEMPS M'OBSERVANT, M'ATTENDANT, M'AIMANT, malgré MES DOUTES !!!

TU ES JESUS, AI-JE FINALEMENT DIT ! CES MOTS SONT SORTIS DE MOI COMME UN SOUFFLE QUE J'AVAIS RETENU PENDANT DES Années !

IL A SOURI DE NOUVEAU, MAIS CETTE FOIS, IL Y AVAIT QUELQUE CHOSE DE PLUS PROFOND DANS SES YEUX...DE LA TRISTESSE PEUT-ÊTRE, NON PAS PARCE QU'IL était blessé, MAIS PARCE QU'IL COMPRENAIT !!! IL SAVAIT COMBIEN IL M'AVAIT FALLU DU TEMPS POUR LE VOIR ! COMBIEN J'AVAIS EU DU MAL à Y CROIRE !!!

JE SUIS YESHOUA, DIT-IL, LE MESSIE D'ISRAËL, CELUI QUE TON PEUPLE ATTENDAIT !

CETTE PHRASE M'a bouleversé ! J'AVAIS TOUJOURS pensé QUE JESUS était POUR LES Chrétiens, QU'IL APPARTENAIT à UNE AUTRE RELIGION, à UNE AUTRE HISTOIRE ! MAIS IL était là, BIEN réel, VIVANT, DEBOUT DEVANT MOI ! MAIS JE SUIS JUIF, AI-JE DIT, ESSAYANT ENCORE DE COMPRENDRE !

OUI, JE SAIS, A-T-IL DIT, EN ME TOUCHANT DOUCEMENT LA POITRINE ! OUI, ET JE SUIS VENU POUR TOI, POUR VOUS TOUS, OUI !

JE NE POUVAIS M'EMPÊCHER DE PLEURER, NON PAS DE TRISTESSE, MAIS DE Vérité ! TOUT CE QU'ON M'AVAIT APPRIS, TOUT CE EN QUOI J'AVAIS CRU, c'était COMME SI JE LE VOYAIS DE L'AUTRE côté MAINTENANT ! ET CE n'était pas CE QUE JE PENSAIS...NON, CE n'était pas UNE QUESTION DE RELIGION, NON, c'était UNE QUESTION DE RELATION DE LE CONNAÎTRE ! ET D'UNE CERTAINE Manière, JE L'AVAIS TOUJOURS CONNU ! AU FOND, JE NE L'AVAIS JAMAIS COMPRIS JUSQU'à présent !

J'AIME TON PEUPLE, DIT-IL, DOUCEMENT ! OUI, JE L'AI TOUJOURS aimé ET JE L'AIMERAI TOUJOURS ! OUI, MÊME QUAND IL NE ME VOIT PAS ! MÊME QUAND IL ME REJETTE, JE NE ME SUIS PAS détourné, OUI, MON COEUR EST TOUJOURS POUR ISRAËL !

SES PAROLES ME FIRENT L'EFFET D'UNE VAGUE, IL n'était pas en colère, IL n'était pas AMER, IL AVAIT LE COEUR brisé POUR NOUS, PAS CONTRE NOUS...

IL s'est légèrement reculé, JUSTE ASSEZ POUR ME REGARDER à NOUVEAU DANS LES YEUX : TU NE PEUX PAS RESTER, A-T-IL DIT, NON PAS ENCORE !

POURQUOI, AI-JE demandé, paniqué...OUI, JE NE VOULAIS PAS PARTIR, JAMAIS !

PARCE QU'ILS DOIVENT SAVOIR, A-T-IL DIT, OUI, TU DOIS LEUR DIRE !

LEUR DIRE QUOI, ai-je demandé ?

IL s'est penché ET a murmuré, DIS-LEUR QUE J'ARRIVE BIENTÔT, PAS EN Bébé CETTE FOIS, MAIS EN ROI !

CES MOTS ont raisonné EN MOI PLUS profondément QUE LES SONS, J'ai hoché LA TÊTE, MÊME SI JE NE SAVAIS PAS COMMENT M'Y PRENDRE...JE SAVAIS JUSTE QUE JE DEVAIS ESSAYER...

PUIS TOUT à COMMENCER à S'ESTOMPER, LA Lumière, LA PAIX, LA MUSIQUE, TOUT à COMMENCER à DISPARAÎTRE !

JE SERAI AVEC TOI, A-T-IL DIT, OUI POUR TOUJOURS !

ET D'UN COUP J'étais parti, TOMBANT EN arrière, arraché AU PLUS BEL ENDROIT QUE J'AIE JAMAIS VU ! JUSTE AVANT d'être tiré en arrière,

JESUS a posé SA MAIN SUR MON épaule ET M'a regardé UNE Dernière FOIS DANS LES YEUX : IL Y A AUTRE CHOSE QUE JE DOIS TE MONTRER, A-T-IL DIT,

SOUDAIN TOUT a changé AUTOUR DE NOUS, LA Lumière s'est estompée ! ET c'était COMME SI NOUS étions DEBOUT AU-DESSUS DE LA TERRE, LA REGARDANT D'EN HAUT ! LE SENTIMENT DE PAIX était TOUJOURS là...MAIS IL était mêlé à QUELQUE CHOSE DE PLUS LOURD...LA TRISTESSE, L'URGENCE, QUELQUE CHOSE QUE JE NE PEUX PAS VRAIMENT EXPLIQUER...

PUIS LES VISIONS ont commencé !

J'AI VU ISRAËL, MA PATRIE, MAIS PAS COMME JE LE CONNAISSAIS, LE PAYS SEMBLAIT LE MÊME, JERUSALEM, TEL AVIV, LES COLLINES, LE désert... MAIS QUELQUE CHOSE N'ALLAIT PAS, J'AI VU DES GENS SE DISPUTER DANS LES RUES, CRIS, PROTESTATIONS, FAMILLES divisées, SYNAGOGUES à moitié VIDES ! LA FOI EST DEVENUE FROIDE ET FORMELLE, DES GENS fidèles AUX TRADITIONS, MAIS EN OUBLIANT LA RAISON, Déclins SPIRITUELS !!!!

JESUS A DIT : IL M'HONORE DES lèvres, MAIS LEUR COEUR EST LOINTAIN !!!

LE Décor CHANGEA à NOUVEAU ! JE VIS NOS frontières AU NORD, AU SUD, DES MISSILES VOLAIENT, LES sirènes HURLAIENT, LES SOLDATS COURAIENT, LA GUERRE OU PLUTÔT LA MENACE, était présente DE TOUT côté ! LES VISAGES DES GENS SEMBLAIENT fatigués, effrayés, SEULS ! PUIS, J'AI VU DES DIRIGEANTS, DES POLITICIENS DANS DES pièces OBSCURES, CONCLURENT DES ACCORDS à HUIT CLOS ! CERTAINS étaient NOS Alliés, DES GENS EN QUI NOUS AVIONS CONFIANCE ! IL NOUS TOURNAIT LE DOS EN DISANT UNE CHOSE EN PUBLIC, MAIS FAISANT LE CONTRAIRE EN privé !!!

J'AVAIS L'IMPRESSION DE LES TRAHIR !

OUI, TOUT CELA DOIT ARRIVER, DIT JESUS, OUI, C'est écrit DEPUIS LONGTEMPS !

POURQUOI, ME MONTRES-TU CELA, LUI DEMANDAI-JE ?

OUI, PARCE QU'ILS NE LE CROIRONT PAS SI PERSONNE NE LE LEUR DIT , DIT-IL ! OUI, OUI, ET TU L'AS VU DE TES PROPRES YEUX !

PUIS, ALORS QUE TOUT SEMBLAIT désespéré, LA Scène CHANGEA à NOUVEAU !

J'AI VU UN HOMME DEBOUT SEUL à UNE TRIBUNE, FACE à UNE AVALANCHE DE caméras, DE JOURNALISTES ET DE CRITIQUES...IL PARAISSAIT PLUS âgé QUE DANS MES SOUVENIRS DE LA Télévision, SES CHEVEUX étaient plus argentés, MAIS SON VISAGE était FERME ! JE L'AI RECONNU instantanément...C'était DONALD TRUMP !

J'AI VU LES DIRIGEANTS D'AUTRES PAYS CONDAMNER ISRAËL, CERTAINS ONT TENU DES PROPOS DURS... D'AUTRES sont restés SILENCIEUX, FAISANT SEMBLANT DE NE PAS VOIR CE QUI SE PASSAIT ! MÊME CERTAINS DE NOS CONCITOYENS ont commencé à PERDRE ESPOIR... MAIS TRUMP n'a pas bougé, IL A TENU BON ! IL A PRIS LA PAROLE QUAND D'AUTRES ont reculé ! JE L'AI ENTENDU DIRE : JE SOUTIENDRAI ISRAËL, NON PAS PARCE QUE C'EST FACILE, NON PAS PARCE QUE C'EST POPULAIRE, MAIS PARCE QUE C'EST JUSTE ! LA Réaction a été immédiate, LES Médias L'ont moqué...D'AUTRES POLITICIENS ONT PRIS LEUR DISTANCE ! MÊME CERTAINS DE SES CONSEILLERS ont tenté DE L'ARRÊTER, MAIS IL n'a pas changé, IL n'a pas cédé !!!

IL N'EST PAS PARFAIT, DIT JESUS, AUCUN HOMME NE L'EST; MAIS JE L'AI CHOISI POUR CE TEMPS, POUR DIRE LA Vétité QUAND LE MONDE EST REMPLI DE MENSONGES; POUR bénir MON PEUPLE QUAND D'AUTRES LE MAUDISSENT !

J'étais stupéfait, JE N'AVAIS JAMAIS prêté BEAUCOUP D'ATTENTION à LA POLITIQUE ! A LAMAISON, ON NE PARLAIT PAS BEAUCOUP DE TRUMP, ET QUAND ON LE FAISAIT, c'était généralement POUR PLAISANTER OU SE DISPUTER !

MAIS ICI, DANS CET ENDROIT HORS DU TEMPS, J'AI VU AUTRE CHOSE, QUELQUE CHOSE DE PLUS GRAND ! IL n'était pas loué PAR LE MONDE, MAIS utilisé PAR DIEU ! PUIS, JESUS M'a montré DES VISAGES, DES VISAGES JUIFS, CERTAINS EN ISRAËL, D'AUTRES EN Amérique, D'AUTRES DANS DES ENDROITS QUE JE NE RECONNAISSAIS PAS, DES HOMMES ET DES FEMMES, JEUNES ET VIEUX ! CERTAINS PRIAIENT, D'AUTRES S'INTERROGEAIENT, D'AUTRES PLEURAIENT ! ET PUIS, J'AI VU LA Lumière REVENIR DANS LEURS YEUX !

ENSUITE, JE réveillerai MON PEUPLE, A DIT JESUS, MÊME AU COEUR DU CHAOS, MÊME DANS LA DOULEUR, JE NE LES LAISSERAI PAS TOMBER DANS L'OUBLI !!!

ENSUITE, J'AI VU DES églises, DES églises Chrétiennes, CERTAINES étaient LUMINEUSES, PLEINES DE GENS à GENOUX PRIANT POUR ISRAËL, réclamant LA Vérité ! D'AUTRES étaient FROIDES, SOMBRES, VIDES, FENÊTRES CLOSES, PORTES verrouillées ! A L'intérieur, LES GENS étaient assis EN SILENCE, IGNORANT CE QUI SE PASSAIT DANS LE MONDE !

JESUS AVAIT L'AIR TRISTE : BEAUCOUP ont oublié, DIT-IL ! ILS ont remplacé MES PROMESSES PAR DU Réconfort ! MAIS IL RESTE UN RESTE QUI ENTEND ENCORE MA VOIX, ET IL se lèvera !

PUIS J'AI VU QUELQUE CHOSE QUI M'a coupé LE SOUFFLE ! DES GENS DE TOUTES ORIGINES, DE TOUTES LANGUES, DE TOUS HORIZONS, TOUS MARCHAIENT ENSEMBLE VERS UNE GRANDE MONTAGNE ! ET AU SOMMET DE CELLE-CI SE TENAIT JESUS LES BRAS GRANDS OUVERTS !

ILS VIENDRONT, A-T-IL DIT, DE TOUTES LES NATIONS, NON PAS POUR LA RELIGION, NI POUR LA POLITIQUE, MAIS POUR LA Vérité, POUR L'AMOUR POUR MOI !

DES LARMES ont coulé SUR MON VISAGE, NON PAS DE PEUR, MAIS SOUS LE POIDS DE CE QUE JE VENAIS DE VOIR ! QUE VAIS-JE FAIRE DE TOUT CELA, LUI ai-JE demandé ?

DITES-LEUR, DIT-IL, DITES-LEUR CE QUI ARRIVE, DITES-LEUR QUE JE n'ai pas oublié ISRAËL, QUE JE n'ai pas changé ! QUE JE REVIENS BIENTÔT, ET QU'ILS DOIVENT ÊTRE PRÊTS ! PUIS IL AJOUTA QUELQUE CHOSE QUE JE N'OUBLIERAI JAMAIS ! LES JOURS à VENIR SERONT DIFFICILES, IL Y AURA DAVANTAGE DE TRAHISON, DAVANTAGE DE BOULEVERSEMENTS, DAVANTAGE DE CHAGRINS, MAIS IL Y AURA AUSSI UN Réveil, UN RENOUVEAU DE L'ESPOIR ! JE N'EN AI PAS FINI AVEC MON PEUPLE, JE N'EN AI PAS FINI AVEC CE MONDE !

LA VISION S'ESTOMPA LENTEMENT ! LA Lumière REVINT !

JE ME SENTIS M'éloigner DE LUI, tiré en arrière COMME UNE VAGUE QUI S'ENVOLE VERS LE LARGE, MAIS SES DERNIERS MOTS : OUI, J'ARRIVE BIENTÔT....OUI, DIS-LEUR QUE JE LES AIME profondément, intensément ! OUI, JE VEUX QU'ILS LE CONNAISSENT ! OUI, JE T'AI CHOISI ELIE, NON PAS PARCE QUE TU ES FORT, MAIS PARCE QUE TU PARLERAS ! OUI, VA LEUR DIRE : OUI, LE TEMPS EST PLUS COURT QU'ILS NE LE PENSENT !

ET D'UN COUP JE DISPARUS !

JESUS M'a regardé AVEC DES YEUX QUI EMBRASSAIENT LE MONDE ENTIER, C'EST DIFFICILE à EXPLIQUER, MAIS QUAND IL M'a regardé, J'AI EU L'IMPRESSION QU'IL VOYAIT TOUT CE QUE J'AVAIS FAIT, CHACUNE DE MES pensées, ET IL M'AIMAIT TOUJOURS AUTANT ... NI HONTE, NI PEUR, JUSTE LA Vérité ET L'AMOUR réunis EN UN SEUL !!!

PUIS IL a prononcé DES PAROLES QUE J'ENTENDS ENCORE, CHAQUE FOIS QUE JE FERME LES YEUX : ELIE, DIT-IL, J'ARRIVE BIENTÔT ! SA VOIX NE TRAHISSAIT AUCUNE colère, ELLE n'était NI FORTE, NI énergique, ELLE était CALME, CLAIRE ET PESANTE... COMME SI CHAQUE MOT avait été gravé DANS LE TEMPS ! NON, PAS COMME UN AGNEAU CETTE FOIS POURSUIVI, MAIS COMME UN ROI !

CETTE PHRASE ME FRAPPA COMME UN COUP DE TONNERRE, OUI, J'AVAIS TOUJOURS ENTENDU PARLER DU MESSIE DANS LES HISTOIRES DE MON ENFANCE, MAIS PERSONNE NE M'AVAIT JAMAIS DIT QU'IL REVIENDRAIT AINSI, NI FAIBLE, NI SILENCIEUX, MAIS FORT, GLORIEUX, ET PRÊT à TOU REMETTRE D'APLOMB !!! OUI, JE NE SAVAIS PAS QUOI DIRE ! MON esprit S'EMBALLAIT ! J'AVAIS L'IMPRESSION QUE MON COEUR ALLAIT SE BRISER EN DEUX, JE NE VOULAIS PAS PARTIR, JE NE VOULAIS PAS RETOURNER DANS MON MONDE D'ORIGINE où LES GENS DISCUTENT DE LA Vérité COMME SI c'était UN Débat, où LA DOULEUR ET LA CONFUSION REMPLISSAIENT L'AIR COMME DE LA fumée !

OUI, MAIS JESUS s'est approché, IL a posé SA MAIN SUR MA POITRINE, là où LA FOUDRE M'avait frappé ! TU DOIS REPARTIR MAINTENANT, A-T-IL DIT !

POURQUOI MOI AI-JE demandé ? POURQUOI CHOISIR UN ENFANT COMME MOI ?

IL A SOURI : PARCE QUE TU DIRAS LA Vérité ! TU L'AS VU ET TU NE TE TAIRAS PAS !

J'AI SENTI QUELQUE CHOSE SE TRANSFORMER EN MOI, COMME SI UN FEU s'était allumé DANS MES OS ! JE NE ME SENTAIS PAS FORT, JE NE ME SENTAIS NI SAGE NI COURAGEUX; MAIS JE SAVAIS AU FOND DE MOI QUE CE MOMENT ALLAIT façonner LE RESTE DE MA VIE !!!

OUI, TU NE PARS PAS SEUL, DIT JESUS, OUI, JE SERAI AVEC TOI, OUI ! J'AI TOUJOURS été AVEC TOI, MÊME QUAND TU NE CONNAISSAIS PAS MON NOM, OUI ! SA MAIN était TOUJOURS SUR MA POITRINE, ET TANDIS QU'IL PARLAIT, J'AI SENTI QUELQUE CHOSE PASSER DE LUI EN MOI ! NON, PAS PHYSIQUEMENT, MAIS SPIRITUELLEMENT, COMME UNE Lumière OU PEUT-ÊTRE UN BUT ...C'EST DIFFICILE à décrire, MAIS JE SAVAIS QUE QUELQUE CHOSE D'éternel avait été placé EN MOI !

PUIS LE MONDE AUTOUR DE NOUS a recommencé à CHANGER ! LES COULEURS se sont estompées, LA MUSIQUE S'EST TUE, JE ME SUIS SENTI tiré en arrière...LOIN DE LUI ! NON, M'écriai-je, S'IL TE PLAÎT, NE ME LAISSE PAS OUBLIER CELA...NE ME LAISSE PAS PERDRE CE QUE J'AI VU !

TU N'OUBLIERAS PAS, DIT-IL, JE L'ai écrit DANS TON COEUR !

JE SENTIS DES LARMES COULER SUR MON VISAGE, IL SE PENCHA VERS MOI ET SA VOIX, BIEN QUE DOUCE SEMBLAIT gravée DANS MON ÂME !

DIS-LEUR CE QUE JE T'ai montré, DIT-IL ! DIS-LE à TOUS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD ! PUIS IL a murmuré QUELQUE CHOSE D'AUTRE, QUELQUE CHOSE DE PERSONNEL, JE NE PARTAGERAI PAS CE PASSAGE ICI, CAR c'était ENTRE LUI ET MOI ! MAIS JE DIRAIS CECI, CELA M'a profondément brisé .... CELA M'a montré QUE JESUS NE VOIT PAS SEULEMENT LES FOULES OU LES NATIONS, IL VOIT LES GENS OU LES INDIVIDUS, LES NOMS, LES COEURS... IL VOUS VOIT !

EN UN CLIN D'OEIL, J'ai été transporté DANS CE TUNNEL DE Lumière ET DE COULEURS ! SEULEMENT CETTE FOIS, J'AI EU L'IMPRESSION QUE LE TEMPS s'était acccéléré...COMME SI JE TOMBAIS en arrière DANS L'ESPACE ! JE NE POUVAIS M'EMPÊCHER DE PLEURER, NON PAS DE PEUR, MAIS DE CHAGRIN... JE NE VOULAIS PAS PARTIR ! ......................................................

27 min 20 sec : J'AVAIS L'IMPRESSION QUE MA POITRINE était déchirée, MES BRAS ET MES JAMBES BRÛLAIENT, MÊME RESPIRER ME FAISAIT MAL... J'ai essayé DE BOUGER MAIS MON CORPS REFUSAIT DE M'écouter...............................PLUS TARD J'AI APPRIS QUE J'étais MORTE DEPUIS PLUS DE SEPT MINUTES ! ILS ONT DIT QUE LA FOUDRE était entrée DANS MA TÊTE ET était RESSORTIE PAR MA POITRINE, LA PLUPART DES GENS NE SURVIVENT PAS à UN TEL CHOC DIRECT, SURTOUT QUAND IL TOUCHE LE COEUR, MAIS MOI J'Y SUIS PARVENU ! UN médecin A DIT : ON NE PEUT PAS EXPLIQUER CELA ! MAIS MOI SI : JE ME SOUVENAIS DE TOUT, DE CHAQUE SECONDE passée DE L'AUTRE côté, JE ME SOUVENAIS DE LA VOIX DE JESUS, DE SES YEUX, DE SON TOUCHER ET DE LA MISSION QU'IL M'avait confiée !

30 min 12 sec : ET LA CICATRICE SUR MA POITRINE LE PROUVAIT ! QUAND ILS M'ONT ENFIN laissé LA VOIR, JE N'ARRIVAIS PAS à Y CROIRE, UNE BRÛLURE irrégulière ET ramifiée, s'étendait DE MON épaule GAUCHE JUSQU'à MES CÔTES... ON AURAIT DIT UN ARBRE NOIRCI ET à VIF, COMME gravé DANS MA PEAU PAR LE FEU ! C'était DOULOUREUX CERTES, MAIS POUR MOI CE n'était pas QU'UNE CICATRICE ... OUI, c'était UNE MARQUE, UN RAPPEL QUE J'étais MORT, ET QUE J'étais REVENU POUR UNE RAISON !........................................................

ETC !

Un Soldat Israélien est Mort et a Rencontré JÉSUS : "On Nous Ment sur DIEU !" – Témoignage EMI

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Un Prêtre Orthodoxe Meurt et Revient Avec une RÉVÉLATION CHOCANTE sur les Églises de Jésus EMI

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CONTENU DE LA VIDEO :

PRÊTRE ORTHODOXE, DE JESUS CHRISTOS, DIEU FAIT HOMME DE LA Sainte Trinité !

JE M'APPELLE LUCAS, ET CE QUE JE VAIS PARTAGER ICI, N'EST PAS FACILE à DIRE ! J'ai passé TOUTE MA VIE à l'intérieur DE L'église, ENSEIGNANT LA FOI ET préparant LES GENS à TROUVER DIEU DANS LEURS DERNIERS INSTANTS ! J'ai toujours pensé QUE LORSQUE MON HEURE VIENDRAIT, JE PARTIRAIS EN PAIX, enveloppé DE LA CERTITUDE D'UN REPOS éternel, MAIS JE ME suis trompé ! RIEN n'aurait pu me préparer, à CE QUE J'ai vécu DANS CET INSTANT ENTRE LA MORT ET LA VIE !

TOUT CE QUE JE CROYAIS SAVOIR s'est effondré DEVANT CE QUE J'AI VU...ET MÊME AUJOURD'HUI, PEU IMPORTE COMBIEN J'ESSAIE DE LE METTRE EN MOT, J'AI L'IMPRESSION DE NE JAMAIS POUVOIR L'EXPLIQUER complètement...MAIS JE VAIS ESSAYER !

J'ai été PRÊTRE TOUTE MA VIE, dédié AU SERVICE DE DIEU, AUX TRADITIONS DE L'EGLISE, ET à LA MISSION DE GUIDER LES ÂMES SUR LE CHEMIN DE LA FOI... J'ai passé DES décennies à PRÊCHER, à ENTENDRE DES CONFESSIONS, à préparer des funérailles, ET à PRIER AVEC CEUX QUI étaient AU BORD DE LA MORT !

QUAND ON M'a diagnostiqué UN CANCER EN PHASE TERMINALE, J'ai accepté MON DESTIN AVEC résignation... JE SAVAIS QUE MA VIE TOUCHAIT à SA FIN ET malgré LA SOUFFRANCE PHYSIQUE, J'ai essayé DE RESTER FORT, EN ME CONFIANT SUR LE FAIT QUE MON CHEMIN était LE BON ! MES DERNIERS INSTANTS furent entourés DE prières, MA FAMILLE était à mes côtés, D'AUTRES PRÊTRES PRIAIENT à VOIX BASSE, ET MOI AFFAIBLIS, J'ATTENDAIS SIMPLEMENT, J'ATTENDAIS DE TROUVER CE DONT J'avais TOUJOURS prêché ! J'ai fermé LES YEUX, SENTI MON SOUFFLE FAIBLIR, ET FINALEMENT L'Obscurité m'a enveloppé ...MAIS AU LIEU DE LA PAIX Céleste QUE J'ATTENDAIS, JE ME suis réveillé DANS UN ENDROIT QUE JE N'AURAIS JAMAIS PU IMAGINER !

LA 1ère CHOSE QUE J'ai remarquée FUT L'ABSENCE DE TOUT, IL N'Y AVAIT NI Lumière NI Obscurité, JUSTE UN VIDE ABSOLU...c'était COMME SI J'étais SUSPENDU DANS UN ESPACE SANS FORME, SANS TEMPS, SANS SON ... J'ai essayé DE BOUGER, MAIS IL N'Y AVAIT NI SOL SOUS MES PIEDS, NI AIR AUTOUR DE MOI, IL N'Y AVAIT NI FROID NI CHALEUR... JUSTE LA SENSATION D'ËTRE là, EXISTANT D'UNE CERTAINE manière MAIS SANS AUCUN repère ! PENDANT UN INSTANT, JE me suis demandé SI c'était LA FIN, SI MON ÂME s'était simplement éteinte DANS LE Néant ...

MAIS ENSUITE, J'ai commencé à PERCEVOIR QUELQUE CHOSE AUTOUR DE MOI, UN BROUILLARD GRIS a commencé à SE FORMER COMME UNE épaisse fumée, TOURBILLONNANT LENTEMENT ET REMPLISSANT CET ESPACE INFORME...AU Début, J'ai pensé QUE c'était SIMPLEMENT MON esprit QUI ESSAYAIT DE créer QUELQUE CHOSE AU MILIEU DU VIDE !

MAIS J'ai VITE réalisé QUE JE n'étais pas SEUL ! IL N'Y AVAIT PAS DE SON, MAIS JE RESSENTAIS, JE RESSENTAIS DES présences AUTOUR DE MOI, ELLES étaient là, cachées DANS CE BROUILLARD... AU début, ELLES n'étaient QUE DES OMBRES INDISTINCTES, DES FORMES SANS CONTOUR... MAIS PETIT à PETIT, ELLES ont commencé à DEVENIR PLUS VISIBLES... C'était DES FIGURES, DES SILHOUETTES HAUTES ET SOMBRES QUI se déplaçaient LENTEMENT, SE RAPPROCHANT DE MOI !

ET PUIS J'AI ENTENDU, PAS AVEC MES OREILLES MAIS à l'intérieur DE MOI, DES VOIX, DES MURMURES, DES MOTS QUI n'étaient pas exactement prononcés...MAIS QUI SURGISSAIENT DANS MON esprit, COMME S'ILS étaient insufflés DANS MON ÊTRE MÊME... LES VOIX étaient BASSES, INCESSANTES, chargées DE QUELQUE CHOSE QUI M'A FAIT FRISSONNER ...CE n'était pas DES MOTS ORDINAIRES, c'était DES MOTS VIDES, DES MOTS DE désespoir, D'ACCUSATION, D'ANGOISSE ! ET C'EST à CE MOMENT-là, QUE LA PEUR M'A VRAIMENT SAISI ! LA MORT NE DEVRAIT PAS ÊTRE AINSI.... Où était DIEU ? Où était LA PAIX QUE J'avais tant prêchée ?

J'AI VOULU PRIER, MON INSTINCT immédiat FUT D'INVOQUER LE NOM DE DIEU, DE DEMANDER PROTECTION, DE CRIER à L'AIDE... MAIS QUELQUE CHOSE D'HORRIBLE S'EST PRODUIT, MA VOIX NE SORTAIT PAS ! J'ai essayé, JE LE JURE ! J'ai essayé MAIS c'était COMME SI MES MOTS MOURAIENT AVANT MÊME DE SE FORMER ! LA TERREUR s'est emparée DE MOI, J'AVAIS TOUJOURS CRU QUE MA FOI était FORTE...

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JESUS CHRISTOS SE NOMME ICI YESHOUA ! MAIS IL SE FAIT PASSER POUR LE DIEU D'ISRAËL !

CONTENU DE LA VIDEO :

JE M'APELLE YAYER COHEN, J'AI 13 ANS ET JE VIS à HAÏFA ! MON père EVY, ET MA mère NOAH ! MA PETITE SOEUR Léora ! Léora A 10 ANS !

NOUS SOMMES JUIFS, MAIS PAS LE GENRE DE JUIFS QUI VONT à LA SYNAGOGUE CHAQUE SEMAINE ! ON FÊTE PESSAH, ICI C'EST UNE QUESTION DE RITUEL QUE DE LA SOUPE MATZO DE MA mère QUE PERSONNE NE FAIT DE MEILLEURE qualité.... Mon père NE MET LES PIEDS à LA SYNAGOGUE QUE LORSQUE GRAND-Mère APPELLE TROIS FOIS POUR LUI DIRE, QU'IL VA POUR OUBLIER DIEU S'IL NE SE REPREND PAS ! QUANT à MOI, JE NE PENSE PAS BEAUCOUP à DIEU, JE PENSE AU FOOT, AU BUT, AUX FEINTES, à L'IMPOSSIBLE AVEC UN BALLON AU PIED ...MAIS dernièrement HAÏFA SEMBLE avoir changé DE PEAU ! LE CIEL EST TOUJOURS BLEU, LA MER SCINTILLE ENCORE, MAIS IL Y A QUELQUE CHOSE DE différent DANS L'AIR, CE N'EST PAS SEULEMENT LA CHALEUR, ET L'été ICI PEUT ÊTRE CRUEL ! C'EST UN POIDS, UN SILENCE étrange, COMME SI LA VILLE entière RETENAIT SON SOUFFLE ! LA Télévision DU SALON n'est jamais éteinte, LA RADIO DE MON père NE PARLE PLUS QUE DE GUERRE, DE MENACES IRANIENNES, DE MISSILES, DE DRÔNES ! LE ESBOLAH AU NORD, LE HAMAS à GAZA ! ON DIT QU'ISRAËL a frappé DES INSTALLATIONS nucléaires EN IRAN !

MAINTENANT, TOUT LE MONDE ATTEND DE VOIR LA SUITE, COMME QUELQU'UN QUI REGARDE L'HORIZON ET SAIT QU'UNE TEMPÊTE APPROCHE...à L'école, LES PROFESSUERS MURMURENT PLUS QU'ILS N'ENSEIGNENT !

LE père DE MON AMI ELIE QUI EST MILITAIRE, n'est pas rentré à LA MAISON DEPUIS DES SEMAINES !

MON père ME DIT : RESTE AVEC MOI, YAYER, ON N'EST PAS EN sécurité DEHORS, MAIS JE SUIS TÊTU ET CE VENDREDI-là, JE SUIS SORTI, LE COEUR BATTANT LA CHAMADE, PAS SEULEMENT à CAUSE DE L'adrénaline DE L'évasion, MAIS PARCE QUE J'AVAIS BESOIN DE RESPIRER, J'AVAIS BESOIN DE COURIR !

QUAND JE SUIS arrivé, MES AMIS étaient déjà là : ELIE QUI JURE QU'IL SERA LE PROCHAIN MESSIE ! SAMIR, UN DRUZE DONT LE TIR DU PIED GAUCHE SEMBLE MAGIQUE, ET MYRIAM UNE chrétienne, NOTRE REMPART EN défense, ELLE NE JOUE PAS COMME UNE FILLE, ELLE JOUE COMME UN TANK ailé !

ET ENFIN YAYER, CRIA ELIE EN lançant LA BALLE, JE L'ESQUIVAI AVEC UN LARGE SOURIRE ! J'AI DU M'échapper DE LA PRISON DE MON père.... MYRIAM RIT, SON COLLIER EN FORME DE CROIX se balançait AU SOLEIL ! MA mère EST PAREILLE, JE JURE QU'ELLE PENSE QUE JE VAIS EXPLOSER SI JE METS LE PIED DEHORS !

ON VA JOUER BIENTÔT DIT SAMIR, EN laçant SES LACETS, AVANT LA FIN DU MONDE !

NOUS NOUS SOMMES RAPIDEMENT divisés, SAMIR ET MOI CONTRE ELIE ET MYRIAM !

LE MONT CARMEL NOUS OBSERVAIT IMPOSANT, TEL UN témoin SILENCIEUX DE NOTRE ENFANCE.

L'ESPACE D'UN INSTANT, TOUT A DISPARU, LA PEUR, LES NOUVELLES, LES DRÔNES, L'AVENIR INCERTAIN, IL N'Y AVAIT QUE LE JEU, ET NOUS QUATRE ! ET LE SOLEIL QUI PERSISTAIT à BRILLER COMME POUR DIRE : AUJOURD'HUI, VOUS ÊTES ENCORE DES ENFANTS !

QUAND IL PRONONCE MON NOM, C'EST COMME SI QUELQUE CHOSE EN MOI, QUELQUE CHOSE DONT J'IGNORAIS L'EXISTENCE, S'OUVRAIT SOUDAIN, CE n'était pas seulement LE SON, c'était la façon DONT IL prononçait YAYER, AVEC UNE DOUCEUR QUI ME BOULEVERSAIT, COMME S'IL ME CONNAISSAIT DEPUIS AVANT MA NAISSANCE, COMME S'IL était là QUAND J'ai marqué MON PREMIER BUT ! QUAND JE me suis disputé AVEC Léora, QUAND JE me suis caché derrière la porte POUR écouter mes parents se disputer à voix basse, AFIN DE NE PAS NOUS réveiller. C'EST COMME S'IL avait été là DEPUIS LE Début, MAIS malgré TOUT, MON COEUR BAT LA CHAMADE, JE SUIS JUIF, MA grand-mère ALLUME DES BOUGIES LE SHABBAT, MON grand-père A COMBATTU PENDANT LA GUERRE DU KIPPOUR !

J'AI GRANDI EN écoutant DES HISTOIRES SUR MOÏSE, SUR DAVID ET ESTHER, JESUS C'EST L'HOMME AVEC LES CROIX DANS LES EGLISES, DES PÂQUES DES AUTRES, DES NOËLS enneigés QU'ON NE VOIT QU'AU cinéma.

JE RECULE ENCORE D'UN PAS, L'HERBE argentée ONDULE SOUS MES PIEDS, ET COMME POUR ME MURMURER : C'EST BON, TU PEUX LE REMETTRE EN QUESTION !

ET IL RESTE là CALME, COMME S'IL COMPRENAIT MA CONFUSION !!!

7 min 27 sec : TU N'ES PAS là POUR TRAHIR QUOIQUE CE SOIT, YAYER, DIT-IL ! SA VOIX N'EST PAS AGRESSIVE !

TU ES là POUR TE SOUVENIR, POUR VOIR CE QUI A TOUJOURS existé, au-delà DE CE QUE L'OEIL PEUT VOIR !

JE FRISONNE MAIS POURQUOI MOI ? JE VOULAIS JUSTE JOUER AU FOOT, JE VOULAIS JUSTE MARQUER UN BUT, PAS MOURIR, LES MOTS SORTENT DANS UN FAIBLE MURMURE, JE réalise à QUEL POINT JE suis brisé ...

MÊME ICI IL S'APPROCHE, ET JE VOIS MAINTENANT QUE SON VISAGE EST à LA FOIS JEUNE ET VIEUX, COMME QUELQU'UN QUI A RIT ET pleuré MILLE FOIS ! IL S'ACCROUPIT DEVANT MOI, SE METTANT à MA HAUTEUR : TU N'ES PAS MORT, YAYER, PAS complètement, TU ES ENTRE DEUX BATTEMENTS DE COEUR, ENTRE DEUX RESPIRATIONS; ET CE QUI SE PASSE ICI ne dépend QUE DE TOI !

JE RESSENS UNE OPPRESSION DANS LA POITRINE MAIS différente DE CELLE RESSENTIE SUR LE TERRAIN, CELLE-CI EST PLUS émotionnelle, .....

JE REGARDE AUTOUR DE MOI, LE CIEL CHANTE, ET LES étoiles ELLES VIBRENT COMME LES NOTES D'UNE CHANSON QUE SEUL LE COEUR COMPREND ! AU FOND, LA MER QUE J'AI VUE D'EN HAUT BRILLE ENCORE, TOUTES PETITES MAINTENANT COMME UN SOUVENIR EN MOI.

TU ME CONNAIS MÊME SI TU NE VEUX PAS L'ADMETTRE, DIT-IL EN SE LEVANT LENTEMENT, ET JE T'AI TOUJOURS CONNU !

CES MOTS ME FRAPPENT VIOLEMMENT, JE NE PEUX répondre, JE RESTE planté à CONTEMPLER LE SCINTILLEMNT DE LA ROBE, LES YEUX QUI SEMBLENT CONTENIR LE SON DES VOIX DE MES AMIS, LE RIRE DE Léora, LE MURMURE DES ARBRES DES JARDINS BAHAÏ, ET PUIS, POUR LA 1ère FOIS JE POSE LA QUESTION : ET SI JE VOULAIS Y RETOURNER .....

IL ne répond pas TOUT DE SUITE, IL FERME LES YEUX UNE SECONDE, COMME S'IL écoutait QUELQUE CHOSE DE PLUS PROFOND; ET PUIS IL ESQUISSE UN SOURIRE SEREIN : LE MONDE A BESOIN DE COEUR COMME LE TIEN, DE PIEDS QUI COURENT DE JOIE, DE VOIX QUI CRIE : BUT, MÊME QUAND LA PEUR VEUT TOUT FAIRE TAIRE ! MAIS IL Y A QUELQUE CHOSE QUE JE DOIS D'ABORD TE MONTRER !

LE TERRAIN CHANGE ! SOUDAIN, JE ME RETROUVE AILLEURS, COMME SI NOUS AVIONS FAIT UN BOND DE PLUSIEURS Siècles ! JE SUIS AU COEUR D'UNE Cité ANTIQUE AUX RUES pavées, REMPLIES D'UNE ODEUR DE PAIN FRAIS ET DE poussière ....DES HOMMES EN ROBE BAVARDENT, DES FEMMES PORTENT DES JARES, ET AU CENTRE LUI TOUJOURS YESHOUA, MAIS MAINTENANT UN PARMI TANT D'AUTRES...

IL relève UNE FEMME tombée, LAVE LES PIEDS D'UN INCONNU, RIT AVEC DES ENFANTS QUI ME RAPPELLENT Léara ! LES GENS AUTOUR DE LUI LE REGARDENT COMME S'IL était UNE PERSONNE COMME LES AUTRES; MAIS JE VOIS, JE SAIS : IL EST LA Lumière cachée DANS LA CHAIR ! ET L'ESPACE D'UN INSTANT JE COMPRENDS TOUT ! JE COMPRENDS QUE LA FOI N'A PAS DE Frontières, QUE L'AMOUR NE SE LIMITE PAS à UN SEUL PEUPLE, ET QUE PEUT-ÊTRE DIEU PEINT AVEC PLUS DE COULEURS QUE CE QU'ON M'A APPRIS !

JE SUIS DE RETOUR SUR LE TERRAIN argenté EN UN éclair, IL SE TIENT à NOUVEAU DEVANT MOI : TU N'AS PAS à CHOISIR MAINTENANT, YAYER, DIT-IL !

UNE PAIX M'ENVAHISSANT ! MAIS SOUVIENS-TOI DE CE QUE TU AS VU ! A TON Réveil, EMPORTE-LE AVEC TOI ET QUAND TU COURRAS, COURS POUR QUELQUE CHOSE DE PLUS GRAND QU'UN OBJECTIF !

LA Lumière GRANDIT AUTOUR DE MOI, JE SAIS CE QUI VA ARRIVER, IL EST TEMPS DE décider !

JE SENS MON CORPS ME TIRER EN arrière, COMME UN élastique QU'ON LÂCHE... LES VOIX DE MES AMIS EXPLOSENT AUTOUR DE MOI...LA poussière, LA DOULEUR, LA CHALEUR, LE POIDS DU MONDE réel... MAIS QUELQUE CHOSE a changé, J'OUVRE LES YEUX, MYRIAM PLEURE SERRANT MA MAIN, SAMIR TIENT SON téléphone ortable AVEC LE numéro DE L'AMBULANCE à l'écran, ELIE agenouillé près DE MOI MURMURE MON NOM effrayé : YAYER, DIT-IL TU M'écoutes ? ...ET JE LE SUIS, JE SENS LE SOL SOUS MES PIEDS, JE SENS LE CHAMP, LE VENT, L'ODEUR DE L'HERBE sèche...

MAIS JE SENS AUSSI AUTRE CHOSE, QUELQUE CHOSE EN MOI, COMME SI LA Lumière était TOUJOURS là, BRILLANTE EN SILENCE, ATTENDANT !

JE PRENDS UNE GRANDE INSPIRATION, L'AIR REVIENT, LA VIE REVIENT, ET AVEC ELLE UNE DOUCE CERTITUDE, PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT !

SA VOIX résonnait COMME UN TONNERRE CONTENUE, FERME, SEREINE, MAIS AVEC UNE FORCE QUI SEMBLAIT VENIR DES ROCHERS, DE LA MER ET DES étoiles EN MÊME TEMPS : JE SUIS LE DIEU DE TES pères, LE DIEU D'ABRAHAM, D'ISAAC ET DE JACOB ! LA PROMESSE QUE J'AI FAITE à ABRAHAM DEMEURE ET JE TIENS PAROLE !

CES MOTS M'ont frappé COMME UNE VAGUE DE CHALEUR, PLEINE DE Vérité ! JE LES CONNAISSAIS, MÊME SI c'était à PEINE, c'était DES PHRASES DE LA TORAH DE LA GENESE, CELLE QUE MA grand-mère LISAIT à VOIX HAUTE à PESSAH, TANDIS QUE L'ODEUR DE LA MATZE EMBAUMAIT LA MAISON ! JE N'Y avais jamais prêté BEAUCOUP D'ATTENTION, JE LES TROUVAIS ENNUYEUX, MAIS MAINTENANT C'était COMME SI CHAQUE SYLLABE était gravée DANS MA POITRINE, COMME SI ELLES AVAIENT TOUJOURS FAIT PARTIE DE MOI !

J'AI CHOISI ISRAËL, CONTINUA-T-IL POUR ÊTRE UN SIGNE DE MON AMOUR PARMI LES NATIONS, TU M'APPARTIENS, YAYER ET JE T'ai amené ICI POUR QUE TU VOIS

J'ai essayé de répondre, JE VOULAIS DIRE QUELQUE CHOSE MAIS LES MOTS M'échappaient...JE n'étais QU'UN PETIT Garçon, UN Garçon QUI DRIBLAIT DES BALLONS SUR LE TERRAIN, INVENTANT DES réponses POUR SA PETITE SOEUR CURIEUSE....JE n'étais NI MOÏSE, NI DAVID NI UN RABIN, MAIS SES YEUX étaient fixés SUR MOI ! ET IL Y AVAIT QUELQUE CHOSE EN EUX PLUS QUE DU FEU, c'était COMME REGARDER LE FOND DE LA MER, SOMBRE, PROFOND, SANS FIN, COMME S'IL VOYAIT TOUS MES défauts, TOUS MES PETITS MENSONGES, TOUTES LES FOIS où J'avais désobéi à MON père ! MAIS IL NE ME REGARDAIT PAS AVEC JUGEMENT, IL ME REGARDAIT AVEC AMOUR !

VIENS, DIT-IL, EN TENDANT LA MAIN !

J'ai hésité JUSTE UNE SECONDE, PUIS J'ai touché SES DOIGTS, ILS étaient CHAUDS, VIVANTS, ET dès QUE NOS MAINS se sont rencontrées, LE CHAMP A DISPARU !

SOUDAIN, NOUS étions AILLEURS, IMMENSE, UNE SALLE DE PIERRES POLIES, AVEC DE HAUTES COLONNES TELLES DES TOURS, ET UN PLAFOND D'UN OR SI INTENSE, QU'ON AURAIT DIT QUE LE SOLEIL LUI-MÊME Y était déversé...AU CENTRE, SE TROUVAIT UN TRÔNE IMPOSANT, ASSIS DESSUS UN HOMME à L'AIR sévère, couronné, AVAIT LA PRESTANCE D'UN ROI, MAIS IL n'était pas CRUEL ! C'était LE GENRE DE sévérité QUI PORTE LA SAGESSE ! C'EST L'ANCIENNE PERSE DIT YESHOUA ! CE QUE VOUS APPELEZ MAINTENANT L'IRAN !

MON COEUR FIT UN BOND, JE LE SAVAIS, c'était L'HISTOIRE DE POURIM, LA SEULE FÊTE QUE J'AIMAIS VRAIMENT...PARCE QU'IL Y AVAIT DES AMANDES à LA CHAÎNE, CES BISCUITS sucrés QUE ma mère préparait SI BIEN, ET PARCE QUE L'HISTOIRE était BELLE, UNE REINE COURAGEUSE, UN Méchant VAINCU, UN PEUPLE sauvé !

C'EST LE ROI Xerxès, DIT-IL DU DOIGT !

ET ELLE était là, UNE JEUNE FEMME BELLE, MAIS AVEC UN REGARD à COUPER LE FER, ESTHER, ELLE PARLAIT D'UNE VOIX FERME DEVANT LE ROI !

ET J'ai regardé LA scène se dérouler COMME DANS UN FILM, LE PLAN DE HAMAM POUR détruire LES JUIFS ! LE RISQUE PRIS PAR ESTHER EN SE MANIFESTANT, LE MOMENT où LE DESTIN a basculé GRÂCE à UNE SEULE VOIX COURAGEUSE !

LA PERSE A TOUJOURS MIS MON PEUPLE à L'épreuve, DIT YESHOUA LE REGARD TRISTE, DEPUIS AMAN JUSQU'à AUJOURD'HUI, L'ORGUEIL DES ROIS PERSES s'est TOUJOURS élevé CONTRE MA PROMESSE !!!

LA scène SE DISSIPA, NOUS étions MAINTENANT DANS UNE GROTTE SOMBRE ET HUMIDE, AVEC DES PIERRES FROIDES ET UNE ODEUR DE TERRE mouillée,

AU CENTRE UN HOMME était agenouillé EN prière, d'énormes LIONS se prélassaient AUTOUR DE LUI, COMME DES CHATS DOMESTIQUES ! DANIEL, DIT YESHOUAH A VU L'AVENIR, IL A VU CE QUE DEVIENDRAIT LA PERSE (L'IRAN), IL a rêvé DE ROI ET DE GUERRE, d'une époque où MON PEUPLE SERAIT à NOUVEAU encerclé, LES MOTS étaient LOURDS !

J'AI SENTI L'HISTOIRE PESER SUR MA POITRINE COMME UNE PIERRE !

YESHOUA M'A ALORS regardé DROIT DANS LES YEUX, AVEC UN sérieux QUI M'a transpercé :MON Prophète EZECHIEL a également parlé DE CETTE époque ! IL a écrit GOG DU PAYS DE MAGOG AVEC LA PERSE ET D'AUTRES NATIONS VIENDRONT CONTRE MON PAYS !

JE NE SAVAIS PAS QUI était GOG NI où SE TROUVAIT MAGOG, MAIS J'AI RESSENTI UN FRISSON COMME SI CES MOTS S'INSCRIVAIENT SUR MOI à CET INSTANT précis !

LA GROTTE DISPARUE ! C'était LE MONDE D'AUJOURD'HUI, L'IRAN MODERNE ! J'AI VU DES VILLES GROUILLANT DE MONDE, DES DRAPEAUX NOIRS, DES FOULES EN colère SCANDANT : MORT à ISRAËL ! J'AI VU DES BUNKERS SOUTERRAIENS REMPLIS DE MISSILES, J'AI VU DES Réunions secrètes AVEC DES HOMMES EN COSTUME POINTANT DES CARTES, PLANIFIANT QUELQUE CHOSE DE TERRIBLE !

LE COEUR DE LA PERSE DEMEURE LE MÊME, DIT YESHOUA, ILS VEULENT EFFACER CE QUE J'AI CHOISI MAIS JE SUIS LE BOUCLIER D'ISRAËL !!!

J'AVAIS LE VERTIGE, MON esprit RUMINAIT LES ROIS ANCIENS, LES Prophètes, LES MISSILES MODERNES, LES FOULES ET LES MENACES, s'en était TROP, JE n'étais QU'UN ENFANT, MAIS POURQUOI MOI MURMURAI-JE ??? JE N'AIME MÊME PAS ALLER à LA SYNAGOGUE !

YESHOUA RIT, ET SON RIRE n'était pas MOQUEUR....IL était DOUX ! C'était COMME ENTENDRE LES VAGUES DE HAÏFA s'écraser SUR LES ROCHERS AU crépuscule 8

JE CHOISIS LE FAIBLE POUR MONTRER MA FORCE, DIT-IL ! C'EST EN TOI QUE JE VEUX PLACER MES PAROLES, IL a touché MON épaule !

ET SON CONTACT n'était pas SEULEMENT PHYSIQUE, c'était QUELQUE CHOSE DE PLUS, UNE CHALEUR QUI M'ENVAHISSAIT complètement, COMME SI J'avais été baigné D'AMOUR PUR !!!! C'était lE CÂLIN DE MA mère QUAND J'AVAIS PEUR LA NUIT, LE REGARD FIER DE mon père QUAND JE réussissais UN TIR, LE RIRE DE Léora QUAND ELLE GAGNAIT AU DOMINO ! TOUT CELA ET BIEN PLUS ENCORE DANS UN SEUL GESTE !

JE N'AI PLUS JAMAIS VOULU REPARTIR DE là, MAIS CE n'était pas ENCORE FINI, NOUS sommes retournés AU CHAMP D'ARGENT, UNE CARTE FLOTTAIT MAINTENANT DANS LES AIRS, BRILLANTE COMME DE VERRE ET DE Lumière ! C'était ISRAËL, PETITE, entourée D'OMBRES, MAIS BRILLANTE COMME UN DIAMANT AU MILIEU DU CHAOS !

CETTE TERRE, DIT YESHOUA, EST MON COEUR ! LA PROMESSE FAITE à ABRAHAM EST TOUJOURS VIVANTE ET MON AMOUR POUR ISRAËL NE MOURRA JAMAIS ! J'AI VU JERUSALEM, LE MUR OCCIDENTAL AVEC DES CENTAINES DE PERSONNES EN prière, LEUR VOIX s'élevant COMME DE LA fumée, DANSANT ! IL a regardé LA VILLE AVEC UNE TENDRE TRISTESSE : JE LES PLEURE PARCE QU'ILS SONT à MOI, ET MÊME QUAND ILS M'OUBLIENT, JE NE LES ABANDONNE JAMAIS !

PUIS, J'AI VU HAÏFA MA VILLE, LA MER, LES JARDINS, LE PETIT CHAMP, TOUT était là COMME UN TABLEAU VIVANT ! YESHOUA REGARDA ET DIT : CHAQUE centimètre DE CETTE TERRE M'APPARTIENT, ET JE LA défendrai ! LA CARTE CHANGEA !

DES NUAGES NOIRS S'AMONCELAIENT SUR ISRAËL, DES ORAGES, DU TONNERRE ! J'AI REVU L'IRAN, MAIS CETTE FOIS AVEC D'AUTRES DRAPEAUX, LE LIBAN, LA SYRIE, LA JORDANIE, ET MÊME L'EGYPTE ! ILS étaient COMME DES LOUPS ENCERCLANT LEUR PROIE,

ILS VEULENT MA VILLE, A-T-IL DIT !!! ILS VEULENT PRENDRE JERUSALEM, EFFACER MON NOM, LE REMPLACER, L'APPELER ALCODES, MAIS CETTE BATAILLE, ELLE N'EST PAS SEULEMENT POLITIQUE, ELLE EST SPIRITUELLE, ELLE EST ANCIENNE ! IL PRIT UNE PROFONDE INSPIRATION, SES YEUX étaient REMPLIS DE FEU, TOUT CELA était prédit !

ET J'AI SENTI PLUS QUE COMPRIS, QUE QUELQUE CHOSE d'énorme ALLAIT ARRIVER !

LE PSAUME 83 DIT : LA VOIX DE YESHOUA résonne PROFONDE ET SEREINE. ILS COMPLOTENT CONTRE TON PEUPLE. ILS COMPLOTENT CONTRE CEUX QUI T'APPARTIENNENT ! ILS DISENT : VENEZ, détruisons CETTE NATION, ET LE NOM D'ISRAËL NE SERA PLUS mentionné !

CES MOTS M'ENVAHISSENT COMME UNE TEMPÊTE SILENCIEUSE, CE NE SONT PAS QUE DES MOTS ANCIENS, ILS SONT VIVANTS, PALPITANTS,PRESQUE DOULOUREUX ! ET AU MÊME INSTANT, JE réalise QUE JE NE TREMBLE PAS PHYSIQUEMENT, JE N'AI PLUS DE CORPS ICI, DU MOINS PAS COMME AVANT ! MAIS QUELQUE CHOSE EN MOI TREMBLE, COMME SI MON ÂME TREMBLAIT DE l'intérieur !

MAIS JE SUIS LEUR GARDIEN, CONTINUE YESHOUA, LA FORCE DE SA VOIX CONTRASTANT AVEC LA TENDRESSE DE SES YEUX !

POURQUOI MOI ??? JE DEMANDE à NOUVEAU, SENTANT LA QUESTION JAILLIR DU PLUS PROFOND DE MON ÊTRE ! POURQUOI ME MONTRES-TU TOUT CELA, JE NE SUIS QU'UN ENFANT ! JE SAIS à PEINE CE QU'EST ISAIE OU EZECHIEL ! JE VOULAIS JUSTE JOUER !

ET YESHOUA S'AGENOUILLE, IL S'INCLINE JUSQU'à CE QUE SES YEUX SOIENT à LA HAUTEUR DES MIENS, ET là, FACE à CE RAYONNEMENT SURNATUREL, IL DIT AVEC UN CALME QUI TRANSPERCE L'AIR : MOÏSE GARDAIT LES MOUTONS QUAND JE L'ai appelé, DAVID n'était QU'UN JEUNE Garçon QUI JOUAIT DE LA HARPE ET GARDAIT LES chèvres, JE CHOISIS LES PETITS POUR MONTRER QUE LA GRANDEUR NE VIENT PAS D'EUX, MAIS DE MOI !!!

IL CITE ISSAIE 49:6, SES PAROLES résonnent COMME UNE MUSIQUE : TU SERAS UNE Lumière POUR LES NATIONS AFIN QUE MON SALUT PARVIENNE JUSQU'AUX Extrémités DE LA TERRE !

Lumière, MOI, JE ME SENS TOUT SAUF CELA, JE ME SENS COMME UNE ERREUR ! UN Garçon QUI a désobéi à SON père, S'EST ENFUI, s'est évanoui AU MILIEU D'UN MATCH DE FOOT ET EST MORT, JE NE SAIS PAS ! PEUT-ÊTRE SUIS-JE MORT OU QUELQUE PART ENTRE DEUX MONDES ! MAIS MÊME SI JE SUIS PERDU, JE RESSENS QUELQUE CHOSE DANS SON REGARD !

C'EST COMME S'IL VOYAIT au-delà DE QUI JE SUIS, COMME S'IL SAVAIT TOUT ET QU'IL ME DISAIT QUAND MÊME : OUI, TOI TU EN VERRAS DAVANTAGE, DIT-IL EN SE LEVANT ! SA ROBE SCINTILLANT AUTOUR DE LUI COMME UNE BRUME DE SOLEIL ! ET TU RACONTERAS CE QUE TU AS VU !

LE PAYSAGE CHANGE à NOUVEAU !

NOUS SOMMES MAINTENANT SUR UNE COLLINE ARIDE, CONTRAIREMENT AU VERT DU MONT CARMEL, EN CONTRE-BAS LE désert s'étend à PERTE DE VUE, DUR ET accidenté, COMME UN SOL AYANT CONNU LA GUERRE ! DEVANT NOUS, UN DRAPEAU Américain FLOTTE AU VENT, IL est usé, COMME S'IL avait traversé DES TEMPÊTES, MAIS IL TIENT TOUJOURS BON ! Derrière LUI, UN HOMME SE TIENT DEBOUT, SON VISAGE FAMILIER, JE LE RECONNAIS GRÂCE AUX INFORMATIONS, AUX REMARQUES HÂTIVES DE mon père à TABLE, CHEVEUX ébouriffés, VISAGE figé, DONALD TRUMP !

IL N'EST PAS PARFAIT, DIT YESHOUA, LA VOIX PLUS CONTENUE, IL A DES défauts COMME TOUS LES HOMMES, MAIS JE L'AI CHOISI POUR CETTE époque, POUR SOUTENIR ISRAËL QUAND D'AUTRES LUI TOURNENT LE DOS !

JE FRONCE LES SOURCIS CONFUS, mon père DIT TOUJOURS QU'IL PARLE TROP, QU'IL NE SAIT QUE SE VANTER, MES AMIS RIENT DE CE QU'IL PUBLIE, ET JE NE SAIS PAS, IL A L'AIR IDIOT PARFOIS !

YESHOUA SOURIT PRESQUE, UNE LUEUR D'HUMOUR BRILLE DANS SES YEUX, J'UTILISE CEUX QUE LE MONDE méprise POUR CONFONDRE LES SAGES !!! LE COEUR DE CET HOIMME EST obstiné ENVERS MON PEUPLE, ET IL REFUSE DE céder à LA PRESSION DU MONDE !

PUIS JE VOIS TRUMP S'ADRESSER à LA FOULE, LES MOTS NE SONT PAS CLAIRS, MAIS L'IMPACT EST VISIBLE ! IL PARLE AVEC FORCE, derrière LUI, JE VOIS DES AVIONS DE GUERRE, DES CONVOIS, DE L'AIDE HUMANITAIRE ! LES MISSILES PLEUVENT MAIS IL Y A UNE PROTECTION TEMPORAIRE PEUT-ÊTRE, incomplète, MAIS là !!

IL N'EST PAS LA Réponse FINALE, POURSUIT YESHOUA, MAIS IL EST UN OUTIL, UNE Pièce SUR L'échiquier ! DIS à MON PEUPLE DE PRIER POUR CEUX QUI SONT à SES côtés !

JE SUIS D'ACCORD MAIS MON COEUR VACILLE ENCORE ! TRUMP ! Sérieusement, RIEN N'A DE SENS ! MAIS LA VOIX DE YECHOUA EST COMME UNE ANCRE DANS LA CONFUSION !!!

ET AUSSI étrange QUE CELA PUISSE PARAÎTRE, JE LE CROIS !

LA COLLINE DISPARAÎT !

NOUS SOMMES DE RETOUR DANS LE CHAMP DE Lumière. LES étoiles SEMBLENT PLUS PROCHES, PLUS BRILLANTES, COMME SI ELLES NOUS OBSERVAIENT !

LE VISAGE DE YESHOUA EST GRAVE : IL Y A PLUS ! TU DOIS VOIR LA TEMÊTE QUI VIENDRA, ET LA Lumière QUI VIENDRA après ! IL lève LA MAIN, ET LA CARTE réapparaît, ISRAËL EST AU CENTRE, MAIS MAINTENANT IL N'Y A PLUS DE GUERRE ! IL Y A LA PAIX, UNE PAIX Véritable.

A JERUSALEM, JE VOIS DES JUIFS AVEC LEURS téfilines, DES Chrétiens LES MAINS levées, DES MUSULMANS à GENOUX CÔTE à CÔTE; TOUS AU MUR OCCIDENTAL !!! LE SON QUI S'EN échappe N'EST PAS CELUI DE LA DIVISION; C'EST COMME DE LA MUSIQUE, COMME DANS LES cafés DE HAÏFA, où LES VOIX SE CHEVAUCHENT DANS différentes LANGUES, MAIS créent UNE HARMONIE ! VOICI MA PROMESSE, DIT YESHOUA ! ET SA VOIX EST COMME LA BRISE, AVANT LE COUCHER DU SOLEIL ! Après LES Ténèbres, LA Lumière VIENDRA, ET LES NATIONS SAURONT QUE JE SUIS UN SEUL DIEU !

JE SENS QUELQUE CHOSE COULER SUR MON VISAGE, DES LARMES, PEUT-ÊTRE OU PEUT-ÊTRE EST-CE JUSTE CET ENDROIT QUI SEMBLE ME FAIRE RESSENTIR TOUT à LA FOIS ! MAIS POURQUOI AIMES-TU TANT ISRAËL ??? JE DEMANDE, MA VOIX SE PERDANT PRESQUE DANS LE REGARD !

ET à CET INSTANT, CE N'EST PAS COMME UN ROI QUI REGARDE SON PEUPLE, C'EST COMME UN Père QUI REGARDE SON FILS ! ISRAËL EST MON COEUR, YAYER, PAR LUI JE MONTRE MA Fidélité, ET PAR LUI, JE bénirai LE MONDE ENTIER ! IL CITE ROMAIN 11, DISANT QUE TOUT ISRAËL SERA sauvé !

JE NE COMPRENDS PAS EXACTEMENT CE QUE CELA SIGNIFIE, MAIS CELA SEMBLE énorme COMME UNE VAGUE QUI APPROCHE LENTEMENT,MAIS QUE RIEN NE PEUT ARRÊTER !

DIS à MON PEUPLE, DIT-IL : LES JUIFS ET CEUX QUI ME SUIVENT COMME LE MESSIE, DIS-LE AUX Chrétiens, ILS DOIVENT S'UNIR, NON PAS PAR LA FORCE, MAIS PAR L'AMOUR, POUR MON AMOUR !

JE PRENDS UNE GRANDE INSPIRATION, MAIS JE SUIS embourbé DANS LE DOUTE !!!! MAIS QUI M'écoutera, JE NE SUIS QU'UN Garçon, mon père RIRA, MES AMIS PENSERONT QUE JE me suis cogné LA TÊTE !

YECHOUA PLACE SA MAIN JUSTE là où MON COEUR DEVRAIT ÊTRE : CERTAINS SE MOQUERONT, D'AUTRES écouteront, MAIS MON ESPRIT TE GUIDERA, YAYER, QUAND LE MOMENT SERA VENU, TU LE SAURAS, ET TU NE SERAS PAS SEUL !

SON CONTACT EST UN FEU, MAIS IL NE FAIT PAS MAL !!!! IL BRÛLE ET APAISE ! COMME QUAND ta mère TE MET DE LA VAPEUR SUR LA POITRINE QUAND TU ES MALADE ! JE MES SENS comblé, COMME SI JE PORTAIS désormais UN MORCEAU DE CE CHAMP EN MOI, MAIS ALORS TOUT COMMENCE à S'ASSOMBRIR !

LA CAMPAGNE SE MET à TOURNER, LES étoiles TOURBILLONNENT COMME DES TOURBILLONS DE Lumière, JE SENS UNE TRACTION, COMME SI DES FILS INVISIBLES ME TIRAIENT EN arrière, ATTENDS ! JE CRIE, LA PEUR MONTE, JE NE VEUX PAS REVENIR EN arrière !

YESHOUA SOURIT, UN SOURIRE TRISTE ET GENTIL ! CE N'EST PAS ENCORE TON HEURE, YAYER, TA FAMILLE A BESOIN DE TOI, ISRAËL A BESOIN DE TA VOIX !

J'AI ENVIE DE CRIER, DE DIRE QUE C'EST ICI QUE TOUT A DU SENS, QUE JE N'AI PAS MAL, QUE J'AI MA PLACE ICI, MAIS L'ATTRACTION SE FAIT PLUS FORTE ! ET PUIS, LA Lumière DISPARAÎT !

DIS-LEUR ! SA VOIX résonne DOUCEMENT ET FERMEMENT, COMME LE DERNIER SON AVANT LE SILENCE COMPLET ! LA Lumière AUTOUR DE NOUS COMMENCE à S'ESTOMPER, COMME SI LE CIEL EXPIRAIT ! JE VOUDRAIS LA SAISIR, M'ACCROCHER à CETTE LUEUR QUI M'ENTOURE, MAIS ELLE S'ESTOMPE ENTRE LES DOIGTS DE MON ÂME !

YESHOUA ME REGARDE, ET L'ESPACE D'UN INSTANT, JE LIS DE LA TRISTESSE DANS SES YEUX ARDENTS ! PAS CETTE TRISTESSE désespérée, ELLE EST PLUS PROFONDE, COMME S'IL PORTAIT EN LUI UN AMOUR SI GRAND QU'IL EN SOUFFRAIT !

JE VIENS BIENTÔT, DIT-IL, NON PAS POUR détruire MAIS POUR guérir, POUR RESTAURER CE QUI a été brisé ! J'AIME ISRAËL ET JE T'AIME, ET PUIS TOUT DISPARAÎT !!

LA CHALEUR QUI M'ENVELOPPAIT cède LA PLACE à UNE DOULEUR INATTENDUE, CE N'EST PAS PHYSIQUE, C'EST QUELQUE CHOSE DE PLUS PROFOND, COMME SI MON COEUR était comprimé DE L'intérieur, COMME tiraillé ENTRE DEUX MONDES !!! LA Lumière SE DISSIPE, ET TANDIS QUE MES YEUX S'HABITUENT, JE réalise QUE JE ME TROUVE DANS UN NOUVEL ENDROIT, LE CHAMP argenté A DISPARU !

JE ME TIENS MAINTENANT SUR UNE COLLINE ARIDE, CONTRAIREMENT AU MONT CARMEL AVEC SA VERDURE ET L'ODEUR DU SEL MARIN, CET ENDROIT EST SEC, craquelé, LE SOL S'EFFRITE SOUS MES PIEDS ! IL SEMBLE QUE CHAQUE PIERRE PORTE EN ELLE D'ANCIENS SOUVENIRS, oubliés MAIS TOUJOURS VIVANTS !

DEVANT MOI, LE désert s'étend TEL UN Océan DE SABLE IMMOBILE, YESHOUA EST AVEC MOI, SA ROBE BLANCHE DANSANT DOUCEMENT MÊME SANS VENT, IL REGARDE DROIT DEVANT LUI, LE VISAGE PLUS sérieux QU'AUPARAVANT, COMME CELUI D'UN Père SUR LE POINT D'ANNONCER UNE MAUVAISE NOUVELLE à SON FILS !

JE SUIS SON REGARD, ET AVANT MÊME D'Y VOIR CLAIR, JE SAIS où NOUS REGARDONS : JERUSALEM, MAIS CE N'EST PAS LA JERUSALEM DES VOYAGES SCOLAIRES, NI CELLE DES PHOTOS DE CALENDRIERS QUE grand-mère COLLECTIONNE ! CETTE VILLE DEVANT MOI SEMBLE RESPIRER ! SES PIERRES BRILLENT D'OR COMME SI ELLES étaient VIVANTES, COMME SI CHAQUE MUR, CHAQUE RECOIN PORTAIT LE SOUVENIR DE Générations entières ! AU-DESSUS, CEPENDANT, D'épais NUAGES FLOTTENT, COMME LA fumée D'UN événement QUI N'A PAS ENVORE EU LIEU ! ILS TOURBILLONNENT DANS LE CIEL COMME S'ILS ATTENDAIENT UN ORDRE DE DESCENDRE !

REGARDE YAYER, DIT YESHOUA, ET RIEN QU'EN ENTENDANT MON NOM, MA POITRINE SE SERRE !

REGARDE CE QUI ARRIVE ! LES NUAGES SE DISSIPENT LENTEMENT, COMME DES RIDEAUX S'OUVRANT SUR UNE scène DE Théâtre, ET CE QUE JE VOIS, ME COUPE LE SOUFFLE ! JERUSALEM est assiégée ! NON PAS PAR DES TOURISTES ET DES STANDS DE NOURRITURES, MAIS PAR DES CHARS, DES SOLDATS, DES hélicoptères, DES DRÔNES ZIG-ZAGS DANS LE CIEL, TELS DES OISEAUX mécaniques ! DES DRAPEAUX FLOTTENT AUTOUR DE LA VILLE, JE LES RECONNAIS GRÂCE AUX FLASH D'INFORMATIONS, ET AUX DISCUSSIONS animées DE mon père DANS LA SALLE à MANGER ! L'IRAN, LE LIBAN, LA SYRIE, LA JORDANIE, ET MÊME L'ARABIE SAOUDITE ! CE QUI n'était QUE DES NOMS DE PAYS, EN COURS DE Géographie, SONT désormais DE Véritables MENACES AVEC DES AR%ES pointées SUR LA VILLE, où YESHOUA MARCHAIT, où SE DRESSAIT AUTREFOIS LE TEMPLE ! (C.P. : LE TEMPLE DE YAHWEH, LE ILOHIM D'ISRAËL, LE Créateur, L'UNIQUE, LE Très-Haut !)

JE VOIS DES DIRIGEANTS EN COSTUME, rassemblés AUTOUR DE TABLE DE GUERRE, LEURS EXPRESSIONS SONT FROIDES, LEURS DOIGTS pointés VERS DES CARTES DE JERUSALEM, COMME S'IL S'AGISSAIT SIMPLEMENT D'UN TERRITOIRE, D'UN PRIX à conquérir !

ILS VEULENT MA VILLE, DIT YESHOUA, LA VOIX désormais LOURDE DE DOULEUR, ILS VEULENT EFFACER MON NOM, EN FAIRE ALCODE ! LA PRENDRE COMME UN SYMBOLE, PAS COMME UN FOYER !

LES IMAGES S'INTENSIFIENT, DANS LA RUE, LA FOULE CRIE DES MOTS HAINEUX ! JE VOIS DES BANDEROLLES BRANDIES AVEC DES SLOGANS QUE JE NE COMPRENDS PAS entièrement, MAIS J'EN RECONNAIS LE TON ! C'EST LE BRUIT D'UN MONDE QUI VEUT réduire AU SILENCE CEUX à QUI J'APPARTIENS ! C'EST COMME LE GRONDEMENT DES VAGUES à HAÏFA PENDANT UNE TEMPÊTE, MAIS EN MILLE FOIS PLUS FORT ! CELA a déjà commencé !

JE MURMURE, MA VOIX SEMBLANT FAIBLE !

YESHOUA HOCHE LA TÊTE, CELA a été prophétisé !!! MES Prophètes ONT VU CE JOUR VENIR ! IL CITE UN PSAUME, QUELQUE CHOSE QUI PARLE DE détruire ISRAËL, POUR QUE LE NOM DU PEUPLE JUIF NE SOIT PLUS JAMAIS mentionné !

C'EST LE GENRE DE CHOSE QUE J'IGNORAIS, QUAND grand-mère LE LISAIT à L'église, MAIS MAINTENANT CES MOTS résonnent EN MOI, COMME S'ILS étaient VIVANTS ! COMME S'ILS avaient été écrit POUR CET INSTANT précis !

LA VISION CHANGE !

DU CIEL, J'OBSERVE DES TIRS DE ROQUETTES DEPUIS LE LIBAN, LES MISSILES DU HEZOBLLAH ZIGZAGANT DANS L'AIR, TELS DES SERPENTS DE FEU ! LES DRONES BOURDONNENT COMME DES ABEILLES FURIEUSES, ET LES CHARS RUGISSENT AU SOL, FENDANT DUNES ET COLLINES ! LE DRAPEAU IRANIEN SE PROFILE COMME L'OMBRE D'UN géant !

JE VOIS UN HOMME SUR UN écran, LE REGARD SOMBRE ET LA VOIX RAUQUE, PROMETTANT d'écraser ISRAËL ! Derrière LUI, DES MONTAGNES CACHANT DES ARSENAUX ET DES COULOIRS SECRETS, REGORGEANT DE PLANS QUI DE DEVRAIENT PAS EXISTER !

LA PERSE mène, DIT YESHOUA, ET SES PAROLES SONT COMME DES COÛTEAUX QUI FENDENT L'AIR ! ELLE A TOUJOURS défié MA PROMESSE !

ET PUIS JE VOIS QUELQUE CHOSE, QUI ME DONNE UN INSTANT D'ESPOIR, DES AVIONS DE CHASSE Israéliens FILANT DANS LE CIEL, TELS DES AIGLES défendant LEUR NID ! LE Système DÔME DE FER ENTRE EN ACTION, INTERCEPTANT LES MISSILES COMME DES BILLES, lancées DU CIEL ! MAIS C'EST TROP, malgré TOUTE SA PUISSANCE, ISRAËL SEMBLE dépassé ! LE MONDE REGARDE ET S'EN VA ! LES PAYS QUI AUTREFOIS, se sont prononcés EN NOTRE FAVEUR, DISENT MAINTENANT : ISAËL EST allé TROP LOIN !

NON ! POURQUOI NOUS détestent-ils AUTANT ? DEMANDAI-JE LA VOIX brisée, LA PEUR M'ENVAHISSANT ! MAIS POURQUOI VEULENT-ILS détruire CE QUE NOUS SOMMES ?

YESHOUA ME REGARDE, SON REGARD EST REMPLI DE QUELQUE CHOSE QUE JE n'avais pas prévu ! CE N'EST PAS SEULEMENT DE LA TRISTESSE, C'EST UN AMOUR Indéfectible ! COMME UNE Mère QUI CONTINUE D'AIMER, MÊME après AVOIR VU SON ENFANT OMETTRE MILLE ERREURS ! CAR TU ES MON SIGNE POUR LE MONDE, MA PROMESSE VIVANTE ! MON ALLIANCE AVEC ABRAHAM VIVRE ENCORE EN TOI ! IL TEND LA MAIN ET LA VUE CHANGE à NOUVEAU !

C'EST L'IRAN MODERNE ET FROID ! JE VOIS DES BUNKERS SOUS LES MONTAGNES, DES MISSILES alignés COMME DES pièces d'échec, ET DES HOMMES EN Réunion secrète AVEC DES CARTES étalées SUR DES TABLES EN VERRE ! CHAQUE détail ME SEMBLE PLUS réel QUE TOUT CE QUE J'AI PU VOIR !

L'ORGUEIL DE LA PERSE LES AVEULE, DIT YESHOUA ! ILS PENSENT POUVOIR BRISER CE QUE J'ai établi, MAIS JE SUIS LE BOUCLIER D'ISRAËL !

LE PAYSAGE CHANGE à NOUVEAU !

CETTE FOIS, JE VOIS UN MUR DE FEU encerclé ISRAËL, CE N'EST PAS UN MUR AU SES littéral DU TERME, C'EST COMME UNE Barrière DE Lumière, DE PURE FORCE SPIRITUELLE !!! DE NOMBREUX MISSILES L'ATTEIGNENT ET DISPARAISSENT, MAIS CERTAINS LE TRAVERSENT, ET là où ILS ATTERRISSENT, ILS sèment LA DESTRUCTION ! TEL AVIV ENF EU, JERUSALEM EN LARMES, MON COEUR OU CE QUE J'AI MAINTENANT, SE SERT JUSQU'à EN AVOIR MAL ! EST-CE QU'ON VA PERDRE, JE MURMURE !

YESHOUA ne répond pas immédiatement, IL ME REGARDE SIMPLEMENT COMME S'IL ATTENDAIT QUE JE COMPRENNE QUELQUE CHOSE DE PLUS PROFOND, DE PLUS ESSENTIEL !

ET PUIS, EN SILENCE, JE réalise, CE N'EST PAS SEULEMENT UNE GUERRE DE BOMBES ET DE DRAPEAUX, C'EST UNE GUERRE SPIRITUELLE, UNE BATAILLE ANCESTRALE, ET NOUS EN SOMMES AU COEUR !

LA MAIN DE YESHOUA REPOSE SUR MON épaule, CHALEUREUSE, FERME, COMME POUR DIRE SANS MORTS, QUE JE NE SUIS PAS SEUL !

NON, YAYER, DIT-IL, D'UNE VOIX AUSSI GRAVE QUE LE BRUIT DE LA MER à L'AUBE : ISRAËL résistera, MAIS POUR UN TEMPS IL SERA SEUL !

CES MOTS ME pénètrent COMME UN VENT FROID, NON PAS à l'extérieur, MAIS à l'intérieur, COMME SI QUELQUE CHOSE ME SERRAIT LA POITRINE !

JE LE REGARDE, CHERCHANT UNE AUTRE Réponse, UNE ISSUE, MAIS SON REGARD RESTE CALME, SÛR ET TRISTE : MÊME CEUX QUI SE DISENT DE SON côté hésiteront ! LA CRAINTE DE L'OPINION PUBLIQUE EN FERA RECULER PLUS D'UN !

LE Décor CHANGE à NOUVEAU !

COMME SI LE TEMPS se résumait AUX PAGES D'UN LIVRE QUI SE TOURNE !

NOUS NOUS TROUVONS MAINTENANT DANS D'IMMENSES SALLES, AVEC LES DRAPEAUX DE PAYS QUE JE RECONNAIS, accrochés AU MUR ! LES ETATS-UNIS, L'ANGLETERRE, LA FRANCE, L'ALLEMAGNE, LES DIRIGEANTS SONT ASSIS EN Conférence, LA VOIX étouffée, LE VISAGE INQUIET, LES DOIGTS TAMBOURINANT SUR LES TABLES EN VERRE !

LES écrans de Télévision AFFICHENT DES GROS TITRES : ISRAËL condamné ! L'ONU EXIGE UN CESSEZ-LE-FEU ! DANGEREUSE ESCALADE AU MOYEN-ORIENT !

C'EST COMME SI LE MONDE avait tourné LES YEUX VERS NOUS, ET avait SOUDAINEMENT décidé QUE NOUS étions LES Méchants DE L'HISTOIRE ! MAIS TU AS DIT QUE TU étais NOTRE BOUCLIER, DIS-JE ! MA VOIX SORTANT PRESQUE COMME UN MURMURE AVEC UN TON ACCUSATEUR QUE JE n'avais même pas réalisé, JUSQU'à CE QUE J'ENTENDE MES PROPRES MOTS !

YESHOUA NE S'OFFUSQUE PAS ! IL HOCHE SIMPLEMENT LA TÊTE LENTEMENT, JE LE SUIS ET J'EN AI AUSSI suscité D'AUTRES POUR ÊTRE AVEC VOUS EN CE MOMENT !

LE SOL DE LA COLLINE DISPARAÎT SOUS NOS PIEDS, ET NOUS voilà AILLEURS ! LE VENT FEND L'AIR, PUISSANT, SOUFFLANT à TRAVERS LES STRUCTURES métalliques ! NOUS SOMMES DEBOUT SUR L'AILE D'UN AVION MILITAIRE, GRAND, SOLIDE, UN Géant DE FER QUI FEND LE CIEL, AU-DESSUS UN DRAPEAU Américain FLOTTE déchiré AU BORD, MAIS DROIT, TÊTU !

DEVANT LUI SE TIENT UN HOMME QUE JE RECONNAIS instantanément, MÊME SI JE préfèrerai NE PAS LE RECONNAÎTR ! SES CHEVEUX SONT EN BATAILLE, SA CRAVATE EST DE TRAVERS, SON VISAGE EST DUR COMME LA PIERRE, TRUMP ! Derrière LUI, UNE FOULE CRIE, colère, CONFUSION, SOUTIEN ! TOUT-à-COUP, LEUR VOIX S'ENTRE-CHOQUE, COMME DES VAGUES, ! JE VOIS LA scène COMME UN JOURNAL télévisé !

DONC, TRUMP PARLANT FORT, FRAPPANT DU POINT SUR LA CHAIR : ISRAËL EST NOTRE Allié, ET NOUS NE LE LAISSEERONS PAS TOMBER !

LA FOULE répond ! CERTAINS PAR DES APPLAUDISSEMENTS ! D'AUTRES PAR DES Huées ! MAIS IL NE RECULE PAS, JE SUIS PERPLEXE, JE REGARDE YESHOUA, LUI ? JE DEMANDE PRESQUE EN RIANT ! MON père DIT TOUJOURS QUE C'EST UN CLOWN ! QU'IL NE FAIT QUE PARLER SANS réfléchir ! MES AMIS RIENT DE CE QU'IL PUBLIE ! CES LETTRES MAJUSCULES, SES éclats DE RIRE, COMME SI, IL était TOUJOURS EN TRAIN DE CRIER !

YESHOUA SOURIT DES YEUX, CE N'EST PAS UN SOURIRE DE PLAISANTERIE, MAIS CELUI DE QUELQU'UN QUI VOIT PLUS profondément : J'UTILISE LE FAIBLE POUR CONFONDRE LE FORT, DIT-IL ! CET HOMME N'EST NI SAINT NI Irréprochable, MAIS SON COEUR EST obstiné POUR MON PEUPLE ! QUAND D'AUTRES se détourneront, IL SE TIENDRA AU côté D'ISRAËL !

ET JE VOIS CELA : TRUMP QUI PARLE à CONTRE-COURANT, MÊME SI LA PLUPART AFFIRME LE CONTRAIRE ! DES AVIONS Américains ATTERRISSENT SUR LE SOL Israélien, DES CAISSES D'ARMES sont déchargées, UN SOUTIEN FINANCIER SOUTIENT LES BOUCLIERS QUI protègent NOS VILLES, MAIS LE TABLEAU s'élargit, ET IL NE S'AGIT PLUS SEULEMENT DE LUI !

JE VOIS DES GENS, DES GENS ORDINAIRES, DES VISAGES DIVERS, VENUS DE différentes PARTIES DU MONDE, TENANT DES PANCARTES MANUSCRITES : NOUS SOMMES AVEC ISRAËL ! D'AUTRES SONT à GENOUX, LES MAINS levées EN prière ! CERTAINS PLEURENT, D'AUTRES CHANTENT ! ILS SONT DANS DES ENDROITS QUE JE CONNAIS à PEINE : LE TEXAS, LE LAGOS, SAN PAULO, DE PEITES églises AU TOIT DE TÔLE, D'IMMENSES églises AU CLOCHER BLANC ! TOUS UNIS PAR UNE SEULE CHOSE : L'INTERCESSION ! QUI SONT-ILS, JE DEMANDE ?

LES YEUX DE YESHOUA S'ADOUCISSENT ET SA VOIX CITE LES PAROLES QUE J'AI ENTENDU VAGUEMENT à LA SYNAGOGUE, SANS JAMAIS VRAIMENT LES COMPRENDRE : PSAUME 122 VERSET 6 ! PRIER POUR LA PAIX DE JERUSALEM ! QUE prospère CEUX QUI VOUS AIMENT !

IL ME REGARDE AVEC TENDRESSE : CE SONT MES GENS, LES Chrétiens, MES DISCIPLES, greffés SUR L'OLIVIER D'ISRAËL ! ILS AIMENT CE QUE J'IME ET LEURS prières SONT UN BOUCLIER INVISIBLE !

ET MAINTENANT, JE VOIS, LA prière N'EST PAS SEULEMENT DES MOTS FLOTTANTS DANS L'AIR, C'EST LA FORCE, C'EST LA Lumière ! COMME UN MUR DE FEU AUTOUR DE JERUSALEM ! PAS UN MUR PHYSIQUE, MAIS QUELQUE CHOSE DE BIEN PLUS PUISSANT ! JE VOIS LES prières s'élever COMME UNE fumée BLANCHE, enveloppées, pénétrer LES CIEUX ET DEVENIR PARTIES intégrantes DU MUR QUI protège ISRAËL !!! NON PAS PAR LES ARMES, MAIS PAR LA FOI !!!

J'AI LA TÊTE QUI TOURNE, C'EST TROP ! Armée, MISSILES, POLITICIENS, églises, Prophéties, JE NE SUIS QU'UN ENFANT !

ET MAINTENANT ME voilà AU MILIEU DE TOUT CELA, MAIS POURQUOI ONT-ILS BESOIN DE PRIER ? JE DEMANDE D'UNE VOIX TENUE, PRESQUE COMME QUELQU'UN QUI DEMANDE DE L'AIDE !

YECHOUA ne répond pas PAR DES MOTS, IL TEND SIMPLEMENT LE BRAS ET désigne JERUSALEM !

LA VISION CHANGE !

LA TEMPÊTE est passée, LA VILLE RESPLENDIT, NON PAS D'OR MAIS D'AUTRES CHOSES : D'éternité ! LE MUR OCCIDENTAL EST TOUJOURS là, MAIS IL EST désormais entouré DE GENS, PAS SEULEMENT DES JUIFS, DES Chrétiens, DES MUSULMANS : HOMMES ET FEMMES, ENFANTS ET VIEILLARDS, TOUS EN prière ENSEMBLE ! LEUR VOIX SE MÊLENT COMME LES CHANTS DES cafés DE HAÏFA, DES TONS différents, MAIS UNE SEULE Mélodie !

VOICI MA PROMESSE, DIT YESHOUA ! Après LES Ténèbres, VIENT LA Lumière ! ET LES NATIONS VERRONT QUE JE SUIS UN SEUL DIEU !

MON COEUR SE SERRE, LA Beauté DE CETTE Scène ME TRANSPERCE, J'AI ENVIE DE PLEURER ! MAIS JE NE SAIS PAS S'IL Y A DES LARMES DANS CET ENDROIT OU SI JE RESSENS TOUT à LA FOIS : L'AMOUR, LE Désir, L'ESPOIR ET AUTRE CHOSE, LE RESPECT, QUAND JE DEMANDE ? MA VOIX est étranglée, COMME SI LA QUESTION VENAIT DU PLUS PROFOND DE MON ÂME !

YESHOUA PREND UNE PROFONDE INSPIRATION, SON REGARD RESTE FIXE : PLUS TÔT QUE BEAUCOUP NE LE PENSE, MAIS NON SANS DOULEUR ! LE CHEMIN EST ENCORE étroit HIER, LES NATIONS METTRONT ISRAËL à L'épreuve MAIS MOI, JE LE RESTAURERAI !

ET PUIS, IL ME MONTRE UNE NOUVELLE FIGURE ! CE N'EST PAS LE 1er MINISTRE QUE JE VOIS AUX INFORMATIONS NI QUELQU'UN QUE JE RECONNAITRAIS SUR LES PANNEAUX D'AFFICHAGE; C'EST UN HOMME D'UN CERTAIN ÂGE, ASSIS à UNE TABLE AVEC D'AUTRES DIRIGEANTS, DES PAPIERS SONT éparpillés, DES CARTES DE JERUSALEM découpées EN MORCEAUX ! JE VOIS SES MAINS TREMBLER, SON VISAGE PÂLE, ridé PAR LA FATIGUE ! IL DEVRA CHOISIR ENTRE LA PEUR ET LA FOI, DIT YESHOUA ! ILS LE POUSSERONT à DIVISER MA VILLE AU NOM DE LA PAIX ! MAIS IL N'Y A PAS DE PAIX à DIVISER CE QUE J'ai créé !

ET ENCORE UNE FOIS JE COMPRENDS : LA VRAIE GUERRE N'EST PAS SEULEMENT POLITIQUE, ELLE EST SPIRITUELLE !

PRIE POUR LUI, YAYER, DIT YESHOUA ! ET SA VOIX EST COMME LE VENT SUR LES EAUX PAISIBLES, DOUCE MAIS IMPOSSIBLE à IGNORER ! IL AURA BESOIN DE SAGESSE COMME SALOMON AUTREFOIS !

MES JAMBES TREMBLENT, MAIS CE N'EST PAS MON CORPS QUI TREMBLE, C'EST CE QUE JE SUIS ICI : ÂME, ESPRIT, SOUVENIR, JE NE SAIS PAS ! MAIS JE VIBRE, OSCILLANT ENTRE FOI ET PEUR : TOUT CELA ! JERUSALEM, LA PERSE, LES Armées, LES DIRIGEANTS, LES prières, TRUMP CET HOMME AVEC DES CARTES brisées DEVANT LUI ! C'EST TROP GRAND POUR MOI ! MAIS JE SUIS JUSTE YAYER, DIS-JE ET MA VOIX SE BRISE ! LE GAMIN QUI S'ENFUIT POUR JOUER AU FOOT ...QUI NE CONNAÏT MÊME PAS LA TORAH, QUI FAIT MAL SES prières ! JE RECULE D'UN PAS, COMME POUR échapper à MES Responsabilités ! JE NE PEUX PAS, PERSONNE NE M'écoutera ! MON père TROUVE CELA FOU, MES AMIS RIRONT, ILS PENSERONT QUE JE ME suis cogné LA TÊTE !

YESHOUA SE PENCHE à NOUVEAU, APPROCHANT SON VISAGE DU MIEN, ET QUAND IL ME REGARDE, JE RESSENS QUELQUE CHOSE QUE JE NE PEUX EXPLIQUER ! C'EST COMME SI UN Océan D'AMOUR ME TRAVERSAIT SANS QUE JE ME NOIE ! CERTAINS SE MOQUERONT, YAYER, DIT-IL, EN M'APPELANT COMME S'IL ME CONNAISSAIT DEPUIS TOUJOURS ! MAIS CERTAINS écouteront ET TU PLANTERAS DES GRAINES, LE MOMENT VENU, ELLES GERMERONT, ILS SE SOUVIENDNRONT !

PUIS IL TOUCHE MA POITRINE, EN PLEIN CENTRE, là où MON COEUR SERAIT, ET TOUT CHANGE ! C'EST DU FEU MAIS C'EST AUSSI DE L'EAU, C'EST à LA FOIS CHAUD ET FROID; COMME SI QUELQUE CHOSE D'énorme était entré EN MOI, ET POURTANT C'était TOUJOURS là !

MON ESPRIT TE GUIDERA, DIT-IL !

ET MÊME SI JE NE CONNAIS PAS LE VERSET EXACT, QUELQUE CHOSE EN MOI LE RECONNAÎT, C'EST réel, C'EST VRAI ! C'EST JEAN, QUELQUE CHOSE QUI PARLE D'UNE AIDE, D'UN CONSEILLER ! JE NE SERAI PAS SEUL !

LE CHAMP COMMENCE à DISPARAÎTRE, LA COLLINE, LE désert, LES NUAGES : TOUT SE DISSOUT EN Lumière BLANCHE, TOURBILLONNATE, BRÛLANTE, ET JE SENS L'ATTRACTION ENCORE COMME DES MAINS INVISIBLES QUI M'ENTRAÎNENT !

NON, JE CRIE OU DU MOINS JE CROIS CRIER, LA PANIQUE ME GAGNE, S'IL VOUS PLAÎT, JE VEUX RESTER ! TOUT A DU SENS ICI !

YESHOUA SOURIT, MAIS C'EST UN SOURIRE TRISTE, PLEIN D'AMOUR ET D'ADIEU : TA FAMILLE A BESOIN DE TOI, YA, ISRAËL A BESOIN DE TA VOIX !

LA Lumière M'ENVELOPPE complètement, COMME ENGLOUTI PAR UN TONNERRE SILENCIEUX, MAIS SA VOIX DEMEURE, COMME UN MURMURE ENTRE LES BATTEMENTS DE MON COEUR ! DIS-LEUR QUE JE VIENDRAI BIENTÔT, NON PAS POUR JUGER MAIS POUR RESTAURER ! DIS-LEUR QUE J'AIME ISRAËL ET QUE JE T'AIME !

ET PUIS, TOUT DISPARAÎT, LA CHALEUR S'ESTOMPE, LA Lumière AUSSI, ET IL NE RESTE QUE LA DOULEUR, BRUTE, AIGÜE, COMME DES COÛTEAUX BRÛLANTS, ME transperçant LA POITRINE ! JE RETOMBE LOURDEMENT MAIS PAS AU SOL, MAIS DANS MON CORPS...

TOUT EST obscurité ET BRUIT ! LES MACHINES émettent DES BIP ..............................................

DANS L'AMBULANCE, à TRAVERS LA BRUME DE LA DOULEUR, JE VOIS MYRIAM, EN PLEURS, SON COLLIER EN FORME DE CROIX SE BALANCE AUTOUR DE SON COU, TANDIS QU'ELLE SE PENCHE VERS MOI ! YAYER, YAYER, TU ES DE RETOUR, SA VOIX EST TREMBLANTE, à moitié SANGLOTTANTE ! Sa mère est là aussi, SERRANT SI FORT LE BRANCARD QUE SES JOINTURES SONT BLANCHES, SES YEUX SONT écarquillés COMME S'ILS VOYAIENT UN FANTÔME ! TU NOUS AS FAIT PEUR, MEC, MARMONNENT-ILS PRESQUE SANS VOIX !

ELIE EST EN arrière-plan, SILENCIEUX, PÂLE ! IL ME REGARDE COMME S'IL n'était pas SÛR QUE CE SOIT VRAIMENT MOI !

UNE FEMME AUX CHEVEUX COURTS PORTANT UNE étiquette SUR LAQUELLE est écrit TALIA APPARAÎT, POUSSANT LES TROIS HOMMES à PASSER EFFICACEMENT ! LAISSE-LUI DE L'ESPACE, DIT-ELLE MAIS SANS agressivité ! IL A BESOIN D'AIR !

MON esprit ESSAIE DE TRAITER CE QU'ELLE DIT : TON COEUR s'est arrêté PENDANT 5 MINUTES ET 19 SECONDES, POURSUIT-ELLE, TU AS DE LA CHANCE D'ÊTRE là !

JE NE ME SENS PAS CHANCEUX, J'AI L'IMPRESSION D'AVOIR été arraché DU CIEL ET projeté DANS UN MONDE LOURD, BRUYANT ET CONFUS, COMME SI LA gravité m'écrasait, J'ESSAIE DE BOUGER, JE N'Y ARRIVE PAS, MON BRAS GAUCHE est bandé, MA POITRINE PALPITE ! SOUS MA CHEMISE déchirée, JE VOIS UNE NOUVELLE CICATRICE ROUGE, gonflée EN FORME D'étoile TORDUE ! D'où CELA VIENT-IL ?

JE VEUX TOUT TE DIRE AU DESSUS DU CHAMP D'ARGENT, à PROPOS DU désert ET DE JERUSALEM, à PROPOS DE YESHOUA ET DES Armées, à PROPOS DE TRUMP, à PROPOS DES Chrétiens, à PROPOS DE L'ESPRIT !!! MAIS J'AI LA BOUCHE sèche ET MES lèvres BOUGENT MAL, JE NE PEUX QUE MURMURER UN MOT : YESHOUA !

MYRIAM S'APPROCHE à NOUVEAU, LES YEUX écarquillés, QU'A-T-IL DIT ? L'AMBULANCIER SECOUE LA TÊTE, IL EST CONFUS, IL EST ENCORE SOUS LE CHOC !

MAIS JE NE LE SUIS PAS, CE N'EST PAS DE LA CONFUSION, JE L'AI VU, J'AI SENTI TA MAIN SUR MA POITRINE, TON AMOUR TEL UNE VAGUE QUI TRAVERSE TOUT ! J'étais là, MAIS PERSONNE n'écoute ! .................................................

MAMAN, PAPA, J'AI VU QUELQUE CHOSE QUAND JE SUIS MORT ! LA MAIN DE ma mère SE FIGE DANS LA MIENNE, SES DOIGTS agrippés AUX MIENS PAR PEUR ... PAPA HAUSSE LES SOURCILS, COMME SI JE VENAIS DE DIRE UNE BÊTISE ...TU N'ES PAS MORT, YAYER, DIT-IL D'UNE VOIX RAUQUE, ESSAYANT DE PARAÎTRE FERME, TU T'ES JUSTE évanoui ! LES mécecins ont réussi à TE RAMENER à LA VIE !

JE SECOUE LA TÊTE, UN FRISSON ME SECOUE : NON, JE SUIS PARTI, J'AI VU YESHOUA, JESUS ! LA pièce EST SI SILENCIEUSE QUE J'aurais juré ENTENDRE LE BRUIT D'UN COEUR BATTANT CONTRE LE MUR.

Léora écarquille LES YEUX : JESUS, COMME LE JESUS DE MYRIAM !!!

LE VISAGE DE ma mère S'ADOUCIT, MAIS mon père COMMENCE à FAIRE LES CENT PAS, IL DIT : c'était UN RÊVE, UNE HALLUCINATION, LE MANQUE D'oxygène PEUT NOUS FAIRE CELA, DIT-IL, ESSAYANT DE RATIONALISER MAIS D'UN TON QUI NE CACHE PAS SON inquiétude !

J'AI DU MAL à ME LEVER malgré LA DOULEUR LANCINANTE : CE n'était pas UN RÊVE, IL CONNAISSAIT MON NOM, IL M'a montré DES CHOSES : ISRAËL, L'IRAN, JERUSALEM, LES Armées QUI ESSAYAIENT DE PRENDRE LA VILLE ! IL A DIT QUE LES Chrétiens DEVAIENT PRIER POUR NOUS !

JE CONTINUE, ET PAPA S'ARRÊTE AU MILIEU DE LA pièce, SON VISAGE DEVENANT ROUGE DE colère OU PEUT-ÊTRE DE PEUR ! Chrétiens, NOUS SOMMES JUIFS NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE LEURS prières, ET JESUS ! TU RESSEMBLES à UN DE SES MISSIONNAIRES, DIT-IL D'UNE VOIX DURE !

MAMAN LUI TOUCHE LE BRAS ET LUI DEMANDE DE SE CALMER ! ABI, LAISSE-LE PARLER !

JE PRENDS UNE GRANDE RESPIRATION, LES MOTS JAILLISSANT DE MOI COMME UN FLEUVE INCONTRÔLABLE !!! JE LES RACONTE TOUS, LE CHAMP D'ARGENT, LES YEUX DE YESHOUA REMPLIS DE FEU ET DE TENDRESSE, LA SALLE DU TRÔNE où J'AI VU ESTHER, LES MISSILES IRANIENS, LES DRAPEAUX DES NATIONS ARABES FLOTTANT AU VENT, JERUSALEM assiégée ! JE PARLE DE TRUMP, DE LA façon DONT YESHOUA a déclaré AVOIR CHOISI DE SOUTENIR ISRAËL, MÊME SI CE PAYS N'EST PAS PARFAIT !!! JE décris LA Scène AU MUR OCCIDENTAL, AVEC DES GENS DU MONDE ENTIER PRIANT ENSEMBLE ! UNE Scène QUE JE NE PARVIENS PAS à EXPLIQUER, MAIS QUI SEMBLAIT SI réelle !

IL FAUT QUE JE LE DISE AUX GENS, DIS-JE, LA VOIX brisée à LA FIN ! IL A DIT QU'IL REVIENDRAIT BIENTÔT ET QU'IL AIMAIT ISRAËL !

MAMAN RECOMMENCE à PLEURER, MAIS CETTE FOIS, CE SONT DES LARMES DOUCES !

Léora ME DEMANDE : IL était GENTIL, NON ? ESSAYANT D'APPORTER UN PEU DE normalité ! J'ACQUIESCE, LA GORGE serrée ! IL était COMME UN MEMBRE DE LA FAMILLE, COMME S'IL ME CONNAISSAIT DEPUIS TOUJOURS !

Mon père SECOUE LA TÊTE, LES MAINS ENFOUIES DANS LES POCHES DE SON PANTALON : CELA N'A AUCUN SENS, YAYER, TU es stressé ! NOUS LE SOMMES TOUS !

L'IRAN NOUS MENACE, LE HESBOLAH TIRE DES ROQUETTES, ET TU JOUAIS AU FOOT QUAND JE T'AI DIT DE RESTER à LA MAISON ! SA VOIX SE BRISE !

MAINTENANT, JE COMPRENDS : CE N'EST PAS SEULEMENT DE LA colère, C'EST DE LA PEUR ! LA PEUR D'AVOIR FAILLI PERDRE SON FILS !

JE suis désolé, PAPA, ET JE LE SUIS VRAIMENT, MAIS CELA était réel ! JE DOIS LE DIRE AU MONDE !

LE médecin REVIENT ET DIT QUE JE DOIS ME REPOSER ! MAMAN ET PAPA PARTENT ET LEORA LES SUIT, ET JE RESTE SEUL AVEC LE BIP DES MACHINES, L'ODEUR DES médicaments, ET CETTE CICATRICE QUI BRÛLE COMME SI ELLE était VIVANTE ! JE FERME LES YEUX ET LE VISAGE DE YESHOUA M'APPARAÎT, SES PAROLES résonnant : MON ESPRIT TE GUIDERA !

JE NE SAIS PAS COMMENT FAIRE, JE N'AI QUE 14 ANS ( C.P. : AU COMMENCEMENT DE CETTE VIDEO, IL DIT QU'IL A 13 ANS), JE NE SUIS NI RABIN, NI Prophète, MAIS IL Y A UN FEU QUI BRÛLE EN MOI ET QUE JE NE PEUX éteindre ! UN FEU QUI SEMBLE VOULOIR JAILLIR DE MES OS, ME POUSSANT EN AVANT, MÊME SI JE VEUX JUSTE REDEVENIR UN ENFANT NORMAL !.............

LE médecin ME DIT QUE BIENTÔT JE SERAI à LA MAISON ET IL ME DIT : MAIS SACHE QUE TU NE SERAS PLUS LE MÊME, LA CICATRICE EN FORME D'étoile SUR MA POITRINE ME démange SOUS LE BANDAGE ! CE N'EST PAS SEULEMENT UNE MARQUE, C'EST UN RAPPEL CONSTANT DE CE QUE J'ai vécu !

MES AMIS VIENNENT ME RENDRE VISITE, ENVAHISSANT MA CHAMBRE AVEC DES RIRES, DES BLAGUES, ET UN BRUIT QUI ME FAIT DU BIEN; MAIS JE SAIS QU'à L'intérieur, QUELQUE CHOSE EN MOI a changé POUR TOUJOURS ! ELIE a TOUJOURS été gêné QUAND IL NE SAVAIT PAS QUOI DIRE, IL S'APPROCHE DE MOI UN PEU TIMIDEMENT, ME REGARDE ET FINIT PAR DIRE : ça va, MEC, ET TAPOTE DOUCEMENT LE SOL DU PIED, COMME POUR CACHER SA nervosité.

SAMIR, PLUS GRAND QUE MOI ET QUI PLAISANTE HABITUELLEMENT POUR détendre L'atmosphère, APPARAÎT EN RIANT : TU ES MORT ET TU ES REVENU, PAS VRAI ?

ON DIRAIT UN FILM, AU MILIEU DE TOUTE CETTE CONFUSION, MON téléphone REPOSE SUR UNE TABLE à proximité, VIBRANT ET CLIGNOTANT, ET JE TROUVE ENFIN LE COURAGE DE PARLER ! JE COMMENCE LENTEMENT, LUI RACONTANT TOUT, DU MATCH DE FOOT AUQUEL JE JOUAIS QUAND TOUT est arrivé à LA PROMESSE QUE YESHOUA M'A FAITE !

SI QUELQU'UN REGARDE CELA, DIS-JE à LA FIN, LES YEUX fixés SUR LA caméra improvisée, PRIEZ POUR ISRAËL ! YESHOUA AIME CE PAYS ET REVIENT ! JE NE SUIS QU'UN ENFANT, MAIS JE L'AI VU ! J'AI VU DES CHOSES QUE PERSONNE NE DEVRAIT VOIR !

LA Rentrée SCOLAIRE était étrange, CERTAINS ENFANTS M'évitaient COMME SI J'étais UNE MALADIE, QUELQUE CHOSE DE CONTAGIEUX !

D'AUTRES TROP CURIEUX, M'ENTOURAIENT à LA PAUSE déjeûner DE QUESTIONS étouffantes : ES-TU VRAIMENT MORT ? ET JESUS était-il GENTIL AVEC TOI ?

LE PROFESSEUR CAPLAN, TOUJOURS AIMABLE MAIS INQUIET, M'A PRIS à PART à UN MOMENT donné : ATTENTION, YAYER, CES HISTOIRES ELLES EMBROUILLENT LES GENS ! J'ai hoché LA TÊTE, COMPRENANT L'AVERTISSEMENT, MAIS JE NE POUVAIS PAS M'ARRÊTER, LES PAROLES DE YESHOUA M'étaient rester EN TÊTE COMME UNE Mélodie QUI résonnait EN BOUCLE, ME POUSSANT à CONTINUER !

PUIS UN JOUR, L'église DE MYRIAM M'a invité à PRENDRE LA PAROLE ! C'était UN PETIT LIEU niché DANS UN QUARTIER ARABE DE HAÏFA, DE SIMPLES BANCS EN BOIS, UNE CROIX patinée accrochée AU MUR, UN ESPACE MODESTE MAIS REMPLI DE GENS JEUNES, VIEUX, ARABES, JUIFS, TOUS là POUR écouter !

J'étais NERVEUX, LES MAINS MOITES, MAIS J'ai recommencé à RACONTER MON HISTOIRE ! LA Réaction DES GENS a été INCROYABLE, CERTAINS PLEURAIENT EN SILENCE, D'AUTRES ACQUIESSAIENT EN SIGNE DE Compréhension ! LE PASTEUR D'UNE VOIX CHALEUREUSE ET posée, A CONCLU : PRIONS POUR ISRAËL !

JE l'ai remercié, SENTANT CE MÊME FEU DANS MA POITRINE, LA Présence DE YESHOUA TOUJOURS SI VIVANTE, COMME SI SA MAIN REPOSAIT là AVEC MOI !

L'HÔPITAL était derrière MOI, MAIS LA CICATRICE SUR MA POITRINE, UNE étoile dentelée, CONTINUAIT DE ME démanger, DE ME BRÛLER à CAHQUE FOIS QUE JE LA TOUCHAIS ! C'était COMME SI ELLE VOULAIT ME RAPPELER QUELQUE CHOSE QUE JE NE COMPRENAIS PAS ENCORE complètement !

ME VOICI DE RETOUR à HAÏFA, CONTEMPLANT LA MER SCINTILLANTE D'ARGENT AU SOLEIL; LES JARDINS BAHAÎ s'élevant AU SOMMET DU MONT CARMEL, COMME S'ILS TOUCHAIENT LE CIEL ! MAIS RIEN NE SEMBLE PLUS PAREIL, JE NE SUIS PLUS LE MÊME NON PLUS, JE SUIS YA COHEN, UN Garçon DE 14 ANS, passionné DE FOOTBALL; MAIS AUSSI CELUI QUI EST MORT PENDANT 5 MINUTES ET 19 SECONDES, ET A VU YESHOUA ! SES PAROLES BRÛLENT EN MOI COMME UN FEU QUI ne s'éteint JAMAIS !

COMME LE DIT LA TORAH à PROPOS DE JEREMIE, JE NE LE SAIS QUE PARCE QUE MYRIAM L'a vérifié POUR MOI, MON ESPRIT TE GUIDERA A DIT YESHOUA !!! ET JE LE RESSENS, MÊME allongé DANS MON LIT, LES YEUX rivés AU PLAFOND, écoutant LA RADIO DE mon père PARLANT DE L'IRAN, DU HESBOLAH, ET DES GUERRES QUI SEMBLENT SE RAPPROCHER CHAQUE JOUR ! MON télépone S'EMBALLE, IL VIBRE TOUT LE TEMPS, DES MESSAGES DE PERSONNES QUE JE n'ai jamais rencontrées, DES Chrétiens D'AMERIQUE, DU NIGERIA, DU BRESIL ET MÊME DE PAYS DONT JE N'ARRIVE MÊME PAS à PRONONCER LES NOMS; QUI DISENT TOUS PRIER POUR ISRAËL ! QUE DIEU VOUS bénisse, écrit L'UN D'EUX ! TU ES COMME SAMUEL QUI ENTEND LA VOIX DE DIEU, DIT UN AUTRE ! MAIS IL Y A AUSSI DES MESSAGES HAINEUX, ME TRAITANT DE MENTEUR ET DE TRAÎTRE à MON PROPRE PEUPLE : VOUS N'ÊTES PAS JUIF SI VOUS PARLEZ DE JESUS, écrit UN HOMME EN colère ! PIRE ENCORE PARCE QUE JE SUIS JUIF !

LE VENDREDI SOIR, NOUS célébrions LE SHABBAT AVEC MA mère, NOUS MANGIONS LE POISSON DE ma grand-mère, NOUS CHANTIONS LA HATIKVA AUX Assemblées SCOLAIRES ! TOUT CELA était SI NORMAL, SI FAMILIER; MAIS YESHOUA EST réel, ET JE NE PEUX NI LE VOIR NI ENTENDRE SA VOIX !

J'AIMERAIS POUVOIR réveiller CETTE VOIX intérieure QUI ME DIT : DIS-LEUR QUE J'AIME ISRAËL ! J'ESSAIE MAIS C'EST DIFFICILE !

LES NOUVELLES NE FONT QU'EMPIRER ! LES ROQUETTES IRANIENNES SE RAPPROCHENT déjà, NON PAS DE HAÏFA POUR L'INSTANT, MAIS DES VILLES DU NORD, près DE LA Frontière ! A LA télévision, LA fumée s'élève à L'HORIZON, LES FAMILLES COURENT SE METTRE à L'ABRI, LES DIRIGEANTS IRANIENS SONT SUR TOUTES LES CHAÎNES, LE VISAGE IMPASSIBLE, PROMETTANT DE RAYER ISRAËL DE LA CARTE ! C'EST EXACTEMENT COMME YESHOUA ME L'a montré : LA PERSE EN TÊTE, LES DRAPEAUX DES NATIONS ARABES ENCERCLANT JERUSALEM, TELS DES LOUPS ENCERCLANT LEUR PROIE !

MON père est rivé à LA RADIO, MARMONNANT DES HISTOIRES DE RAIDS aériens ! MAMAN FAIT DES DOUBLES GARDES à L'HÔPITAL !

MAIS JE VOIS SE FORMER à L'HORIZON CES NUAGES NOIRS DONT YESHOUA M'A AVERTI, ALORS JE SERS FORT ELEORA DANS MES BRAS ET JE DIS : YESHOUA PREND SOIN DE NOUS ! ELLE Y CROIT ET J'AIMERAIS EN ÊTRE SÛR AUSSI ! MAIS LES CHOSES COMMENCE à SE PRODUIRE EXACTEMENT COMME YESHOUA L'a montré ! DES NOUVELLES DE Réunions secrètes émergent ! DES DIRIGEANTS D'IRAN, DU LIBAN, DE SYRIE, ET MÊME DE JORDANIE, ASSIS ENSEMBLE DANS UNE SALLE LUXUEUSE ! DRAPEAUX alignés COMME DANS MA VISION ! UN JOURNALISTE DIT QU'IL DISCUTE DE L'AVENIR DE JERUSALEM, MON ESTOMAC SE NOUE, UN NOEUD QUI NE VEUT PAS SE DISSIPER ! ALCODES, YESHOUA L'a appelé PAR SON NOM, LEUR PLAN POUR PRENDRE LA VILLE ET FAIRE DE JERUSALEM LEUR Propriété ! JE VOIS DES CLIPS DE MANIFESTATION, DES FOULES SCANDANTS : Libérez ALCODES ! AVEC LES MÊMES DRAPEAUX QUE J'AI VU DANS LE désert !

A LA RADIO DE mon père, ON ENTEND QUE DES AVIONS DE CHASSE Israéliens BOMBARDENT LES TUNNELS DU HESBOLAH, MAIS LE MONDE DEVIENT FOU ! ET J'espère JUSTE QUE NOUS POURRONS SURVIVRE à TOUT CELA ! LES GROS TITRES CRIENT SUR LES écrans DE Télévision, DANS LES JOURNAUX, AUX QUATRE COINS DE LA VILLE : L'AGRESSION Israélienne condamnée PAR L'ONU ! LES grèves ET LES MANIFESTATIONS PRENNENT LE DESSUS ! LE MONDE CONDAMNE LES ATTAQUES ! C'EST EXACTEMENT CE QUE YESHOUA AVAIT DIT, QUE MÊME CEUX QUI SE DISENT AMIS, QUI JURENT DE LES SOUTENIR, PEUVENT TOURNER LE DOS !

JE RESSENS CETTE SOLITUDE COMME UNE DOULEUR PROFONDE, ISRAËL AUX YEUX DU MONDE, RESSEMBLE à UN ENFANT SEUL DANS UNE COUR DE Récréation, SANS PERSONNE POUR LUI TENIR LA MAIN, SANS PERSONNE POUR LE SOUTENIR LORSQU'IL TOMBE ! MAIS malgré TOUT, ISRAËL TIENT BON, IL SE TIENT DEBOUT, MÊME LORSQUE LES CHANCES SEMBLENT S'AMENUISER ! SON DRAPEAU FLOTTE AVEC Défi, TEL UN CRI SILENCIEUX DANS LE VENT !

ET JE COMMENCE à COMPRENDRE, VRAIMENT COMPRENDRE CE QUE YESHOUA VOULAIT DIRE, LORSQU'IL A DIT QU'ISRAËL était élu, UN PEUPLE destiné à SURVIVRE AUX TEMPÊTES, à persévérer MÊME QUAND TOUT SEMBLE PERDU !

Parallèlement, LES Chrétiens SE MOBILISENT PLUS QUE JAMAIS ! C'EST EXACTEMENT COMME YESHOUA ME L'a montré DANS MA VISION ! ILS VEILLENT, ALLUMENT DES BOUGIES ET PRIENT intensément POUR ISRAËL !

MA BOÎTE EMAIL déborde DE MESSAGES, D'INVITATIONS à PRIER, DE LETTRES PLEINES D'ESPOIR ET DE FOI ! DANS L'UNE D'ELLES, IL CITE LE PSAUME 122:6 : PRIER POUR LA PAIX DE JERUSALEM, J'ai cherché CE VERSET ET C'EST EXACTEMENT CE QUE YESHOUA M'A DIT !

JE SUIS TOUJOURS MOI-MÊME à 14 ANS, JE SUIS TOUJOURS JUIF, J'ALLUME TOUJOURS LES BOUGIES DU SHABBAT LE VENDREDI SOIR, JE JOUE TOUJOURS AU FOOT QUAND JE LE PEUX ! MAIS EN MÊME TEMPS, QUELQUE CHOSE EN MOI a changé à JAMAIS ! JE CROIS, JE CROIS QUE YESHOUA EST LE MESSIE, CELUI QUI MON PEUPLE ATTEND DEPUIS DES Siècles ! JE CROIS QUE SON AMOUR POUR ISRAËL EST PLUS féroce QUE N'IMPORTE QUELLE ROQUETTE menaçant NOTRE CIEL, PLUS FORT QUE N'IMPORTE QUELLE Armée QUI TENTE DE NOUS VAINCRE ! JE CROIS QU'IL REVIENDRA, NON SEULEMENT POUR NOUS, MAIS POUR LE MONDE ENTIER, POUR réparer LES INJUSTICES, ET APPORTER LA Véritable PAIX QUE LE COEUR HUMAIN désire TANT !

CHAQUE JOUR QUE JE ME réveille, CHAQUE RESPIRATION QUE JE PRENDS EST UN CADEAU DE YESHOUA, UNE SECONDE CHANCE DE RACONTER CETTE HISTOIRE QUI BAT EN MOI !!! AUJOURD'HUI, JE N'AI PLUS PEUR DES fusées QUI TOMBENT DEHORS, NI DES MESSAGES DE HAINE QUE JE reçois SUR INTERNET !

J'AI VU CE QUI SE TROUVE Au-delà DE TOUT CELA ! J'AI RESSENTI L'AMOUR QUI a créé LES étoiles, ET FAIT TOURNER L'UNIVERS ! ET JE SAIS DU FOND DU COEUR, QUE YESHOUA CONNAÎT MON NOM, IL CONNAÏT LE NOM D'ISRAËL ! ET IL ATTEND PATIEMMENT ET AVEC ESPOIR QUE JE CONTINUE à DIRE CETTE Vérité ! IL EST là !

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ETC.... DES VISIONS SANS FIN !!!

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APOCALYPSE DE JEAN

14:6 ET J'AI VU UN AUTRE ANGE QUI VOLAIT AU MILIEU DU CIEL, LEQUEL AVAIT UNE BONNE NOUVELLE éternelle, POUR QU'IL LA PROCLAME à CEUX QUI HABITENT SUR LA TERRE, ET à TOUTE NATION ET à TOUTE RACE ET à TOUTE LANGUE ET PEUPLE, 7 ET IL DISAIT AVEC UNE VOIX FORTE : CRAIGNEZ ILOHIM, ET RENDEZ GLOIRE à LUI, PARCE QUE, ELLE EST VENUE L'HEURE DE SON JUGEMENT, ET PROSTERNEZ-VOUS DEVANT CELUI QUI a créé LE CIEL ET LA TERRE ET LA MER ET LES SOURCES DES EAUX. (DANIEL chap 7, APOC DE JEAN chap 12:1-2, chap 21 et chap 22, ISSAYAH chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66)

8 ET UN AUTRE ANGE A SUIVI, EN DISANT : "ELLE est tombée, ELLE est tombée BABYLONE LA GRANDE Cité, PARCE QUE, DU VIN DE LA FUREUR DE SA PROSTITUTION ELLE a versé à BOIRE à TOUTES LES NATIONS.

9 ET UN Troisième ANGE LES SUVIT, EN DISANT :

CELUI QUI SE PROSTERNE DEVANT LA BÊTE ET SA STATUE / SON ICÔNE / SON IMAGE, ET QUI PREND LE SIGNE tracé SUR SON FRONT OU SUR SA MAIN, 10 IL BOIRRA LUI AUSSI DU VIN DE LA Colère DE ILOHIM, QUI EST OFFERT SANS impureté DANS LA COUPE DE SA Colère, ET IL sera torturé DANS LE FEU ET LE SOUFFRE DEVANT LES SAINTS ANGES ET DEVANT L'AGNEAU. 11 ET LA fumée DE LEURS TORTURES MONTENT DANS LES Siècles DES Siècles, ET ILS N'ONT PAS DE Répit NI JOUR NI NUIT CEUX QUI SE PROSTERNENT DEVANT LA BÊTE ET SA STATUE / SON ICÖNE / SON IMAGE, ET CELUI QUI PREND LE SIGNE tracé DE SON NOM.

12 ICI EST LA PATIENCE DES SAINTS, ICI SONT CEUX QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE ILOHIM ET LEUR FOI EN YEHOCHOUA.

PSAUME 87

87:1 DES FILS DE Coré. PSAUME. CANTIQUE.

LA VILLE fondée SUR LES SAINTES MONTAGNES EST aimée DE YAHWEH, LES PORTES DE SION, PLUS QUE TOUTES LES TENTES DE JACOB. (JEREMIYAH chap 1, chap 3:17, MICHEYAH chap 4, ISSAYAH chap 2, chap 3, chap 4, chap 5, chap 54 et chap 55, chap 60, chap 61, chap 62, chap 65, chap 66, PSAUMES 1, 2, 110, 45, 50, 23, 89, APOC DE JEAN chap 12:1-2, chap 14, chap 21 et chap 22)

3 ON DIT SUR TOI DES CHOSES GLORIEUSES, VILLE DE ILOHIM ! - Séla.

4 JE RECENCERAI DE RAAB (L'EGYPTE), ET DE BABYLONE, PARMI MES ADORATEURS.

VOICI, LA PALAISTINE ET TYR, ENSEMBLE AVEC L'ETHIOPIE : CEUX-CI sont nés là.

8 ON DIRA DE SION : TOUT HOMME Y est né, ET C'EST LE Très-Haut QUI L'a fondée".

6 YAHWEH INSCRIRA SUR LE REGISTRE DES PEUPLES : "CEUX-CI sont nés là". - Séla.

7 ET ON CHANTERA TOUT EN DANSANT : "TOUTES MES SOURCES SONT EN TOI".